mercredi 19 novembre 2014

LA NOUVELLE PRODUCTION RATIONNELLE MONDIALISEE DE LA DIPLOMATIE MAROCAINE, EST-ELLE VRAIMENT EN MARCHE ?

N’est-ce le moment pour le Maroc de faire émerger son nouveau label diplomatique à bonne résonance mondiale ?

       Mais pourquoi après trente neuf ans, le pouvoir algérien continue-t-il à fabriquer les rendez-vous de ses lamentations ? Evidemment, tout le monde aura remarqué que certains de ses dirigeants et leurs portes-flingues journalistes, continuent de faire dans la polémique outrancière voire outrageante vis-à-vis du Maroc. N’est-ce pas qu’il y’en a de toutes les violences et diatribes à l’égard de la conscience des marocains dans tous les médias algériens, notamment après le discours royal de la Massira 2014 ? D’abord, ceux de par leurs lamentations ils ne font qu’à leurs têtes allant jusqu’à honnir le ficelage le ton et le contenu de ce discours de vérité tranquille et responsable. Essayant de faire porter à d’autres algériens le chapeau de leur déconfiture, en tant que tenants et aboutissants du pouvoir ne tolérant la constance du Maroc à rejoindre les pays émergents. Laquelle n’est-elle confirmée par la tenue de la cinquième édition du GES (Global Entrepreneurship Summit) le 19-20-21 Novembre 2014 à Marrakech en présence du vice-président américain ? Puis ceux ne l’entendant même pas de la bonne oreille, se mettant d’emblée en contrebalancement, entre mépris de tout ce qu’entreprend le Maroc et dénonciation sans fondement de son schéma directeur tracé pour la renaissance de sa diplomatie toujours sur le qui-vive.

       Vraiment les procédés d’ensemencement du doute pernicieux et de la suspicion malintentionnée entre algériens semblent extravagants, qu’au demeurant puisant leurs méfaits dans l’immoralité de la désinformation. Et ce, entre mythe de l’Algérie longtemps tentaculaire dans les arcanes des pouvoirs du tiers-monde apathique, et, conte de son interventionnisme-surréalisme diplomatique désinvolte d’un temps révolu. En effet, désormais, ne peut-on dire sans se tromper que nos dgedistes savent que derrière chacun des rendez-vous des lamentations algériennes, se cache la rancune s’alternant entre délires verbaux et commandement d’actes de violence rien qu’à l’égard du Maroc? Par conséquent aujourd’hui, toute la communauté internationale le sait, que cette caution algérienne marquant ses agissements sans valeur morale de bon voisinage avec le Maroc ne plait à personne, même pas aux passionnés ici et là de la terre brûlée. D’ailleurs c’eut été vain pour les observateurs internationaux qui ont tout particulièrement suivi ce qui se passait depuis trente neuf ans, de ne pas s’en rendre compte de la transmutation intelligente réfléchie de la diplomatie marocaine, s’agissant de ses anticipations à propos de ces lamentations algériennes. Tellement les marocains ne s’y sont jamais pris au jeu des complications relationnelles de la rancœur, montrant même un gage de sagesse et de garantie pour continuer à vivre en paix avec l’Algérie. Mais attention pas à n’importe quel prix, au vu que certaines lamentations ça fait plusieurs années qu’assurément elles sont restées au travers leurs gorges dûment irritées.

       De ce point de vue, pour rester en phase avec cette prédisposition marocaine à dépasser les notifications des effets indésirables des diplomates algériens, n’est-ce désormais le moment ou les nôtres doivent jeter les ponts directs avec leurs frères séquestrés dans la Hmada à Tindouf, via l’initiation et la promotion des lobbyings surs et efficaces ? Par des interventions à cadences soutenues dans la toile de la chancellerie mondialisée, surtout dans les capitales plateformes des décisions hautement sensibles. Parce qu’aujourd’hui plus qu’hier, tous les marocains se rappellent avec douleur les conditions dans lesquelles leurs frères et sœurs étaient abusivement enlevés et déportés vers le pire qui les attendait. Dès lors que, construire une nouvelle stratégie diplomatique en sortant de la vision maroco-marocaine, c’est d’abord réguler les dominations des mobilités des diplomates en tant qu’opportunités pour les initiatives diplomatiques de haut niveau.  A cet égard, n'est-ce ainsi, qu'inéluctablement il y’aura de nouveaux acteurs accélérateurs d’incubations de nouvelles idées, usant de connexions avec celles du CESE CNDH Cour des Comptes INDH requalifiée et autres, pour rester à la page? Et deçà, démontrer le machiavélisme historique de la tromperie du conglomérat Algérie-Libye et aussi montrer du doigt le silence de la communauté internationale à ce propos.

       En conséquence de quoi, n’est-il arrivé le temps propice de décrier ce déracinement forcé et honteux de toutes ces familles marocaines sahraouies, auparavant longtemps laissées pour compte du colonialisme espagnol ? A cet effet, n'est-il vrai que ces séquestrés malgré la bienveillance et le courage des forces armées royales à arrêter l’hémorragie, ne furent-ils les premières victimes de l’essai d’endoctrinement anti marocain ? S’étant vus dès les premiers jours au premier rang d’acclimatation forcée inadaptée, vivant dans des conditions atroces surtout hors les temps modernes. D’autant plus se voyant imposer, malheureusement un jeu pervers de communautarisme ethnique de distanciation des liens de sang avec leurs frères marocains.

       C’est vrai tout cela n’a provoqué que ferveur d’intéressement chez ces séquestrés à la thèse de la mère-patrie, car entrevoyant la revalorisation de l’identité multiculturelle marocaine dans le respect de tous les droits humains. Dont Ban Ki Moon et le Conseil de Sécurité doivent impérativement en prendre acte, pour leur recensement en les protégeant des mauvais traitements que leur font subir leurs geôliers algériens. Qu’en plus la salve des derniers discours du Roi du Maroc en a fait la part des choses en démontrant l’implication directe de l’Algérie, entre contraintes du respect du bon voisinage et essais rigoureux fédérateurs et conciliateurs dans l’esprit de la construction du Grand Maghreb. Evidemment, la panoplie des bonnes intentions marocaines révèle la dextérité de la vision royale concernant l’autogestion du Sahara marocain intrinsèquement liée à la régionalisation avancée. Laquelle est déjà en effectivité de marche, dont le pouvoir algérien avec ses enragés sbires ne parviennent à en gober ce renouveau stratégique diplomatique marocain. Particulièrement à l’heure du presque chaos polisarien, même s’efforçant d’en dissimuler le corollaire de dissidence désormais enclenchée avec détermination en plein jour dans les camps de la honte. De par la correspondance et arrivage d’informations avérées et établies avec une sensation du début de sortie du joug algéro-polisarien, caractérisant les prémices d’un proche retour en masse vers Al Wattan le miséricordieux en l’occurrence le Maroc.  
       A l’évidence, c’est ce qui renforce le fait de parler coté marocain de fébrilité du pouvoir algérien, signant la psychose voire la panique dans les rangs des propolisariens résiduels de l’intérieur. D’ailleurs que leur reste-t-il, et qu’attendent-ils pour se rattraper et se faire prévaloir aux yeux de leurs frères ? N’est-ce pas qu’ils n’ont de choix judicieux que celui là ? Lequel, est temporellement en phase avec l’air des variantes sociales économiques culturelles écologiques et surtout politiques que connait le Sahara marocain. En cela ne peut-on dire que l’ère de la diplomatie marocaine connectée tout azimut n’est-elle arrivée ? Rien qu’en se laissant tenter par une autre dimension de suivi des intérêts géostratégiques vitaux du Maroc, avec assiduité et abnégation partout à l’étranger. En somme, faire émerger un vrai réseau mondial de diplomates se prévalant des nouveaux paris diplomatiques marocains offensifs dans tous les domaines. Et ce, en restant dans la ligne tracée par la nouvelle génération des discours du Roi Mohamed VI, apposant un label marocain à résonance mondiale, qu’au demeurant ne faudrait-il dare-dare et impérativement le mettre en évidence. Bien évidemment, sans sortir sous la coupole de quelques diplomates chevronnés ayant montré une volonté de dépassement des rétropédalages diplomatiques d’antan. A BON ENTENDEUR SALUT !

mercredi 12 novembre 2014

SOUVENIRS DE JEUNESSE POLITIQUEMENT ARDENTS A PROPOS DE TRAÎTRISES AVÉRÉES !

Mais qu’est-ce que c’est cette tendance-guidance politicarde absurde vers la manipulation du cycle des tentatives d’assassinat du Roi Hassan II, fonctionnant sur le modèle de la réappropriation de l’histoire ayant pour objectif de venir en aide à la mémoire des comploteurs ?

       Actuellement au Maroc,  on assiste à la parution d’articles d’individus, s’orientant pour les uns vers la réappropriation de l’historicité ponctuée des événements politiques marocains, mais enjambant par des modalités d’expressions douteuses quelques détails à valeurs historiques significatives. Parallèlement à d’autres, allant vers l’imagination délirante semi-calibrée rien qu’à leurs thèses par pure fidélité à leur formatage sociétal-familial. Provoquant ainsi la décomposition de la vérité historique dans les consciences marocaines, que ce soit, par rapport à l’idéologie centraliste et bureaucratique du mouvement national que l’on veut effacer, que sur la tendance à s’enorgueillir en subliminaire des tentatives de coups d’Etats contre Hassan II. Néanmoins, bizarrement ils se proclament tous, les nouveaux portes-oriflammes de lutte contre les faussaires de l’histoire. Qu’heureusement la marée montante par suite d’initiatives plus documentées et sans partie pris, en dénonce leurs objectifs de par ce désordre établi. Notamment, en ce qui concerne les traîtrises avérées des comploteurs d’hier contre Hassan II, et aussi à l’égard des vendeurs de leur âme dans l’affaire du Sahara marocain aujouurd’hui.

       Ce faisant, pourquoi continue-t-on dans ce genre de lignes de l'irrégularité où l'on voit une production de tissu de mensonges, alors que les péripéties de la traîtrise sont connues. C'est vrai, l’année 1971 a été marquée par la tentative de putch militaire mené par le général Madbouh et le colonel Aababou chacun selon ses affinités et aspirations. Sauf qu’après, non sans raison une fois de plus, les projecteurs d’analystes politiques ont été braqués sur Oufkir, sur son rôle bidimensionnel dans cette tuerie érigée en hécatombe nationale. Si bien qu’un célébrissime journaliste français aurait dit en OFF à ce propos «si vous voulez comprendre ce qu’est un carnage inhumain de massacre d’humains, de surcroît suivi et arbitré à la fois de près et de loin posez-en la question à Oufkir, il vous en dira assez sur ce jour du 09 Juillet 1971 à Skhirat près de Rabat». Ce journaliste qui avait ses entrées et sorties au Maroc en parlant de la sorte, admettait que le montage de ce massacre faisait partie d’un accord préétabli sordidement. Sorte de reconstitution canalisée en tuerie barbare sans merci par les putschistes, aussi bien contre les civils de la nomenclature de l’époque que les militaires hauts gradés qui n’étaient pas au parfum. 

       Rappelons-nous par ailleurs après la conférence de presse d’Hassan II, il n’eut eu aucune réaction de ceux qui n’étaient pas en faveur de la méthode utilisée pour le contrôle du pouvoir. Parce qu’ils étaient choqués, même étant putschistes au fond d’eux dont les marocains en ont eu la preuve trente ans après. A cet égard, pendant longtemps certains de leurs inconditionnels portes-plumes, soutenaient le fait qu’il suffit de jeter un coup d’œil sur le chiffre effrayant des morts civils et militaires surtout leur qualité, pour démonter l’absurdité de cette affirmation. Mais ceci explique cela, ne réapparut-il dans le Maroc une accointance opportuniste de quelques meneurs des fractions paupérisées, avec ce soi-disant champion sorti par hasard indemne du partage de la passion de la violence de Skhirat ? En l’occurrence celui qui avait en catimini ouvert ses bras et, fait accolades à ses ennemis d’hier pour leur montrer ses prouesses, surtout de quoi il était capable après avoir anéantis ses compagnons-compétiteurs-challengers dans la traîtrise. D’autant plus, quand on se réfère aux attributions et fonctions de ses militaires de haut rang, sachant leurs relations personnalisées non moins objectives avec le Roi Hassan II, rien n’incitait à faire vite sans procès pour les passer sous les armes. Et ce, s’il n’y avait pas anguilles sous-roches, en particulier pour stopper nettement les dérivations notamment dans les rouages administratifs des provinces d’Oujda Meknès Er-Rachidia Rabat Kenitra Marrakech Fès et Casablanca. Dès lors qu’il s’agissait d’un maillage d’une armée qui se professionnalisait de plus en plus, et qu’il fallait calmer. Même étant scindée à l’époque en en deux grandes catégories de structuralités différentes mais complémentaires les unes les autres. Dont la première trop militarisée tentaculaire à l’Est depuis le col de Taza et aussi au centre à Dhar-Elmahraz Elhajeb Tadla, tandis qu’au Sud-Est à Er-rachidia où on avait découvert une sorte de marmite-militaire ignorée, qu’en plus continuait à bouillonner avec Ouarzazate après les péripéties de la guerre des sables de 1963. La seconde où se concentraient les armées en perpétuels mouvements de construction-restructuration tels les centres Benslimane Ain Borja et aussi les bases aériennes Sidi Slimane Kenitra Ben Guerir en plus beaucoup d’autres casernes et bases navales.

       Cependant, au lendemain de l’exécution des douze généraux et leurs aides de camps, personne n’imaginait la sensation non moins bizarre puisant une origine commune sans distinction dans les territoires du Rif Zayan Bni-Mtir et dans l’oriental. Il eut même arrivé des scènes de transes collectives sous forme de "Mnadbas"construites autour des méandres relationnels de sang des tribus concernées, procédant d’une exploration dépeignant un monde à part dans un style sans précédent. Aussi, l’hystérie vécue dans ces familles avait pris des fins chaotiques, se décrivant au moyen de métaphores de chansons entre refrains implicites d’éventuelle vengeance et litanies de désespérances réelles face à l’exécution des leurs. N’est-ce d’ailleurs ce qu’avaient fait quelques Zayans sur Akechmir à Khénifra, allant jusqu’à la lacération des visages enduits de suie, voire l’automutilation à la chiite pour certains d’entre-eux pour signer le commencement d’un très long deuil ? Alors qu’au jour noir où il pleuvait des balles au palais de Skhirat à l’Etat-Major et à la RTM, certains d’entre eux très en vue auraient été vu parader en tenues militaires même étant des civils, s’octroyant le luxe de le faire aussi en jeeps neuves portant des antennes des transmissions. En quelque sorte, ils auraient eu l’illusion que ce qu’ils entreprenaient recevait l’approbation de tous les territoires Zayans comme une valeur positive. Ne sachant pas que ça les amenait en sens opposé, de ce que les khénifriens en général savaient, autorités comprises, sur leurs comportements voire débordements. Mais la question que l’on est en droit de poser, pourquoi cette réalité fut-elle escamotée d’une manière troublante, à même d’aller à ce qu’elle soit subtilement chassée des mémoires par la routine de la complaisance et la compromission?

       Finalement, pendant toute cette période avec la bénédiction des USA pour les militaires et de l’URSS via l’Algérie pour les civils seulement de la pensée socialiste, la politique de confrontation était à son apogée leur servant d’exutoire laissant de nombreuses victimes marocaines des deux cotés. Cela englobait aussi bien les tromperies des uns et les fausses attitudes des autres, s'intensifiant aux périodes des fêtes nationales, et où en effet, les familles et tribus excitées par les comportements des leurs au sein des rouages de l’Etat, usaient elles aussi d’actions mal calculées parce qu’affectées du syndrome de supériorité. Pensant que c’est un privilège que leur confère soi-disant la patente des postes de responsabilité des leurs, chose que la constitution ne tolérait même pas. Mais, malheureusement l’historicité des événements la faisait parfois transformer dans leurs territoires en droit du sol par la  compromission pour ne pas dire faiblesse des représentants de l’Etat.

       Dans l’ensemble, le traître Oufkir que les américains voyaient d’un bon œil, était celui qui avait établi des règles de collaboration sournoises lentes et très variées. Que ce soit avec les civils, dont la police sous ses ordres intervenait pour tous les surveiller au moindre détail, où avec les militaires de son rang que par ailleurs certainement les archives en compteraient plus de pages noires. A prime abord, cela n’a pas du tout été toléré par la suite, après sa tentative du 16 Aout 1972 et les évènements du soir du 02 Mars 1973 à Casa Oujda Assoul Figuig Moulay Bouazza et Khénifra, dont la machine des contre-enquêtes policières s’est déballée emportant tout le monde. Pour preuve, au lendemain du 03 Mars 1973, lorsque Feu Mohamed Benhima ministre de l’intérieur et Mahjoubi Aherdane présentaient le colonel Arzaz sur la place d’Azlou rebaptisée d’Al Massira Al Khadra, en tant que gouverneur militaire de tous les territoires zayans, les tribus surtout les Ait Khouya ne savaient pas ce qui les attendait. En effet, beaucoup de souffrances dans leurs biens et leur chair dont l’IER (Instance  Equité et Réconciliation) en avait eu des années après d’amples détails. Même si, les contrevenants au code moral de l’authenticité de ces évènements s’amusent aujourd’hui à distiller d’autres thèses extravagantes émanant d’historiettes, dont subsistent plus où moins la tradition conservatrice d’instauration des liens dominants-dominés. N’est-ce malheureux de voir encore en 2014, leur hypocrisie suprême se transformer en défense d’un esprit désuet, seulement dans un souci de sauvegarde de cette bulle des mensonges et sornettes ? Au lieu d’exprimer l’attitude d’honnêteté intellectuelle surtout journalistique, où il est facile d’opérer des distinctions très précises démêlant le vrai du faux. A SUIVRE DANS MON PROCHAIN LIVRE RASOIR !  

dimanche 9 novembre 2014

Y’EN A MARRE DES DIGRESSIONS POLISARIENNES ET, SURTOUT DES PARASITAGES ALGÉRIENS SOUS CONTRÔLE SOUS-ADJACENT USAEN-ONUSIEN !

NE S’AGIT-IL DU DISCOURS ROYAL DE L’OFFRE DE LA DERNIÈRE CHANCE POUR L’ALGÉRIE DE SE RACHETER ?

       Désormais au Maroc, il n’y a plus de place aux traîtres comme aux opportunistes bi-intentionnés dans l’affaire du Sahara marocain. Dès lors que ces derniers temps, s’étendait l’immense inquiétude chez les marocains, surtout les diplomates et autres fins analystes politiques à propos d’un stratagème qui se trame dans les coulisses onusiennes pour piéger le Maroc dans son Sahara. Dont le Roi Mohamed VI en a esquissé précisément les relents dans son discours du 06 Novembre 2014 au trente neuvième anniversaire de la Massira. C’est d’ailleurs le sens et le fond de l’accélération marocaine pour anticiper ces agissements malintentionnés, d’où la structuralité sans ambages de ce discours royal.

       Evidemment, c’est ce que confirme sa HRP (Haute Résonance Politique) à l’international, sur l’intérêt de ce sursaut de prévenir cette tendance échangeuse de mensonges et contrevérités. C’est vrai, le ton y était poignant avec sérénité qui n’a d’égal que sa valeur souveraine dans les temps qui courent. S’appropriant d’abord dans le style, la clarté dans les propos face à l’Algérie, s’ajoutant à la communication-messagerie directe de l’intransigeance dans le positionnement vis-à-vis de toute traîtrise. Puis dans l’intonation, l’utilisation pour la première fois d’un NON expressif fort et sans équivoque, s’adressant aux nationaux comme aux étrangers usurpateurs usant de tromperie syndrome des fausses béquilles de fausse rectitude. Parce qu’il s’agit d’opportunisme purement malveillant de leur part, dont le Roi est venu dresser le bilan des trente neuf années d’utilisation de leur schizophrénie comparative, voire mutualisée parfois par ricochet entre eux du point de vue de la structure de la haine qu’ils portent sans raison valable au Maroc.

       Ce faisant à l’évidence, c’est ce qui a d’emblée boosté les marocains humbles et honnêtes, hommes et femmes petits et grands à se concentrer davantage, en raison du climat de confiance que suscita la spécificité de la teneur de ce discours d’ontologie. En l’occurrence, du coup, se voyant mémorablement porter par l’ivresse-liesse de reconnaissance à la détermination royale exprimée par un talent politique clairvoyant, ayant souligné un point essentiel dans l’offensive marocaine qui n’est autre que l’obligation de rester dans la vigilance absolue. Notamment, vis-à-vis des manipulateurs-analystes géopolitiques soufflant des vents d’idées, dont tout un chacun connait désormais les bas-rebonds pernicieux. Car, il faut le dire, y’en a marre de ces exacerbations aiguës importées d’un temps l’autre pour narguer le Maroc, qu’en plus apportées dans différentes recommandations algériennes en ce qui concerne la prise en charge de la MINURSO du volet des droits de l’homme dans le Sahara marocain. Notons que ce n’est pas la première fois, qu’en effet auparavant ils avaient déjà essayé de franchir de la sorte l’étroite bande de confiance de la représentativité que normalement l’ONU doit objectivement montrer. N’est-ce là, dans ce discours précisément,  le Roi du Maroc a dévoilé la nécessité d’un bon usage de la sagesse (Hikma) du Conseil de Sécurité de l’ONU par les faits et non les paroles, en accordant plus d’attention à l’offre maxima marocaine d’autogestion équitable et viable dans le cadre de la régionalisation avancée, quoiqu’en disent les maquilleurs des faits historiques?  

       Mais, est-ce qu’aujourd’hui trente neuf ans après, on ne peut pas dire que le capital mémoire de la Massira, fait partie de la richesse de l’histoire immatérielle du pays ? En tout cas, on n’a pas besoin de creuser ni sociologiquement ni psychologiquement et encore moins politiquement pour s’en convaincre. Car, d'autant plus ça saute aux yeux de voir l'effort colossal de développement matérialisé à coup de gros budgets sur le terrain et consenti par les marocains, même entre les réussites et les déceptions par rapport aux gouvernances successives qu’a connues le Sahara marocain depuis. En ce sens, est-ce ce que les jeunes marocains sahraouis d’aujourd’hui et demain, sauront-ils scruter le déterminant immatériel de cet épisode et en exploiter positivement les leçons politiques ? Bien sûr que Oui, surtout en s’appropriant les moyens institutionnels et constitutionnels avec responsabilité et abnégation, dès lors que l’accélération du processus de la régionalisation avancée est annoncée par le souverain. Tout simplement en révisant de fond en comble le mode de gouvernance par eux-mêmes, loin des essais de manipulation de l’essentiel et surtout sans repousser aux calendes grecques les délais de concrétisation de la démocratie participative.

       Et oui, ce discours royal de la fermeté, de la détermination et du recadrage de maximalisation des initiatives et attributions de la souveraineté marocaine, est un tournant décisif dans l’histoire de ce conflit préfabriqué. Mettant la communauté internationale devant ses responsabilités, l’exhortant de sortir du jeu irrationnel petro-dinar-dépendant décevant, allant à contresens de la vérité historique. A cet égard, le Maroc n’a-t-il de tout temps montré sa disponibilité et son souci de collaborer avec l’ONU sur bien de sujets tout aussi sensibles, qu’en plus il est le seul pays de la région se trouvant sur les rails de la démocratie évolutive sans surchauffe ni tension ethno-tribale ? Contrairement à l’Algérie tanguant dangereusement, parce que nourrissant la chronique d’une historicité événementielle gouvernementale pathétique. Tellement, progressivement, partout on a énormément glosé sur ses virages de mauvaise perspective dans le choix démocratique de sa gouvernance, dont malheureusement le slogan politique c’est « rester en transe anti Maroc coûte que coûte ». A même d’en soudoyer encore plus les traîtres sous-mariniers enragés qui sont restés sous sa coupole, et aussi les politiques étrangers bi-intentionnés de surcroît amphotères dans leurs positionnements selon les opportunités.

       Finalement, en étant plus clair, que le pouvoir algérien soit tranquille ! Jamais le Maroc tel qu’il est bâti depuis des siècles, ne se laisserait dépasser par les chimères et les mirages des séparatistes et leurs portes attachés-cases. Sa stabilité passe avant tout, usant de son expertise dont personne n’en nie l’efficacité, et/où n’en peut l’attaquer sur quel plan que ce soit. C’est même devenu un art de gouvernance sécuritaire labellisé reconnu, recherchant continuellement les moyens pour faire face aux dangers endogènes et exogènes sous contrôle du parquet spécialisé. D’autant plus, au niveau du respect des droits de l’homme, le Maroc devance haut la main l’Algérie et de quelle manière, de sorte que tout un chacun le sait, elle est le dernier pays qui peut parler de ce volet. Voilà, c’est là encore un point fort du discours, ayant levé le voile sur les attouchements des ONG corrompues avec le pouvoir algérien, au demeurant longtemps leur agence-billetterie préférée, malheureusement au détriment du mieux vivre du peuple frère algérien.

       A dire vrai, toutes ces ONG petro-dinar-dépendantes ne pourront jamais trouver leur marque, du fait de leur servilité connue à un pouvoir rancunier portant sa rancœur à son cash-flow plus de cinquante ans. Dont ses médias n’en démordent pas en ce moment, s’étant rentrés dans une phase rageuse coléreuse vis-à-vis du Maroc par suite aux répercussions internationales du discours du souverain marocain. A bons suiveurs bonne lecture !           

lundi 3 novembre 2014

A QUAND DES RECOMMANDATIONS D’ANTICIPATION CONTRE LE FLÉAU CHÔMAGE, S’INSCRIVANT DANS LA VEINE DU DISPOSITIF HADAR DE LUTTE ANTI TERRORISME ?

N’est-ce là, une nouvelle posture dans la prise en charge de la sécurité des marocains ?

       Ne pas avoir peur ni hésiter de confronter le terrorisme, tel est l’objectif principal sous l’autorité morale de bonne gouvernance anti résurgence des insécurités de l’Etat marocain ! Parce que selon l’ONU et pas seulement, la résurgence mondiale des insécurités dans les domaines écolo-socio-économiques alimentaires culturels sanitaires cultuels et politiques, est estimée aujourd’hui paroxystique. Cela se sent au travers la lecture des rapports émanant de toutes ses annexes chacune dans son terrain de prédilection comme OMS UNICEF FAO UNESCO CS CPI, en plus des autres institutions instances fondations et ONG qui collaborent avec elle. Parce qu’elle a considérablement augmenté lors des vingt dernières années à cause des dysfonctionnements de la gouvernance mondialisée inéquitable et non solidaire. Au point que la réponse-conséquence à cet état de fait, est arrivée du populisme diversifié, foyer de la perversité politicienne pernicieuse n’ayant engendré que prévalence d’incertitudes sur les identités ethniques culturelles et cultuelles. Et ce, au vu du nouveau souffle intégriste religieux notamment le salafisme toutes sortes confondues, avec une tendance très élevée pour le jihad évidemment tout aussi dangereux. S’ajoutant aux allégeances ici là à l’EIIL (Etat islamique d’Irak et levant) connu DAECH en arabe, d’autres catégories pléthoriques affiliées à Al Qaida en Syrie au Maghreb au Pakistan et partout en Afrique.

       Mais pour ce qui est du terrorisme surtout, est-ce que cette résurgence in-sécuritaire qui a aussi gangrené le monde occidental ne correspond-elle au dérèglement du système de surveillance et contrôle des activités de tous les groupuscules à travers la toile Net ? C’est pour cela, au Maroc, depuis les attentats terroristes du 16 Mai 2003 à Casablanca, que d’efficacité prouvée de lutte anti terroriste par plus de dix ans de données recueillies sur le terrain par les services de sécurité surtout DST. Qu’en plus, le traumatisme contrecoup du café Argana à Jamaa Elfna à Marrakech en 2011, avait requinqué l’Etat pour le dépistage des foyers et supports du terrorisme qualifiés silencieux ou traitres. D’abord dans une première étape consistant à ne rester dans l’euphorie des faux rapports n’ayant assuré que désillusion non nuancée. Puis à en identifier l’armure extérieure des membres et leur rapport à la propagande terroriste incisive, pour enfin les pister les stopper les interroger et les déférer à la justice sous l’autorité du parquet spécialisé sans dérapage ni abus. Puis, en exploiter après, toutes les données obtenues avec leurs particularismes spécifiquement connus, surtout, des spécialistes scrutant analytiquement les motivations de leurs agissements et non du grand public. Qu’encore aujourd’hui, cette exploitation vise essentiellement à en comparer les paramètres d’activité qui s’alignent sur les dernières avancées d’échanges informatifs dans le cadre G5+5 traitant les différentes expressions jihadistes.

       Si aujourd’hui les services de sécurité étrangers ont axé leur intérêt de lutte anti-terrorisme jihadiste, il n’en demeure pas moins que beaucoup en préféreraient l’algorithme de l’action marocaine ayant montré ses preuves de prévoyance et d’anticipation. Dont le dispositif Hadar montre l’engagement marocain qui constitue le fond de cette approche maximalisée de vigilance sur le plan de sa matérialisation visible sur le terrain. Sauf que, c’est vraiment navrant de voir fuser des critiques sur les réseaux et médias sociaux avec un zèle déconcertant à propos de ce dispositif. Alors que la logique c’est de bien en comprendre la raison fondamentale, non seulement par la connaissance des risques terroristes guettant le pays pour en faire un enjeu guerrier et en même temps message pour l’étranger. Mais aussi, un thème qui concerne les alternatives socio-économique d’adhésion et d’incitation des marocains vers la concrétisation de la démocratie participative dans l’Etat de droit. Autrement dit, pour ne pas continuer à se tromper sur l’objectif véritable du traitement des dysfonctionnements de la gouvernance socio-économique, en usant du grand Erasmus de l’apprentissage de la formation professionnelle par des chemins parallèles avec une différence d’un ministère à l’autre  dans la conjoncture actuelle. Et aussi par la relance de plan cohérent de croissance pour le plein emploi, s’ajoutant aux réformes éducationnelles sans zapping et aussi loin de l’impuissance inadmissible par rapport à la volonté royale d’aller plus vite vers.

       A cet égard, ne faut-il rectifier la confusion de l’administration n’usant que de bureaucratie ankylosante dont souffre le Maroc, entre validité des priorités et propositions de déblocages des situations d’investissements ? En quelque sorte, pour être plus clair, il faut sortir l’administration marocaine de ses raisonnements qui handicapent la simplification conçue pour instruire les dossiers d’investissements. Surtout en se mettant au pragmatisme sur le rapport au réel de l’entreprise, pouvant devenir une vraie logistique de diminution du chômage, et donc de la précarité inductrice des rêves chimériques potentiellement dangereux. En marge de quoi, ne faut-il pour le gouvernement d’organiser le symposium de répartition au mieux des richesses dans la régionalisation avancée proposée, en arrêtant de se raconter des histoires de rapports gonflés pour soutenir sa parole politique imprécise ? Ne faut-il pour de bon repenser les réflexes économiques et sortir de l’idée après moi le déluge en se faisant prendre au jeu des pichenettes des chiffres et contre chiffres ? Surtout à propos des déficits publics de l’Etat et communes, de la contraction des crédits hypothéquant l’avenir, de la croissance et de la balance commerciale ? Voilà pourquoi, pour être à la hauteur des exigences du dispositif Hadar assurant la maîtrise réelle de tous les éléments constitutifs de l’approche socio-économique globalisée solide et résistante à tous les dangers, il faut sortir de la ligne de l’émotion conductrice à des fautes d’appréciation et d’évaluation de la montée du chômage.


       C’est vrai, cette approche sécuritaire englobe aussi d’autres recherches de partage d’expertise marocaine avec les pays qui le désirent. Surtout ceux limitrophes des turbulences s’articulant autour de l’activité inquiétante de DECH, plus particulièrement les pays du CCG à l’exemple de l’EAU (Emirats Arabes Unis). C’est ainsi que l’on voit en ce moment une symbiose parfaite livrée à la formalisation d’accords de lutte antiterroriste commune, grâce à des arguments vrais marquant le changement évolutif en matière de communication des responsables des deux Etats, en l’occurrence le Maroc et l’EAU.