vendredi 31 mai 2013

AH, CES NOUVEAUX FLAMBEURS POLITIQUES DU TEMPS PRÉSENT !

A ANALYSER LEURS PROFILES POLITIQUES, N’EST-CE PAS EXACT QUE CE NE SONT QUE DES SBIRES SE PRÉTENDANT BOITES NOIRES, DONT CERTAINS AURAIENT EXÉCUTÉ SUR COMMANDE LES PIRES BESOGNES FAÇON ORANGE MÉCANIQUE A COTE DE LEURS   MENTORS ?

TOUT D'ABORD SONT-ILS HABILITÉS A RÉPONDRE PAR CETTE SORTE DE PLAINTE EXCLUSIVE ET COMPLEXE EN PLACE DES FAMILLES DES VICTIMES CONCERNÉES ? D’AILLEURS A CE JOUR, EN ATTENDANT UNE VRAIE LEVÉE DES DOUTES POUR LEUR REPENTIR INTÉROCEPTIF, ONT-ILS BESOIN DE FAIRE SEMBLANT DE NE PAS PANIQUER POUR SE DÉBARRASSER DES EFFETS NUISIBLES LIES A LEURS SORTIES MÉDIATIQUES ?

AINSI, N'EST-CE PAS QUE L’ÉTAU DE LA VÉRITÉ SE DESSERT SUITE AUX RECOMMANDATIONS DE L’IER ET AUX ASSERTIONS DU CNDH EN FAISANT PRÉVALOIR LE PRINCIPE DE PRÉSOMPTION D’INNOCENCE? ET QUE POUR RAISON DE GRANDE AMBITION POUR LE MAROC DE MONTRER SA NOUVELLE VITRINE, N’EST-IL PAS TEMPS D'ÉCLAIRCIR DÉFINITIVEMENT CE PASSÉ  ENCORE ANXIOGÈNE POUR BEAUCOUP DE PERSONNES ?

C’est quoi cette nouvelle méthodologie du repentir d’auto déclaration sans sérum de vérité ?

        C’est derniers temps on assiste entre naïveté et résignation à des déballages d’excitation de la mémoire des marocains sur bien de sujets. En ce sens, le peuple marocain se doit se surveiller lui-même de la propagation et faire attention aux opportunistes surfant volontairement sur les effets de cette production de messages non contrôlés.  N’est-il pas en droit de savoir ce qui s’est passé en marge du déroulé historique événementiel officiel où pas durant toutes les années de plomb ? Surtout dans beaucoup de cas de dépassement du droit et de la dignité humaine, par l’assassinat le kidnapping l’exil et la maltraitance. N’en parlons pas des exclusions, menaces voire tortures psychologiques à propos des liens des victimes aux leurs à même dans les biens. Aussi, depuis le début de publication semi catégorique de ce genre de déclarations, si ce n’est pas fait dans un but de commercialisation sur les supports médiatiques, il est évident qu’il s’agisse de production proactive d’interrogations potentiellement liées  à la surenchère politique du moment.

       N’est-ce pas que ces redites distillées ici et là, poussent à réfléchir et s’interroger sur le degré d’honorabilité des lanceurs distillateurs ? Parce que, ne s’excitant eux-mêmes qu’à l’idée de reprise par les manchettes et réseaux sociaux de ces dossiers rien que sur cette percolation opportuniste de leur soi-disant propre vérité. Et ce n’est nullement un déni des faits historiques, que de rappeler que chez ces gens là, le conseil que leur ont prodigué les manipulateurs des colportassions et mensonges dans leur structure partisane, d’apparaître en ce moment dans ces conditions après de longues vacances est un signe avant coureur de ce qui se prépare. En cela, les repérages des carences dans leurs dires et écrits, peuvent être, pris en compte sans mégarde selon qu’on soit réceptif par naïveté, où, scrutés méthodiquement selon que l’on reste réticent et fermé à ce machiavélisme d’exploitation de la mémoire, notamment de ceux déclarés morts en plus des  disparus à tout jamais connus où inconnus.

       Combien même on en saurait quelques bribes de vérité, il n’en demeure pas moins qu’il est intéressant de n’oublier les profilages des receleurs de ces histoires incroyablement vraies. Car, n’est-ce pas beaucoup parmi eux avaient joué les seconds couteaux dans ces affaires ? Et, même restant à l’époque indifférents aux souffrances provoquées par la mise en marche de dispositifs coercitifs et  brimades. C’est vrai qu’il est facile actuellement après tout ce temps, de vouloir se projeter dans l’air des pactes des brumes. Eu égard aux espoirs stoppés chez les victimes et leurs proches, en copiant par mimétisme les ex-chercheurs d’actes des soi-disant brigades héroïques. Comme ce que faisaient les alpinistes sur les hauteurs limitrophes de Boukhara, et ce, en oubliant les évidences dans les dérivations lors de leurs montées des pistes vers les points fixes.

       N’en déplaise à eux, n’est-il pas évident que leur lutte contre l’oubli, qu’ils croient adaptée à leur manière de diffusion des réalités, contribue au brouillage de la fiabilité de validation de leurs dires ? Parce que ne prenant compte d’aucune modélisation hors portée des remontrances de leurs chefs en vue d’investigation honnête, en l'occurrence qui soit recommandée et adaptée aux besoins de l’éclatement des vérités. Qu’heureusement les historiens rigoureux humbles par des essais de marquage  des faits pour le non masquage de ces mécanismes, ne feraient disparaître ces taches indélébiles de l’historicité de ce film-fiction. En effet, la recherche d’autres sources potentielles de recoupement des informations, est considérée étape cruciale dans ce genre d’évaluation du fait de leurs rôles respectifs dans les approches de traitement de toutes ces affaires. D’autant plus, leur propre implication n’est vraiment pas à écarter dans le cadre d’enquêtes sérieuses, loin des déviations chrono historiques réalisées actuellement pour provoquer le smog politique de manière systématique des scènes du déroulement.

       L’important donc c’est la prise en charge de ce multi centrisme informationnel de façon rationnelle, pour éviter d'etre berné par les dérapages chez ces emphatiques atteints de paranoïa, comme ce qu’on voit actuellement à propos du cas du martyr Omar Benjelloun.  Cependant, à cet égard, jusqu’à présent, leur échec de profit du rapport bénéfice/risque encouru dans leur implication, apparemment, il ne les a mené que vers des complications même dans leur sommeil. De sorte qu’ils ont commencé à montrer par passivité intégrative des données du nouveau Maroc, qu’ils étaient presque sous régime de conscientisation face à leur altérité existentielle, quoiqu'en disent certains loueurs de leur pseudo honorabilité.


       Cela dit, et de l’avis des observateurs avertis non enrolés par manque de lucidité, cette réactivation nouvelle à redondance manifestement suspecte de ces délateurs-sbires se disant boites noires, s’est imposée à eux comme faux-fuyant de référence le croyant nettement plus efficace en immunité préventive de toute poursuite judiciaire. Mais quelle serait l’attitude des usfpéistes officiels face à ce cycle logorrhéique de l’approximatif de remise sur la table du déroulé de la tragédie des années soixante dix du siècle dernier ? Vont-ils laisser faire ré assassiner la mémoire de ce symbole de l’intégrité morale ? Dont le Maroc nouveau ne veut aucunement subir encore d’autres rechutes, mais seulement envisager l’avenir avec espoir sans naïveté. Qu’on ne nous parle plus de boite noire de qui que ce soit et de quoi que ce soit, c’est une foutaise et une tricherie à l’endroit du peuple pour l’infantiliser davantage ! Ne peut-on pas dire que c’est aussi une sorte de truquage de l’histoire vraie de nos politiques n’arrivant pas à s’assumer par eux-mêmes ?      

dimanche 26 mai 2013

LE SENS DU MESSAGE DE CETTE LATENCE D’ARBITRAGE ROYAL, A-T-IL ETE INTEGRE ET ENTENDU AUSSI BIEN PAR LA COALITION GOUVERNEMENTALE QUE PAR L’OPPOSITION ?


EST-CE QU’APRÈS LA TURBIDITÉ PROVOQUÉE PAR CHABAT, LES COMPORTEMENTS DE PIRATAGE DE CETTE APPROCHE FOISONNENT-ILS ESSENTIELLEMENT POUR ATTISER LES TENTIONS POLITIQUES ? OU, S’AGIT-IL TOUT SIMPLEMENT D’UN TREMPLIN PSYCHOLOGIQUE POUR SE PRÉPARER AUX ÉVENTUELLES TRACTATIONS STRATÉGIQUES FUTURES, PAR RAPPORT AUX POSITIONNEMENTS BASAUX DE CONTINUITÉ ET BON FONCTIONNEMENT DE L’ÉTAT?

C’EST PEUT ÊTRE LARGEMENT CE CAS DE RETROUVAILLES DU SENS CIVIQUE QUI L'EMPORTERAIT, VU LA NON DISPONIBILITÉ AISÉE DES FONDS POUR ASSURER DES ÉLECTIONS ANTICIPÉES. EN PLUS LA CHRONOLOGIE DES SORTIES MÉDIATIQUES NE RASSURE AUCUNEMENT VERS UNE SOLUTION ENTRE COMPOSANTES COALISÉES DU GOUVERNEMENT. ET CE, DE PAR LES MOTS CLÉS POLITIQUEMENT ACERBES VIFS, UTILISES DE PART ET D’AUTRE  SUR L’ÉTAT DES FINANCES ET LES PRIORITÉS A ENTAMER. COMME LA REFORME DE LA CAISSE DE COMPENSATION, LA REFONTE ET RÉVISION DE LA FISCALITÉ ET SURTOUT LA MISE EN PLACE DE LA RÉGIONALISATION AVANCÉE.

EN TOUT CAS, L’OFFENSIVE EMPHATIQUE DU PJD N’A PAS EU LE RÉSULTAT ESCOMPTÉ. LE MIRACLE TANT ATTENDU DE BENKIRANE A FAIT PSITT! MÊME FAISANT SEMBLANT DE SE DÉTOURNER A MI-DISTANCE DE SON CYNISME ENVERS L’OPPOSITION. ALORS QU'EN VÉRITÉ IL S'ESSAYE A SA STRATÉGIE MACHIAVÉLIQUE DE PÉNÉTRATION DES CONSCIENCES ET D’ATTIRANCE DU PEUPLE AU MOMENT DES QUESTIONS-RÉPONSES AUX DEUX CHAMBRES DU PARLEMENT.

DANS CETTE AMBIANCE DE TENSION ET DIVERGENCES CIBLÉES, QUE RESTE-T-IL ALORS DE CETTE PASSE D’ARMES ENTRE BENKIRANE ET CHABAT ? N’EST-CE PAS QU'AU QUOTIDIEN C'EST LA TRANSPOSITION DE CETTE GUÉGUERRE AU SEIN DU PARLEMENT DONT IL S'AGIT? POUR NE PAS LAISSER LE MINISTRE DES RELATIONS AVEC LE PARLEMENT ET DE LA SOCIÉTÉ CIVILE, S’EMPARER DES ROUAGES PAR DES PROPOSITIONS POUR RAISON PROPAGANDISTE.


A qui alors profite cette latence pour trouver une solution à la crise, à Benkirane à Chabat où à l'opposition?

       Est-il vrai que les dés sont jetés ? Du moins le miracle pjdiste n’a pas eu lieu ! Ainsi, lorsqu’on se réfère à toutes les motivations de transpositions pjdistes destinées à attirer l’attention des populations, on voit qu’elles font désormais parti de leur historiette mentaliste fantaisiste. De surcroit, fatalement préconçue au bon désamour, non seulement entre composantes de la coalition gouvernementale mais aussi par rapport au peuple. Avec en plus l'usage de la virulence politique formalisée dans les propos, pour ne pas dire fanatique conjoncturelle déstructurant le pacte agreement-gentlemen de gouvernance participative. Car, à cet égard il est resté sans vrais actes de dynamisation, par le fait de fous têtus pjdistes spécialistes du copier-coller du tout feu à l’instar de leurs homomorphes sous des cieux non envieux d’un coté, et à la schizophrénie de comportement paradoxal réactionnel de l’autre surtout des istiqlaliens ayant tardé de ramasser leurs billes pour ne plus jouer à ces jeux interdits dans la consciences des marocains.

       N’est-ce pas qu’en plus par ce constat désolant, ils sont tous devenus manœuvriers-joueurs, politiciens-dépendants provocateurs de polémique d’interface non anodine. Laquelle par ailleurs, est ressentie par les nombreux observateurs avertis, évidemment, seulement transactionnelle politicienne dans certains recoins de la structure de l’Etat. Se mettant dangereusement en contradiction avec l’esprit de la nouvelle constitution, révélant une mentalité de spéculation à bout de gorge et donnant ainsi une assez bonne idée sur la mécanique-décélération de la régionalisation avancée pré-pensée par Benkirane et ses acolytes. Dont Chabat le fougueux téméraire a compris la dangerosité pour son parti le PI, ne voulant plus rester dans l’expectative passant à l’offensive, à même de bruler politiquement le PJD et son colocataire à ppséité bigarrée. Parce qu’on ne peut pas dire que ce n’est pas courageux pour un parti comme l’Istiqlal de mettre le doigt sur des sujets sensibles, même si c’est fait symboliquement surtout en ce moment où le pays n’a besoin que de certitude et conviction dans tout ce qu’il entreprend.

       N’est-ce pas qu’un an et demi après cet essai amalgamé dans l’Exécutif benkiranisé jusqu’à l’offense, on assiste presque en direct à la plus hilarante déconvenue de ce gouvernement ? Justement après ce constat, pourquoi le chef du gouvernement bizarrement, continue-t-il à se raconter des story-boards croyant trouver encore acquéreurs pouvant les faire transposer pour visualisation publique? Comme ce que les pjdistes avaient coutume de faire par les racontars approximatifs auprès des délaissés, les embobinant voire les roulant dans de la farine sans levure. Mais, ont-il oublié tout ce temps perdu à faire de la mauvaise politique par ces mêmes prêches tendancieux à la limite du légal, reniant toutes leurs promesses préélectorales d’avant le 25 Novembre 2011 ? Finalement ne se sentent-ils pas incompatibles et incompétents de gérer les affaires de l’Etat en tant que locomotive? Car ne s’attelant rien qu’au blabla et redondance creuse, mettant le pays dans une mauvaise posture socio-économique. Dont la dernière note de conjoncture du HCP par sa tonalité vive, exhorte le gouvernement de sortir de ses interrogations politicologue-électoralistes en ouvrant des perspectives tant en termes de dynamisme socioculturel qu’en efficacité économiques loin des rafistolages par lestages à contractions de crédits répétitifs hypothéquant l’avenir. N’en déplaise à ceux qui ont aveuglément tapé du bendir à ce genre d'option de financiarisation, ne connaissant rien de l’histoire du mode de conversion intimiste (cut and push forward) des islamistes partout où ils sont au pouvoir, pour qu'au final provoquer des restrictions des fondamentaux de la démocratie. 

       De fait, est-ce que le Maroc ne doit-il s’apprêter sans trop attendre à installer une nouvelle donne programmatique gouvernementale de projection dans l’avenir serein et responsable en attendant des élections anticipées ? En l’occurrence, pour mettre sur pied l’effectivité de l’arsenal juridique financier et administratif de la constitution du 01 Juillet 2011. Sans calculs politiciens, tout simplement, en usant du seul sacré sursaut national à sa juste valeur consensuelle, entre partis syndicats oulémas intellectuels et forces vives de la société civile surtout les jeunesses. Et ce, en prospectant et exploitant les vraies compétences dans cette plateforme d’offre foisonnante, pour faire sortir le pays de ce marasme panislamisme politique de Benkirane. Par ailleurs, s’appuyant invraisemblablement, peut être, par relation de proximité consanguine lointaine à la face cachée de l’ex communiste qui n’est qu’un capitaliste à déterminisme contrôlé, et dont le PI et le MP s’en sont apparemment alliés dans un but missionnaire mais à contre cœur. Évidemment, sans oublier toutes les oppositions institutionnelles où autres, vu que certaines d’entre elles ne sont plus disposées à revivre ce qu’il est désormais connu et, appelé communément code de l’arithmétique politicienne Benkirane-Benabdallah, en l’occurrence de basse portée socio-économique. D'autant plus en contradiction avec le principe de pérennité de l’État, parce que  ne s’accordant hélas qu’à de l’inintelligence dans la gouvernance hautaine snobinarde.

vendredi 17 mai 2013

DANS L’ATTENTE DE L’ARBITRAGE ROYAL, EST-CE QUE L’APPROCHE ISTIQLALIENNE DE DÉVIATION DE TOUTE COORDINATION INTERGOUVERNEMENTALE AVEC BENKIRANE, EST TOUJOURS PROMETTEUSE D’AVENIR POUR TOUTE LA COALITION?


CETTE MÉTHODE-APPROCHE CHABATIENNE N’EST-ELLE GÉNÉRATRICE  SEULEMENT DE SONGES CHEZ LES ADHÉRENTS ISTIQLALIENS ET TROUBLES CHEZ AUTRUI ? MÊME SI C’EST VRAI QUE TOUS SONT DÉSENCHANTÉS PAR LE DOGME DU POSITIONNEMENT POLITIQUE BENKIRANISÉ   A OUTRANCE, DONNANT UNE IMPRESSION DE GARANTIE ET ASSURANCE AU SEIN DE LA COALITION GOUVERNEMENTALE.  

       Le suivi politique de cette tornade émotionnelle et l’accompagnement médiatique qui s’en est suivi, occupent actuellement une grande place en interprétation de gestion gouvernance de l’Exécutif version 01 Juillet 2011. Alors que normalement la constitution a été montée pour permettre aux politiques l’optimisation dans leur pratique normative au quotidien, tout en écartant les prises de risques inutiles. Parce qu’il n’y a qu’à voir le répertoire des effets induits par la crise Chabat-Benkirane, notamment cette individualisation-choc incompréhensible de plus en plus puérile ne répondant aucunement au besoin de sérénité. Cela certainement fera date dans les annales de fonctionnement des partis, qu’en effet ce cas d’abus de langage annexé au mésusage comportemental, a montré une contrefaçon  désordonnée  du bon vouloir de bien faire.

       Aujourd’hui on peut dire que cette technique du PI de provoquer l’émoi, fait partie de la fonctionnalité maîtrisée de Chabat recourant en plus quasi-automatiquement au brouillage des messages. De fait, la charge émotionnelle ainsi induite est invasive, au sens où elle pousse tout le monde dans le champ politique national à chercher à s’en référer et s’y ré axer politiquement. Pour ensuite s’adapter à l’embrouillamini provoqué par le jeu de l’information-désinformation  subie, et surtout aux sournoiseries politiciennes conscientes re-larguées parce que dûment emmagasinées au fur et à mesure du déroulé d’actualités. Et ce, tout en faisant le point sur les positionnements relatifs à la conception participative dans l’engagement politique à coté du PJD version Benkirane 2013. Lequel flanqué de sa horde de l’enfumage n’usant que d’astuces de récupération, entre critiques acerbes envers les détracteurs, autocritiques semi réductrices des handicapes par incompétence et repentirs sur les implications sociétales par rejet de prises de responsabilités.  

       Cependant en ce temps présent, comment faire pour bannir ce genre d’exercice ignorant la mesure dans les propos au sein des structures de tous les partis surtout au sein de la coalition gouvernementale ? Vraiment ce n’est pas chose facile, notamment au PJD et PI de faire respecter le principe de conciliabules entre eux. Car c’est pratiquement devenu un fond de commerce des envolées lyriques de temporalités bien étudiées, croyant permettre à leurs adhérents respectifs de se dédouaner du désagrément vécu. Sauf que dans ce cas précis suite à la politique irrationnelle de Benkirane, ce n’est nullement cette forme auto déclarative subconsciente des pjdistes ajoutée au matraquage de louvoiement, qui peut les dédouaner de leur confusion fantasmagorique du début. Seule la vérité de l’exploitation des résultats et le constat dans les coulisses et arcanes de l’Etat comptent, et non les racontars et bruitages de fond sur les supports médiatiques où autres réseaux sociaux.

       Bien entendu dans l’attente de voir plus clair, à tout ce beau monde en ce temps de l’information minute, si vraiment de la théâtralité jouée dont il est question, on peut leur dire que la puissance de l’histoire ne les ménagera pas. N’est-ce pas que personne ne peut mentir au peuple sur le pourquoi cette tétanisation-relâchement de fonctionnement, et le comment des traitements des différends entre composantes gouvernementales ? Rien ne peut justifier cette violation de confiance vis-à-vis de la population en l’occurrence. Surtout, en faisant semblant sans se faire débusquer par les pratiques politiciennes aux conséquences pesantes sur le tangage des raisonnements politico-cartomanciens auxquels se livrent certains analystes de l’approximatif.

       Aussi, espérons qu’il s’agisse seulement de propagation de mauvaise gouvernance dont il faudrait tôt ou tard rendre compte. Et non d’une manipulation socio économico politique à mauvais escient, se manifestant également par le non-respect de la constitution entre le PI et le PJD. Parce qu’à cet égard, si c’est ça, que Dieu puisse pardonner leur ignorance des gestions des affaires de l’Etat et aussi leur méconnaissance des règlements des crises par consensus sous l’égide de la nouvelle constitution ! Que Patrie fasse de même face à ce non maîtrise de subconscience, leur pardonnant leur inadvertance sans silence ! Que Sa Majesté le Roi les ménageasse, pardonnant leur frivolité d’estimation ratio du jeu politique ! Notamment en ce moment où le Maroc n’a besoin que de clairvoyance vigilance et résistance. Même si, certains parmi eux par ailleurs pas nombreux, ne montrent que truculence maquillée pour la subsistance.

       En ce sens, voilà pourquoi nombreuses sont les voix qui demandent l’effectivité de la constitution par un gouvernement de salut national, pour éviter les notifications par ce genre d’événements indésirables. Et ce, en répondant à toutes les initiatives partisanes relatives à la bonne exploitation des articles de la constitution, et aussi aux doléances et demandes d’informations de la société civile et de tout un chacun. Il est donc primordial que tout le monde puisse adhérer à l’installation des dispositifs des lois et à leur réévaluation ou, du moins, ne pas les en compliquer par des interventions inutiles voire parfois ridicules. N’est-ce pas qu’une prise en contact dans les sphères politiques à tous les niveaux permettrait de mettre en scène cette imagination en y intégrant du bon sens ? Parce qu’un parti politique non effrayé, mettrait certainement tout son bon vouloir pour réussir le défi. Mieux qu’un autre manipulé n’attendant que d’être réveillé, en se concentrant davantage sur son avenir objectif, que sur ses peurs subjectives vécues ou à venir.

       De fait, il serait préférable pour chacun des ténors de la scène politique, de sortir de la détresse émotionnelle et les sensations de compétition sans valeur ajoutée. Oui, depuis l’avènement du nouveau règne, de plus en plus de jeunes loups en politique soignent leur image se conformant aux avancées que connaît le pays. Contrairement à d’autres se projetant dans l’emphase conversationnelle seulement dans leur imaginaire, parfois en portant des masques pour potentialiser les effets de leurs questions-réponses. C’est vrai que cette activité n’a rien apporté à la politique comme passion positive, et encore moins à la régulation de la transparence de leurs actes sans peur ni colère. Elle est même devenue source-vecteur de peopolisation sensible au vent comme les bulles de savon, loin de toute humilité et humanité. Finalement, est-ce que les politiques ne doivent-ils pas chercher à rester connectés à la réalité, en se fixant des objectifs possiblement réalisables dans la confiance et sans autosatisfaction démesurée ? 

dimanche 5 mai 2013

LE COUPLE MAROC-ALGÉRIE TOUJOURS FACE A UN AVENIR IN-QUANTIFIABLE, DE PAR L’IMPACT ONUSIEN QUI A EU LIEU !


COMMENT FAIRE POUR TRANSFORMER CET ESSAI AU DÉBUT DE TRANSPARENCE-INTRANSIGEANCE ONUSIENNE, MAIS DEVENU APRÈS UN FORCING DIPLOMATIQUE DE HAUT NIVEAU  COOPTATION-COMPÉTENCE MAROCAINE ?

       Il semble que l’idée du mécanisme de vigilance-surveillance des événements au Sahara marocain fait des émules. Même si de l’autre coté du mur de sable, les donneurs d’ordre affolés par cette pensée, continuent à imaginer des refus de leurs groupuscules en interne vraiment dollars-dépendants. Tout simplement, pour faire payer au Maroc, ce qu’ils appellent incroyablement indécemment le sauvetage de l’ONU. De surcroît considéré positif par toutes les composantes du peuple marocain, mais négatif par le pouvoir algérien et ses satellites. Ainsi, la tragédie de l’exploitation des souffrances dans les camps de la honte continue, tellement qu’on ne peut dire, désormais l’apathie non sympathie maghrébine est dépassée.  

       La paix entre les peuples, n'est-elle normalement un levier de résurrection multidimensionnelle de développement, en comptant sur la spontanéité d’ouverture des chapitres de convergence pour sortir de la fabrique de la médiocrité politique? En plus sans retenue particulièrement en immersion-guéguerre psychologique sur fond de surarmement algérien. Evidemment qu’entre l’Algérie et le Maroc, ça symbolise un programme navrant de conservation du statu quo en l’état d’apnée forcée. Une menace assez paradoxale à première vue dans toute la relation inter-maghrébine, où il faut faire attention parce qu’il y a des faucons prédateurs pas loin en interne comme en externe. Alors même que le patrimoine maghrébin présente un atout sans équivalent, que nullement ailleurs dans le monde, pour la bonne production d’entente et de rénovation ferme interdisant la surenchère des malentendus greffés pour l'appropriation du leader-chef dans la région.

       A cet effet, voilà pourquoi on voit apparaître de temps en temps dans les parties supérieures visibles des appareils étatiques des embûches-bûchers. Comme actuellement dans l’exploitation thermophile par l’Algérie de l’affaire du Sahara marocain. Ce qui empêche le développement normal des relations avec le Maroc, même s’il y a des initiatives de transvasement de la tension vers d’autres horizons par des sommets ministériels superficiels. En réalité, il est difficile de par ces réunions de masquage de l’échec évident, de continuer dans cette voie, au lieu de carrément crever l’abcès qui ne cesse de gangrener. N'en croyez surtout pas, que continuer à inhaler cette turbidité des tempêtes de sable sans se pencher sérieusement à régler le contentieux algéro-marocain du tracé des frontières, est une chose facilement supportable par la majorité des marocains ! Alors même, qu'en plus le parlement du Maroc considère ce temps de latence depuis le sommet tripartite entre Hassan II Boumediene et Ould Dada à Ifrane 1972 à ce jour, juste un abri de fortune pour halte de réflexion. En attendant le vote d’effectivité de ratification, et par la suite sa promulgation et parution au journal officiel. Où carrément, un non massif clair pour rouvrir ce dossier de plus belle, malgré que les généraux algériens parlent de prescription ayant consigné le tracé-projet au secrétariat général de l'ONU apparemment d'après eux sans réserve coté marocain.

       N’est-ce pas qu’on croyait qu’avec le temps ce volet relationnel entre les deux pays allait se kératiniser empêchant l’oxydation ? Et bien non, cette latence vient d’exploser en plein 01 Mai 2013, du moment qu’un parti de la coalition gouvernementale en a rallumé la mèche. En l’occurrence le PI de la bouche du patron lui-même Chabat L’AAFRIT, s’étant fait ouvrir voire balisé auparavant le passage dès sa visite très réussie en Mauritanie. Vu qu'elle a assisté aux pourparlers de l'époque, et dont Benkirane n'a pipé mot se contentant de sermonner Chabat sur son comportement violent à l'égard de quelques ministres. Ce qui a Provoqué un rejet violent de la part du pouvoir algérien, tout à fait caractéristique de ce contraste des péages constricteurs relationnels entre le Maroc et l’Algérie, notamment depuis l’affaire de l’attaque de l’hôtel Atlas-Asni à Marrakech. C’est vrai, cette déplétion relationnelle reflète l’état de non confiance mutuelle que chacun des pays essaye d’exploiter à son avantage, parfois en silence radio, au détriment de toute vraie amélioration où décrispation.

       N’empêche que tôt ou tard, il va falloir s’engager dans une nouvelle voie de réalisation raisonnée des objectifs communs. Pour ensuite, s’attaquer de front au vrai déficit relationnel, vu qu’on s’entendait pas jusqu’à présent mutuellement. Par conséquent, c’est comment s’en sortir d’une façon structurelle de cette énorme masse de problèmes multidimensionnels systématiquement greffés pendant tout ce temps ? La réponse serait d’abord sur le court terme, en tant que levier de résurrection économique par de vrais débats bilatéraux interactifs francs sur la complémentarité de gagner ensemble. Puis après sur la durée, selon des objectifs crédibles pouvant intéresser l’Algérie à changer impérativement sa prise thermophile paroxystique, en devenant compatible à la pression de réorganisation politico-économique ne tuant plus le commerce inter-échange frontalier. Et là, surement la proposition marocaine de l’autonomie dans le cadre de la régionalisation avancée, pourrait être cette base où le désamour d’antan serait consommé, loin de toute spéculation sur le sort et ressort du Maghreb.

       C’est vrai que par rapport au tangage de la région sahélo-africaine, risquant le décrochage du Maghreb par cet espèce de trou noir béant terroriste qui ne cesse de s’élargir, le Polisario reste de l’avis de beaucoup d’observateurs l’un des exécutants stratèges. De fait, l’Algérie doit prendre ses responsabilités et sortir de ses réflexes pavloviens antis Maroc, par ailleurs ne tenant qu’à la non lucidité et à la fantaisie d’aggravation des relations. N'est-il pas arrivé le temps pour le pouvoir algérien de sortir de la vulgarité niant les problèmes économiques et ne plus donner des réponses biscornues schématisées de fuite en avant, sans tenir compte des vraies doléances du peuple algérien.    

JUSTEMENT, COMMENT FAIRE POUR DISSIPER TOUT CELA FACE A LA RHÉTORIQUE-MATOISERIE DES RELAIS PROPAGANDISTES PRO-ALGÉRIENS, SURTOUT DE LA FONDATION KENNEDY ?

       A bien scruter cette propagande, ne s’agit-il pas d’un dysfonctionnement dans l’intégration des données sur le terrain, révélant une honteuse cogestion avec les renégats. Au point que c’est devenu, par crossing-over attaque-maltouse anti-irrédentisme marocain non argumentée, par une ribambelle de souteneurs en intra-muros manquant d’objectivité. Lesquels malheureusement fortuitement recrutés, ne travaillant que la subjectivité de l’agenda-programme du pouvoir algérien. En tout état de cause ça n’ébranle aucunement la détermination du Maroc, de continuer son bonhomme de chemin la considérant une assise de points à gagner, pour répondre aux freins que veulent imposer ces aventuriers de l’imposture. N’est-ce pas qu’ils n’auront pas le premier prix, de par leur lien avec les routeurs de la cyber-exhibition à des fins malveillantes de terrorisme et déstabilisation  ? 

       Oui, comment ne peut-on dire que les règles de respect des droits de l’homme partout dans le monde, ne peuvent être imposées de façons démontes? D’abord parce qu’il y a risque parfois de faire émerger la politique d’accommodation à une situation fut-elle dangereuse. Ensuite n’est-ce pas seulement une reproduction d’un casse-tête de réévaluation dans l’échelle des intérêts géostratégiques, pouvant être en désaccord avec le libre choix de la majorité. Conséquence du manque de confiance entre pays dictant et autres subissant de ces diktats, pratiquement toujours en décalage à l’international. Qu’en fait risquent d’accroître les tensions en interne comme en externe, parce que malheureusement, c’est dans ce contexte que tout se manigance sur le dos des pays par des stratégies dictée de macroéconomie. Ce qui fait poser aujourd’hui de nombreuses questions sur la vraie contribution onusienne, à propos des prérogatives de perspective de saucissonnage de beaucoup de régions dans le monde.

       Certes, les droits de l’homme au Maroc qui ne fuit pas ses responsabilités sachant qu'il est passé par les années de plomb, c’est bien beau ! Mais les droits à la démocratie évolutive sereine, tenant compte des acquis de l’engagement de l’État s’essayant d’éviter les dérives, sont aussi importants. Aussi, personne ne peut prétendre le contraire sur les grands pas effectués en ce sens par le Maroc, sauf s’il y a paraisse intellectuelle pour ne pas dire déni des réalités. A cet effet, est-ce que la rhétorique-matoiserie de la fondation Kerry aux USA, ne fait-elle que sautiller sur place dans le cadre d’une chaine anti-irrédentisme marocain, les nouveaux souteneurs intra-muros moyennant « GIVE ME DOLLARS » ? Cependant, même en tentant de s’adapter à leurs sorties de compétitivité médiatique sur les divers supports notamment sociaux, ils paraissent ne faire que la chasse au mirage sans fondement ni raison. En plus transgressant la conscience de la grande majorité des marocains, en usant d’additifs et artifices linguistiques d’un autre âge. Car croyant faire une démonstration de démocratie en soutenant thèse-rataplan d’inconsidération des faits historiques.

       Finalement au Maroc, il n’y aura jamais deux conceptions de traitement des droits de l’homme, surtout celle préconisée par ces fameux souteneurs ayant un prisme monochrome de voir les choses. De surcroît ne faisant que jouer la montre en faveur de l’Algérie des généraux, sans penser au peuple algérien frère qui ne cesse de payer les pots cassés. Vraiment ça se voit que ces souteneurs ne se sont nullement essayés dans leur vie à la capitainerie vraie et responsable, mais seulement à la promotion de cacophonie ne faisant que stigmatiser tous ceux en désaccord avec leur vision. En tout cas, ce n’est pas en distillant des médisances et contrevérités très critiques vis-à-vis du modèle politique du Maroc, qu’ils vont s’imposer pour s'essayer de s'institutionnaliser en marge. Il n'y arriveront jamais à se normaliser en tant qu'entité de réflexion, entre la confrontation des forces vives sur la ligne politique que doivent suivre les gouvernements et la tension légitime de la population pour l’amélioration de son bien être envers tous les gouvernements quel qu’ils soient. N'est-ce pas qu'il s'agisse d'une affaire entre marocains libres dans leurs choix, qu'au demeurant croyant sans réserve ni hésitation au processus de démocratisation entamée?   

mercredi 1 mai 2013

AU MAROC MEME S’AIDANT DE LA MAITRISE DE SOI, FACE A L’USURPATION-CATHARSIS DE SES ENNEMIS SURTOUT LES SIENS, POURQUOI ALORS CETTE LENTEUR EN VUE DE LA PAUSE-REMANIEMENT QUE TOUT LE MONDE ATTEND ?


     N’est-ce pas qu’au Maroc actuellement les attentes des uns et les exigences des autres se contrastent mutuellement ? D'ailleurs, c’est ce qu’ont voulu montrer les manifestants à la fête du travail du 01 Mai 2013 sur fond de crise sans précédent, tant les espérances sont fortes. Au point de risquer par la division sociale visible, de faire émerger une contre réflexion, vu la violence des slogans scandés face à l’égoïsme du PJD. A même de vouloir quitter le navire. où, réveiller le M20F dans sa nouvelle version.

Parce que pour ce gouvernement, continuer à faire semblant de montrer un courage sans la confiance, c’est comme s'essayer à jouer la montre pour procéder à un remaniement sans tenir compte des compétences. Ça ne marchera pas ! Car Benkirane est obsédé à s’éterniser en tant que chef du gouvernement, au risque de passer pour un autiste focalisant sur sa personne les détresses des populations, les cris de l’opposition et notamment les attentismes inexpliqués chez ses coalisés PI-MP jouant le sautillement sur place.

En ce sens, attention de se laisser berner par cette figuration border-line en se faisant greffer une crise sociétale sur la crise sociale, comme l’espèrent les spécialistes de l’usurpation-catharsis et aussi les professionnels du grand écart sans pour autant le montrer. Ne rêvant par conséquent que de fabriquer une sorte de retournement de situation, par ce qu’ils appellent communément la société des oubliés. Afin de pouvoir passer à l’exécution de leur programme-agenda commun, répondant aux besoins de leurs propres machinations et surtout leur projection-protection dans le futur.  

 
AUSSI, COMMENT LE MAROC DOIT-IL FAIRE POUR DÉPASSER LES ESSAIS DE SA DIABOLISATION PAR CES JUSQU’AU BOUTISMES-MANIPULATEURS DE LA VERITE ?

       Que veulent-ils ces traumatisés de la confrontation émotionnelle, ayant exagéré de se voir dans le miroir? le considérant uniquement d’auto purification après avoir nié leurs essais-déboires par perte de mémoire. Parce que n’usant que d’instruments de négation en sus de leurs ex-traumatismes, les impactant inconditionnellement, vu leurs actes politiques invraisemblables surfant sur les délires et les colportassions mensongères. En plus, espérant n’être jamais montrés du doigt ni vilipendés par le peuple entier, croyant le tromper par leur vision narcissique la jugeant démesurément beaucoup plus plausible et subtile.

       Un non sens du réalisme politique, parce qu’en continuant notamment à les lire, on ne sait toujours pas pourquoi ces enrôlés dans le déni des réalités, se voyant décomplexés, croient pratiquement au miracle des chimères ? Alors qu’il leur suffit de bien rouvrir les yeux pour tout comprendre, et se reprendre en s’appropriant le réel dans l’éveil. Hélas, ils ne veulent rien savoir pour sortir de leur état de rêve-dormance en se rattrapant, afin ne plus jouer les adeptes abandonnés à leur sort. Car, c’est ce qui leur arrive actuellement, vu que l’ONU a dépassé la scène d’embrouillamini provoquée ayant compris sa dangerosité l’oubliant pour de bon. D'ailleurs dans cette obstination, l’important pour eux en continuant dans leur aveuglément, c’est la non pause dans leur vindicte irraisonnée. A même de toujours créer des faux événements, en usant de supports communicatifs et autres mégaphones en mal d'équilibrage de leurs balances sonores comme actuellement au Sahara marocain. Et ce, dans le but de provoquer l’émotion et espérer réitérer l’idée d’émeute-rébellion contre soi-disant les atteintes aux droits de l’homme. 

       Pourtant, combien même à différents moments et endroits du pays comme aussi à l’étranger, beaucoup de personnes sensées et raisonnables étaient prêtes d’en débattre avec eux argument contre argument, pour les aider à sortir de cet état-second quelque part fondé sur la roublardise politicienne sentant le machiavélisme de manipulation préconçu dans des interstis maintenant connus des marocains. N’est-ce pas, que les vrais architectes de ces montages indécents, se trouvent dans les sommets de quelques Fondations narco-éthyliques-dépendantes se gargarisant de hauteur de vue et impartialité ? Sauf qu’elles sont clairement anti-Maroc sans raison fondamentalement soutenable, si ce n’est à cause de l’influence peut-être du pouvoir chimiotactisme des odeurs pétrolières et gazières, dont preuve à l’appui elles en raffolent.

       C’est vrai que ces enrôlés-relais propagandistes extra-intra-muros, n’en ont que faire des raisonnements ne se cadrant pas avec la pensée primaire de leurs maitres et surtout de leur propre vision de fonctionnalité d’encadrement presque nihiliste. Ce qui les intéresse c’est continuer leurs attaques par l’usage des faux-fuyants, en l’occurrence la victimisation-rétro sur l’insolidarité des marocains avec eux, comme si, ils sont les seuls détenteurs de la vérité de la marche à suivre. D’ailleurs hormis leur énumération des étapes du déroulé d’actualités qu’à vécu le Maroc, ils n’apportent aucunement d’idées pour l’effectivité et la mise sur pied de la bonne gouvernance. Et donc, d’en évaluer pourquoi certains ratages inadmissibles de certains dossiers sensibles, sans rester dans la rage de déstructuration des fondements de l’État. Comme aussi d’en consolider l’application du comment des réussites d’approches et traitement d’autres dossiers tout à fait importants voire géostratégiques.    

L’IMPORTANT C’EST CONTINUER A POSER LES JALONS DE LA BONNE GOUVERNANCE, EN EFFECTUANT LA PAUSE-REMANIEMENT POUR POUVOIR PORTER UN AUTRE REGARD SUR L’ENVIRONNEMENT POLITIQUE NOUVEAU.

       Désormais les clichés de comparaison avec d’autres pays pour la pause-remaniement, sont à prendre sérieusement sans tomber dans les propositions autoreverses conséquence du reflux de politisation des élites. Parce qu’il s’agit d’instaurer un autre cycle de gouvernance par l’application de la constitution en parfaite harmonie avec les institutions. Ceci nécessite une nouvelle vision politique, sur les activités participatives intervenant en faveur des déclarations et intentions des décideurs pour la réussite du pays. Loin de tout rafistolage ne tenant compte que du hit-parade de l’exigence de popularité populiste-dépendante.

       En ce sens pour dépasser ce mal-être dont se trouve le pays, il n’y a d’autre alternative que l’apport de souffle de détoxication de l’atmosphère politique, que par ailleurs serait bénéfique à l'équilibre du pays.  C’est vrai que l’équilibre recherché, ne se fera pas sans sacrifice pour sortir le Maroc du tourbillon de l’enfumage anxiogène dont il souffre aujourd’hui. Mais, pourquoi alors ce prolongement du temps de latence du wait and see, ne reproduisant que des styles de gouvernance à somme nulle, si ce n’est pas récessive à tout point de vue. Est-ce que le Maroc ne mérite-t-il pas un toilettage de l’Exécutif blabla sans résultat probant voire capitulant, pour relever les nombreux défis qui l’attendent par un meilleur staff de gouvernance dans l’air du temps ? Parce que, ni l’opposition ni la majorité à elles seules, ne sont dans cet état d’esprit de relever ce challenge. Par conséquent, il va falloir prendre les meilleurs(es) parmi les offres-plateformes respectives des composantes de la coalition gouvernementale fussent-elles nouvelles, sans oublier les compétences de la société civile ne pouvant que les booster davantage.

       A tous ceux qui en verraient une entorse à l’esprit de la nouvelle constitution, ils n’ont qu’à bien étudier la composition du gouvernement incrusté d’excroissances et dilatation forcément de sous-traitance partisane, pour arrêter leur catastrophisme. Seule une telle configuration en ce temps présent, pourrait faire face aux divers défis au court moyen et long terme, en optant pour des solutions courageuses assumées par une dosimétrie d’austérité circonstanciée et contrôlée, ne tuant pas la relance de l’économie et donc de la croissance. A cet égard, ce qui est important c’est la perception des priorités sans rester dans le brouillard des tentations des coupes budgétaires à tire larigot.