mardi 28 février 2017

LES RAPPORTS EN INTERNE DE L'ONU SUR LA CONFIANCE AU POLISARIO NE SONT PAS ENCOURAGEANTS, SURTOUT APRES LE RETRAIT UNILATÉRAL DU MAROC DE GUERGARATE.

N'EST-CE LA UN COURAGE DU ROI DU MAROC AYANT TOUJOURS LES INTÉRÊTS DE SON PAYS ET DE L'AFRIQUE DANS LA DURÉE DEVANT LES YEUX, CE QUI MESURE LE DEGRÉ DE PERCEPTION DES DÉFIS GÉOPOLITIQUES ET GÉOSTRATÉGIQUES MONTRANT QUE SON GESTE GRANDIOSE DE SE RETIRER DE GUERGARATE EST UNE GRANDE VISION D'HOMME D’ÉTAT ?

       Les investissements stratégiques effectués partout en Afrique offrant des opportunités avec à la clé beaucoup de postes de travail, n'est-ce ce qui corrobore que le Polisario n'est plus la bonne affaire ? S'ajoutant en plus de ceux qui seront annoncés à Dakhla que revendiquent le collectif Crans Montana comme un grand défi de l'utilisation des potentialités solidaires, et qui mettront les ennemis qu'on ne le veuille ou pas, sous d'autres pressions pour la protection et sécurisation de l'approche royale diversifiée audacieuse. D'ailleurs, n'est-ce là un courage du Roi du Maroc ayant toujours les intérêts de son pays et de l'Afrique devant les yeux, montrant que son geste grandiose de se retirer de Guergarate est une grande vision d'Homme d'Etat ? N'est-ce évidemment là ce que les gens de grande qualité en Etudes Stratégiques et Perspectives sur l'avenir de l'Afrique, appellent l'audace du Roi qui n'est autre que le suivi du tracé fait par son grand-père et son père pour recouvrer toutes les souverainetés ? En se saisissant de nouvelles ardeurs montrant que son action n'est pas dans l’instantanée promotionnel de faire parler, mais dans la référence du respect de ses perspectives diplomatiques en collaboration transparente avec les instances et institutions de l'ONU sans cachotteries. Bien sûr, il faut le dire, avec en clair le maintien de l'option du droit de poursuite pour ne pas fabriquer des déceptions, et donc anticiper les risques des contradictions partisanes par suite de surmédiatisation subordonnée border-line non bien étudiée. 

       Il est vrai que certaines situations en géopolitique, favorisent en temps de crise la diffusion volontaire de l'ingénierie des fausses informations au service des ennemis. Comme ce qui arrive aujourd'hui dans leurs masses médias, après le retrait unilatéral du Maroc de Guergarate en réponse favorable à la prise en compte dans l'urgence de ses doléances par Antonio Gutterres le Secrétaire Général de l'ONU. Dont, le Polisario malgré tout, n'en sent une envie très urgente de s’aligner sur cette demande onusienne d’évacuer la région sans condition, mais seulement il prend le risque de n'obtempérer et faire de l'opposition. D'où, l'on peut dire que pour lui, il a décidé de se mettre au travers de la légalité en louvoyant devant ses difficultés de ne pouvoir dire non à l'Algérie. Cachant son mépris vis-à-vis de la légitimité historique et surtout de rêver qu'il est nécessaire qu'un traitement différentiel des rapports de forces soit pris en compte en sa faveur. Et ce, comme seul moyen d'assurer sa continuité et donc de ne pas se voir déchirer ou se faire déchiqueter par suite à ce qu'il appelle la rétrocession de soi-disant sa fierté alors qu'il s'agisse de son Ego surdimensionné. Voilà donc sa façon de voir les choses, qu'au demeurant ne font qu'aggraver sa situation dans l’échelle onusienne, et d'où ressort la fermeté du Maroc en vue de construction de nouveaux rapports au Conseil de Sécurité après le départ de Ban Ki Moon le goupil. De ce fait, à l'issu de ce retrait marocain, pourrions-nous dire, l'ONU a-t-elle aujourd'hui vraiment tirer toutes les leçons de l'incursion du Polisario à Guergarate ?

       Maintenant, l'on peut dire le bras de fer Rabat-Alger est à l'ONU. Dont, évidemment, le Maroc a réchauffé par son retrait unilatéral de Guergatrate le cœur des membres du Conseil de Sécurité de l'ONU dans leurs tractations pour la Résolution d'Avril 2017 sur son Sahara. Quant à l'Algérie, elle n'offre qu'assistance pour l’organisation des obsèques du Polisario une fois son suicide acté par d'autres contre-attaques diplomatiques marocaines. D'autant plus, elle ne fait que le pousser à ne souscrire à l'appel du Secrétaire Général et surtout de montrer qu'il a choisi irrationnellement l'escalade, d'où conséquemment, tôt ou tard il aura à comptabiliser les coups politiques le vilipendant venant de partout. Ce qui confirmera qu'il est pour les Nations-Unies juste un bouillon de semence de mauvaises graines, en l'occurrence les mercenaires les terroristes et les trafiquants de tous les genres du petit au gros. Tellement, apparemment,  il n'y a rien à faire pour le sortir de cette situation désastreuse car ne sachant qu'il s'agisse d’enchaînement d'événements relevant de série noire qu'il ne maîtrise pas, qu'à l'évidence c'est en cela on le voit en tant que spectre sans mémoire politique et sans souvenirs. A noter aussi, que le retrait marocain de Guergarate est comme un puissant stimulant de l'observance de la Minurso de cet état d'exaspération favorisant la prévalence de l'ascendance de l'Algérie sur lui. Dont on suppose qu'il est question d'un stratagème incroyable délibérément voulu par les ennemis du Maroc, pour ne pas consacrer l'approche du Conseil de Sécurité via la volonté du Roi Mohamed VI d'anticiper l'attente handicapante pour la prise en compte de ses prestations en Afrique.

       Cependant, suite au tolet de la Communauté Internationale envers les agissements du Polisario à quelques encablures de la Mauritanie inquiète, tout montre que le pouvoir Boutaflika adore comme à l’accoutumée provoquer zizanie par ses incursions dans l'entourage par danses-transes diplomatiques depuis 1975 aux dépends du Maroc qu'il qualifie son ennemi juré. Alors que le peuple algérien mûrement averti, civilement parlant, n'en a jamais montré qu'il est concerné par les pratiques condamnables de ce pouvoir vis-à-vis du voisin de l'Ouest. Et donc, Boutaflika et sa cohorte ne gagneront jamais même en cherchant à trouver la moindre ombre dans la future Résolution du mois d'Avril 2017, et qu'il ne leur reste que d'améliorer leur mémoire grâce aux dictées diplomatiques conçues coté marocain. Dont, aujourd'hui à l'ONU, on leur doit la meilleure interprétation du retrait unilatéral du Maroc de Guergarate, ne voulant mettre la région à feu et à sang même en étant sur le pont pour la remettre en balance d'équilibre sous les prérogatives sans triche de la Minurso. A cet égard, les polisariens en randonnée quasi permanente en zone de séparation, ne risquent-ils qu'il pleuve des obus sur eux s'ils continuent à harceler les marocains sur la route vers les profondeurs africaines et vis versa ? Parce qu'au-delà de cette transcription de l'idéal, la seule option acceptable c'est qu'ils se mettent à bien réfléchir sur leur séjour non désirable dans cette région malgré les contre-ordres de l'Algérie de ne répondre par l'affirmative aux notifications du Secrétaire Général des Nations-Unies. Dont, toutefois évidemment, il ne faudrait espérer par la contrainte onusienne pour le moment, qu'il y ait un pilotage du retrait du Polisario via les éléments de la Minurso, au vu du vent qu'il vend par son langage généraliste creux et répété depuis 1991 après l'établissement du cessez-le-feu. 

       En résumé, n'est-ce pour cela, l'on peut dire, de ce coté le Maroc a bien compris que gagner une bataille par la performance sur le terrain, ne suffit plus? Et, donc, c'est aussi l'accompagner par l'ouverture à la communication concise et précise relevant de la stratégie adoptée qui compte, pour faire passer les messages sur son retrait immédiat sans condition. Qu'en effet le monde entier a salué, d'où il n'y a qu'à voir les rappels d'Antonio Guetterres ne voulant les édulcorer ni de compassion ni d’émotion et encore moins les laisser s’interpréter avec mépris dans le champs politique des ennemis du Maroc. Sachant, que même Laamamra dans ses sombres mélancolies et fanfaronnades de mauvais présages, il pourrait continuer à vendre ses mystères frelatés sous-forme de langage mielleux qu'il a fabriqué lors de son long passage au sein de l'UA. Surtout en remixant ses séquences favorites d'animations d'autres rythmes d'enfumage, pour essayer de saper l'interactivité du Conseil de Sécurité de l'ONU vis-à-vis du retrait des FAR (Forces Armées Royales) de la région de Guergarate alors qu'elles se trouvaient à quelques mètres face aux hordes propolisariennes. A bon entendeur, salut ! 

samedi 25 février 2017

CE N'EST NULLEMENT POUR RIGOLER AVEC L'ONU, TÔT OU TARD UN JOUR A L'HEURE ''H" IL PLEUVRA DES OBUS SUR GARGARATE ET RÉGION !

D'AILLEURS, N'EST-CE CE QU'ON ENTEND DU POLISARIO TENDANT A OUBLIER QUE SA SPÉCULATION N'EST PAS LA SCIENCE EXACTE QUI S'INSCRIT POUR SA PRÉSERVATION SANS SÉQUELLES POUR REJOINDRE LA MÈRE-PATRIE UNE FOIS LE RAID MAROCAIN FINI ?

       La politique de la façade surdimensionnée du Polisario en proie à une idée fixe de n'accepter ce qui ne vient pas de l'Algérie, n'est autre que le résultat de sa continuité dans les dénis par volonté réelle de n'entendre les cris de la raison dans ses propres rangs à quelques semaines de la première Résolution du Conseil de Sécurité avec Antonio Gutterres comme Secrétaire Général de l'ONU. Ce qu'en effet corrobore l'existence de l'ascendant de l'Algérie même étant à l'agonie et ses satellites désœuvrés, sur cette entité fantoche pour l'exécution de leurs ordres non discutables afin d'augmenter la pression sous-forme de propositions qui portent à la fois à en rire et à s'en indigner. A même que les gens du renseignement militaire algérien sachant que les marocains épient voire en contrôlent leurs impacts, font de Mokhtar Belmokhtar alias le ''Borgne'' qu'ils donnent de temps à autre pour mort pour brouiller les pistes, leur espoir de pouvoir porter un coup terrible au Maroc de la même portée médiatique que ce qu'il leur a fait subir à In Anemas. S'ajoutant, de fait, que depuis le départ d'Obama ils savent pertinemment que jamais ils ne seraient blanchis de leurs incursions politiques via leurs agents infiltrés et aussi guerrières par les groupuscules terroristes qu'ils entretiennent dans la bande Sahel subsaharienne africaine notamment dans la zone de séparation tout en jouant les innocents. D'autant plus, mêmes les congresmans américains qu'il y a si peu étaient pour la thèse séparatiste, reconnaissent aujourd'hui qu'il n'y a plus de perspective de l'indépendance mais seulement la solution de s’attabler avec le Maroc et oublier une fois pour toute les agglutinations sur les propositions de Christopher Ross. 

      Néanmoins, pourquoi, certains Généraux algériens milliardaires prennent tout l'espace de la zone de séparation, sorte de surface pénitentiaire à ciel ouvert où travaillent leurs sbires exécutants comme s'ils jouent dans le fatras de leur grenier ? De façon à essayer de donner au Polisario une soi-disant légitimité pour parler de terre libérée, en proférant plus de menaces verbales voire physiques via escarmouches pour tromper la communauté internationale surtout l'UE, à laquelle le Maroc refuse de s'y plier à ses désirs d'ouvrir des camps-prisons sur son sol pour migrants. En tout cas, n'est-ce pour cela que Sa Majesté le Roi Mohamed VI a invité le Secrétaire Général à prendre ses responsabilités, par rapport à ce que l'Algérie veut à travers les agissements de son avorton le Polisario faire de la région Guergarate ? Parce qu'idéalement géographiquement située vers la jetée sur l'Atlantique dont elle rêve, et qui offre un domaine exceptionnel préférable pour les groupuscules terroristes pour lancer leurs harcèlements au nez de la Minurso. Donc, un haut lieu d’incursions où aimeraient se retrouver tous les trafiquants du monde entier de drogues cigarettes où d'armements qu'ils soient chimiques microbiologiques voire thermonucléaires, en plus des véhicules faux médicaments fausse monnaie et faux papiers. A cet égard, sans vouloir faire dans la surenchère du moment que le Maroc montre toujours son calme sa cohérence sa sérénité et sa responsabilité, de ne pas déclencher le feu parce que sinon, plutôt, tôt que tard, pour ne donner l'impression de vouloir rester dans le statu quo. Même si , tout semble s'activer au Conseil de Sécurité de l'ONU pour éviter à ce que Guegarate ne bascule dans le supplice de la guerre éclair, qu'autrement dit n'est que suicide du Polisario. Ce qu'au demeurant met l'Algérie dans une frayeur voire peur après la mise en garde du Souverain, du fait que le risque qu'il pleuve des obus et bombes à cadence infernale sur les positions des ennemis est certain.

       En effet, les hommes de Boutaflika, n'en ont jamais su se rendre dignes et utiles pour préserver la paix à tout le Grand Maghreb, mais seulement œuvrant via le Polisario pour se venger des triomphes marocains dans tous les domaines. D'ailleurs, est-ce que cela, ne la montre-t-elle entrain de tendre dans sa rage voyant le Maroc tracer un autre sillon de réintégration de la CEDEAO sans vraiment fermer définitivement la parenthèse de l'UMA, vers l'affrontement direct par le biais de turbulences polisariennes ridicules ? Ne peut-on en voir qu'elle-même, est entrée en fixation de battre d'autres scores de malveillances et nuisances qui font partie de son ADN, en se retournant carrément contre les pays de cette sous-région surtout ceux géographiquement proches ou limitrophes ? Au sens où, pourquoi veut-elle faire du Mali comme ce qu'elle a fait du Polisario sa chimère, et, donc, son malade imaginaire ? Pourquoi, cherche-t-elle par les fameux accords d'Alger au profilage de mésentente durable, à lui faire payer plus chère sa consultation auprès de la France sous  le président François Hollande ? Voulant, il faut le marteler sans cesse ni gène, lui faire découvrir une autre traversée dans ses souffrances contre les colonnes 4x4 terroristes armées avec lances missiles portatifs pour le mettre au pas contre tout ce qu'entreprend le Maroc. Et donc, que ce dernier ne lui soit, son seul bras prescripteur d'approches et initiatives d'où tant de fois il l'a aidé sans trahison et sans interférer dans ses affaires internes seulement si on le lui demande expressément.

       Alors n'est-ce là où il faut aussi faire attention, parce que rien n'est moins sûr que ce qui compte pour le pouvoir algérien, c'est torpiller par n'importe quel moyen le retour puissant du Maroc à l'UA, dont se profile aujourd'hui son rapprochement accéléré à la CEDEAO ? D'ailleurs, ne peut-on confirmer c'est là la vraie question du reste greffée du bruit et désordre qu'a provoqué Benkirane par son allocution en termes de contenu générique mais toxique devant les syndicalistes sous sa botte ? Surtout pour y arriver sans aucun parti pris, de constater qu'il n'est nullement le chevalier blanc concernant l'affaire du Sahara marocain avec le rayonnement absolu dont jouit le Roi Mohamed VI à l'international ? Dont on ne sait s'il faut continuer, même avec un naturel cruel, à mésestimer Benkirane sur ce fait inadmissible du point de vue décryptage de son discours islamiste de transgression qu'il porte. Ou, à divulguer même sans délicatesse son secret refoulé d'avoir fait ça par formulations spéciales qui prêtent confusion dans les consciences marocaines et africaines. Parce que, ayons le courage de le dire, c'est vraiment un scandale qui a perturbé le déroulé de la visite royale au Mali, dont toutefois il va falloir lui discerner le Trophée de la nuisance opportuniste contre-productive à l'égard du sens géopolitique insufflé par le Roi avec son intuition géostratégique déjà en marche. Comme quoi Benkirane n'a rien oublié de son formatage de partage de verbiage, que l'Algérie encouragée en fait maintenant la réalisatrice pour son bon plaisir à Guergarate. Ce qui est en outre tenu à renseigner sur le refus à l'ONU de cette manœuvre de l'Algérie, dès lors que tout le monde sait qu'il y a déjà une guerre qui ne dit pas son nom entre elle et la CEDEAO avec mention ne portant prescription sur beaucoup de sujets. A bon suiveur, bon décryptage !

jeudi 23 février 2017

APPAREMMENT, DONALD TRUMP AURAIT DIT NON A LA PRÉFÉRENCE DE BARACK OBAMA DANS LE CONFLIT DU SAHARA MAROCAIN ?

LE 20 JANVIER 2017 DONALD TRUMP L'ALARMISTE SOPHISTIQUÉ A-T-IL VRAIMENT DIT NON AU PLAIDOYER PRO-ISLAMISME DE BARACK OBAMA LE MANITOU FILOU, A PROPOS DU SCÉNARIO SUR LEQUEL IL COMPTAIT POUR IMPOSER UNE AUTRE GÉOGRAPHIE DES LIEUX AU MAGHREB ?

       Beaucoup de mes suiveurs sur mon blog (homelibre.blogspot.com) à travers le monde pourraient se dire, décidément, je n'arrive pas à changer voire évoluer dans mes écrits en dramatisant tout ce qui a un rapport entre DEA avec Kerry sous Obama et le PJD au Maroc. Et bien, je leur réponds que je ne suis pas de ceux lorsqu'on leur demande que feront-ils si l'islamisme politique s'accapare des arcanes du pouvoir, et qu'ils répondent cela dépendra si la chance sera du coté de l'Etat pour avoir sa part dans ce marché. Forcément, c'est en ce sens que c'est même ahurissant de voir l'élite politique opportuniste et les intellectuels border-line se voir inviter à des événements sous contrôle du DEA, sans prendre les précautions de ne tomber sous le charme d'une telle conception que finalement ne ferait que raccourcir le temps de résistance à la manipulation et donc prolonger celui de l'obscurantisme. De ce fait, maintenant qu'Obama n'est plus aux commandes, pourquoi tout le monde est interloqué voire interpellé sur les prédictions de Benkirane à propos du risque de déflagration sociétale, si rien n'est fait en matière de justice sociale ? Par conséquent, n'est-ce pas qu'il se fout du peuple en disant cela, et même de l'Etat qu'il malmène parfois à raison mais souvent à tort alors qu'il a gouverné pendant cinq ans, en faisant du mal aux démunis exceptés ses colonnes d'assistés, qui, eux, pour des raisons électoralistes ont reçu les ''Iqramiyates'' à gogo ? 

       Cependant, il faut le dire avec courage, n'a-t-il abusé de la confiance de l'Etat par sa configuration gouvernementale greffant les affaires de la société civile au ministère chargé de la relation avec le parlement sur lequel il avait l'ascendant ? Une technique à l'Ardogan Ghanouchi et Morsi dont tout un chacun a vu l'harmonisation des actes sur mesure pour sa branche, en plus ne s'en étant soucié ni des marocains du monde à l'exception de l'intéressement par le ministère de tutelle après l'intervention royale. Voire même du dossier du Sahara marocain, parce qu'apparemment rien n'est moins sûr il y aurait une idée derrière d'attendre d'y voir clair selon la place que lui prédestinait Obama au Maghreb. Et c'est là où il faut être plus vigilant, pourquoi Benkirane a-t-il fauté délibérément contre son propre pays par l'usage de langage toxique devant le parterre des syndicalistes de sa lignée, pour conforter et concrétiser l'application de la nuisance sans assurance de ses arrières ? Au sens, où l'on peut y voir non seulement un populisme extravagant dans le contexte actuel marocain-africain mais une insatiabilité de la rébellion dans les propos en faveur des ennemis. Puisque l'on a l'impression qu'il est dans une relation qui détruit la confiance pour la prise du pouvoir, au moins de ce que, lui, il appelle avec presque mépris et insouciance voire inadvertance les consciences marocaines hantées par l'engagement royal en Afrique. Dont l'Algérie en a fait son leitmotiv de propagande extrêmement complexe, pour nuire et porter zizanie sur la visite royale en Zambie, et surtout pour faire reporter celle au Mali par la surenchère irresponsable. Ce qu'évidemment, rappelle qu'en un semestre le Maroc a vu sa devanture politique qu'il a façonné avec minutie d’orfèvre à l'international, brouillée de l'intérieur plus de trois fois par des propos déconcertants d'au moins trois chef de partis, mettant les ennemis en position d'attaque sous l'effet de ce genre de données et manœuvres inadmissibles insupportables. 

       A l'évidence, par ce constat, l'Etat-Maroc prendra-t-il les initiatives qui s'imposent en s'aidant de ce qu'il lui revient par la force de la loi et de la constitution montée sur démocratie juste qui n'accepte aucune nuisance délibérée ? Où, laissera-t-il le hasard s'en charger pour se réapproprier son existence en tant qu'acteur pivot incontournable, en arrêtant de chercher  de se consoler dans d'autres directions sans sévir ? Dès lors que, tout un chacun constate que sur les réseaux sociaux les prêcheurs sournois de la thèse obamaéenne d'imposer une autre cartographie du Maghreb, ne s'en lassent pas. Car, ne voyant toujours pas du jeu américain des moyens de pression sur eux, puisqu'entre Obama le manitou filou et Trump l'alarmiste sophistiqué rien ne va plus, dans ce qui est surnommé la guerre des tranchées institutionnelles. D'où, à ce jour l'ambiance par l'absence d'une prise de position officiellement par le nouveau Secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson sur le Sahara marocain, a rendu leurs médisances plus virulentes n'acceptant que les forces d'influence soient changées après le retour triomphant du Maroc à l'UA. En plus, combien même Antonio Gutterress a-t-il besoin d’être en réserve sur les agissements de pays ennemis du Maroc au Conseil de Sécurité tel l’Uruguay sur demande de l'Algérie et son excroissance abortive le Polisario, il n'en demeure pas moins qu'on est en droit de se demander jusqu'à quand ça va durer ? Notamment, par rapport à son calendrier du traitement du dossier du Sahara marocain, dont on sait qu'il prend des précautions pour ménager l'Algérie dans sa descente inéluctable aux enfers. S'ajoutant à l'appui qu'Amnesty International apporte, en l'occurrence la montrant continuer à couvrir les crimes du Polisario dans les camps de Tindouf Rabouni et ailleurs. 

       Aussi, c'est parce que les déroulements des événements successifs en Algérie ce pays frère, n'augurent que d'une tendance vers la prépondérance de la violence et la souffrance, que des observateurs onusiens et autres analystes à l'international lui prédisent une chute fracassante prochaine. En ce sens, juste pour étoffer leur raisonnement, si le pouvoir Boutaflika est tombé par terre n'est-ce parce qu'il y a une débandade institutionnelle et constitutionnelle par la faute de ses Généraux milliardaires ? Si le bout du tunnel de leurs aventures africaines n'est toujours pas en vue, n'est-ce justement c'est la faute à Laamamra leur substitut irréaliste obtus ? Et, enfin, si le Polisario est devenu leur souffre-douleur, ce n'est quand-même pas la faute à l'UA voyant en le retour du Maroc son lave-honneur. N'est-ce pas que ça rime ? A bon suiveur, bon décryptage ! 

mardi 21 février 2017

POURQUOI ET COMMENT COMPRENDRE LES CLÉS DU RETOUR ÉPANOUI DU MAROC A L'UA, AU NEZ ET A LA BARBE DE TOUS SES ENNEMIS ?

DÉPASSER LES IDÉES FANTASMAGORIQUES DES ENNEMIS PAR DES ILLUSTRATIONS DE VAINCRE LEURS PRÉJUGÉS, C'EST LEUR FAIRE DÉCOUVRIR QUE LE RETOUR ÉPANOUI DU MAROC N'EST PAS SEULEMENT BON POUR L'UA, MAIS AUSSI POUR L'UE ET L'ONU ?

       La sortie médiatique, pour le moins abracadabrantesque de Benkirane à propos de l'implication de Sa Majesté le Roi Mohamed VI auprès des peuples africains, vaut seulement chez les quelques zélés du PJD manipulant leurs inconditionnels sous-outillés qui ont du mal à réaliser ce qui arrive dans l'UA après le retour du Maroc. A cet égard, que les présidents Alpha Condé et Moussa Faki Mahamad chacun dans son rang et rôle à l'UA ainsi que tous les chefs d'Etats africains se rassurent, vu qu'il ne s'agisse que de complexification des rapports de force par la guerre des tranchées entre partis pour des fins politiques en interne. Et donc, n'est révélatrice que d'ignorance de la géopolitique, dont les marocains n'y voient pas d'un bon œil ce genre de partage de logorrhées emphatiques à salive fétide et leur transfèrement sur les priorités du continent africain. D'autant plus, elle ne représente rien devant les messages clairs que le Roi Mohamed VI envoie à toute l'UA par son calme sa sérénité et sa responsabilité du grand homme d'Etat visionnaire qu'il est. D'où crescendo, tous les chefs d'Etats africains y adhérent parce qu'ils les apprécient à leur juste valeur, et les considèrent aussi une part séquentielle de leurs propres gènes facilitant leur formatage d’être acteurs conséquents dans sa feuille de route Sud-Sud. Et ce, pour ne plus paraître rester dans un sevrage à l'utilité du Maroc pour l'unité la cohésion et le rayonnement de l'UA. En revanche, n'est-ce là le dépassement des blocages et les préjugés via l'appropriation des conseils de leurs experts, pour la vraie illustration de la victoire sur les tabous des lignes de démarcation d'un temps révolu ? 

       L'important de l'existence du Maroc parmi les siens, c'est le sens que la Commission de l'UA veut donner à ce retour. Parce que, qu'on ne le veuille ou pas c'est un grand événement qui montre que le Maroc d'avant n'est plus, mettant en exergue une moralité politique qui est basée sur la confiance très appréciée de tous ses pays amis. Ce qui suscite, qu'il ne comprendrait pas que des pays de l'UE continuent à lui livrer bataille via harcèlements diversifiés sans raison ni fondement. A même de lui faire des leçons sur des choses non réelles dont eux, ne respectent même pas chez-eux. Bien entendu, de ce point de vue que les choses soient claires, il y a risque que dorénavant, son message à ces pays et leurs lobbys haineux ne soit que très fort sans ambiguïté ni tremblement. Comme quoi, il ne faut plus compter sur lui, pour le voir dans les rotatives des pays nordiques sans réagir à leurs tirades rancunières et fabrications des mensonges et contrevérités à son encontre. Par conséquent, maintenant, sans rien laisser au hasard à leur incompréhension de sa spécificité en tant que pays à 14 km d'eux, qu'ils se débrouillent sans lui, face à la mécanique de l'autre rotative de la migration tournant sous toutes ses formes qui ne manqueront pas de monter en puissance. Parce que, pour lui, l'ère du temps des acteurs géostratégiques exclus malgré eux de la scène de comment faire pour débloquer voire résoudre les situations issues de contraintes fortes qui leur sont imposées via transitions frustrantes de l'UE, ne l'intéresse plus. Même si, c'est l'une des clés de son retour à l'UA effectué avec éclat au nez et à la barbe de tous ces pays qui magnifient leur secret de haine anti Maroc en continuant à le mépriser ne sachant qu'il est adoré de par le monde partout sans exception. 

       Aussi, pourquoi Benkirane par l'aide de ses coachs venus d'ailleurs ne s'est-il entraîné pour améliorer sa mémoire afin de pouvoir éviter de lui-même, de toucher les cases fondamentales de l'ossature de l'Etat-Maroc ? En effet, n'est-ce parce qu'on lui a fait croire qu'il a bien malmené toutes les tendances transversales du panel des partis politiques, qu'il s’essayât à l'assaut de celles transcendantes des instituions constitutionnelles ? Sans savoir, ni tenir compte des effets multiplicatifs du tollé que pourrait provoquer la résistance à cet aventurisme à somme nulle dans le tissu sociétal marocain. D'ailleurs, mêmes les observateurs neutres n'ont pas compris à ce jour pourquoi il a fait ça, si ce n'est qu'il l'aurait mijoté dans sa bataille rangée avec lui-même pour faire peur, en s'en foutant qu'il soit stoppé net et donc d'y laisser ses plumes. Dont l'Algérie et son avorton Polisario ont sauté sur l'occasion, voyant en lui, celui, qui ne se dérobera même s'il n'est plus en service à l'Exécutif pour se mettre de leur coté afin de vider de substance le sens de ce retour triomphant à l'UA. Tellement, ils s'y sont entremêlés leurs désirs de le prendre ce coup-ci comme sorte de chef inespéré de leur cinquième colonne incluant les renégats vendeurs de leurs âmes à l'Etranger. Ne comprennent qu'entrer précipitamment dans le temple des zélés inconditionnels de Benkirane avec leurs bottes rapportées du temps du FIS de la décennie mortifère 1990-2000, c'est mettre le PJD dans une mauvaise posture. 

       Néanmoins au sein de l'UA, n'est-ce vrai que de ce fait, c'est un travail méthodique percutant et puissant qui attend la Commission pour sortir des sentiers battus de l'époque Nkosazana Dlamini en se préparant à l'exclusion de cette entité fantoche aberration d'une mauvaise transcription des défis de l'OUA au Sommet de Nairobi 1984 ? Et, conséquemment, ne plus continuer à être la plaque tournante des crises dangereuses similaires ou pas qui la guettent et l'assaillent. Qu'en effet provoquent misères ici et là voire hécatombes de surdosage de consommation d'idées d'un temps révolu, dont par ailleurs veulent continuer à lui imposer l'Algérie l'Afrique du Sud et le Zimbabwe. En cela, c'est le constat sans ambages de voir que le Maroc, enfin, il tend vers la création d'un ministère des Affaires africaines, lequel ne doit-il être étoffé de compétences calmes presque de sang froid ? Primo, pour l'accompagnement du secouement inlassable des lobbys anti Maroc d'où ils viennent, par des interventions intelligentes conjuguées d'investigations retentissantes pour montrer qu'ils ne sont d'aucune utilité pour la bonne marche de l'Afrique. Secundo, en poussant les décideurs politiques et économiques des anciennes ''Kalaas'' propolisariennes à penser à être toujours libres et indépendants pour l’intérêt de leurs pays. Et tertio, pour travailler sans relâche à faire apprécier via raisonnement bien construit, que le Maroc n'est pas là pour s'accaparer de quoi que ce soit, ni de vouloir exploiter les ressources sans garanties honorables selon le postulat gagnant-gagnant d'égal à égal avec les pays qui le désirent sans contraintes ni filouteries. 

       A l'évidence, à cet égard, ceci ne montre-t-il que le Maroc a une vraie colonne vertébrale, ayant fait face à sa reconnaissance de la souffrance sociétale par manque de justice sociale au lendemain du discours royal mémorable du 09 Mars 2011 ? Sans jamais prétendre vouloir devenir par la suite, le Général d'une quelconque association pour mettre aux pas ses institutions en interne ni l'avenir de UA après son retour, comme malheureusement, le soutiennent aujourd'hui de façon fantasmagorique les ennemis s’appuyant sur les délires de Benkirane. Alors même, au contraire, tout indique que le Maroc se met à la disposition de l'UA pour partager et faciliter les initiatives vectorielles directrices Sud-Sud reconnues allant dans le sens des partenariats gagnants-gagnants face à toutes les frustrations qu'elle ait vécue à ce jour. Et ce, sans lui faire courir aucun risque de dislocation ni désunion et encore moins de n’être lui l'un des fondateurs de l'OUA un pays hégémonique ne se resservant que la meilleure part. Même s'il a montré par la preuve que toutes ses combinaisons de co-développement, en l'occurrence diversifiées harmonieuses et sécurisées dans leurs montages financiers et programmatiques qu'elles sont pour le bien-être des peuples africains et donc le rayonnement de l'Afrique ni plus ni moins. A bon entendeur, salut ! 

dimanche 19 février 2017

C'EST QUOI CE MESSAGE SOURNOIS ''ADVIENDRA QUE POURRA'' QUI, PRESQUE RESSEMBLE A UN DÉFI A LA ROYAUTÉ A LA VEILLE DE LA DATE DU 20 FÉVRIER ?

COMMENT PEUT-ON VOIR LE RETOUR DU MAROC COMME ÉCLAT ET BRILLANCE, SI L'ON NE CONSENT L'EFFORT DE LE SCRUTER DANS LES DÉTAILS ET D'EN COMPRENDRE LA CONFIANCE DES AFRICAINS SANS DISSIMULATION ?

       Que l'on soit d'accord ou pas, le retour du Maroc à l'UA est un magnifique triomphe. Du coup, ceux des marocains qui se dépensent à le critiquer parce que ne sont considérés vrais contributeurs à cette saga mémorable, ils doivent savoir qu'ils sont insignifiants à l’échelle africaine. Même si, au vu de la conjoncture politique ils croient pouvoir de la sorte avoir, eux aussi, une place du bon coté sans le moindre message productif de bonnes d'idées. Alors que, ce sont des harceleurs comme ce que font les ennemis pour faire peur, surtout, lorsqu'ils en jugent irraisonnable d'accepter que les peuples africains soient couverts de tant d'attention royale. C'est dommage de voir une telle schizophrénie qui s'exprime par un vrai affront à l'Etat-Maroc, dont pourtant les marocains croient dur comme fer qu'il a trouvé le tracé diplomatique idéal en se mettant sur la trace pour la traque du Polisario partout en Afrique et dans le monde. Confirmant, toutefois, que c'est son devoir de fidélité absolue à eux, notamment par l'exécution à la lettre du serment de la Massira (Marche Verte) 1975 de ne jamais céder sur l’intégrité territoriale quel qu'il en soit le prix. 

       A ce propos, Benkirane n'a-t-il fait de la surenchère politique dangereuse par son discours amalgamé indigeste, devant un parterre de syndicalistes alignés à son parti sur les risques encourus en interne à propos de ce qu'il appelle sournoisement avec irresponsabilité déconcertante ''délaisser honteusement le peuple marocain''. D'où, en effet, l'on voit qu'il se sent pousser des ailes jusqu'à envisager le pire, à même de donner l'impression de s'en prendre au Chef de l'Etat en livrant ses réserves border-line sur les partenariats gagnants-gagnants contractés avec les pays africains. Même si, tout de suite après cette incartade invraisemblable, ses lieutenants proches sont montés au créneau pour minimiser ses propos et les édulcorer par une virtuelle chronologie de leur cadence d'accompagnement des visites royales en Afrique. Sauf que c'est trop tard, et que le mal est déjà fait. D'ailleurs, n'est-ce là, un jeu dangereux sur l'in-solidarité alors que le peuple marocain, lui, en est fier du travail colossal de son Roi pour ce retour au sein de l'UA ? Et, non comme le prétend Benkirane le ''Taymimiste'' dans ce qui ressemble à un défi d'affirmation mystérieux par cette passe de langage, ne sachant que ce même peuple est aussi enthousiaste de la dimension politique importante que prend la nouvelle tournée royale au Soudan du Sud Ghana Zambie Guinée Conakry Mali et Cote d'Ivoire voire Kenya. Néanmoins, est-ce que ceci ne pousse-t-il à s'interroger sur les vraies raisons de sa sortie médiatique à propos des priorités, qu'apparemment il n'en est nullement convaincu sur les montages et organisations programmatiques de l'économie du pays avec leurs expansions africaines ? Mais, pourquoi n'admet-il que le choix des chefs d'Etats africains d’être du coté du Roi du Maroc, procède de leur part d'une conviction de pouvoir répondre ensemble aux grands défis économiques écologiques culturels et sécuritaires qui attendent l'Afrique? Dont, malheureusement, lui, il ne l'entend pas de cette oreille à même de n'en convenir par la confusion dans ses propos qu'il s'agisse d'une vision lucide du Roi Mohamed VI. 

       Alors, que faut-il comprendre de ce fait invraisemblable de sa part, en tant que chef du PJD désigné à former un gouvernement qu'à ce jour il n'a pu s'en acquitter de cette tache ? Ce qu'au demeurant illustre bien qui sont les gens qui le poussent et le supportent dans cette façon de faire et où veulent-ils en venir ? Pour autant, en verrait-on de sitôt la fin du blocage ? Rien n'est moins sûr, au vu de leur insulte de l'avenir du Maroc à l'UA à coup de ''benkiranisme conjugué de chabatade'' comme défi sournois à la Royauté à la veille du 20 Février. Et bien, autant le dire avec clarté, y aura-t-il un plan B d'urgence pour dépasser cette altération de l'image de tout ce que fait le Chef de l'Etat, rien que par contrariété-catalogue volontaire-involontaire de leur part et de leurs inconditionnels ? En plus, pourquoi le font-ils sans l'avouer franchement, ni l'assumer en ON loin de la pratique du brouillage des messages en se basant sur le retard cumulé à propos de la formation du gouvernement ? D'ailleurs, n'est-ce là où l'on voit que les observateurs avertis non corrompus et/où non inféodés à leurs courants idéologiques, eux, en conviennent aisément que le retour du Maroc à l'UA apporte éclat et brillance ? Non seulement dans l’échelle des impacts à l'intérieur du pays sur les indications macro et micro structurelles économiques, mais aussi sur les valeurs de réévaluation et requalification de la diplomatie marocaine assumée et entreprenante à l'international, que ce soit en Afrique Europe Asie et aux Amériques. Ce qu'évidemment, objectivement met l'Algérie en agonie l'Afrique du Sud en souffrance et le Zimbabwe en latence, dans un isolement qui n'a d'égal que celui de la Corée du Nord par rapport à l'Occident. 

       Cependant, comment ne pas comprendre que la place qu'occupe Sa Majesté le Roi Mohamed VI après ses nombreuses visites partout en Afrique, est marquée par la confiance qui désormais se confirme et se manifeste en s'y référant au discours d'Abidjan au Forum économique Maroc-Cote d'Ivoire 2014 ? Dont, aujourd'hui en 2017 après le retour à l'UA, sa fabrication qui monte à vitesse appréciable ne reflète ni secret ni dissimulation comme veulent le faire entendre les ennemis via leurs médias aux abois. N'est-ce parce que, ça les fait trembler, voyant leurs alliances saugrenues à eux d'antan, en pleine bérézina laissant la place à d'autres bien construites sur le chemin vertueux tracé par le Maroc dépassant dans le silence toutes les perfidies malveillances et allégations d'où elles viennent ? Ce qu'effectivement, en langage politique veut dire, pourquoi Benkirane ne se met-il en prédisposition de la création d'un ministère des affaires africaines dans le but d'accompagnement de la dynamique enclenchée ? Au lieu de juger cette démarche onéreuse, en ne s'impliquant dans la portée du discours de Dakar d'où il ressort une volonté sans ambages de mener à bien le calendrier de l'implication du Maroc en Afrique. Pourquoi, reste-t-il dans sa rythmique irrationnelle à visée d'harcèlement politique, ne voulant accepter de reconnaître qu'il est fatigué sans se justifier ni culpabiliser ? Au sens où, et si, pour une fois il renonce à ses signaux de toujours être contre pour faire le buz médiatique, tellement, jusqu'à penser abattre la stratégie tracée depuis l’avènement du règne Mohamed VI ? Comment l'important pour lui, c'est fermer les yeux sur ce que font les siens via partisanerie-ânerie à travers leur tentaculaire diffusion dans les arcanes du pouvoir ? Quand sortirait-il de ce cycle du déni des réalités politiques, d'où l'on détecte à travers sa sortie médiatique une rébellion par la vente de son âme à l'Etranger pour le compte des ennemis sans le savoir ou tout au moins sans en mesurer la portée ? 

       C'est vrai, on était loin d'imaginer le voir presque se faire, de la sorte, sauter les plombs. Parce que c'est de ça dont il s'agit, n'ayant pu sortir de son enfermement à cause de son échec à monter l'équipe gouvernementale avec aisance sans pression et sans l'aide de personne. Au point d'y avoir montré, que le torchon pourrait brûler entre lui et la bande des quatre (RNI-MP-USFP-UC), si jamais ils n'acceptent pas son deal selon ses conditions. A même de vouloir, sans gêne, sauter le pas d'engendrer une forte tension comme baroud d'honneur, puisque, apparemment il aurait pressenti de leur part la résistance à son maintien. Et ce, après qu'ils aient vu sur bien de sujets en plus de ceux d'actualités africaines, dont, lui, il croit qu'ils ne fortifient l'aura marocaine ni embellissent l'image de la diplomatie royale et encore moins densifient la cohésion sociétale à l'intérieur du pays. Si cela n'est pas de l'alignement sur la thèse des ennemis, de ne laisser le Maroc continuer dans son chemin diplomatique tracé après son retour à l'UA, en tout cas ça lui ressemble ! A bon entendeur, salut !  

vendredi 17 février 2017

FICTION OU RÉALITÉ, LE RÉTRÉCISSEMENT DE L'ESPACE DES GESTICULATIONS DES ENNEMIS DU MAROC AU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU !

COMME CA NE PEUT-ON CONFIRMER, LES AMIS DU MAROC SANS RENONCEMENT NI FOURVOIEMENT NE SONT PAS PRÊTS D'ENTENDRE DES FORMULES AMBIGUËS AVEC DES CONDITIONS PRÉALABLES DU RISQUE D'ENTERREMENT DE SON OFFRE D'AUTONOMIE 2007 ?

       L'objectif du Maroc concernant son Sahara c'est que la première résolution en Avril 2017 du Conseil de Sécurité de l'ONU sous l'ère Antonio Gutterres, ne soit une communication en bulles de savon mais un positionnement fort, pour rétrécissement sans trêve de l'espace d'amusement et tartuferie de l'Algérie. A même jusqu'à la rendre un souffre-douleur pour le Polisario et ses protecteurs à l'UA UE et ailleurs, en ne leur permettant plus de poursuivre sans fondement leurs allégations mensongères anti Maroc. Parce qu'il y a maintenant, des données politiques sérieuses montrant voire démontrant à tout un chacun, leurs fourberies scrutées par des Agences de renseignements en Europe Russie Chine et Japon. S'additionnant à celles identifiées par des CERS (Centres d'Etudes et de Réflexions Stratégiques) aux USA et en Amérique du Sud tels Argentine Chili Mexique Paraguay, et qui sont relatées par des lanceurs d'alertes ayant la plus grande collection d'informations au monde sur le besoin de ne laisser cette cohorte d'ennemis du Maroc provoquer le chaos par leur réécriture de son Histoire. 

       C'est dire combien, tous, après cette résolution, ils se retrouveraient bousculer dans leur conviction animée d'hypocrisie que contrôlent des tireurs de ficelles maintenant connus allaités par le DEA sous John Kerry Suzanne Reis Samantha Power via la fondation Kerry Kennedy. Aussi, par ce constat, n'est-ce tout indique que cette résolution sortira dans de bonnes conditions, qu'ils ne le veuillent ou pas, loin des mystères des codages et linkages communicatifs d’antan à la Ban Ki Moon où le jeu diplomatique onusien chaque année est un puzzle ? Même si, il ne faudrait pas l'oublier que depuis longtemps le Maroc pour y faire face, il usait de ses influences pour ne laisser ses ennemis se manifester dans la peau d'ange dans les anti chambres de fabrication des décisions onusiennes farfelues injustes à son encontre. Comme ça, aujourd'hui, est-ce que l'Algérie traînant le boulet Polisario le sait-elle que désormais son pré-carré est plus réduit ? Et par conséquent donc, ça ne sert à rien de continuer à vouloir avec ses soutiens, faire de cette entité fantoche le pilier de l'UA, sachant qu'ils ne peuvent plus semer discorde ni doute après le retour triomphant-qualifiant du Maroc. Surtout, qu'au Conseil de Sécurité la représentante permanente des USA l'Ambassadrice Nikki Haley en a pris acte. S'y étant engagée à changer en profondeur les approches dans les traitements du terrorisme notamment celui émanant des groupuscules comme le Polisario, en œuvrant avec détermination à l'apport de soutiens sans ambages aux alliés stratégiques dont évidemment le Maroc. 

       A ce titre, n'est-ce dans le cas du Sahara marocain, c'est ce qui en filigrane montre que la remplaçante de Samantha Powwer ne voudrait plus risquer la politisation trans partisane sur la tendance de l'aider dans ses échanges Sud-Sud via partenariats économiques gagnants-gagnants d'égal à égal qu'il eut contracté avec la majorité des pays africains ? En plus des versions concentrées mais diversifiées en perspective de ses associations géopolitiques objectives et alliances géostratégiques à géométrie simplifiée de projection de lutte anti-terroriste et de stabilisation de la zone MENA-Maghreb-Sahel subsaharienne africaine. S'ajoutant, aussi au décryptage de la suite du fil de la mémoire politique récente, laquelle, est d’intérêt prospectif d'influence en Afrique afin que l'Algérie ait du mal à recruter ses portes-flingues à l'UA UE ONU et surtout qu'elle n'ait plus l'opportunité d'habiter les courants de pensée anti Maroc de la Maison Blanche avec Donald Trump. Contrairement à ce que fut du temps du scorpion Obama, n'ayant fait de son engagement dans la soufflerie arabo-amazigh depuis 2010 qu'une couverture de son échange paradoxal presque espiègle. Par ailleurs, compliqué et trompeur car voulu délibérément sans maîtrise ni technicité de logique collaborative pour provoquer et engendrer la vie politique sans sérénité dans le Grand Maghreb. 

       Maintenant, avec la nouvelle équipe au Secrétariat Général des Nations-Unies il n'en faut pas beaucoup de  bruits mêmes ceux aux prolongements diffus, pour comprendre que l'état actuel des choses n'est pas seulement transitoire. Au contraire, aucun doute, le Polisario connaîtra le sort du damné voire pestiféré, parce que les choses vont changer, au sens où, le Maroc ne voudrait aucunement dans l'avenir être devant de formules ambiguës avec des conditions de confusion. Notamment, par l'usage verbeux des arguments à connotation de l'incantation voire de la prudence non justifiée, ne tenant compte des violations au droit à la légitimité et à la légalité dans l'affaire de son Sahara. D'autant que, désormais au Conseil de Sécurité de l'ONU, chaque instant reflète l'image séquentielle indéniable des changements perçus dans les profilages des discours et positionnements des représentants permanents les uns les autres. Qu'en effet, ils donnent un sens à l'espoir et donc au soulagement du Maroc, de voir l'offre d'autonomie 2007 dans la régionalisation élargie s'appliquer dans le futur. Par rapport, au passé longtemps resté figé sur le non dégel des idées à la façon Christopher Ross n'ayant fait que perdre le temps à la renaissance du Grand Maghreb. Finalement, face à l'Algérie qui parle le langage des chimères et des fausses légendes, ne peut-on dire que le Conseil de Sécurité aurait décidé d'oublier la façon des montages des résolutions du passé, dont on voyait des fines bulles n'ayant aucunement permis le meilleur lavage ni dégraissage des canaux diplomatiques du jargon des Etats-barbouzes propolisariens ? A bon suiveur, bon décryptage !

mardi 14 février 2017

EN AVRIL 2017, QUEL SERAIT L'IMPACT DES NOUVEAUX ARRIVANTS SUR LA RÉSOLUTION DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU DANS LE DOSSIER DU SAHARA MAROCAIN ?

NE POURRAIT-ON D’EMBLÉE APPELER LA RÉSOLUTION DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU EN AVRIL 2017, L’ÉNIGME DES CENT JOURS APRES L’ARRIVÉE DE REX TILLERSON AU DEA (DÉPARTEMENT D’ÉTAT AMÉRICAIN), ANTONIO GUTTERRES AU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL DES NATIONS UNIES ET MOUSSA FAKI MOHAMAD A LA COMMISSION DE L'UA (UNION AFRICAINE) ?

      C'est parce que le temps du Maroc est arrivé à l'UA, voilà pourquoi il faut épauler la diplomatie officielle à l'ONU, dont il serait interessant de scruter la documentation non frappée ''top secret'' sur ses engagements à propos de l'évolution du dossier du Sahara marocain en fiabilité et lisibilité rédactionnelle de la future résolution du Conseil de Sécurité en Avril 2017. Et surtout de voir qu'est-ce qu'elle prévoit de rassurant pour que nos diplomates qui ont un bon moral de n’être manipulés et menés par le bout du nez, gardent l'esprit serein au bénéfice de la protection de la thèse marocaine face à l’infâme stratégie des ''loosers'' propolisariens. A ce titre, autant le dire sans détours, cela montrera l'exemple pour circonscrire leurs sournoiseries au sein de l'UA et l'UE, notamment après qu'aujourd'hui même, Jean-Claude Junker le président de la Commission de l'UE ait donné des signes de ne pas renouveler son bail et donc mis les lobbys anti Maroc dans l'embarras vu le risque de leur désintégration. A même en plus, d'espérer que l'Algérie et ses soutiens seront contraints de prendre le message avec sérieux et changer leur âme propolisarienne, en acte pour faciliter leur sortie de l'opacité à résoudre leurs positionnements énigmatiques s'y référant. Jusqu'à aller à ne rester dans le hors piste diplomatique à l'égard du Maroc, qu'en effet est considéré à contre champ de la vision géostratégique pour l'Afrique du Nord de Donald Trump et même à celle de projection en méditerranée de l'Ouest du moment de Vladimir Poutine

       Comme ça, on peut même rêver qu'ils n'aient plus beaucoup de temps de semer davantage de perfidies, sans garantie de réception au vu de l'anéantissement qui serait programmé de la chimérique idée ''Polisario'' fruit d'un coup d'état contre la légitimité et discours d'un temps révolu. Non seulement par rapport à la certification contrôlée par l'ONU de l'extirpation des consciences de cette idée saugrenue, mais aussi vis-à-vis de l'offre d'assistance pour l'accomplissement des démarches et formalités du retour des marocains séquestrés dans les camps de la honte à Tindouf Rabouni et ailleurs. Néanmoins, à ce propos, n'est-ce en cela qu'il faut stimuler la mémoire et générer le besoin d'entrée en concordance de gouvernance réparatrice du temps perdu à l'UA loin des tensions ? Ce qui démontre que maintenant c'est l'heure pour les ennemis d'enlever leur carapace, en ne se montrant plus scandaleusement insouciants de l'avenir de l'UA. Dès lors qu'en interne ça ne fait que tirer le Maroc vers le haut en faisant sortir les renégats de leur émotion, alors que c'est scandaleux de voir l'insouciance au demeurant vérifiée, de l'Algérie et ses 9 pays souteneurs devenir un signal de production de messages presque en ordre frontal contre ceux produits par les 39 pays africains pro Maroc. Tellement, pour l'avenir de l'UA, n'est-ce aussi désolant quand les allégations d'une minorité s'y greffent et s'y conjuguent les unes les autres à propos de leurs contenus, voulant dire qu'il y a quelque part un continuum de ne comprendre les défis qui l'attendent ? Et que pour elle, vouloir continuer à passer outre le besoin de cohésion africaine, par l'étroitesse du raisonnement politique absurde pas plus large que sa plateforme idéologique intériorisée, n'est autre que du temps perdu parce que le Conseil de Sécurité de l'ONU respecte son agenda. 

       Maintenant au vu du constat dramatique pour l'Algérie, n'acceptant le fait qu'après 33 ans d'absence, l'Etat-Maroc unique et unitaire ait pris les commandes à la tête du groupe triple A ''Action Afrique Avenir'' à l'UA, d'où se profile déjà l'introduction de sa démarche visionnaire nécessaire à relever le challenge et donc conséquemment à lui assurer de reprendre pour de vrai le leadership. Aussi, dans un but de marché total africain de libre échange, toutes les initiatives qui vont arriver par la volonté non pas souverainistes mais seulement de valeurs sécuritaires et marchandes, il faudrait s'y faire en se mettant du coté du Maroc et non de celui de l'Algérie larguée et en souffrance. Dont le discours de Dakar, le retour du Maroc à l'UA, la prestation royale à Addis-Abeba avec à la clé la hauteur de vue anti-paresse et anti-mollesse dans les décisions et la reprise des visites royales au Sud Soudan Guinée Conakry Ghana Zambie Mali et Cote d'Ivoire, ne sont-ils un signe avant-coureur de l'énergie qui circule déjà comme irrésistible envie de passer à la vitesse de croisière. Comme ça, après, en peu de temps, le doute voire stress accumulés se transformeront en capacité à se concentrer, d'abord sur la formation du gouvernement puis sur la bonne gouvernance à l'Exécutif. D'où, l'on verrait une écriture nouvelle de l'histoire des partis politiques, particulièrement, sur les réévaluations farfelues du temps politique que certains les survolent en se projetant sur les heures de soi-disant gloire de leur passé très discutable, connu le moins avant-gardiste des gestions gouvernementales depuis l’indépendance. Alors, quand on sent le vent tourné, ce n'est pas la peine de se fabriquer des raisons de ''made in morocco'' d'incorporation d'épreuves historiques par preuves insuffisantes en donnant l'impression d’accélération de remise à neuf.

      Aujourd'hui, franchement, le Maroc n'incarne-t-il la voix de cette rationalité dans ses prestations et partenariats gagnants-gagnants d'égal à égal, tenant compte de la complexité s'y afférant au marché des surcharges sociales et solidaires ? Ce qui constitue, certes, une déception voire un point d’arrêt aux désirs de l'Algérie et ses soutiens à l'UA, témoignant sans équivoque de leur haine du temps africain présent à son vis-à-vis. Car, d'autant plus ils sont convaincus qu'ils n'y peuvent rien de ne le laisser à chaque occasion de vanter l'avenir de l'UA avec lui, du fait qu'il soit le seul capable à parler le langage de l’intérêt mutuel commun avec tous les pays africains, par efficacité de mise en scène politique économique culturelle écologique et cultuelle-sécuritaire. Alors même, qu'il y a des signaux de révision d'attitude et croyance d’être toujours dans le vrai de leur part en ce qui concerne leur bataille acharnée anti Maroc qui concrètement n'a rien donné. Dont, apparemment il faut s'en attendre à des compensations politiques de la Commission de l'UA avec Moussa Faki Mohamad qui veut actionner sous le regard bienveillant du président Alpha Condé, le train de l'exigence de la démocratie de la légalité et de légitimité au dessus de tout soupçon via les préoccupations marocaines de se mettre seulement à l'heure du Conseil de Sécurité pour le règlement politique de ce dossier ni plus ni moins. Alors, n'est-ce là un soupir de soulagement au-delà des complications, car le cœur n'y est plus de la part de certains ennemis de continuer à vouloir affaiblir le Maroc sans raison, au sens où il faut temporiser d'après d'autres qui désirent désormais sauter le pas en s'organisant mieux ? Et ce, pour montrer au trio Algérie-Afrique du Sud-Zimbabwe, qu'il n'a qu'ambition démesurée à faire traîner les choses que de savoir-faire pour sortir l'UA du traquenard dont elle s'est fourrée elle-même des années durant. Rien qu'en se basant, sans aucune retenue, sur le scepticisme de partage de l’égoïsme dans le fonctionnement de défense de leurs intérêts éphémères n'ayant abouti, malheureusement, qu'à leurs échecs cuisants successifs. 

       Aujourd'hui à l'UA, peu importe ce que pourront penser certains, à propos de ce que les politiques de haut rang ont toujours besoin de temps de récupération, qu'effectivement, de surcroît nullement comparable à de la faiblesse ni à de la paresse de leur part. Et qu'en même temps, n'est-ce normalement un chef d'Etat africain qu'il soit arrivé par le suffrage, doit pouvoir se reposer en s'écartant de lui-même quand il se sent en baisse de vivacité physique comme aussi de légitimité de représentation et de défense de l’intérêt commun géopolitique et géostratégique à l'UA et à l'international ? Loin de donner le gout de l'inachevé, surtout en ventilation des priorités nationales pour la construction de la sérénité et la responsabilité dans le maintien de la sécurité et la paix pour l'avenir mondialisé commun de l'Afrique. Dont, autrement dit, ne faut-il que certains connus s'accordent à eux-même le break qu'il réclament à d'autres, au sens où il faudrait qu'ils osent réviser leurs présence d'esprit et compétences intellectuelles dans le traitement des grands dossiers, quitte à écorner l'image de battants si tant est qu'ils essayent de vouloir continuer donner d'eux. D'autant plus, ce n'est pas un hasard si ailleurs dans les démocraties, l'alternance fait partie de l'éloignement du stress dans la vie des pays par ce que l'on appelle prendre rationnellement soin du temps de l'avenir politique, sans s’éterniser dans son gaspillage par l'insistance ne générant qu'effets inverses. A bon entendeur, salut ! STOP ET FIN.  

samedi 11 février 2017

LE MAROC BRILLE-T-IL SEULEMENT DU ''ROYAL BRAIN BOX'' LOIN DE TOUTE AVERSION CONTRE L’ALGÉRIE ?

NE PEUT-ON AFFIRMER QU'IL BRILLE AUSSI DE BEAUCOUP D'AUTRES CHOSES, SIMPLEMENT PARCE QUE LE ''ROYAL DIPLOMATIC THINK FACTORY'' A TOUT PENSÉ POUR LUI FAIRE EVITER LES RISQUES D'INSUCCÈS DANS LES GRANDS DÉFIS LANCÉS AU FIRMAMENT DE SON APOTHÉOSE  ?

       Il n'y a pas de raison pour ne pas dire les choses tel qu'on les ressent. Notamment, sur les centres incubateurs des malveillances anti Maroc partout de par le monde, à l'exemple de la version DEA de l'époque Obama dans l'UE UA et ONU. Par ailleurs, n'est-ce là une recherche-illustration au firmament de son assurance profonde par et avec exposition des projections référencées aux raisons garantes de la vérité significative, sur sa brillance désormais reconnue à l'international ? Pour qu'il puisse en faire le bouclier de protection des jeunes politiques marocains d'où ils viennent, des diffusions mensongères incontrôlées issues du machiavélisme de certains Généraux algériens. Et, dont, certainement les jeunes diplomates dernièrement accrédités sur les parcours des chancelleries à travers le monde, ont envie de s'exprimer la-dessus comme des professionnels rodés avertis et éclairés. Parce que, voulant montrer qu'eux aussi sont branchés sur les préoccupations prioritaires de leur pays, en scrutant le travail diplomatique minutieux et inventif qui a pris forme dans le dédale des chantiers ouverts au cabinet royal et au ministère de tutelle, depuis l'offre d'autonomie 2007 dans la régionalisation élargie par le Maroc au Conseil de Sécurité de l'ONU. 

       En cela, ne peut-on dire que la matière et l'outillage utilisés pour faire face aux ennemis sur le terrain diplomatique, révèlent la densité des réflexions sur cette préparation par ce que l'on appelle désormais le ''Moroccan Diplomatic Think Tank'' ? L'un des plus en vue de toute l'Afrique, et qui fonctionne tellement bien, en phase avec les explorateurs de l'ombre de par les résultats obtenus avec célérité argumentée par la conviction et aussi par la persuasion d'autres filières parallèles se basant sur la charge identitaire patriotique. En plus, après avoir fait expérimenter sur cette même lancée, des mécanismes d'accompagnement concis et précis qui ont fait profiter à l'Etat-Maroc d'une notoriété qui n'a d'égal que le prestige du Roi Mohamed VI le concepteur de cette nouvelle vision diplomatique. Support sans conteste, primo des nombreuses visites royales en Afrique USA Russie Inde CCG Chine et en Europe et de la suite des discours puissants révélateurs de la force sondagière du Roi, pas seulement du marché des influences mais aussi celui d'assurance des arrières géopolitiques-géostratégiques. Malgré qu'il y eut la parenthèse qui a porté sur l'assistance obamaéenne d'un jeu diplomatique dangereux à son encontre en tant qu'Etat unique et unitaire, dont il s'en est heureusement rendu compte à temps pour ne rester dans l’œilleton des tireurs de ficelles surplombant les océans de l'islamisme diplomatique. D'ailleurs, autant le dire avec franchise, pis sur eux et sur leur soi-disant soutènement qu'en fait il n'est producteur que de tournis diplomatique ! Dans le sens où le Maroc, il faut le rappeler, a eu raison sur leurs critiques fouettardes parfois snobinardes sans fondement, surtout celles venant de relais médiatiques ne cherchant que de gâcher la rythmique de son offensive diplomatique enclenchée avec hauteur de vue et dextérité du savoir-faire. 

       Evidemment, quand on y pense, qu'est-ce qu'il manque aujourd'hui à l'élite pour ne pas parler des incertitudes et crises que vit le pouvoir Boutaflika, toute en restant loin de toute aversion contre le peuple algérien frère ? Ne sait-elle que le Maroc n'est plus hanté par l'idée incongrue de ce pouvoir de le faire glisser vers la revanche de la guerre des sables 1963, après son retour triomphal à l'UA ? Bien sûr, avec recommandation de ne pas manquer, sous aucun prétexte, la bonne appréciation de son tracé d'avenir commun avec tous les pays africains, sachant que l'aversion a moins de flexibilité que le désir de réussir sans encombres les grands défis du moment et futur proche. Dont les services de renseignement algériens admettent en OFF que la vie politique à l'international s'y référant, ne leur sourit pas de par le déroulé du fil d'actualités à l'avantage de ceux du voisin de l'Ouest méthodiques méticuleux et sûrs d'eux impactant  sa bonne réactivité équilibrée dans toutes ses relations ? D'autant plus, pour lui, dans sa percée africaine par ses partenariats gagnants-gagnants d'égal à égal, ne s'en sort-il mieux malgré la conjoncture de la mondialisation de l'insécurité et ses effets dont on voit les tragédies ici et là ? Notamment, en aidant dans la chaîne onusienne de stabilisation des conflits, et s'impliquant cordialement face à la concurrence farouche de la Chine Inde USA Turquie France UK Brésil Portugal Espagne et Allemagne sur le plan économique et ses régulations politiques culturelles et écologiques passives positives. Avec un état d'esprit de compréhension de la chute du moral de certains Etats africains n'ayant pas les moyens ni la logistique civile et militaire d'y faire face, mais se sentant dans l'obligation alliant vigueur et rigueur de s’accommoder à la bonne pratique de lutte anti terrorisme qui n'est plus à démontrer. 

      Néanmoins, n'est-ce cela qui met le Maroc en position d'Etat filtrant ne laissant passer les manigances en géopolitique qui les concerne et en géostratégie qui les arrange de par la confiance sans ambages qu'ils ont en lui, contrairement à l'Algérie dont ils préfèrent ne plus passer par aucune de ses plateformes ? D'ailleurs, ne commencent-ils tous sans exception de s'orienter, désormais sans se cacher, vers l'expertise marocaine de formation de leurs agents de sécurité en évitant toutes les nuances dans leurs réunions fermées entre eux. Et, d'où en plus ils lui donnent des gages déterminants pour l'assaut prospectif contre les groupuscules terroristes via l'échange du renseignement, la recherche et épiage des présumés terroristes et géolocalisation de leurs points fixes de rencontres en collaboration avec d'autres services sur le terrain. Cependant, c'est malheureux d'en arriver à ça avec le pouvoir algérien n'aimant que flagornerie, avec en plus nombrilisme exagéré énervant ne sachant prendre du recul. Mais, n'est-ce obligatoirement ce qui arrive, quand un pays se veut le seul héros dans la bande Sahel-subsaharienne africaine, alors même que tout le monde sait qu'il fricote avec Daech Aqmi Boko Haram et d'autres pour mettre tous ces pays sous sa botte ?  

      En ce sens, c'est vrai que l'ingénieux manège de Nkosazana Dlamini sur instructions de Ramtane Laamamra aurait pu duré au sein de l'UA, pour que ce pouvoir puisse continuer dans ses perfidies en provoquant embrouillamini dans les consciences des chefs d'Etats africains. Seulement, c'était sans compter sur le message marocain intercepté par plus de 39 pays au Sommet d'Addis-Abeba 30-31 Janvier 2017, dont la curiosité a fait éveiller les soupçons sur ce linkage machiavélique de non accompagnement du grand défi sécuritaire. Pour ne laisser la mise en relief de la conception sécuritaire commune du Maroc et ses amis prendre l'ascendant, s'ajoutant, évidemment, à la méthodologie scrutatrice du déroulé des événements suivis à temps réel par la diplomatie marocaine. De surcroît, anticipant même sur les communications du commissaire algérien ''permanent'' à la paix et sécurité le in-civilisé Smail Chergui avec la dizaine de ses semblables complices, d'intimer l'ordre au Polisario d'engager plus de tensions avec les FAR (Forces Armées Royales) à Guergarate. A même jusqu'à l'affrontement par des escarmouches comme une préconisation insistante, qu'au demeurant, elles les aurait invités à envoyer plus de câbles de protestation à l'ONU et ailleurs vers leurs lobbys, pour mettre la diplomatie marocaine sur le mauvais pied. Sauf que, ne sont pas malins ceux qui font leur manège border-line, sans tenir compte de l'environnement géopolitique géostratégique et surtout du crédit dont jouit la partie légitimée dans ses droits inaliénables en l'occurrence le Maroc à l'échelle de l'ONU. A l'évidence, ne s'agissait-il d'une préparation implicite de leur part, comme balisage à leurs imaginations fourbes de l'année, dont, honteusement, ils en espèrent que le Conseil de Sécurité à la session d'Avril 2017 ne manquera pas à les récompenser ? Plus machiavélique que ça, on connait pas ! A bon suiveur, bonne lecture !         

vendredi 10 février 2017

OUI, A L'UE DES LOBBYS SUR FOND DE PRIVILÈGES FONT DU CHANTAGE ECONOMIQUE AU MAROC, POUR LE COMPTE DE L’ALGÉRIE LARGUÉE.

L'UE (UNION EUROPÉENNE) N'EST-ELLE EN CELA DEVENUE LE PAVILLON DE CHASSE DES LOBBYS ENNEMIS DU MAROC, D’OÙ L'ON VOIT QUE LE RIDICULE S'EMPARE D'EUX JUSQU'A L’HYSTÉRIE ET/OU CATHARSIS CAR N'ACCEPTANT QUE L’ALGÉRIE NE SOIT STRUCTURELLEMENT  ÉCONOMIQUEMENT ET POLITIQUEMENT LARGUÉE PAR LUI ?

       Au Maroc, on est consterné de ne trouver le répit avec ces lobbys remplis d'orgueil sans vertu, qui à chaque fois esquissent leurs préférences sans gène presque dans tous les domaines. Tellement ils sont devenus insupportables pour le peuple marocain, dès lors que, pourquoi ne savent-ils pas que s'attaquer à lui c'est vraiment chercher à accélérer la déconstruction de l'UE ? Néanmoins, pour échapper à ce recommencement sans fin de leur chantage économique par faits désinvoltes qui s'installent comme une ROP (Recette d'Origine Protégée) et qui sont devenus un support atemporel dans son mode d'expression presque guerrier, il en faudra du travail de lobbying de persuasion de la part du Maroc. Et ce, même si maintenant il reçoit plus de soutien d'ailleurs, pour que l'UE approuve une fois pour toute la solution qui permet la levée de ce genre de barrières au libre échange trop politiciennes. Non seulement en changeant son paradigme économique avec lui, mais aussi parce qu'il commence à perdre patience de toujours se voir courir devant les tribunaux européens face à cet univers raisonnant politiquement faux, car regroupant ces lobbys férus de triches et pays sourds-muets à la légalité et la légitimité. 

       A cet égard, quand sauront-ils que le Maroc a des atouts qu'ils n'ont pas et qu'essayer leur conjugaison du verbe ''faire'' par la formulation ''on va faire'' ne les met que dans la parenthèse du hors-jeu au Conseil de Sécurité de l'ONU ? D'ailleurs, face à leurs turpitudes peu différenciées du procédé mafieux d'où les jets de venins fonctionnent même quand la question du Sahara marocain n'est pas posé dans leur agenda, n'en montre-t-il encore une perspective d'ouverture sur d'autres illustrations-partenariats en matière du libre échange approfondi bien documenté sur les gestions de crises, s'ajoutant à une coopération sur l'information-renseignement, le culturel, et les échanges universitaires ? Effectivement, l'UE dans sa recherche de dignité perdue n'arrivant toujours pas à sécuriser les accords agricoles-pêches avec lui, elle montre qu'elle tombe de haut. Et ce, au vu de sa géométrie politique variable à son vis-à-vis alors qu'elle est face au Brexit et devant Poutine lorgnant sur le Maroc pour s'assurer une entremise sur la méditerranée occidentale, sans oublier les nouvelles axassions africaines de changement de stratégie du Pentagone avec Trump et les populismes en Europe qui montent. Comme ça, n'est-elle pas, un peu dans l’abîme de l'ambiance d'un système qui met en danger ses implications nombreuses avec le Maroc souverain de ses décisions géopolitiques et géostratégiques ? Alors, pour voir émerger la meilleur mesure de sa part ne faut-il pour elle savoir que la conjoncture n'est pas de son coté, et donc pas question d'essayer de le décevoir sur cet accord signé en 2010 avant le grondement sociétal 2011 ? D'autant plus, pour lui la sécurité de ses citoyens pourra comptablement politiquement passer avant les autres, si elle continue à s'identifier à cette cohorte de pays africains jaloux qui n'excellent que dans l'assassinat des droits de l'homme. Notamment, en les considérant révolutionnaires issus de la partie laborieuse des peuples africains, alors qu'ils sont tous poursuivis ici et là de leurs biens mal acquis. 

       Cependant, ce qu'il faut savoir, c'est pourquoi ces lobbys occidentaux ne rougissent pas de honte au fait de leur prononciation à l'identique avec le ''mais'' d'un sens différent, ne sachant que désormais ils ne retrouveront plus à l'UA leur récépissé d'entrée dans les méandres et recoins du Siège à Addis-Abeba ? Aussi, il faut le répéter pour l'histoire, il y a longtemps bien avant que le Roi du Maroc Mohamed VI n'y prononce son discours inédit du 31 Janvier 2017, le siège de l'UA à Addis-Abeba en Ethiopie était le terrain des menaces envers les chefs des délégations des Etats africains récalcitrants à soutenir les manipulations montées contre le Maroc. Au point que ces lobbys inféodés à des pays connus d'antimarocanisme dans l'UE sont venus à la rescousse jusqu'à l'offense, en brandissant l'usage de mesures coercitives du 28 au 30 Janvier à l'encontre des chefs d'Etats pour les faire flotter et les éloigner de l'acceptation du retour du Maroc. Sauf que, lui, il s'en est trouvé en apothéose après l'officialisation de son retour à l'UA le 30 Janvier par un soutien massif de 39 pays. Dont, le lendemain, le 31 du mois, au moment où le Roi commençait son discours, si ému et si enthousiaste qu'il fut, l'audience en face ne put rester réservée pour l'ovationner sur ses appels lancinants à la prise en main des africains eux-mêmes du destin de l'Afrique. Et que seuls ces idiots de lobbys jaloux, n'ont pas mentionné leur admiration du moment historique que vivait l'UA, car sont pétrifiés coupés de la réalité visionnaire que contient le discours. 

       Il est loin le temps où pour s'adjuger les avantages en Afrique, il fallait narguer politiquement le Maroc, tout en s'alliant stratégiquement à l'Algérie. N'est-ce en cela que le commérage s'est emparé des lobbys anti Maroc jusqu'à la catharsis, car le voyant rester fidèle et attaché à sa volonté de ne faire de l'impermanence à formuler clairement son cap ? N’empêche, ce qu'ils ne savent pas, c'est qu'il fut hier toujours du coté de l'Afrique avec forte nostalgie de retour un jour à l'UA, aujourd'hui fort de sa présence effective dans ses rangs et demain certainement au bon équilibre en faisant bousculer l'entité fantoche au dehors de l'arène. D'autant plus, pour se faire dans ses choix géopolitiques et stratégiques pour le co-développement en Afrique, il comptera sur son expérience son autosuffisance et non l'intuition ni même le facteur chance. Alors ignorer cela, n'est-ce pas méconnaître sa typologie humaine entrepreneuriale de relever les défis et peut-être même son attachement à son continent d'avenir qui est à l'aube du grand développement, même s'il reste beaucoup à faire pour démultiplier ses potentialités encore non bien exploitées malgré tout ? Et oui, ce qui frappe le plus dans l'UE aujourd'hui, c'est le contraste entre l’ultra-scepticisme sans élégance diplomatique dans les repositionnements désolants de certains pays à l'encontre du Maroc et traditionalisme bête et méchant d'autres dans leurs initiatives économiques qui polluent leur appui à son vis-à-vis.

       D'ailleurs, ce discours royal à l'UA ne confirme-t-il la reprise de l'initiative du Maroc dans toutes les instances de l'UA, mettant tous ses ennemis de l'UE dans une rage bleue dont il ne faut pas s'étonner qu'il leur montre une résistance comme une répugnance ? Aussi, de ce fait, à leur malheur enfoui par la honte qui les envahit, le Maroc tout à son honneur, ne cherche qu'à les accabler davantage, même en les voyant se séparer en larmes des mamelles de Nkosazana Dlamini la tenancière pendant cinq ans de tout à la Commission de l'UA notamment le directoire politique et les finances. Laquelle, il faut le dire, après le 30 Janvier elle était dans un état second la voix cassée sans âme ni courage devant le président Alpha Condé stoïque calme et déterminé à lui indiquer la sortie à la première occasion. Comme ça, on ne peut pas dire que ses amis lobbyistes au sein de l'UE voulaient la voir dans cette position le jour du discours royal, et ce même avec sa misérable tendance d'envie d'occuper la direction de l'ANC dans l'espoir de succéder à son ex-mari le justiciable Jacob Zouma à la tête de l'Afrique du Sud. Effectivement, pour conclure, à son attractivité économique et son influence politique objective toujours en amélioration progressive, on ne saurait mieux faire que de s'en référer aux derniers discours du Roi pour comprendre pourquoi et comment le Maroc a-t-il tout fait pour en être le réceptacle serein et responsable, de surcroît fondamentalement tolérant hostile à tous les extrémismes ? A bon suiveur, bon décryptage !

mardi 7 février 2017

LE POLISARIO N'EST PLUS LA BONNE AFFAIRE DES ENNEMIS DU MAROC A L'UA, A L'UE ET A L'ONU !

N'EST-CE DE CELA QUE LA MOBILISATION MAROCAINE ENCADRÉE PAR SA DIPLOMATIE MAÎTRISÉE SANS IMPROVISATION NI DÉSINTÉRESSEMENT, EN A FAIT CONCRÈTEMENT UNE ENTITÉ-CHIMÈRE NON DÉSIRABLE AUX YEUX DE L'UA ET NON RECONNUE DEVANT LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE A L'ONU ?

       Avec sa coopération Sud-Sud, le Maroc dans l'UA ne se repositionne-t-il de manière à réaliser tous ses objectifs via sa feuille de route de son retour assuré et rassurant ? D'où, sans conteste, il aura à jouer son rôle locomotive par ses différents partenariats gagnants-gagnants d'égal à égal déjà en pleine exécution, même sur l'entame de l'Afrique désarçonnée qu'ont entretenu pendant 33 ans l'Algérie et l'Afrique du Sud. En effet, la question qui se pose pour les observateurs, ce n'est pas comment s'est-il adjugé à l'UA un fort soutien de 39 pays africains, mais quand commencera-t-il à récupérer à son avantage leur matérialisation des faits de respect de la démocratie, de la légalité et la légitimité ? A ce titre, comprendra qui voudra à propos de sa bonne réactivité pour augmenter la résonance et la force de cette analyse du temps présent et le proche futur ! D'autant plus, sa diplomatie avait, bien auparavant, vu assez loin, et réalisé que, ce faisant, le Roi Mohamed VI se retrouverait au Sommet de l'UA à Addis-Abeba pour prononcer son discours mémorable face aux chefs d'Etats africains et autres invités de marque à l'exemple du Secrétaire Général de l'ONU Antonio Gutteres. Ce qui conclut qu'il a atteint d'autres bases diplomatiques de par le monde, en mettant les ennemis dans une position où ils n'auraient jamais envisagé s'y confiner de honte voire de peur s'étant réinitialisées depuis les recadrages des nombreuses visites royales. 

      Voilà pourquoi ils sont tétanisés car ils savent désormais, au trait de la structure rédactionnelle par le ton mesuré la teneur émotionnelle et la charge politique du discours qu'ils sont dans sa ligne de mire. Et ce, pour leur faire savoir qu'il est clair dans ses engagements en vue de réussite de son approche géopolitique africaine patiemment entretenue, en concomitance de celle géostratégique avec le CCG USA France Espagne Russie Inde Chine Japon Brésil Pakistan et Turquie. Alors, de ce point de vue, quel bilan peut-on tirer de leur attitude de ne pas comprendre que le temps presse de le rejoindre et ne plus s'écarter de lui ? Aussi, n'est-ce malheureusement pour eux, le fait de n'avoir compris qu'il y a longtemps que le Maroc a trouvé l'enchère équitable Sud-Sud, les ayant rendu vulnérables par l'ouverture de son compte de fidélité sans naiveté ni amertume ni désinvolture ? Du fait, que ça donne plus de force et d'énergie en perspective d'une Afrique entreprenante dans la responsabilité la sérénité et la sécurité, ce qui met en exergue leur faillite de n’être à ce rendez-vous de l'Histoire avec lui pour plus de mise rationnelle de tous les programmes de co-développement. Dont tous les peuples africains en redemandent après qu'il aient vu le début de leur séquence se réaliser raisonnablement ici et là, et surtout compris que tous ces pays jaloux de lui, ne servent à rien, si ce n'est faire les discours sur des thématiques d'un temps révolu pour provoquer zizanie et division en Afrique. 

       A ce propos, maintenant, l'on peut dire, ne commencent-ils déjà à se dérober en OFF de leur soutien du Polisario malgré qu'ils affichent en ON un semblant d'adaptabilité aux nouvelles données géopolitiques et aux aléas de leur vent tournant ? Notamment, après qu'ils aient réalisé qu'il n'est plus bon de faire affaire avec cette entité fantoche, au risque d'en souffrir de la prise en main du Maroc du traitement de l'information pour accomplir la sensibilisation des chancelleries à travers le monde. Parce que, il faut le crier fort, le Polisario est maître dans le terrorisme multifacettes, la séquestration et les rapts, le détournement des aides humanitaires, l'immigration clandestine et les réseaux de trafic d'armes faux médicaments drogues et fausses monnaies. Ce qu'au demeurant suscite, aujourd'hui, pour les amis du Maroc au Conseil de Sécurité de l'ONU d’être conscients des différentes facettes de la tournure que prend la problématique du Sahara marocain. Notamment, au sein de l'UA l'UE l'Amérique Centrale et du Sud et aussi en Asie après son retour qui s'inscrit dans le cadre du renforcement de son maillage diplomatique, expression du nouveau structuralisme dont le discours de Dakar en a fait allusion pour se mettre à l'heure de l'Afrique. Un succès arrivé à point nommé, dont la communauté internationale n'a pas manqué de reconnaître la valeur ajoutée du retour du Maroc à l'UA, dénonçant en clair les fourberies du Polisario et les tromperies de l'Algérie et l'Afrique du Sud à propos d'autres orientations imaginations voire certitudes sans raison qui n'ont pas lieu d’être.  

       Néanmoins, lorsqu'on regarde à froid les conditions de ce retour du Maroc à l'UA, on s'aperçoit qu'il y eut une maîtrise de sa diplomatie de la chronologie des événements politiques et économiques partout en Afrique. S'ajoutant, en plus aux interventions avec soin des services parallèles en l'occurrence s'y afférant, dont effectivement ils ont assisté et aidé la diplomatie marocaine à devenir un ''Aimant'' sans pareil pour la mise en effectivité des réflexions programmatiques sur l'avenir commun avec les pays africains. D'ailleurs, qu'on se le dise sans complexe, on ne connait pas de meilleurs services qu'eux pour les décryptages des partages sournois et lectures zélées des ennemis à propos de leurs contre-offensives sur ce retour. Sans oublier l'ascendant amical qu'ils ont sur beaucoup de responsables africains, pour accélérer le rythme de programmation avec des levées de doute pour ne pas s’arrêter au milieu de chemin. Parce que si l'on attendait que le panel politique pour le faire, surtout de ceux qui ne ratent aucune occasion pour se mettre devant les pupitres afin de communiquer sur le fil d'actualité en géopolitique sans assurer leurs arrières, on aurait été mal-en-point eu égard à la résistance des ennemis. D'ailleurs, pourrait-on oublié l'embarras d'alors, à propos de la manipulation de certains députés et consultants en stratégie par de faux diplomates étrangers, que les marocains n'en acceptent qu'une telle chose puisse arriver ?

      De ce fait, pour étoffer l'argumentaire anti Polisario il faut surtout continuer à batailler pour le mettre hors-jeu à l'UA, dans l'attente de le faire débarquer définitivement de ses rangs. Bref, n'est-ce parce que cette entité fantoche qui s'enthousiasme d'un rien n'accepte que les marocains se projettent devant sa route, qu'elle ne pourra encore tromper la communauté internationale à l'UE et à l'ONU ? Et ce, non seulement du fait qu'elle partage sa lecture erronée sur le retour du Maroc, mais aussi parce qu'elle la considère comme le prolongement de tous ses soi-disant engagements. Dont, elle se targue les dédier au pouvoir algérien ankylosé qu'elle considère sans rougir comme le vrai défenseur des droits de l'homme, ne sachant que le Maroc par son carnet de bonne conduite octroyé par les instances à Genève en la matière, va lui faire à elle et à ce pouvoir après son retour à l'UA, l'apprentissage de l'humilité et la sagesse à travers les doutes qu'ils ne veulent admettre une fois pour toute. Particulièrement, en raison de leurs propos mensongers venant d'eux et leurs relais médiatiques pour minimiser cet épisode de la victoire de l'intelligence. Parce qu'ils ne désirent donner l'impression, un peu comme si, ils continuent à écouter le discours royal d'Addis-Abeba passant en boucle dans leur subconscient, les fragilisant jusqu'à imaginer l'expropriation du Polisario des rangs incessamment sous peu. A bon suiveur, bon décryptage ! 

dimanche 5 février 2017

APRES TANT D'ATTENTE POUR LA FORMATION D'UN GOUVERNEMENT, RIEN N'EST PERDU QUI NE SERA GAGNÉ !

PEUT-ETRE ENCORE QUELQUES RÉGLAGES POUR S'OFFRIR UN NOUVEAU GOUVERNEMENT PRÉSUMÉ FORT ET RESPONSABLE, DU MOINS ON L’ESPÈRE !

       Maintenant que le trophée UA du challenge-réintégration par la preuve diplomatique ait été remporté par le Roi du Maroc au Sommet d'Addis-Abeba le 30-31 Janvier 2017, ne serait-il utile pour la future formation gouvernementale de l'utiliser comme formidable outil de communication et d'action sur le terrain africain pour accélérer le rythme d'engagement marocain sans faille ? Mais, à cet égard, ne faut-il encore le rappeler à Benkirane paraissant obnubilé en décalage déconcertant avec les temps diplomatiques modernes, de cesser de voir son désir vengeur sur l'Etat unique et unitaire triompher ? En plus sans aucun ajout à l'image internationale positive du Maroc, dont on voit que les alliances contre nature et celles pan-religiosité ne lui facilitent pas la tache d'éviter les couacs. Parce que penser que le sursaut démocratique n'est qu'une relation générationnelle de l'importance d'une carrière, c'est s'écarter voir se replier de la raison d'Etat capable d'en faire du Maroc la première nation africaine. 

       Aussi, parce que, au-delà des désirs cachés et des aspirations de certains parmi les siens en optant pour l'anti-bon pour le Maroc par des élucubrations mentales erronées, il se pourrait que son rang dans sa soi-disant posture du passé récent au moment des élections législatives du 07 Octobre 2016, serait dépassé et que personne ne fera rien pour lui. D'autant que c'est bien connu, pendant cinq ans ses suiveurs ''mouridines'' communiquaient en usant des structures étatiques, via désinformations sur l'essentiel restant souvent noyées au milieu d'autres bien réelles de leur manège de s'accaparer du communautarisme religieux qu'ils cherchent à imposer. Pour cela, ne convient-il pour lui de réunir un aréopage d'hommes et de femmes vertébrés compétents pour former son gouvernement, en sortant de l'usage de mots de glaciation inutile dans ses sorties médiatiques ? De surcroît, par ailleurs, ne lui servant que de promesses mirifiques et non d'évitement des incidents sur la route de gouvernance si jamais il y arrive à mettre sur pied une équipe d'Exécutif pour ça. En effet, n'est-ce en cela que c'est la seule façon d'accompagner les exploits glorieux de la diplomatie royale, qu’évidemment qu'on ne le veuille ou pas est maintenant sur le podium-piédestal réel africain des actions politiques économiques écologiques culturelles et cultuelles-sécuritaires ? 

       A l'évidence, c'est par un sentiment d'arriver à un arbitrage royal pour la formation d'un gouvernement de la sorte selon les conditions du discours de Dakar, tout semble à l’arrêt au vu qu'avec la constitution 2011 rien ne pousse très vite et que tout est fait avec des négociations. Et, donc rien n'est moins sûr que ce temps maussade de l'hivers 2017 de par les vents le froid et la neige qu'il s’éclaircisse d'une parenthèse de douceur et de bien-être pour Benkirane n'ayant subi jusque là que des douches froides. Ce qui anime l'interrogation sur le tableau intenable en ce moment des tractations où c'est carrément le contraire qui se miroite au vu de l'état de non sérénité et désordre dans les idées pour former le gouvernement. Surtout pour empêcher le radeau portant les inconditionnels-pjdistes zélés qui sont déjà en dérive emphatique de devenir hors portée et ne les laisser dans leur incompréhension de s'ouvrir au martyr politique de ce qu'est le jeu interdit lié à la sécurité de l'Etat. A ce propos, beaucoup d'observateurs pensent s'il y a lieu de procéder à une fermeture de la parenthèse Benkirane, ce serait du fait que son bulletin d'adhésion-reconduction est plein. D'abord, pour qu'il révise ses classiques avec sortie des questionnements sans réponses relevant du divin, et opter pour la ''rationalité-in'' de l’exercice de l'Exécutif qui règle le bon fonctionnement de l'Etat. Puis, peut-être pour qu'il ne puisse encore bénéficier du traitement de favoris et continuer à être accueilli en VIP dans ses déplacements à l'Etranger dans un monde dont la géopolitique est en plein chamboulement. 

       Alors, en effet, sur ce constat ne parait-il maintenant seul mais attend qu'une opportunité lui soit présentée pour l'orienter où se trouve la clé de son destin politique immédiat. Parce que de deux choses l'une, où bien il tuera les tendances jalouses comme aussi celles zélées au sein de son parti le PJD en formant un gouvernement, où bien il se verra envahir du chagrin en passant pour leur serviette de service. D'autant que rien n'est perdu qui ne sera gagné, dès lors qu'on abat pas le cèdre Gourou en l'occurrence l'Etat-Maroc aussi facilement, même en s'y rebellant politiquement contre la volonté et l'outil de la réponse qui serait le cas échéant donnée. C'est pour cela il faut le dire, c'est une interprétation qui figure sur la responsabilité à porter pour faire comprendre à ceux qui veulent tout remporter, en renvoyant des signaux vis-à-vis de la mission interminable et ardue de Benkirane de former un gouvernement  après quatre mois de tergiversations risquant même l'annulation. N'est-ce en conséquence de cela, la bande des quatre ne lui cédera pas si son expression verbale continue d'avoir des tonalités par manque de discernement et de rationalité de vouloir imposer le PPS, dont les marocains n'ont pas manqué de lui régler son compte de tout solde électoral le 07 Octobre 2016 ? Lequel, face à cette situation se sent sans assise populaire ni médiatique mais aspire rentrer au gouvernement par la cheminée du PJD, pratiquement à contre-courant du processus d'aspiration de la fumée déposant la suie qu'à chaque saison il faut la ramoner.

       Voilà pourquoi, tout cela risque de casser tant que Benkirane n'est pas dans la rigueur que préconise le discours de Dakar, tellement il prend les autres pour des glandeurs qui n'ont pas besoin d’être félicités à part la paire PPS-PI qu'il dorlote. En plus, tandis que ses yeux se fixent là-haut, même sachant que son objectif ne serait en aucune façon atteint sans obtempérer dans toutes ses mises en scène, Chabat lui les fait larmoyants à coup de communication scabreuse sentant l'atmosphère éthérée de préparation de son suicide politique. Mais, à les entendre, étant donné le désamour flagrant de la bande des quatre à ce duo dont tout un chacun voit qu'ils ne veuillent avoir ensemble affaire à lui, toute sollicitation à d'hypothétique resplendissement avec lui sur les trajectoires gouvernementales est improbable. Sauf si, et seulement si, cette solution en serait la façon de fixation de l'avenir qui resplendirait si clair à travers l'Exécutif pour relever les défis sous des conditions et garanties, pour ne les laisser être au bon soin uniquement du PJD. Dès lors qu'on a de la peine de les voir faire fi de leur historicité, se permettant même qu'il fasse maussade dans la gouvernance et ce pour dépasser le blocage de la formation du gouvernement rien qu'avec Benkirane. D'autant plus, qu'on ne l'accepte ou pas, chaque mois passé les marocains découvrent que ce conglomérat PJD-PI-PPS ne vit que pour faire front commun à travers leur jumelage dans les idées anti prospérité de l'Etat-Maroc. En plus, s'en foutant de la gueule du monde, alors qu'en vérité ils ne veuillent que parachuter leurs proches consanguins amis (es) et copains au gouvernement, même s'abritant derrière la fusion imaginaire de former l'atelier des réflexions sur l'avenir qu'au demeurant sont incapables de résister à la moindre secousse ou remue-ménage. A bon entendeur, salut !