STAFFAN DI MISTURA VOUDRAIT-IL SAUVER CHENGRIHA TEBBOUNE ET LAAMAMRA DU PIÈGE QU'ILS ONT EUX-MÊMES MONTÉ ?
Staffan DI MISTURA l'italo-suédois représentant d'Antonio GUTTERES au Sahara marocain, le sait-il que CHENGRIHA a beau fait d'avaler les somnifères, il ne dort plus ? Et que TEBBOUNE un peu perdu dans ses rhétoriques stériles, ne fait que tuer le temps en se portant sur la bouteille nuit et jour. Alors que LAAMAMRA même en comptant ses défaites cuisantes à l'UA, à la Ligue Arabe, au parlement européen et au Conseil de Sécurité de l'ONU ne s'allège des regrets qui le rongent. N'est-ce, cela montre la fin de théatralité intrinsèque déconstruisant leurs récits politiques ? Autrement dit, bientôt le jour de leur destitution d'où ils seraient contraints de renoncer au pouvoir en échange de leur jugement ou exil forcé avec ou sans leurs proches. Voilà pourquoi, ça ne sert à rien que DI MISTURA continue d'orner ses emphases diplomatiques de sous-jascences invraisemblables pour les sauver. N'est-ce, ce qu'il a sciemment laissé entendre lors de sa rencontre à Rabat avec Nasser BOURITA et Omar Hilal ? Ce qu'à l'évidence les a poussé à revenir à la charge par une mise en demeure sans langue de bois, en lui signifiant de ne pas franchir les lignes rouges de la Résolution 2602 du Conseil de Sécurité de l'ONU.
À cet égard, n'est-ce juste rebattre les cartes en déclinant sa soi-disant flatteuse invitation de trouver une solution politique sans s'en référer en mots clairs et sans filtres à l'offre marocaine d'autonomie 2007 ? Oui, la conception de tractations directes avec l'Algérie en dehors de l'autonomie sous drapeau du Royaume est aujourd'hui dépassée, au vu du soutien cohérent de la Communnauté Internationale à la thèse du Maroc. Aussi, la diplomatie marocaine dans sa démarche globale, c'est de ne plus laisser ce représentant du Secrétaire Général de l'ONU piétiner la bonne appréciation de l'offre d'autonomie. Plus particuliėrement celle venant des USA Israël l'Allemagne la France la Chine le CCG l'UA le Royaume-Uni le Portugal le Brésil le Mexique l'Argentine le Japon l'Inde le Pakistan le Canada et d'autres pays. D'autant plus, en ce moment le Maroc n'a plus le temps de voir DI MISTURA louvoyer à la façon Christopher ROSS et hésiter comme Horst Köhler à faire le pas. En tout cas, devant la diplomatie démonstrative multipotente, DIMISTURA n'a pas d'autres choix que de se mettre au diapason de la compétence technocratique du Maroc. Laquelle, n'est-elle portée par toutes ses forces économiques, ses tendances géopolitiques et ses partenariats géostratégiques pour assurer le développement équitable et juste des provinces du Sud.
Qu'on se le dise sans résérve, le Maroc est devenu incontournable pour la mise en effectivité programmatique de l'autonomie d'une façon diffuse et hautement sécurisée. Contrairement, à l'Algérie ne s'étant dégagée de ses illusions et pensées rancunières depuis 1963 en restant dans l'ankylose et le déni. De fait, on peut le confirmer, le Maroc est investi de gestes innovants et de belles réussites dans beaucoup de secteurs, notamment dans le monde de l'Energie renouvelable, de l'Industrie de pointe comme l'automobile l'armement et l'aéronautique. Sans omettre le volet de l'Agriculture circulaire loin des OGM et la gestion paramétrique de l'eau. N'est-ce pour cela qu'ils sont célébrés ici et là de par le monde pour leur haute incidence temporelle à travers l'authenticité et le réalisme ? Allant, à juste titre, jusqu'à tuer l'âme malfaisante du régime des "kabranates" de Mama França, tout en les avertissant qu'ils n'ont ni histoire ni mémoire pour concurrencer le Royaume Chérifien millénaire. Et, que leur usage de la sympathie douteuse d'interrelation avec certains pays de l'entourage pour se détourner du réel, ne leur serait d'aucun secours. Et donc, ne leur servirait pour juguler les relents indépendentistes de la Kabylie éternelle, du Sahara oriental marocain, de l'Azawad et de la Chaouia. Comprendront, ceux qui pourront ! À bon lecteur, bon décryptage !
