mardi 25 décembre 2018

POURQUOI, L'ATTITUDE DU MAROC DANS SA LUTTE ANTI TERRORISME NE VA PAS DÉTENDRE LES SERVICES DE RENSEIGNEMENTS ALGÉRIENS ?

LA ENCORE, LE MAROC EST CALME ET NE VEUT PAS LEUR BRISER L’ÂME PAR TANT DE SÉVÉRITÉ SUR LEURS DENIS DE FEU ET DE SANG PENDANT LA DÉCENNIE NOIRE 1990-1999 !

       Que faut-il attendre de l'équipe Boutaflika qui a lâché des enragés journaleux sous sa botte, pour narguer le Maroc par suite à l'acte terroriste barbare d'Imlil ? A-t-elle oublié le comportement exemplaire de ce voisin de l'ouest pendant sa décennie noire des années 90 du siècle dernier et/où le sang coulait à flot partout sur son sol ? Cela, indique sans ambages qu'elle brule d'envie d'attiser les différends Rabat-Alger, par cette volonté à heurter plus les marocains après ce drame inqualifiable. Mais pourquoi ces quelques médias qui gravitent autour de ce pouvoir haineux, se sont-ils remis à éditer des articles mensongers violents voire nauséabonds ? Que désirent-ils par cette réactivité journalistique de basse besogne ? N'est-ce, tout simplement pour saper la démarche de la main tendue du Roi Mohamed VI envers l'Algérie et aussi pour continuer à divaguer comme quoi les marocains sont dans une cage enfumée où le désordre règne en maitre ? D'ailleurs, on en doute pas qu'ils veuillent en rester là, étant décrédibilisés après avoir préparé ce règlement de compte pernicieux à beaucoup d'égards. L'ayant fait, primo pour créer le doute dans les petites têtes naïves et résignées et secundo pour salir la réputation de la DGST-BCIJ et donc assombrir l'image du Royaume.  Parce qu'ils n'ont pas le courage de s'arracher à l'angoisse et à la rancune qui leur tenaillent le cœur, même avec les turpitudes et manigances de John Bolton.  

       En tous cas, jamais, ils n'en sortiront indemnes de cette triangulation hystérique de leurs messages, en y faisant à allusion à lui, au Polisario et à la fondation Kerry Kennedy. Néanmoins, n'est-ce pour cela le Maroc est dégouté et ne veut plus gâter à force d'indulgence ce pouvoir indécemment jaloux qui, désespérément, appelle John Bolton et ses lobbys à la rescousse ? Tellement, aujourd'hui, il parait enfermé dans le secret de ses calculs politiques, car rongé par l’ambiguïté de l'algorithme de recherche pour faire plaisir aux ennemis du Maroc. Finalement, que de tourments pour ce pouvoir en mal d'inspiration ! Même les souvenirs de lutte commune anticoloniale avec le Maroc le font fuir ne se rendant même pas compte qu'il lui doit respect. Et que seul le caractère de son coté égoïste lui évoque cette période par la diffraction des images qu'il veut que le peuple algérien garde. Pourtant, de cette perniciosité de raisonnement, on ne peut pas dire que le rire des observateurs et historiens le voyant dans le déni ne le secouent pas.  En effet, il s'agit d'une crise de nerfs dont on peut dire, y' aura-t-il d'autres prédictions-conneries de leur part sur la Sécurité au Sahara marocain qui montreront le degré de leur aliénation ? Dès lors que le DEA a exhibé un rapport sur le Maghreb où chaque pays fut soigneusement évalué en matière de sécurité, montrant le Maroc sortir haut la main du lot, respectant l'engagement de lutte anti terrorisme qu'il s'était imposé de Tanger à Lagouira. 

       Après tout, rien que pour ça, le Maroc est en droit de se sentir déçu par l'attitude de John Bolton qui est sous l’emprise du pouvoir militariste algérien. Mais pourquoi, quand des congres-mans américains disent à l'administration Trump qu'elle soit du coté du Maroc dans son Sahara, les coupables lancent leurs piques comme des varans à son égard ? A l'évidence, c'est parce qu'ils sentent que le grand jour est arrivé de défaire le Polisario, quitte à ce que les FAR s'en occupent pour de bon de ses incursions en zone Tampon. Voilà pourquoi l'Algérie dans sa tentative border-Line des pourparlers de Genève, essaye par des artifices diplomatiques faisant partie des perspectives lugubres de John Bolton, de le faire échapper des tenailles des Résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU. En réalité, tout le monde sait que ce manège sous l'autorité de ce bonhomme, conseiller de son état à Sécurité à la Maison Blanche, ne durera pas.  Ce à quoi, dans le fond et dans la forme, le Maroc, lui, restera impassible sagement calme, sans aller jusqu'à briser l’âme de ce pouvoir par tant de vérités sur tous ses dénis. En restant sur les seuils des non dits à propos de la stabilité relative de l'Algérie et son interventionnisme financier dans beaucoup de pays, surtout en Amérique Latine au Moyen Orient et en Afrique. A bon entendeur, salut !

samedi 22 décembre 2018

CA Y EST, LE MAROC EST DEJA DANS L’ÈRE DE LA RIPOSTE LÉGITIME CONTRE L'OBSCURANTISME !

NE PEUT-ON AFFIRMER QUE, D'ORES ET DÉJÀ LES BORNES DE LA NOUVELLE STRUCTURATION SÉCURITAIRE SONT POSÉES?

       Aujourd'hui, il n'y a pas lieu de se taire ni de céder à la peur face à l'immondicité du double meurtre d'Imlil sur les sentiers touristiques du Toubkal dans la région de Marrakech. D'autant plus, il faut le dire sans complexe ni gène, au Maroc il y a des portes de l'islamisme ''taymiiste daechiste'' à défoncer sans tarder. Quitte à le faire sous l'état d'urgence par un pacte national de lutte contre les foyers présumés chargés des pensées obscurantistes. Autrement dit, qu'attend-on pour avoir des gages de l'effectivité de l'action antiterroriste sous la houlette du Conseil Superieur de Sécurité (Art 54 de la constitution), dont il va falloir rapidement le mettre sur pied ? Tout simplement, pour assurer une avancée légitime de recherche de point d'équilibre dans la stratégie de lutte anti-terrorisme dans tout le Royaume. En quelque sorte, sortir de l'organisation trop verticale, par une nouvelle structuration qui prenne une autre dimension de surveillance publique couplée a celle citoyenne. Et ce, pour éviter dans le futur le phénomène du mimétisme par les loups solitaires, dans les circuits touristiques en montagnes en forets et dans le désert. Surtout dans le Tandrara Mhamid Merzouga, sans oublier les gorges et cascades de l'Atlas et du Rif autour des lacs et autres sites panoramiques comme Akchour. Parce que, sinon, il ne faut pas s'étonner de voir se répandre la colère des marocains avec ou sans larmes, à chaque coup et/où boum-rang du terrorisme frappant ici et là sur tout le territoire.

       Évidemment, sans doute l'on aura à constater, que les seuils hauts d'intolérance n'émanent pas seulement des Chioukhs des fatwas idéologiques, mais aussi de la hiérarchie politique. Et ce, depuis le soi-disant printemps marocain dont ils en ont profité pour user d’entre-loupe de religiosité border-Line par calcul politicien. A cet égard, n'est-ce le moment propice de prendre le taureau par les cornes, au lieu de le laisser reculer pour avoir l'élan de tout dévaster ? En réalité, c'est là la raison essentielle, pour laquelle les marocains sont aujourd'hui choqués et affligés après l'assassinat atroce et inhumain des  deux jeunes filles scandinaves Marine et Louisa. Dont, il faut le rappeler, la traque de leurs assassins par le BCIJ (Bureau Central des Investigations Judiciaires), avec méthode structurée et détermination légitime,  n'est que le début d'une riposte légale sans merci contre le terrorisme. En tous cas, c'est ce qui semble se projeter après les premières arrestations de ces terroristes avérés, en un temps record.  Comme ça, l'on peut d'ores et déjà affirmer, que les bornes d'une nouvelle ère sont posées pour sortir des incohérences du gouvernement Othmani, et donc d'en finir avec l'altération du climat politique et social au Maroc. Parce que, ce n'est pas de cela dont les marocains ont rêvé au lendemain du discours royal du 09 Mars 2011, surtout après l'adoption de la constitution 30 Juillet de la même année. Au point qu'en ce moment, ils se sentent pressés comme des citrons jaunes, sans que ce gouvernement ne songe à les consoler dans leurs difficultés à joindre les deux bouts d'une vie descente.

       Et c'est là le point culminant de cette réflexion, car au grand étonnement des observateurs du champ politique marocain, les responsables de la surveillance transversale multiforme sur le terrain ne semblent pas avoir intégré les nombreux recadrages royaux en matière de sécurité. D'ailleurs, dans beaucoup de cas dans les contrées périphériques et pas seulement, par leur façon de diriger leurs corps respectifs ils ne font que se distraire. Oui, il y a un profond sentiment de rejet de certains responsables, du moins, c'est ce qui se dit ici et là pour les sortir de leur dormance remplie d'inconnues. Tellement, après le stoppage rapide des terroristes d'Imlil, les marocains ont l'impression qu'ils pourraient se passer de ces responsables, sans qu'ils en ressentent terriblement leur absence. A vrai dire, le constat est malheureusement cuisant, dont, les observateurs avertis en ont perçu un risque de perte de la main mise de l’État sur la temporalité du vivre ensemble dans la paix et la sérénité. En somme, à cause de la perte de temps entre les insolences du PJD, les enfumages du PPS, les rêveries du PAM, les cachoteries de l'USFP, les absences du MP, les salamalecs de l'UC, les matraquages du PI et les profits du RNI. Cela, par ailleurs, n'explique-t-il le pourquoi chaque jour les forces vives du pays les abandonnent, sachant qu'ils ne seraient jamais les ailes blanches de la prévention du terrorisme. Néanmoins, même avec ce tribut lourd, le Royaume du Maroc si historiquement grand et si divinement multiculturel, s'en sort pas mal par les projets colossaux structurants porteurs d'avenir, dès lors qu'ils sont initiés et suivis par le Roi Mohamed VI. A bon suiveur, bon décryptage !

mardi 18 décembre 2018

JOHN BOLTON FACE A LA VIGILANCE POSITIVE DU MAROC !

JOHN BOLTON N'EST-IL DANS L'EMBARRAS, MÊME EN IMPROVISANT SES PERFIDIES RIDICULES A L’ÉGARD DE LA SUITE DES POURPARLERS DE GENÈVE SUR LE SAHARA MAROCAIN ?      

       Au secrétariat Général de l'ONU l'on trouve que la table ronde de Genève 05-06 décembre 2018 est pleine d'espoir. Sauf que, comment Horst Kohler doit-il continuer à travailler dans ce sens, alors que l'Algérie ne coopère que pour retenir un avantage qu'elle ne veut pas perdre ? Celui d'un Maroc bienveillant à son égard, malgré qu'elle le contrarie par des refus permanents à tout ce qu'il entreprend et le maltraite par des mensonges contestables voire insupportables. Dont, à vrai dire, l'on devine pourquoi le Polisario s'est attaché à elle et la suit dans ses périples d'enfumage diplomatique à l'international. Allant jusqu'à en brouiller les codages des lectures, en montrant qu'il est étreint par un angoissant ressentiment qu'elle va se séparer de lui. Plus machiavélique que ça, connait pas ! Forcément, un tel décryptage indique que la diplomatie algérienne croit que ce qui lui parait improbable il y a peu de temps, a maintenant des chances d'arriver aux futurs pourparlers.  Notamment, si elle croise sa stratégie de fuite en avant avec les vœux du conseiller de Donald Trump à la sécurité John Bolton. Dont il vient de donner une définition assez tordue sur l'avenir de l'action du maintien de la paix par la Minurso dans la zone Tampon au-delà du Mur. Prophétisant en subliminal, que si le Conseil de Sécurité de l'ONU ne va pas dans ce sens, tout ira de travers pendant le reste des pourparlers.  Mais, comment cela s'appelle-t-il, si ce n'est illusion de se dégager d'une manifestation d'un repentir de l'Algérie, même si c'est improbable qu'elle le fasse en tant que pays créateur du conflit du Sahara marocain  ?

       A cet effet, pour parer à ce maquillage perfide de la volonté de ce conseiller américain, les marocains toutes catégories confondues doivent cesser d’être spectateurs passifs face à ses sous-entendus. Comme quoi après le départ annoncé de Nikki Haley la représentante permanente des USA à l'ONU, le rêve de John Bolton de soutenir le Polisario le pousse à cacher son dépit sous le masque de cette perfidie, qu'évidemment ne l'obligerait à réparer ses bévues à l'endroit du Conseil de Sécurité. Autant le dire sans détours, n'est-ce par cette perspective alambiquée et déplorable qu'il veut faire comprendre à Horst Kohler de traiter le Polisario avec égards au même titre que le Maroc ? Un non sens de l'Histoire de la région, duquel, il tente de passer à l'étape des négociations en omettant que ce ne sont que des discussions générales. D'où, à l'évidence le Maroc avec sa vigilance positive, n'a de choix que de rester ferme à propos de son offre d'autonomie 2007. C'est hors de question de tendre la perche à l'Algérie qui, par calculs politiques voudrait se diriger vers une accélération de l'acceptation d'une autre offre aménagée et limitée dans le temps avec des garanties de l'ONU. Ce qui permettrait à ce pouvoir algérien haineux et rancunier, d'ajuster en permanence sa rêverie via sa réserve de réflexions et de déploiement diplomatique, en marquant le cas échéant le rythme des pourparlers.  Et, dont, Horst Kohler semble montrer des signes d’énervement, voire lassitude à cette reformulation nébuleuse allant dans le sens contraire de ce qui est déjà sur la table de discussion. Parce qu'il sait que lorsque John Bolton donne libre cours à sa langue et à sa pensée concernant le Sahara marocain, généralement elles sont dépourvues de bon sens.

       Voilà pourquoi, Horst Kohler avait anticipé d'essayer de remettre les pendules à l'heure pour rester dans l'esprit de la Résolution 2440 du Conseil de Sécurité de l'ONU ! Sans négliger de demander à l'Algérie et à la Mauritanie de faire preuve de réalisme, avec expression de réserver un accueil favorable à une solution politique négociée viable que prône cette Résolution. A ce propos, déjà, l'on entend des politiques algériens et mauritaniens confier ici et là, que pendant le premier round de la table ronde de Genève, Messahel a fait l'acteur qui joue une scène dont il ne maitrise ni le texte ni les actes. Tellement, dès son retour à Alger, il s'est mis à distiller, toujours en rigolant, qu'il était venu chercher des concessions auprès de la délégation marocaine, qu'apparemment l'a heurtée car plus robuste plus cohérente et plus représentative. C'est en cela qu'objectivement, les signaux que donne John Bolton ne sont pas spécialement rassurants, voulant mettre  les futurs pourparlers sens dessus dessous pour avantager le Polisario. Et, dont le Maroc doit veiller à préparer ses ripostes, à même par l'hypothèse d'un non accord pour éviter le déclenchement de la mécanique d'une autonomie désordonnée. Tout compte fait, il faut faire attention de continuer d'afficher encore plus d'optimisme sans de nouvelles clarifications dans les jours à venir sur la position du Secrétaire Général de l'ONU par rapport à ce qu'avance John Bolton. D'ailleurs, s'il y a une chose que les analystes marocains doivent savoir, c'est quand ce conseiller de Donald Trump représentait les USA au moment des plans Becker I et II, c'est qu'il a toujours fini par avoir tort devant ses semblables au Conseil de Sécurité. A bon entendeur, salut !  

lundi 10 décembre 2018

DÉCRYPTAGES ET IMPRESSIONS SUR LA RENCONTRE DE GENÈVE DU 05-06 DÉCEMBRE 2018.

MAINTENANT N'EST-CE CLAIR QUE LES CERTITUDES DE L’ALGÉRIE SONT CASSÉES DANS UN MÉLANGE DE DÉCEPTION ET DE DÉCOURAGEMENT ?

       Après la rencontre Maroc-Algérie-Mauritanie-Polisrio du 05-06 décembre 2018 à Genève sous les auspices de l'ONU, il ne reste à Horst Kohler souriant qu'à décrypter les intentions dans les échanges des uns et des autres. Ainsi, plus vite il montrera la détermination du Conseil de Sécurité à en finir avec les filouteries de l'Algérie s'y greffant aux contes extravagants du Polisario, plus vite il poussera vers une solution politique négociée viable dans le cadre de l'offre marocaine d'autonomie élargie 2007. D'autant plus, pour l'ONU, n'est-ce cela est aisément réalisable pour que l'Algérie et le Polisario ne fassent de la mauvaise résistance dans les futurs rounds de discussion ? En effet, d'ors et déjà, l'on peut prononcer, Horst Kohler a comblé ses lacunes parce qu'il ne met plus à égalité la légitimité de la contribution positive du Maroc et la fuite en avant de l'Algérie. Chose, toutefois, qui montre que le DEA (Département d’État Américain) s'est dégagé du piège des approches antécédentes sous James Becker et Christopher Ross, en appelant la Mauritanie de sortir de ses allusions indicibles notamment après l'adoption de la Résolution 2440 par le Conseil de Sécurité. Même si, le ministre des affaires étrangère algérien Abdelkader Messahel n'en a pas donné signe de quelqu'un qui est déstabilisé par l'ambiance à la table de discussion. Autrement dit, n'en peut-on comprendre à travers la déclaration-bilan de Horst Kohler à l'issue de ce round-pourparlers, que l'ONU en réprouve la posture de la diplomatie algérienne ? Ce qui indique que le pouvoir Boutaflika à Ksar Lamradia continuera de surfer sur les ruines de ses sentiments haineux anti Maroc malgré ses déceptions et découragements à l'international.

       En revanche, n'est-ce là où l'on s’aperçoit qu'au Secrétariat Général de l'ONU autant qu'à l'UA et à l'UE, on n'apprécie pas l'air blasé et l'indifférence du pouvoir militariste algérien à l'égard de la main tendue du Roi du Maroc Mohammed VI ? Mais, pourquoi l'Algérie et le Polisario ont-ils cru, naïvement, que la composition et la qualité de la délégation marocaine ne pourraient constituer un centre  d’intérêt et attraction pour tous les observateurs ? N'en ayant prévu que trois parmi cinq seront des représentants de haut rang très estimés, et qu'au demeurant ont la légitimité historique et des urnes. C'est donc fini la rigolade, parce que tous les cinq ont la capacité culturelle diplomatique et politique de dévorer de si belle manière toutes argumentations farfelues algériennes. A tel point, que les visages des polisariens autour de la table, certainement, en étaient congestionnés même en s'évadant dans leur rêverie désenchantée. D'ailleurs, n'est-ce pas qu'Horst Kohler l'a déjà compris et intégré, faisant abstraction de ses pensées d'autrefois jusqu'à leur signifier avec diplomatie comme quoi leur rêve est irrémédiablement brisé ? En somme, ils ne sont que spécimen de la trahison où l'amour pour la patrie-mère le Maroc, s'est malheureusement pour eux fait remplacé sordidement par l'allégeance à l'Algérie. Laquelle, par ailleurs, pendant plus de 43 ans a trottiné dans les instances internationales sans pouvoir se rendre ni utile pour la paix dans la région, ni incontournable nulle part pour des raisons faciles à comprendre. 

       Voilà la raison pour laquelle, les jours qui suivront avec ou sans d'autres tables rondes, la diplomatie marocaine s'activera encore plus, paisiblement, car l'index de sa cotation à l'ONU à l'UA et à l'UE ne cesse d'augmenter précieusement de jour en jour. De fait, l'on peut avancer dès à présent qu'il est maintenant acté que les aspirations pour un Maghreb unis paisible et cohérent, ne se réaliseront que si l'Algérie se passionne pour l'offre marocaine d'autonomie 2007. Et que ça ne sert à rien que la Mauritanie et la Tunisie dans leur compétition incomprise, s'agitent pour organiser des rencontres sans lendemain à quelque niveau que ce soit. On dirait que le soleil leur semble soudainement se dévoiler dans un Maghreb politiquement maussade et sombre, n'en sachant que leur proposition si brusque risque d'endommager toutes les récentes interconnexions diplomatiques avec Rabat. En quelque sorte, on ne peut pas poser son pied d'un coté et en même temps regarder l'autre avec expression de d'encourager les mirages. A l’évidence, elles feraient bien de ne se laisser manipuler par les desseins machiavéliques de l'Algérie, en les transformant en intention de défi pour la construction du Maghreb au lieu de désir d'avenir avec le Maroc dans son intégrité territoriale. Bien entendu, c'est en cela que les réponses marocaines ne tarderont jamais à venir pour contrecarrer ce genre de stratégie de bavardages et tergiversations pour infléchir les marges diplomatiques du Maroc. Mais est-ce suffisant pour sortir la diplomatie algérienne arrogante de ses certitudes en tournant le dos au rapprochement avec le Maroc, alors que le pays ne va pas du tout bien ? A bon suiveur, bon décryptage ! 

dimanche 25 novembre 2018

L’ALGÉRIE NE SE SENT NI RASSURÉE NI A L'AISE DANS SES IDÉES, POUR STOPPER LE RAYONNEMENT DU MAROC.

POURQUOI L’ALGÉRIE NE RESSENT-ELLE L'ABSENCE D'ATTENTION DE LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE A SES PETITS CALCULS POLITICIENS ENVERS TOUTES LES INITIATIVES DU MAROC ?

       Le pouvoir algérien peut dire ce qu'il veut, il n'en troublera jamais la détermination du Maroc pour son Sahara. C'est vrai, aujourd'hui, il y a une angoisse qui le ronge à l'approche de la table de discussion de Genève 05-06 décembre 2018,. D'autant plus, c'est pour la première fois les Nations-Unies s’intéressent à la préoccupation primordiale du Maroc se rapportant à la présence de l'Algérie en tant que pays impliqué créateur du Polisario et non seulement voisin-observateur. Là pour le coup, le jeu diplomatique de ce pouvoir se complique même en jouant à la diversion. Comme si, d'instinct, il sent que le temps d'une séparation avec sa chimérique création, est proche. Ce qui prouve qu'il est en décalage avec ce qui se passe à l'UA et à l'UE, jusqu'à imaginer des scénarios  anti Maroc où il y a toujours un loup derrière. Alors même que des corrélations ont été établies entre, lui, le Polisario et les groupuscules terroristes dans les camps des séquestrés à Tindouf Rabouni et ailleurs dans le sud algérien. A l'évidence, la main tendue du Roi Mohamed VI à l'Algérie, avec les réjouissances au Maghreb à l'UA à l'UE et à l'ONU, n'est-elle le souhait de l'espoir de renouvellement de la confiance Maroc-Algérie ? Laquelle est une composante essentielle dans la responsabilité politique au même titre que la stabilité de toute la région MENA- Sahel subsaharienne africaine.  Par conséquent, l'approche coordonnée du Maroc à Genève visera, probablement, à obtenir la réévaluation de la prise en charge de ses priorités par l'ONU, que d'ores et déjà la Résolution 2440 en a balisé le tracé. Dont l'objectif premier peut se résumer en une diminution des tensions et une amélioration de la stratégie de coopération à tous les niveaux Maroc-Algérie, dans la défense commune la diplomatie combinée et le codéveloppement équitable.

       Mais pourquoi, ce pouvoir, n'admet-il toujours pas d'activer la procédure de bon voisinage avec le Maroc, par la mobilisation de toutes les énergies, sociétés civiles, institutions d’États et médias des deux pays afin de dépasser la problématique des frontières fermées ?  N'est-ce là encore une erreur grave de ce pouvoir, de n'avoir rien d'autre à faire proposer pour faire diversion, que de penser au toilettage de l'UMA sclérosée par ses propres manœuvres ? Encore une façon qui montre comment fonctionne l’État algérien en s'en évertuant de paraitre zen, tandis qu'elle est de par le monde commentée voire jugée négative et non constructrice de la confiance dont les deux peuples en réclament avec ferveur. D'ailleurs, les USA la Russie la France l'Espagne la Chine le Japon, trouvent cette façon voilée d'illusion parce qu'elle n'est pas dans la norme des dernières Résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU.  Aussi, compte tenu de la réponse de l'Algérie à la main tendue du Roi Mohamed VI, ne faut-il un durcissement du ton envers le Polisario comme priorité géopolitique et géostratégique ? Tel que, déjà, prononcé à maintes fois par le Secrétaire Général de l'ONU en raison des incursions répétitives à Bir Lahlou Tifirati Mjik et ailleurs en zone Tampon. En effet, Antonio Gutteress sait, que la stabilité de la région est touchée par cette atteinte à l’intégrité territoriale du Maroc, dont le risque de déflagration de guerre Rabat-Alger entrainera des couts humains aux conséquences incalculables.

       Quant à l'UA, depuis le 11-ème Sommet extraordinaire 17-18 novembre 2018 à Addis-Abeba, il se précise que l'Algérie n'obtient plus ce qu'elle veut des chefs d’États africains. Au contraire, la Conférence des chefs d’États a montré sa fermeté de caractère d'où il est impossible de lui faire changer d'avis sur  ses perspectives d'avenir élaborés par des experts autour de Paul Kagamé. En cela, l'enjeu pour l'UA, c'est de ne plus se laisser influencer dans l'établissement de ses ordres du jour parce qu'elle a dépassé les vulnérabilités qui lui ont fait subir les incohérences de fonctionnement d'antan. N'est-ce pour cela, l'on a entendu durant ce Sommet, le chef du gouvernement algérien, le bavard Ouyahia, implorer patience pour ne pas changer les règles institutionnelles de l'UA ? L'ayant fait, en plus, avec in-considération au président de la Commission Moussa Faki Mahamet pour qu'il ne pousse pas à hâter l'heure programmatique de l’exclusion de la RASD. Et à plus forte raison, pour que rien ne vienne troubler les contes extravagants de la délégation algérienne sur le Sahara marocain lors de la table ronde de Genève. Voilà pourquoi, avec l'équipe Messahel au ministère algérien des affaires étrangères, l'équipe Ouyahia à la primature et la junte militaire de Gaid Salah à la défense, l'équipe Said Boutaflika à Ksar Lamradia ne sortira jamais de ses intentions de mauvaise conduite à l'égard du Maroc. Et bien, tant pis pour elle, surtout si elle continue de s’éloigner de l'appel sincère du souverain marocain, de mettre fin définitivement aux balivernes médiatiques et coups de poignards qu'elle porte au dos du Maroc ! Parce  qu'elle est maintenant avertie, comme quoi, la délégation marocaine, quel qu'il soit son rang de représentativité, ne fera pas dans la dentelle diplomatique à Genève. A bon entendeur, salut !

lundi 12 novembre 2018

LA CÉRÉMONIE DU CENTENAIRE DE L'ARMISTICE, N'A-T-ELLE RÉVÉLÉ AU MONDE LA PLACE QU'OCCUPE LE ROI MOHAMED VI A L'INTERNATIONAL ?

LA SYMBOLIQUE DU CENTENAIRE DE L'ARMISTICE 14-18 A PARIS, EST AUSSI UNE VÉRITABLE CONSÉCRATION DU ROI DU MAROC TOUS AZIMUTS SUR LE PLAN GÉOPOLITIQUE ET GÉOSTRATÉGIQUE.

       Maintenant, le monde entier sait que l'image du Roi Mohamed VI à l'international obsède le pouvoir algérien. En effet, bien souvent, la communauté internationale en prend acte, dans les FRSA (Forums Rencontres Symposiums et Assemblées). N'est-ce, ce que tout un chacun a vu et observé lors de la cérémonie du Centenaire de l'armistice à Paris le 11 novembre 2018, en présence de soixante quatorze chefs d’États et de gouvernements ? D'ailleurs, c'est très juste et fort bien expliqué ici et là sur le Net et les réseaux sociaux, à propos du regard de réplique jalouse du premier ministre algérien Ouyahia sur le salut chaleureux de Ronald Trump au Roi du Maroc et au Prince Héritier. N'est-ce un malheur encore plus grand pour ce premier ministre algérien, de ne pouvoir le dissimuler ? Même si, des observateurs de la mimique et gestuelle politique en confirment que ça ne lui déplairait pas d’être, lui aussi, sous l'influence et le charme du Souverain, si c'est pour son bien électoral. S'ajoutant à la place parmi les grands de ce monde qu'occupe le Souverain, en ayant le courage et l’honnêteté de regarder le pragmatisme et le réalisme du Conseil de Sécurité de l'ONU par l'adoption de la Résolution 2440. Autrement, dès lors que Donald Trump est maintenant convaincu de la solidité des raisonnements du Roi sur de nombreux sujets emblématiques du moment, n'est-ce ce qui montre qu'au Maroc on a horreur des faveurs qui donnent sensation de dépendance à autrui. En cela, pour tous les marocains patriotes, c'est un plaisir d'aider ceux qui ne savent pas encore les reconnaitre, car ayant plutôt l'air renfrogné.

       Pourtant, n'est-t-il facile de lire dans la pensée du président américain, une appréciation positive sur le positionnement du Souverain vis-à-vis du terrorisme des migrations et des problèmes du développement gagnant-gagnant. D'où, apparemment, il n'est pas prêt à accorder de faveur aux noblaillons civils et militaires algériens qui se cachent derrière leurs médias proférant qu'allégations et mensonges envers le voisin de l'ouest. Parce que pour lui, sanctuariser le Maghreb passe par des États forts dans leur lutte anti terroriste et dans leur obsession de se protéger des risques des frontières poreuses devant les migrations, les trafics de drogue d'armes et la traites des hommes et femmes. Notamment, après la cinglante leçon du Roi du Maroc lors du discours du 06 novembre 2018, pour ne plus insulter l'avenir de la construction du Maghreb cimentée par les liens de fraternité entre Rabat-Alger. En l'occurrence, par l'art de savoir comment saisir ce moment opportun ouvert à la coopération évolutive et normative des choix en commun. Et ce, des chantiers pouvant porter le sceau et/où le cachet de la sensation de vivre ensemble dans le même espace paisible et tranquille. N'est-ce, comme ça, institutionnellement, la relation diplomatique de grande cohésion dans les approches tous azimuts entre le Maroc et l'Algérie, paraitra loin des murmures de la défiance, de la méfiance et de la dé-confiance ? Et, donc, conséquemment sera si captivante pour l'investissement inclusif via ces chantiers, quels soient commerciaux agricoles industriels culturels diplomatiques et sécuritaires. Et pourquoi pas, sur la transition énergétique avec impact sur les décisions écologiques de part et d'autre, tout en veillant à ce que l'essor socioéconomique soit perceptible dès les premières années, . 

       Mais pourquoi l'Algérie, à ce jour, a du mal à reconnaitre ses torts en continuant à chercher des manœuvres politiciennes à ses propres incuries, allant jusqu'à considérer la main tendue du Roi Mohamed VI, un non évènement ? Dont, le menteur Messahel en est l'artisan, persuadé en ayant lancé un refus par médias interposés qu'il affaiblirait le cercle de l'influence royale hors norme. Ce qui semble faire l'inventaire de tout ce que cet enragé aboyeur porte comme animosité au Maroc, à même de s’emprisonner dans ses rêveries. Alors que Horst Kohler l'ait notée, continuant avec calme ses préparatifs de la table ronde 05-06 décembre 2018 à Genève. A vrai dire, l'Algérie hoche la tête, paraissant déconcertée par la pertinence du ton et de la temporalité du dernier discours du Roi du Maroc, parce qu'elle n'arrive à en supporter l'excellence de l'explication. Comme quoi, elle n'est pas lucide, toujours renfermée dans la logique des idées de l'ancien monde par le continuum de l'intrigue sur le Sahara marocain. Dont, elle ne sait que c'est une imbécilité de songer à se consoler ainsi, par crainte de se retrouver en larmes à l'instar d'une mère à qui l'on annonce que son enfant n'a plus de jambes. Quelle amère déception pour elle qui cherche toujours et uniquement à mettre à tort, la charrue avant les bœufs dans l'affaire du Sahara marocain par ses bavardages et ingérences sans le reconnaitre ? Est-ce que, avec tout ce fil d'actualités, l'on est pas à deux doigts de la voir face à ses propres contradictions se conjuguant ses idées irrationnelles, ses difficultés et leurs diverses complications territoriales au vu de ses évaluations erronées du contexte international. A bon suiveur, bonne lecture !

mercredi 7 novembre 2018

VOILA POURQUOI, IL N'Y AURA NI GÊNE NI RÉSERVE POUR LA DÉLÉGATION MAROCAINE A GENÈVE.

L’ALGÉRIE N'A-T-ELLE L'OCCASION EN OR QUE LUI OFFRE LE ROI MOHAMED VI, POUR DÉSAMORCER SA CRISE DE CONFIANCE PAS SEULEMENT AVEC LE MAROC MAIS AUSSI AVEC TOUS SES VOISINS ?

       Pour saisir la détermination du Maroc par le talent le discernement et l'habileté de sa diplomatie pléthorique, il n'y a qu'à scruter le modelage du discours royal du 06 Novembre 2018. Dont, en plus, le ton direct fait comprendre un nouveau paramétrage de la ligne tracée par le souverain, sans aucune concession ni à l'Algérie ni aux ennemis de l’intérieur comme de l'extérieur sur le Sahara marocain. Tellement, l'on peut d'ores et déjà en déduire, combien il sera difficile à l'équipe Boutaflika de tenir face à cette assurance royale en symbiose totale avec le centrage d'attraction pour l'offre d'autonomie 2007. Comprenez, désormais avec le pouvoir algérien tout peut se discuter, si et seulement si, il n'y a plus ce continuum cauchemardesque par le déni de cette offre normative de la rédemption du Grand Maghreb ! Parce que c'est là une ligne rouge à ne jamais franchir, et ce, en vue d'avènement d'une nouvelle ère de sa construction sur des fondements politiques diplomatiques et sécuritaires comme du temps de son lancement à Tanger. D'ailleurs, n'est-ce là la tendance subliminale de ce discours comme quoi, si le Conseil de Sécurité de l'ONU d'un ton de conviction absolue a adopté la Résolution 2440 presque à l'unanimité, c'est qu'il y voit une profondeur géostratégique couplée d’intérêt pour la paix et le développement de la région et même au-delà vers l'Afrique ?  N'est-ce, pour la délégation marocaine il n'y aura ni gênes ni réserve pour prendre le taureau par les cornes dès les premières minutes de la table ronde ? 

       Ceci ne montre-t-il que jusque-là, le pouvoir algérien n'est ni prudent ni précis en éprouvant encore de l'affection à son avorton à l'ONU ? A même de ne pas ménager aussi ses efforts à l'UA et pousser ses représentants à faire les serpents dans les couloirs de la Commission à Addis-Abeba, en tentant les délégués des autres pays par la corruption. Sauf que, après le retour digne du Maroc, ces mêmes délégués commencent à en rire en déclarant que c'est la meilleure déconfiture que le régime algérien n'eut jamais eu. Une réponse finement diplomatique qui vaut plus qu'un volume d'excuses auprès du Maroc, dont les derniers discours du Roi depuis 2016 à ce jour, n'en montrent que c'est un pays trop digne avec humilité dans l'expression, tempérance dans l'orgueil et sagesse dans les propos. A cet effet, ne faut-il le mentionner sans gêne, que ceux qui pensent, naïvement, que le comportement de la délégation algérienne à Genève ne serait comme avant, il leur faudrait peu de temps pour se remettre de leur déception. Parce que, les décideurs militaristes algériens ne sont toujours pas prêts à s'incliner très bas devant la Résolution 2440 du Conseil de Sécurité de l'ONU. Même si, en fonction de leur conception aujourd'hui ébranlée par la temporalité la tonalité et le structuralisme du discours du Roi, ils savent que désormais d'autres surprises les attendent du coté de la Mauritanie de la Tunisie de la Libye et du Mali. En cela, ça ira de mal en pis pour le pouvoir Boutaflika s'il n'arrive pas à réaliser qu'il a perdu toute crédibilité du bon voisinage, et qu'il lui faut sortir des brutalités interventionnistes sans perspective. D'autant que ça ne sert à rien de montrer qu'il est à l'aise, en continuant de donner une fausse impression de son soi-disant épaulement généreux à sa protubérance dans les camps de Lahmada.

       Vraiment, il semble qu'aujourd'hui le temps a eu sa revanche de prise sur l'équipe à Ksar Lamradia d'Alger, la montrant goutter l'amertume des déboires en interne et à l'international. Mais pourquoi ne sait-elle pas, que la haine la rancune et la rancœur portent en elles la punition, d’où avec la Résolution 2440 elle commence à l'en recevoir de plein fouet ? A l'évidence, la main tendue du Roi Mohamed VI à l'Algérie, n'exclue en rien que dans la rencontre de Genève 05-06 Decembre 2018 sous les auspices de l'ONU, la délégation marocaine saura avoir la vivacité d'esprit et beaucoup de pertinence dans la discussion des bas-fonds des idées de tous les invités. Non seulement pour éviter de se faire conduire dans une impasse d'où l’autodétermination semblerait la seule issue, mais aussi de ne se laisser berner par celle du Polisario comme s'il s'agit de représentation d'un État ou d'un gouvernement transitoire en attendant l’indépendance. Par conséquent, aucune consignation de la sorte ne doit figurer sur aucun rapport pour une quelconque raison, sinon il faut arrêter la discussion et Horst Kohler ne doit jamais l'oublier. S'ajoutant aussi, à n'accepter la création d'une quelconque commission ou autre organe de réconciliation, pour faciliter on ne sait quels accords entre les tribus locales et les pays du voisinage. Dès lors que, toute éventuelle aspiration vers plus d'autonomie dans le cadre des solidarités des proximités recomposées, sont clairement proscrite par la charge politique de la Résolution 2440. Dont le Secrétaire Général Antonio Gutterres doit, via son autorité, œuvrer à ne laisser fonder aucune zone de non droit, sachant que le Maroc est déjà mobilisé dans la protection de tous ses accomplissements institutionnels socioéconomiques infra structurels cultuels culturels et sécuritaires. Et, desquels ses responsabilités opérationnelles stratégiques en zone Tampon resteront, qu'on ne le veuille ou pas, exclusivement sous son influence. A bon lecteur, bon décryptage !

jeudi 1 novembre 2018

AVEC LA RÉSOLUTION 2440 DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU, CEUX QUI PRATIQUENT LA MAUVAISE FOI NE PEUVENT PLUS LA RENOUVELER.

MAINTENANT L'ON PEUT DIRE QUE C'EST LA FÊTE DANS LES TÊTES DE NOS DIPLOMATES APRÈS L'ADOPTION DE LA RÉSOLUTION 2440 DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU.

       Le Maroc a bien fait de répondre par l'affirmative et sans aucune réserve à l'invitation de l'ONU pour la table de discussion en Suisse le 05-06 Décembre 2018. Contrairement à l'Algérie qui, elle, croyait en faire de même mais seulement en tant que pays voisin au titre d'observateur. Un tempérament agaçant envers le Conseil de Sécurité, dont l'adoption de la Résolution 2440 a balayé d'un seul trait les turpitudes de Messahel et ses relais de lobbying anti Maroc. Ce dont Horst Kohler est obligé d'appliquer sans ambages, loin des maladresses façon Christopher Ross notamment, pour ne plus paraitre ayant des accointances partiales et non neutre dans le dossier du Sahara marocain. En effet, la confirmation de prolongation du mandat de la Minurso seulement de six mois jusqu'au début Avril 2019, peut s'expliquer par le fait qu'on essaye de mettre l'Algérie dos au mur pour prendre ses responsabilités en tant que fondatrice de ce conflit qui n'a que trop duré. Un nouveau braquet diplomatique du Conseil de Sécurité dans un but d'accélération des transmissions des idées que porte l'offre marocaine d'autonomie 2007. Et, dont, la communauté internationale n'a pas manqué de saluer en faisant l'éloge des normes décisionnelles géopolitiques et géostratégiques susjacentes à cette Résolution historique. Et oui, quelle ne serait pas la satisfaction de la délégation marocaine à cette table ronde, en constatant qu'il s'agisse d'un vrai cadrage pour Horst Kohler, loin des jeux de la convenance puisant d'anciennes idées datant des plans Becker I et II, des palabres de Manahasset et des agissements perfides de Ban Ki Moon.

       Maintenant il est facile d'imaginer la nouvelle assurance d'Horst Kohler à quatre semaines de cette table de discussion à Genève, d’où, certainement, il en espère réussir brillamment la première séquence. En matière des modalités d'effectivité de son plan d'action dans la forme et la configuration de la table ronde, sans oublier le séquençage de l'ordre du jour, ses priorités thématiques et ses relents de sécurité pour la région. Même si, d'après quelques observateurs, il aura du mal à soutenir le regard hagard de perplexité de la délégation algérienne sonnée par le ton et la teneur politique de la Résolution 2440. Particulièrement au moment ou il exposera les détails, sans donner l'impression de commander un char d'escorte diplomatique  pour le compte du Polisario qui désormais voit son sort réglé. Cela, peut-être, montrera qu'Horst Kohler n'a de choix que de s'autoguider lui-même pour ne tomber dans les calculs politiques des ennemis déclarés du Maroc. D'ailleurs, il n'y a pas de raison pour qu'il n'y mette pas fin aux programmations longtemps soufflées par des gorges profondes au sein de l'ONU l'UA et l'UE. Du coup, son assurance sera boostée s'il parvient à montrer un effort et une capacité de résistance aux contrecoups anti Résolution 2440, et ce pour que son sacrifice de résilience soit apprécié par le Conseil de Sécurité de l'ONU et peut-être récompensé par la communauté internationale.

       De toute façon, s'il y a une chose que la délégation marocaine saura montrer avec lucidité humilité et détermination, c'est de ne se laisser ni embobiner ni manipuler par personne. Aussi, est-ce que pour Horst Kohler, quiconque des invités à cette rencontre sous ses auspices, parlerait prosaïquement de la Résolution 2440 du Conseil de Sécurité de l'ONU parce que subjectivement persuadé que le Maroc lui doit des compensations, il en récolterait au minimum une confortable indifférence de sa part ? Si ce n'est pas, carrément un recadrage d'un ton ferme mais diplomatique, pour ne laisser aucunement d’ambiguïté dans la lecture des paragraphes de celle-ci. D'ailleurs, n'est-ce la seule façon pour arrêter définitivement les fantaisies obsessionnelles et fallacieuses du pouvoir Boutaflika par ses desseins étranges dépourvus de tout sens de responsabilité ? En cela, si ça arrive, n'en pensez surtout pas qu'Horst Kohler en saura faire du Maroc un tendre et sympathique invité lors des discussions. Étant donné que tout un chacun sait qu'il aura moins d'opportunités d'encore garnir la corbeille du Polisario, comme ce qu'il a essayé de faire imprudemment dans sa tentative berlinoise ayant vu cette entité fantoche de surcroit non représentative pleurnicher et hurler à perdre haleine. Par conséquent, la question qui taraude, allons-nous voir les prémices de l'élaboration de la trame d'une solution politique finale répondant à l'offre marocaine d'autonomie 2007 cohérente et viable ? Où, va-t-on encore rester au Secrétariat Général de l'ONU, sur les sorties médiatiques descriptives des drames, des désespoirs et des amères déceptions humaines dans les camps de la honte à Tindouf Rabouni et ailleurs ? Comme auparavant, sans se plonger audacieusement, fermement dans le travail du recensement des réfugiés et mettre fin aux mensonges sur soi-disant les terres libérées. Alors même que toute la région a besoin de sérénité tranquillité et sécurité, pour en finir des incursions répétitives des hordes en Zone Tampon. En résumé, n'est-ce pour cela, ceux qui pratiquaient la mauvaise foi dans les instances internationales concernant le Sahara marocain, ne peuvent continuer dans cette voie ? A bon entendeur, salut !      

lundi 1 octobre 2018

HORST KOHLER ENTRE PEINES DE NEUTRALITÉ ET PEURS DE PARTIALITÉ AU ROUND HELVÈTE QUI POINTE !

N'EST-CE EN CELA QUE DES ANALYSTES AVERTIS VOIENT EN L'ATTITUDE D'HORST KOHLER UNE FUITE EN AVANT POUR NOYER LE POISSON ?
        Si aujourd'hui l'attention de la jeunesse marocaine n'est pas retenue sur d'autres sujets d'actualités plus ou moins inquiétants, l'approche d'Horst Kohler dans le dossier du Sahara marocain l'aurait aussi interpellée voire tourmentée. De fait, comprendront bien ceux qui voudront ! Néanmoins, n'en peut-on déduire de la volonté  de cet Envoyé Spécial onusien d'imposer une discussion quadripartite entre le Maroc l'Algérie la Mauritanie et le fantoche Polisario en terre helvète, qu'il y a manège politico-diplomatique Alger-compatible ? En privilégiant les pourparlers Maroc-Polisario, malgré qu'il ait été recadré par le Conseil de Sécurité de l'ONU afin de ne plus user d'expression prospective ourdie par l'Algérie sans l'aval primordial du Maroc. N'est-ce, ce qui augure d'un désaccord coté marocain sur cette méthodologie d'influence dans l'ombre et le secret presque sous la cape du Secrétariat Général ?  Dont la dérive ne peut laisser le Maroc accepter l'inacceptable, et donc laisser une brèche s'ouvrir d'où il ne pourra s'en remettre. Ainsi, il faut le répéter sans gêne, le Maroc guidé par la confiance ne sera aucunement bouleverser par on ne sait quelle démarche ne respectant sa volonté d'en finir avec le Polisario. D'ailleurs, cela exigera de lui une vigilance accrue pour continuer à avoir la main sur les puissants réseaux au Conseil de Sécurité tout en gardant un œil sur les lobbys propolisariens à l'UA et l'UE. D'autant plus, la Mauritanie semble avoir trouvé son salut dans l'équilibrisme proactif d'une solution politique négociée dans le cadre de l'offre marocaine d'autonomie 2007. Un tournant notable et appréciable, car sachant que le Maroc a toujours demandé un face-à-face direct sans intermédiaire avec l'Algérie créatrice porteuse et transformatrice de ce conflit artificiel pour des raisons incongrues faciles à deviner depuis plus de 43 ans.

       Voilà pourquoi, l'on sait dès à présent que le réel rattrape Horst Kohler par la rythmique des soutiens à la thèse marocaine, les étapes des avancées structurantes sur le terrain au Sahara marocain et les formes d'expression de la volonté de l'UA et l'UE à s'attacher à cette dynamique à tous les niveaux du codéveloppement multi sens. Autrement dit, ce représentant du Secrétaire Général Antonio Gutterres de l'ONU n'a pas exploité à bon escient toutes les données géopolitiques et les expertises stratégiques qui montrent que le Maroc ne se résume pas uniquement aux points géodésiques de son intégrité territoriale, mais au-delà de ses frontières physiques avec l'Algérie et la Mauritanie. A cet égard, pourquoi Horst Kohler continue-t-il à s'engager dans cette sente le conduisant inéluctablement vers l'impasse, ne s'en rendant compte qu'il n'est ni bon ni audible dans cette production excitatrice du peuple marocain ? Alors même, déjà une pointe de soupçon fait des émules à l'ONU concernant l'incompréhension de son refus à s'approprier et digérer l'offre marocaine d'autonomie 2007. S'ajoutant à son inefficacité, pour ne pas dire son incapacité, à distinguer les caractéristiques des liaisons dangereuses Algérie-Polisario-Iran que l'ONU a dernièrement décrié avec énergie sans partis-pris. Comme ça, l'on peut dire qu'il montre une faiblesse du discernement, Lui l'Ex chef de l’État allemand dont le pays a connu les affres du terrorisme des années 70 de la bande à Bader et ses accointances avec les brigades rouges en Italie, action directe en France, l'Armée rouge au Japon et autres cavaliers moudjahiddines en Afghanistan au Liban et en Libye de Kadhafi. 

       En effet, il est maintenant bon d’être animé d'optimisme par ciblage et cadrage des priorités dans les relations du Maroc avec la communauté internationale. D'abord en s'éloignant des louanges sans lendemain, puis en scrutant professionnellement les pour et contre des petits contes d'ici et là concernant le Sahara marocain. En plus, il est inconvenant de rester sur la défensive vis-à-vis d'Horst Kohler, mais plutôt dans l'offensive à propos du temps programmatique de ses concessions à l'Algérie sous le signe trompeur de ''zéro compromission''. Ce qu'évidemment dans l'optique de l’échéance de fin Novembre début décembre 2018 en Suisse, le Maroc devra acter voire activer la bascule diplomatique de la non participation à haut niveau à cette discussion quadripartite. Comme ça, dès lors qu'il ait envoyé ses invitations d'un ton de cordialité, montrant soi-disant qu'il est devenu robuste après le recadrage du Conseil de Sécurité, le Maroc fera le nécessaire sachant le fond de pensée d'Horst Kohler. Evidemment, il ne sait pas ce qu'il lui arrive tellement il s'est séquestré dans ses montages imprécis tirés par les cheveux et sa communication froide insipide dont il ne lui est pas possible de s'arracher sans tenir compte de l'offre marocaine d'autonomie 2007 que tous les dirigeants cautionnent sans réserve. D'autant plus, au Conseil de Sécurité de l'ONU à l'UA et à l'UE sa vision désuète n'est point réjouissante, car rappelle les rebondissements stériles des plans James Beker I et II, les vengeances du tandem Ban Ki Moon-Christopher Ross et les tartufferies de l'Afrique du Sud et autres pays résiduels récalcitrants d’Amérique latine. A bon entendeur, salut !   

vendredi 10 août 2018

ENCORE UNE FOIS DE PLUS, HORST KOHLER EST RECADRÉ PAR LE CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU !

C'EST INCROYABLE, HORST KOHLER EST INCORRIGIBLE DANS SES OPTIONS INTENTIONNELLES D'IMPOSER SON TEMPO DE NÉGOCIATIONS DIRECTES MAROC-POLISARIO SANS L’ALGÉRIE  !

       C'est désormais acté qu'au Conseil de Sécurité de l'ONU, on ne semble toujours pas disposé à faire une place au Polisario. Cela n'augure-t-il, par ailleurs, qu'on ne veut plus de racket des consciences sur le dossier du Sahara marocain qu'au demeurant n'a que trop duré ? Autrement dit, c'est peut-être la fin des exclamations peu élégantes d'Horst Kohler depuis son arrivée, ne faisant que renverser la pièce montée de l'espoir de mettre à table le couple Maroc-Algérie. D'ailleurs, n'est-ce ce qui corrobore que son satisfécit sur le déroulé de sa dernière visite aux provinces du Sud du Maroc, n'est pas suffisant ? Surtout, si par la suite il ne s'accompagne pas dès le 1-er Octobre 2018, de prise de décisions cadrant avec l'offre marocaine d'autonomie 2007. Dont, unanimement, tous les membres permanents du Conseil de Sécurité et pas seulement, le lui ont fait savoir sans ambages, après qu'il leur ait livrés sa note informative à son initiative et propre demande le 08-08-2018 sur l'évolution de son approche.  Alors, comment faut-il comprendre cet impact de recadrage se définissant par le haut niveau de prise de conscience des risques de dérives de l'approche d'Horst Kohler voulant imposer son tempo de négociations directes Maroc-Polisario sans faire appel à l'Algérie maitresse du jeu de l'autre coté du mur de sable ? Maintenant, n'est-il simple de tout deviner, sinon tout savoir au milieu de tant de revirements et comportements déviants de cet envoyé spécial, parfois un peu théâtraux il faut le dire ? Évidemment, sans faire dans la surenchère, n'est-ce pas que la première tentative berlinoise ne fut pas spécialement une réussite, même avec un marketing communicationnel extrêmement offensif ?

       Néanmoins, à présent, comment se fait-il qu'il ait cru pouvoir être applaudi sans réserve à propos de sa note informative devant le Conseil de Sécurité ? Pourquoi ne sait-il que le Maroc, non seulement dispose dans sa bataille diplomatique à l'ONU d'arguments redoutables, mais aussi le caractère historique de son Sahara est une force plus enviable que la position de l'Algérie avec toutes ses corruptions ? N'est-ce là la vraie raison qui a poussé le Conseil de Sécurité de le recadrer, en lui rappelant de ne rien entreprendre sans l'aval au préalable du Maroc pour une solution politique ? A cet égard, sans se livrer dans la lecture fictionnelle de son état-d’âme, ne peut-on avancer qu'une fois dans sa chambre d'hôtel il a certainement révisé ses notes. Tellement, l'on puisse dire que le fil conducteur du réalisme du Conseil de Sécurité de l'ONU l'ait probablement tiré vers un autodafé des notes qui lui étaient soufflées. D'autant plus, ça n'arrange aucunement les sentiments à son égard d'Antonio Gutterres, lequel devenu plus serein avec des prises de paroles incisives comprenant des mots et signaux négatifs envers les manipulateurs dans ce dossier d'où qu'ils soient. Certes, le Secrétaire Général de l'ONU ne porte pas comme par le passé Ban Ki Moon avec Ncosazana Dlamini, la nostalgie consolante d'un état d'esprit révolu de méta diplomatie surfant sur les mensonges. D'ailleurs, quand on analyse les raisons pour lesquelles Horst Kohler a du mal à se définir par rapport à l'offre marocaine d'autonomie 2007, n'est-ce ce pseudo-sadisme diplomatique que l'on perçoit ? Dont on en comprend la circonspection accompagnée de mélancolie sourdine de son patron envers ses égarements récurrents appartenant au passé.

       Aussi, maintenant, Horst Kohler a-t-il réalisé qu'il ne puisse s'engager dans une sorte de tournoi de l'instrumentalisation des contrevérités, comme ce qu'a fait des années durant son prédécesseur Christopher Ross ? En tous les cas, il faut l'espérer, même si, probablement, il en garde encore secrètes certaines de ses positions tranchées en commun accord avec Laamamra-Messahel-Cherqui et Schissano. Dont on ne peut pas dire, qu’eux-mêmes, ils n'en soupçonnent pas l'émoi à l'UA à l'UE et au Conseil de Sécurité de l'ONU, de n’accueillir positivement toute tendance de normalisation Rabat-Alger sur ce conflit qui dure depuis 43 ans. Mais, pourquoi aient-ils cru pouvoir s'imposer relais subtil pour torpiller tout essai dans ce sens, que ce soit au Conseil de Sécurité ou ailleurs en l'intoxiquant par de malsaines lectures ? N'est-ce parce qu'ils considèrent le dossier du Sahara marocain l'angle mort de la diplomatie onusienne ? Et, dont ils en meurent d'envie de l'externaliser au milieu d'autres témoignages pro la longue rêveries faite de contrevérités algériennes. Évidemment, l'on peut affirmer, ils ne se refusent aucune arrogance allant jusqu'à essayer de recontextualiser l'époque de Christopher Ross, comme ce qu'avait entrepris le fantoche et zélé Ibrahim Ghali  à Boumerdasse en pensant que ça l'interesserait. N'est-ce, ce qui indique qu'il est épris de leurs caprices à tous, en tant que crieurs-menteurs qui, croient toujours obtenir ainsi gain de cause dans les instances internationales ? Sauf que, il faut le marteler, le Maroc ne se laisse pas influencer montrant une fermeté d'où il est impossible à Horst Kohler de le faire changer d'avis. Lequel, en l'occurrence, se voyant contraint de poursuivre son show, avec amertume donnant une idée à sa nature perverse et non pragmatique comme on veut nous le vendre. A ce titre, n'est-ce ce qu'il a fait à Lisbonne, tantôt ayant l'air d’être à l'aise sympathique et attendrissant, tantôt suggérant sa pensée que dessous bat un cœur serré et non disponible à s'ouvrir à la thèse d'offre d'autonomie 2007 ? A bon entendeur, salut !

mardi 19 juin 2018

C'EST BIZARRE LES MONARCHIES DU GOLF NE SONT PAS FÂCHÉES D’ÊTRE PERDUES AUX YEUX DES MAROCAINS !

DE PAR LEUR TRAITRISE, UN JOUR CES MONARCHIES DU GOLF ET LEURS ACOLYTES INCONDITIONNELS SE TROUVERONT ESSOUFFLÉS DEVANT LE GRAND MAGHREB. 

       A peine remis de la traitrise des monarchies du Golf et quelques pays africains sur sa candidature d'organisation du mondial du foot 2026, voilà le Maroc qui se prépare pour le Sommet de l'UA à Nouakchott. En cela, si tout va bien le Roi Mohamed VI s'y rendra en personne pour réchauffer les relations marocaines-mauritaniennes et les remettre au rythme du temps présent de dégel. Comme quoi, encore une fois, ce sera sans concession du coté Maroc pour ne laisser l'UA rentrer dans l'exploration sans issue du différend Maroc-Algérie, et d'où les pays résiduels pro Polisario pourraient s'immobiliser en travers en chantant les refrains du temps du Sommet de la honte 1984 à Nairobi. D'ailleurs, on se demande si le Secrétaire Général de l'UA s'est questionné sur l'ensemble des dispositifs pour créer une nouvelle dynamique de normalisation avec le Maroc qui, lui, depuis son retour triomphal il eut raison sur le fond et la forme de ses interventions. Ainsi, la certitude que les présidents Paul Kagamé et Mohamed Ould Abdelaziz ne s'aventureraient nullement pour faire de ce Sommet la station des élucubrations diplomatiques pour prendre la main sur le dossier du Sahara marocain. En effet, n'est-ce pour cela le Maroc suscite beaucoup d’intérêts via sa stratégie de communication à ce propos selon, primo sa volonté de regarder l'avenir comme trajectoire du grand changement et secundo son agenda médiatique maitrisé à tous les niveaux pour prendre des décisions avec des capacités d'exécution notables avec tous ses partenaires ? 

       Partant, non seulement sur une intuition mais aussi sur la contenance du message de traitrise des pays du Golf, n'est-ce pas que le temps est propice au Maroc pour se ressaisir dignement ? Afin, de gagner le pari de mise en effectivité de son nouveau modèle du codéveloppement partenarial économique social humain avec les pays africains, tout en respectant les clauses écologiques et environnementales qui s'y greffent. Néanmoins, si les pays du CCG continuent à se détourner de la réalité et s'ils ne font pas l'effort de voir que leur image est émiettée dans le présent pour lui présenter des excuses, certainement ils se verraient de façon évidente hors arène politique arabe, peut-être même africaine. Autrement dit, dans un nouveau décor où ils se sentiraient perdus en voyant le temps défaire leurs ambitions géopolitiques actuelles. Jusqu'à s'enliser en étant entièrement occupés à la tache de survivre au ''Trumpisme'' violent et méchant, même s'ils montrent qu'ils ne sont pas fâchés d’être perdus aux yeux des populations arabes. A cet égard, sur toute cette perspective cartographique géostratégique, si on ajoute en surimpression l'image de discorde avec le Qatar et le Sultanat d'Oman sur l'organisation du mondial 2026 par la Maroc, on les verrait en plus de l'Iraq la Jordanie et le Liban aussi battus par le flux du vacarme des partages et commentaires sur le Net et réseaux sociaux à propos de leur désolante traitrise. Évidemment, n'en faut-il en comprendre qu'il s'agisse là, d'une interminable série de coups bas contre leur allié le plus en vue en l'occurrence le Maroc ? Et, d'où il est facile d'en voir une ligne de sous-traitance politique, pour ne le laisser prendre le large en tant que pays fier indépendant souverain et résolu dans ses prises de positions claires ? 

       De fait, maintenant, l'on peut dire, on est déjà rentré dans le nouveau monde inconnu, celui dont il n'est plus le premier pays familier de ces monarchies du Golf, notamment en géopolitique et géostratégie manifestées lors du discours royal de Riyad 2016. D'autant plus, il faut l'annoncer sans ambages, ne l'était-il las des mécanismes sur la vérité qui se repose sur les objectifs de stabilité du CCG au point d'avoir manifesté son désir à maintes reprises de se retirer de la coalition contre le Yemen ? Tellement il fut irrité bien avant leurs turpitudes et tromperies Trump-dépendantes sur les retards d'octrois de leurs crédits et dons, qu'aujourd'hui l'occasion est belle pour lui de ne plus rêver à une nouvelle vie avec ces pays maitres dans les pirouettes-traitrises. C'est vrai, l'Arabie Saoudite les Émirats Arabes Unis le Koweït et Bahreïn bien hardis et maladroits à la fois dans leurs dictées à leurs inconditionnels de les suivre à l'aveugle, ne trouveront rien à dire sur leur traitrise par la non convergence d'idéaux. D'autant plus, n'est-ce là la leçon qu'il faut méditer pour le Maroc l'Algérie la Tunisie la Mauritanie la Libye et l’Égypte pour aller de l'avant ? Dans le but de ne plus supporter à se répondre à eux-mêmes, quel sens ont eu leurs soutiens pléthoriques aux diverses ingérences ici et là du CCG sur commande de l'occident qu'en plus les voit en déclin même avec la manne pétrole-gazière ? Désormais, quel changement dans l'attitude des peuples du Maghreb, ne manquera pas de faire remarquer que leurs vies de voyages dans les capitales les palaces et les paquebots ne seraient plus acceptées ni tolérées. Ce qu'évidemment, qu'on ne le veuille ou pas, fera des pays du grand Maghreb une entité solide pour franchir les obstacles politiques et sortir de leurs dédales obscurs. Et, pourquoi pas oser de grandes choses transversales en évitant les fâcheries les incompréhensions, en plus des errements et interférences dans les cuisines internes des uns et des autres. A bon entendeur, salut !

dimanche 10 juin 2018

APPROCHE-T-ON VERS LA FIN DU BROUILLAGE DES RAPPORTS GOUVERNANTS GOUVERNÉS SUR LE BOYCOTT ?

N'EST-CE LA OU L'ON VOIT QUE LE BOYCOTT MÊME S'IL EST LÉGITIME, EST DÉRANGEANT ET CHOQUANT DU FAIT QU'IL N'Y A PAS DE GARANTIES CONCRÈTES NI TANGIBLES SUR LES DÉRAPAGES  ? 

       Quand on scrute le tintamarre médiatique à propos du boycott certes légitime, on ne peut pas dire qu'on ne sait pas ce qu'il en deviendra du gouvernement Othmani, surtout si rien n'est fait pour le contenir. D'autant qu'il y eut la grande déception de perte de temps, sans imaginer la moindre solution juste et équitable, non seulement pour faire face à la remontée de tous ses impacts négatifs, mais aussi pour faire barrage aux idées souvent saugrenues voire pernicieuses lancées ici et là. Ce qu'en effet a permis aux manipulateurs tireurs de ficelles, de surcroit marchants de tensions et d'illusions, de paraitre une communauté soi-disant distinguée. Confirmant que le gouvernement s'est laissé glisser sur une mauvaise pente et qu'il survit uniquement rien que pour lui. En plus, n'allant pas sur les thèmes du boycott pour ne donner raison aux manipulateurs sur les sociétés boycottées qui sont, hélas, déjà rentrées en souffrance à cause des intrigues et non-dits. En effet, ne peut-on avancer que c'est là une invasion réelle des consciences, de surcroit due au déficit communicationnel du gouvernement qui incarne l’échec de sa stratégie ? A ce propos, n'est-il grand temps de ne lui laisser cette seule possibilité de s'exprimer par des choix politiques à l’échalote, rendant mal à l'aise les marocains qui, eux, veulent de nouveau pousser à réparer la gouvernance de l'Exécutif. 

       A l'évidence, personne ne peut nier que les manipulateurs sont entrain d'allumer le feu et l'attiser, dans un but de faire basculer le pays vers l'inconnu. C'est même là, la grande perfidie sous-entendue du boycott actuel, au vu du ton et du timbre des expressions dangereuses s'y étant greffées pour détruire l'économie du pays. Et, qui sont partagées entre la menace sur la stabilité des institutions en poussant les marocains à se haïr les uns les autres et la chronique de vocation contrariée de l’État pour ne continuer à assoir son autorité. En effet, tôt ou tard il va falloir sortir le Maroc de cet anachronisme politique, parce que sinon, cela voudrait dire qu'on ne cherche pas à s'en débarrasser malgré les rumeurs qui vont bon train dans le sens d'une nouvelle réorganisation institutionnelle. En revanche, pourquoi certains membres du gouvernement actuel sont-ils des gens à histoires, faisant dans l'expression intolérable avec des amalgames scandaleux ? Dont, aussi leurs approches à circonscrire le boycott sont des positionnements politiciens peu nets, ne sachant qu'aujourd'hui, l’État-Maroc n'échange plus ses secrets géopolitiques les plus ardus avec personne. Autrement dit, n'est-il loin le temps où il les partageait, du moins en apparence, via ses ambitions et ses espérances d’arrêter les ingérences de l'Algérie et ses lobbys dans l'affaire du Sahara marocain ? Aussi, pour que l’État puisse continuer à préparer l'avenir avec tant de confiance de sérénité et de sécurité, ne lui faut-il qu'il ne soit obligé d'accepter les dérapages d'après le printemps arabe, dont il s'avère maintenant qu'ils étaient parrainés par le DEA (Département d’État Américain) ? Évidemment, c'est là où le bât blesse, car ils sont le résultat d'une naïveté qu'aujourd'hui risque de devenir une habitude avec toute une panoplie de leviers de commandes entre les mains d'un Exécutif faible. 

       Voilà pourquoi, l'on peut affirmer, les marocains face au boycott, que l'on soit d'accord ou pas, se sentent abandonnés, sachant que le chef du gouvernement n'a pas respecté la pensée du discours royal de Dakar. D'ailleurs, ce qui se passe aujourd'hui au gouvernement marocain, notamment à propos du boycott sans aucune garantie sur les dérapages est ambigu. Et ce, au-delà de tout ce qui annoncera peut-être la fin de la coalition RNI-PJD faite sous la contrainte de sortie du blocage d'il y a dix huit mois. Néanmoins, sans nulle intention de dénigrer le bon vouloir de l’État-Maroc d'avoir essayé de pousser le gouvernement Othmani à sortir de la crise actuelle sur le boycott, on ne peut pas dire que ce dernier aime qu'on lui résiste. N'est-ce de là, qu'on comprend que certains de ses membres aiment qu'on fasse carpette devant eux, ne sachant que c'est obsolète comme attitude. Forcément, à ce propos, ne s'agit-il d'une alarme pour tous les dirigeants des partis, surtout ceux qui veulent exercer le pouvoir sans éviter le cloisonnement politique et les incarnations budgétaires sociales politiciennes intarissables qui sont un frein pour l'innovation dans la gouvernance surtout dans la recherche de solutions pour l'emploi ? D'autant plus, il est évident que pour les uns, ils ne veulent en aucune manière s'en éloigner du benkiranisme pas cher, usant de diffusion de perfidies en s'inspirant des fantassins du Net à l'image de ce que font les robots et les algorithmes à l'international pour impacter les consciences. Alors que pour les autres, ne comprenant pas qu'on est déjà dans un autre monde, ils ne sont toujours pas prêts à adhérer à la dimension solidaire exigeante et nécessaire pour réaliser quelque chose de significatif en termes de production et partage équitables des richesses. Ceci dit, peut-on dire qu'on s'approche de la fin des brouillages des messages entre les marocains et le gouvernement en ce qui concerne le boycott au demeurant légitime ? A bon entendeur, salut !

vendredi 1 juin 2018

N'EST-IL TEMPS DE METTRE FIN AUX COÏNCIDENCES DU ''GAUCHOISME'' ET ''ISLAMOISME'' VIS-A-VIS DU BOYCOTT ?

SI LE BOYCOTT PERDURE VOIRE S'INTENSIFIE, CERTAINEMENT ON AURA A RESSENTIR LE TEMPS POLITIQUE SANCTIONNER LES INCOMPÉTENCES DES UNS ET LES FOURBERIES DES AUTRES, POUR SORTIR LE PAYS DU DOUBLE PARRAINAGE DE ''L'ISLAMOISME'' PERFIDE ET DU ''GAUCHOISME'' BÊBÊTE.

       Quelle que soit la lecture politique que l'on peut faire du boycott, personne ne peut nier l'inquiétude qui s'enfle sur la géostratégie de défense des intérêts du Maroc dans la mondialisation. En effet, qu'on se le dise, son offensive économique suivie à ce jour, est une guerre commerciale remportée via les partenariats gagnants-gagnants qu'il contracte ici et là pour avoir une place dans ce concert du libéralisme ? Aussi, on doit le mentionner sans gêne, si le boycott est une décision justifiée et justifiable mais dangereuse, son choc aura permis de se focaliser sur les scénarios politiques pour éviter l'enlisement. Et donc, pour se faire à l'idée de ce mode d'expression, pas de naïveté sur l'approche oscillatoire du gouvernement et pas de naïveté sur le pari lancé des tireurs des ficelles toujours fourrés derrière le clavier en essayant de lier sournoisement les idées fatales à l'économie du pays. N'est-ce pas c'est effroyable de les voir s'agiter de la sorte, en plus participant à l'élaboration de ce stratagème de mise à feu du pays ? Du reste, que l'on soit d'accord ou pas, c'est la première fois qu'ils affichent une réelle implantation dans les réseaux sociaux, démontant en même temps l'autisme du gouvernement et la grande confiance en lui. Et d'où, les observateurs avertis trouvent le bilan gouvernemental pour contenir ce machiavélisme, maigre et décevant. Sans doute à cause de l'esprit hautain de quelques membres que tôt ou tard il va falloir les faire débarquer. Encore heureux, grâce à Dieu, rien de fondamental ne les distingue dans la coalition mais seulement les chavire dans le mépris du peuple, bien loin de la bonne foi.

       En effet, quand on scrute les commentaires, vidéos et autres audios sur le boycott, on a la certitude que la diablerie qui s'y greffe pousse à nous haïr les uns les autres ? Surtout, ceux venant des vendeurs de leurs âmes à l’Étranger, tantôt par les partages des mensonges et contrevérités pour se venger et détruire l'économie du pays, tantot par l'esquive de la réalité et la place du Maroc à l'international pour des fins faciles à deviner. D'ailleurs, on ne soupçonne pas la somme d'avanies qu'ils pensent avoir en réserve, pour continuer à attaquer vilipender voire humilier ceux qui leur tiennent tête. Évidemment, à cet égard, non seulement le plus important c'est la consolidation de l’intégrité territoriale la cohésion sociale et le progrès par la démocratie dans la paix et la sécurité, mais d'en tirer un bilan en faveur de la gouvernance qui pourra s'accompagner de l'idéal social solidaire. Autrement dit, même si le boycott est légitime, il ne faut pas céder à l'ingérence des ennemis, des lobbys et autres manipulateurs professionnels qui montrent une ambition de déstabilisation par le marché de la non convenance. Et c'est là où il faut savoir qu'il y a quelque chose d'immoral dans le boycott, quelque chose qui exclut ou qui freine, ne prenant compte des efforts consentis pour la modernité de l'économie du pays. Dont, des lobbys anti Maroc s’émissent car ils se considèrent avec prétention-indiscrétion et manque de tact politico-diplomatique, des entités supérieures par interjection. Ne sachant, en vérité, qu'ils ne sont que des templiers de la discorde se résignant à la médiocrité du pouvoir Boutaflika pour se prouver qu'ils sont encore très actifs au sein de l'UA de l'UE et de l'ONU. Oui, l'on peut confirmer qu'ils sont plus proches des grandes malhonnêtetés qui jalonnent toute l'histoire des gens de ce pouvoir, comme des forçats fourbus attachés aux norias idéologiques d'un temps révolu. 

       C'est vrai, la seule solution pour sortir de ce marasme c'est de répondre d'urgence aux attentes du peuple qui, lui, se met déjà à répéter que le boycott est un évènement digne des grands mouvements que le Maroc ait connu. N'est-ce, ce qui montre que les marocains ont changé et qu'il ne sont plus ceux d'il y a six ans au moment du printemps arabe ? Tellement, aujourd'hui, la majorité voit le cœur battant le boycott se jouer entre frustration et mal-compensation, par le double parrainage de ''l'islamoisme'' perfide et le ''gauchoisme'' bêbête. Par rapport à la pensée de la gloire perenne du Maroc, que les ennemis, hélas, n'acceptent toujours pas de par le style le ton de leurs critiques en majorité négatives. N'est-ce, ce qui prouve que l'Algérie ne se contente plus seulement de représenter le conglomérat résiduel des quelques pays ennemis du Maroc à l'UA, mais pousse vers la transformation des institutions au Maroc en dépôts de malentendus si ce n'est carrémment d'insultes. En effet, par son ingérence ne cherche-t-elle à lui porter le coup de grâce, dont l'intention ne vaut pas que l'atteinte à son intégrité territoriale mais aussi l'acte de déstabilisation des pays limitrophes de toute la région ? N'est-ce là, l'une des bizarreries du pouvoir Boutaflika qui, tente d'impacter les d’États maghrébins et du G5 Sahel pour en faire des contes  d'assoiffés de culture anti Algérie ? Bref, d'une manière générale, tout ce que la communauté internationale déteste et n'accepte plus entendre ni voir, surtout sur le Maroc disposant de beaucoup d'atouts dans l’échelle des cotations à l'ONU. Mais pourquoi l'Algérie ne sait-elle que son affolement n'arrivera jamais à donner à ses perfidies l'ondulation voire l’écho, et que si elle ne s’arrête pas ça va finir mal pour elle. Parce que les Nations-Unies, elles, sont convaincues des règles et standards qu'appliquent le Maroc dans sa perspective en tant qu’État respecté. En plus, donnant à sa conception irréprochable de bon voisinage, une portée politique qui va au-delà de la dimension régionale africaine. A bon entendeur, salut !