dimanche 29 juin 2014

A QUAND L’ARRÊT DES POLITIQUES DES LEURRES DES PARTIS MAROCAINS SURTOUT DU PJD ?

EST-CE VRAI QUE LE PROGRAMME COMMUN DES PARTIS MAROCAINS, C’EST LEURS POLITIQUES DES LEURRES ?

       Jadis au sein des partis politiques on trouvait réunis les divers courants de pensées, s’animant dans la tradition sans chamaillerie pour tracer la ligne du parti. Notamment par l’usage d’efforts programmatiques plus où moins grands pour la formation initiatique des adhérents. Sauf qu’en ce temps présent tous les discours des chefs de partis marocains partagent un mélange d’empirisme emphatique, de langue de bois de discordance où anachronisme voire parfois des mensonges. De sorte qu’on les perçoit excepté un ou deux, s’organiser en mode de leurres politiques n’usant que de la circulation de sous-entendus généralement non avérés et sans succès sur le terrain. Toutefois, il est intéressant de noter qu’en vérité pour quelques uns, ils ne sont nullement destinés à invoquer leurs désenchantements du ça et du sur-moi de leurs perversions refoulées. Alors qu’en réalité pour d’autres, c’est une imagination-usurpation qui les touche à des degrés divers frôlant par instant leur mort. Non seulement en fonction de leurs intérêts-référentiels mais par rapport à leurs cotations-différentielles dans l’arc résiduel de la représentativité partisane nationale.

       Certes, ces intonations-démarches n’en effraient pas pour le moment les tenants et aboutissants de l’Etat fort et rationnel qu’apparemment se construit à pas sûrs selon la constitution du 01 Juillet 2011. Mais attention de se laisser berner en se servant du cadre conjoncturel actuel de soi-disant la Char’iya légitimité de suffrage même à 12% sonnant le glas de ce dessein de non logique. De croire que c’est un tout pour la continuité dans la singularité politique marocaine, qu’au demeurant tous les observateurs en scrutent avec minutie le déroulement et les relents de mise en chantier. Car en toute franchise, s’il y a le moindre soupçon du lâché du gouvernail étatique rien que pour faire plaisir à certaines lignes rédactionnelles étrangères, il confirmerait les nécessités de leurs tentatives stéréotypées plus aliénantes d’avant et après leur arrivée aux affaires. N’est-ce cela le risque de faire de la confrontation politique des besoins d’émancipation sociétale, un non sens politique ? Ce que guettent voire attendent les vendeurs de leurs âmes aux ennemis, pour s’en réjouir de voir enfin l’amorce de déstabilisation s’installer au Maroc.

       C’est là précisément que Benkirane apparaît comme fossoyeur de l’espoir, miroitant des schémas sociétaux intelligibles. Vu qu’aujourd’hui, à l’intérieur de la machine-système des lamentations des pjdistes, l’invraisemblable l’entêtement la connivence et la convenance, s’entremêlent entre leurs univers des positionnements scabreux faisant la part belle à leur art politicien opportuniste. En effet, là particulièrement l’analyse de leurs comportements met au jour leur champ d’application sur le devenir sociétal de toujours rester en dualité sous-intentionnellement cachée. Et/où l’idéologique et le programmatique économique d’intérêts seulement pour eux,  s’imbriquent et s’articulent jusqu’en exécution de la politique sociale qu’ils désirent. Qu’effectivement, c’est bien dans l’analyse de cette dualité que l’on peut comprendre certains aspects de cet opportunisme datant d’avant 25 Novembre 2011, s’agissant par exemple de leur refus de se situer au coté de la protestation au moment de l’éclosion du printemps marocain du M20F en 2011 pour cueillir ensuite le fruit mûr. Voire d’encore aujourd’hui dire à profusion à qui veut l’entendre, que Dieu a gratifié le peuple marocain de la venue du PJD à point nommé pour le sauver, même à 12% de représentativité réelle. De sorte que parler d’un quelconque progrès sociétal environnemental régional, n’est pour eux qu’une simple illusion lexicale du point de vue politique.

       Cependant, sur ce point, certains de leurs faits et gestes semblent parler d’eux-mêmes de cette réflexion-gouvernance, dont on peut dire sans polémiquer qu’elle est discutable où même contestable. D'ailleurs pourquoi Benkirane ne sait-il que les probiotiques se trouvant dans le Rayb (Danone) sont une solution aux problèmes de transit intestinal que provoque le stress des augmentations des prix en ce mois sacré du Ramadan ? A cet égard Ghandi n'est pas qui veut, car il a fait montre d'une légèreté dans sa diatribe contre l'amélioration de l'offre aux consommateurs marocains ? N’est-ce pas qu’il y a là un fait déroutant, dont il faudrait en tenir compte pour pouvoir comprendre toute cette matérialisation-dédain des pjdistes, n’engendrant que soumission des hommes et des femmes au lavage de cerveau au nom de nouvelles formulations touchant parfois le champ de la religion ? Car tout simplement, ils sont conditionnés voire normés au structuralisme des frères musulmans, surtout dans le sens de juxtaposition de la production de leurs idées. Ne s’agit-il seulement de leur part d’un manque d’objectivité qui est flagrant, succédant aux actassions de leur véritable filiation en l’occurrence. Comme ce qu’en font certains de leurs députés toujours les mêmes, aimant se montrer par des postures à tire larigot, soit en mulet arpentant les sentiers lugubres de la ruralité évoquant la mauvaise gouvernance de proximité, soit en 4x4 à l’exemple de renverse morale du moment de soutien aux sinistrés de l’incendie d’un supermarché à Nador. Et ce, pour faire la diversion politique à propos de la corruption devenue paroxystique, et aussi des maigres résultats socio-économiques obtenus dont le HCP Bank Al Maghreb en ont fait large diffusion. Ce qui nous rappelle d’autres de l’opposition s’accrochant à l’idée des kiffars de dépénalisation de la consommation personnelle d’Alaachba Almaghribia. En plus s’approchant des petits producteurs dans leur milieu hostile en cette période préélectorale, se mettant pratiquement en position de quémandeurs qui laissent à désirer.


       En revanche, que faire dans ces conditions face à cet interminable jeu du désir du pouvoir par les pjdistes sans rendement ni sur les priorités sociales nécessaires, et encore moins sur les libertés d’expressions qui se voient manger par leur autoritarisme débridé. C’est vrai que la liste de reproches que l’on peut leur faire semble étonnante par la non justesse de leur traitement voire non fidélité dans la transmission de leur vérité n’emportant l’adhésion même des leurs. Mais pourquoi, néanmoins continuent-ils d’utiliser le mensonge comme arme d’esquive, croyant et estimant pouvoir venir à bout du front commun de leurs contradicteurs et frondeurs ? Même si, de temps en temps ils font volte-face dans la froideur du fait du précédent égyptien, et aussi de peur d’être rattrapés par la  glaciation des représentants de l’Etat fort dont ils ont une peur bleue sans vouloir le montrer. FINALEMENT A BAS LES POLITIQUES DES LEURRES, WACH FHAMTOUNI OUALLALA ? 

mardi 24 juin 2014

EST-CE QUE DANS L’ESPRIT DU CHEF DE GOUVERNEMENT MAROCAIN, LA PROGRAMMATION ÉLECTORALE 2015 PEUT-ELLE SE RÉVÉLER LABORIEUSE ET SANS HEURT DES CONSCIENCES ?

DANS L’ATTENTE DE 2015, LE CHEF DU GOUVERNEMENT COMME QUELQUES PATRONS ET AUTRES PSEUDO-TÉNORS DE PARTIS, POURRAIENT-ILS S’EN AFFRANCHIR DES SIMAGRÉES COMPORTEMENTALES ?

       Aujourd’hui après l’annonce du calendrier électoral 2015 surtout dans l’attente de ses codifications, est-ce que les partis politiques marocains sont-ils prêts d’éviter le remake des désillusions des promesses ? En tout cas leur agitation depuis, est en modulation des voix des chefs comme des pseudo-ténors en l’occurrence. D’autant plus variant de l’inaudible selon l’allégresse des uns dans leur milieu d’influence partisane, jusqu’au strident de par le désenchantement des autres dans les masses médias et réseaux sociaux où la violence des propos s’entremêle parfois au sadisme. Et, dont les observateurs politiques avertis sont abasourdis de ce qui arrive à leurs oreilles comme illustration politique de bas de gamme. Mais restant tout de même vigilants, ne confondant pas le ravissement du ministre de l’intérieur de vouloir à lui seul gérer le processus électoral comme à l’accoutumée, par rapport à l’essai-tentative du glissement du chef du gouvernement jusqu’à la porte de la vaste cuisine sans en avoir le code d’accès.

       Ajouter en plus à cela, le fait qu’il cherche de brouiller les pistes, si ce n'est carrément tuer le processus électoral. Car se croyant libéré de ci de là pour soi-disant avertir la population, que les Walis Gouverneurs et autres cadres de l’Intérieur sont des êtres dangereux qu’il va falloir surveiller et dénoncer en cas de tripatouillages électoraux pour les punir. Ce qui montre quelle sorte de croyance ont les pjdistes selon les opportunités avec des démonstrations de chagrin et de dévotion, de ne s’excuser auprès d’eux de leur avoir assuré par leur passivité positive le passage vers la chefferie du gouvernement un certain 25 Novembre 2011. Aussi, à cet égard le MP comme le RNI ces gloires du règne hassanien, ne sont-ils aujourd’hui plus qu’hier un rempart à ce genre de fermentations d’idées pjdistes à tire larigot au sein de la coalition gouvernementale ? N’a-t-on pas dit, ceux qui honorent le lion en attendent de ne jamais être attaqués par lui, au point qu’en règle générale ils en espèrent gagner force et courage ! Et donc, s’il existe d’une part un mécontentement lancinant du MP et RNI ne voulant cautionner cette méthodologie inhérente à cette tentative politicienne benkiranéenne, il ya d’autre part, un tapage-bruitage à travers l’USFP le PI pour le traitement de cette question aspirant restaurer la vraie prise en charge politique rien qu'en adaptant les mesures d’accompagnement au contexte des moyens existants.

       Aussi dans cette masse d’informations, tout n’est évidemment pas du meilleur augure pour Benkirane. Du fait qu’il use avec d’autres pseudo-ténors politiciens de simagrées comportementales destinées à attirer l’attention  voire à renouer avec leur tromperie en promesses d’avant 25 Novembre 2011. Et pourtant, il sait mieux que quiconque que le portail du ministère de l’intérieur lui restera fermé, car ne s’étant pas mis dans l’habit du véritable homme d’Etat cohérent. Parce qu'en vérité, il ne cesse de jouer le rôle-réplique à la fois de celui qui est aux affaires et en même temps l’opposant produisant des entrechoquements entre la société civile les partis de l’opposition les syndicats le M20F les femmes les handicapés et autres organismes socioprofessionnels avec lui. Dont on en ressent beaucoup plus de complexité d’échanges dans la situation politique actuelle au sein de la coalition gouvernementale, dès lors que soumise aux chocs et dégâts collatéraux qu’elle subi. N’est-ce là, une sorte de fouillis jusqu’à l’infantilisme dans ces échanges inter-coalition non fondés sur la transparence ni sur l’équité, mais seulement avérés non fructueux pour l’avenir du pays ? 

       Ce faisant, bien que l’effort politique se poursuit au Maroc sous Sa Majesté le Roi Mohamed VI pour l’émancipation sociétale équilibrée et sans heurt des consciences, voilà que Benkirane porte atteinte à la constitution du 01 Juillet 2011 (article 19). Par conséquent, de ce fait, à quelle préoccupation de la population répond alors cette sortie benkiranéenne  de vouloir confiner les femmes dans un ensemble de forces grillagées ? Ne sait-il pourtant que depuis l’avènement de cette constitution, aucune force même matérielle ne pourrait les dissuader de changer les gouvernants au moment des élections, faisant probablement sa plus grande phobie dans sa vie politique au quotidien ? Néanmoins, même si, d’après quelques indiscrétions de ses proches il parait que cette sortie se limite à la représentation des conseillers de l’opposition tentant de les exciter pour s’en montrer encore victime. Notamment les conseillers du PAM, qu’en effet depuis qu’il ait foulé le sol de Midelt pour en devenir chef du gouvernement, ils n'ont eu de cesse de le vilipender à propos de sa mauvaise gouvernance. Dont les ministres Hassad Boussaid Akhennouche Alami Laenser Abbou et surtout Dahak du SGG, chacun dans son terrain de prédilection en savent quelques choses travaillant d'arrache-pied pour avoir dans leur arsenal une réserve de mesures permettant de corriger ses incartades.


       N’est-ce en cela qu’on peut confirmer sans réserve, que les changements de mode de gouvernance peuvent modifier le caractère typologique des partis coalisés pour une organisation plus exigeante en transparence et en efficacité ? Vu qu’en matière de gouvernance plus les idées politiques sont simples cohérentes et porteuses de compromis, plus elles sont moins vulnérables aux contrecoups. Qu’au demeurant, ne s'agit-il là du rôle fondamental des chefs de partis d’éviter tout genre de proliférations de contrevérités, notamment celles à buts d’expansion ne cherchant que les profits purement politiciens au détriment du peuple ?  Maintenant on peut dire que Benkirane est sûrement avertis, que le Maroc ce soleil dans le laboratoire printanier arabo-amazigh d’où provient la fusion des idées de démocratie de proximité fantastiquement élaborées, ne peut accepter de se faire sub-fanatiquement déstabiliser par les illustrations illusoires politiciennes. Surtout et à plus forte raison de la part de ministres se bornant de le considérer magma d'entrechoquement de leurs idées contre la marche sociétale tracée par la vision royale. Voire mélange détonnant comme ce qu'en disent les héritiers d'Abdeslam Yassine, parce que les performances socio-économiques ne s’améliorent pas sur le terrain au vu de l'accroissement des dimensions voire de l'intensité des crédits contractés en cascade hypothéquant l'avenir du pays. A BON ENTENDEUR SALUT !

mercredi 18 juin 2014

LE MOUVEMENT POPULAIRE MAROCAIN SAURA-T-IL SE METTRE EN VOIE DE CONCRÉTISATION DE SON VŒU D’IL Y A SOIXANTE ANS ?

   
   Al Haraka Achaabia, même si elle ne montre pas encore toute la transparence dans ses posirionnements, saura-t-elle se mettre en ordre de bataille? Et ce, sans continuer à faire régner les soupçons sur les dérives des uns et la rumeur des trahisons des autres.

 Quel espoir a-t-elle de pouvoir envisager une matérialisation de gouvernance probe et sereine par et dans le fait de différenciation de ses préoccupations internes? Ne pense-telle que l’année électorale 2015 risquerait de ne pas etre sienne ? Au point que, pourquoi et de quelle manière toutes ces justifications la pousseraient inexorablement à ne jouer le premier rôle ? D’autant plus elle sait que dans la difficulté, ce n’est pas sain de mettre les adhérents dos à dos notamment en avant première de ce processus électoral qui s’annonce.

AL HARAKA ACHAABIA S’ETAIT-ELLE RÉVEILLÉE A LA GOUVERNANCE PROBE ET SEREINE APRES QUELQUES MALHEUREUX COUACS ? CHERCHE-T-ELLE ENCORE A CONVAINCRE LES MAROCAINS DE LES FAIRE ENTRER SOUS SA COIFFE POUR 2015 ?

       En ce sens ne peut-on annoncer que malgré qu’elle fait déjà preuve de beaucoup de tempérance et conciliabules en interne, elle n'y arrive toujours pas à trouver le tempo politique et ce sans se soucier du smog politique hélas en préfabrication par certains partis en mal d’être pour raisons diverses ? Quoiqu’il en soit en ce temps présent, ce qui apparaît important c’est qu’elle s’essaye tant bien que mal de s’employer à dissiper en interne les orgueils des uns et des autres pour les transformer en ferment d’espérance pour elle. De ce fait, n'est-ce parce qu'elle n'est débarrassée de tous les réflexes d’empirisme qui la ternissaient, que sa nouvelle vague des quadras ne pourrait intérioriser cette nouvelle donne? Et donc de ces techniques reposant sur le placement judicieux de seulement les proches et autres sbires inconditionnels dans le maillage décisionnel au parti ! Surtout en des postes précis, selon des notions d’allégeance patiemment élaborées et établies au cours de ses longues marches ne tenant compte ni des compétences ni de la diversité dans ses rangs.

       Alors par conséquent pour le mouvement populaire, n’est-ce pas que déjà on perçoit quelles seraient les principales caractéristiques d’évolution de ses faits programmatiques de proximité dans l’Education Nationale la santé l’habitat et les grands chantiers stratégiques d'abord de renforcement de la dynamique diplomatique officielle et d’enrichissement d'idées à propos de Maqassa Retraites et la mise en application de la régionalisation en plus de l’évitement des dépravations administratives et lutte contre la corruption ? En effet, le MP ne montre-t-il lui aussi à profusion emphatique une volonté de rester en parfaite cohérence avec l’INDH, en réclamant l'évitement de la dilapidation de ce capital précieux par l’usage incommensurable de favoritisme sur le terrain? Une sorte de volonté de capacité d’en arriver à dominer les accidents imprévisibles. Surtout, celle de nature imposée par l’UE risquant de bousculer les petits et de faire basculer les grands agriculteurs vers la ruine. Par rapport à une détermination sans faille de poursuivre le développement du tourisme dans tous ces volets culturels écologiques et balnéaires. En évitant l’extravagance, et notamment les déprédations environnementales de dégradation du littoral et de rejets des polluants en mer en plus de sauvegarde d’eau douce sans gaspillage éhonté. Tout un programme digne de confiance pour Laenser le pragmatique quand ça l'arrange, afin de sauver l’aura du parti, pour dépasser la période après qu’il ait été ministre de l’intérieur à la première mouture gouvernementale ayant laissé le mouvement entre tangages et médisances.

   
    A cet égard, n’est-il vrai que pour la jeunesse l’homme et la femme harakis leur charge politico-émotionnelle explique cette grande complexité du cycle de démocratisation du parti ? Dès lors que les règles fondamentales de la démocratie interne continuent encore de s’intégrer étroitement aux considérations du passé. Malgré le sursaut à visée de l’harmonie à connotations politiquement ambitieuses des nouvelles pensées de restructuration scandées au conseil national du 18 Mai 2014 à Salé en préparation du congrès le douzième le 21 et 22 Juin 2014. N’est-ce pas que Lahcen Haddad en a fait l’amère expérience en prétendant présenter sa candidature à la chefferie du mouvement, face aux chauffeurs de salle s’étant adjoints aux souffles en sourdine de certains maîtres de cérémonies au parti ? Lesquels, par ailleurs, veulent garder la main tentant de le maintenir à la verticale comme d’antan. Evidemment, sans le corriger où le rendre basal à même de mettre en scène un semblant de dynamisme purement de nécessité du moment dont franchement Laenser ne s’en est aucunement désolidarisé.

       Voilà ce qui nous rappelle qu’au Maroc, s’agissant des conseils nationaux des partis politiques qui normalement font parties intégrantes de leur marche démocratique, servent-ils à les guérir de l’esprit lié aux conceptions opportunistes consensuelles soient-elles ? La réponse n’est évidemment pas tranchée entre les béni-oui-oui et les frondeurs au sein des partis, traduisant ainsi un déséquilibre qualitatif entre état d’excès de confiance où insuffisance de maîtrise du jeu politique par les tenants et aboutissants. Ce qui n’augure pas de leur stabilité par les temps qui courent, donnant des signes avant-coureurs de confusion dans leurs gouvernances déséquilibrées et de-rythmées. En plus en présence d’inconscience manifeste distillée par ci par là en matière du retard de mise en effectivité normale de la constitution du 01 Juillet 2011. Et/où, malheureusement les fonctions de gouvernance dans les tentatives d’objectiver soi-disant les résultats, n’évoluent que suivant la destruction préprogrammée de leur parti pour certains et l'empiétement sur les prérogatives du chef pour d’autres montrant la perte de toute possibilité de réactivation.

       Néanmoins, un fait important encore inexploité est apparu ces derniers temps, en l’occurrence les oppositions hard où mêmes soft comprirent que si elles formaient une ligne d’attaque à seul caractère idéologique contre la domination pjdiste au gouvernement, elles seraient qualifiées d’obsolètes et désuètes par les observateurs politiques indépendants. Même si, elles sont blessées par la manière dédaigneuse dont le chef du gouvernement les traite, qu’en effet les qualifiant avec mépris de petites gens MAFIDHOUMCHES arriérées politiquement et sous-armées en pensées puissantes pour le déstabiliser. Cependant, ajoutant, qu’elles ne pourront s’en éloigner de sujet de conflit entre elles, où l’in-structuration de chacune d’elles augmente sans raison valable le nombre de courants déstructurant à la fois leur passé et leurs promesses d’avenir. Bref, pour lui, il s’agit d’un conglomérat de conjoncture politique fataliste, ne formant qu’une mosaïque d’idées aussi différentes les unes des autres et dont chaque sous-unité demeure fondamentalement attachée à sa ligne dogmatique.


       Mais pourquoi se mettre dans le déni des réalités socio-économiques et politiques, alors que le degré du sommeil gouvernemental est si patent ? Ceci d’ailleurs continue, qu’en fait les coalisés voient parallèlement se faire par des alternances des rythmes la construction du Maroc moderne sous le bon vouloir de l’Etat fort. Que certains parmi eux appellent encore selon les circonstances, Makhzenisation à outrance même étant aux affaires. Cependant, dans ce même Maroc, n’est-ce pas que la notion de coalition gouvernementale, c'est-à-dire l’établissement d’un programme politique entre coalisés, n’intervient que pour résoudre les difficultés au fur et à mesure de l’apparition de secrets dans l’usage limité de gouvernance instauré par Benkirane. N’est-ce là où le MP de Laenser doit s’essayer de ne prendre cette rythmique sous-cadencée trop benkiranisée, rien que sur le plan de projection dynamique et prospection évolutive et transformatrice de ses structures. En l’occurrence, comme symbole de travail serrant l’outils-trésor de son identité recadrée depuis la constitution de Juillet 2011, non seulement par rapport à ses références contenant tous les éléments de la ruralité, mais aussi vis-à-vis de l’entassement historique des sentiments des marocains à la diversité ethnoculturelle. Et donc, sans faire abstraction de son dada pour l’amazighité, qu’en plus il ne faudra  oublier que le PPS en est aussi l’un des promoteurs de longues dates. DANS TOUS LES CAS QUI VIVRA VERRA ! 

dimanche 8 juin 2014

LE TANDEM MAROC-RUSSIE, N’EST-IL A LA RECHERCHE DE PRODUCTION DIPLOMATIQUE CONCERTÉE ET D'EFFICACITÉ ECONOMIQUE MAÎTRISÉE POUR LE BIEN COMMUN ?

MAINTENANT, QUE LE MAROC SÉCULAIRE ET LA RUSSIE ÉTERNELLE ESSAYENT D’ÉVITER L’ESPRIT DES MÉMOIRES IDÉOLOGIQUES D’AVANT, N’EST-IL ARRIVÉ LE TEMPS DES RECOMBINAISONS ET RESTRUCTURATIONS DE LEURS ECHANGES ECONOMIQUES?

       N'est-ce vrai qu'auparavant pour et dans chaque échange russo-marocain, il fallait souvent en étudier la structuralité de sa charge politique et son influence sur les lobbys et groupes de pressions? Contrairement en ce temps présent, ne peut-on dire qu’elles relèvent d’une analogie d’approche nouvelle, s’axant plus sur le thème de l’art politique de mutualisation des intérêts économiques communs? D'ailleurs à ce titre, est-ce que le substrat fondamental de la diplomatie marocaine vis-à-vis de la Russie, ne peut-il se résumer rien qu’à la communication politique maîtrisée ? Et bien, c’est non ! En effet, de nos jours, entre la Russie et le Maroc il apparaît au-delà de l’historicité des événements dans le giron régional de chacun, qu’il est nécessaire voire primordial de tisser et renforcer les échanges économiques et commerciaux en partenariat gagnant-gagnant à moindre déséquilibre si ce n’est d’égal à égal.

       Aussi, ce choix s’impose pour le Maroc nouveau de par le déroulement de sa vie politique d’élargir ses horizons de coopérations stratégiques, et ce, sans trop se disperser dans les méandres politiciens gluants. Car il en connait le rôle des prédispositions-idéologies sur le jeu des interconnexions politiques mondialisées, notamment leurs scénarios de mise en chantier. En se donnant des objectifs de cooptation partenariale d’investissement consacrant la défense des intérêts communs mêmes ceux composés. Sans omettre d'user du mieux que possible de l’outil remarquable qu'est sa stabilité politique. Laquelle, se vendant mieux à l’étranger supportée de sa constitution avancée de grande portée institutionnelle, dont il faudrait pour le gouvernement accélérer le rythme d’effectivité. Malgré ce qu’en colportent comme médisances et contrevérités les quelques nonistes avérés à ce propos, se croyant au dessus de tout soupçon. C’est dans ce sens que la visite royale prévue à Moscou suite à l’invitation de Vladimir Poutine quand elle aura lieu, elle se fera à la fois dans la pure fidélité de continuité relationnelle cordiale, et aussi d’axassions de réflexions essentielles sur les opportunités qu'offre le nouvel ordre normatif de la confiance réciproque. Qu’effectivement ne pourrait nourrir d’illusions les garanties du décollage consenties vers la bonne gouvernance partenariale stratégique Maroc-Russie le 09 et 10 Juin 2014 à Moscou. Privilégiant voire préconisant le contact direct entre les deux chefs d’Etats, sans tomber dans le jeu des fluctuations surtout politiciennes internationales par les temps qui courent.

       En tout état de cause, n’est-il vrai par réalisme économico-politique que ce rapprochement visionnaire Maroc-Russie ne tardera sans doute d’engranger un développement dynamique moderniste multisectoriel à plusieurs niveaux ? Evidemment qu’il s’agit de fabrication multi-potentielle d’échanges ciblés, dont la réalisation doit s’intégrer graduellement à cette pensée-initiative s’assurant de sa bonne marche sur le terrain. Notamment, en traitement des services des finances et bancaires, industrie minière gazière charbonnage et hydrocarbures, tourisme, travaux d'aménagement et équipements d'espaces voire stations de sport d’hiver, marine marchande transport connectivité et logistique, pêche et agroalimentaire, chimie industrielle, recherche en biologie animale et végétale. En plus du recadrage par rehaussement de la formation et échanges universitaires, écologie et sauvegarde environnementale forestière et lacustre, s'ajoutant pourquoi pas à l’aéronautique voire le nucléaire suscitant des partenariats de production faisant sans équivoque appel aux techniques de pointe. Mais, quand bien même ces opérations de rapprochement rentrent dans l’art subtil de mener à bien ces programmations, ne se doivent-elles déjà se projeter en cooptation-coopération commune au Maroc-Afrique ? D’ailleurs ni le Maroc ni la Russie dans le contexte conjoncturel actuel, ne peuvent s’en passer d’implanter leur espoir d’extension au cœur du marché africain. Et/où à travers lequel, il se réaliserait sûrement en plus et pas seulement de création d’espace de coopération russo-marocaine. Même si, la contamination par l’illustration d’investissement sans contraintes, elle se fait déjà farouchement par la concurrence et la compétition de nombreux pays. Tels France USA Turquie Espagne Italie pays BRIC et du CCG, tous voyant le Maroc un pays stable exemplaire où l’offre d’une main d’œuvre qualifiée est garantie. Bref, sorte de Hub géostratégique pour l’Afrique ! Et ce, comme ébauche de co-localité et co-commercialité dans l’attente de fructification de la charge politique du grand Maghreb, dont le souverain marocain a appelé de tous ses vœux dans son discours programme ontologique à la chambre constituante à Tunis. De ce fait elles seraient peut être, de part et d’autre mieux protégées des parasitages des concurrences déloyales et/où d’envenimations saugrenues séquelles cicatricielles du temps révolu de la guerre des sables.

       Oui, la Russie est un vaste pays riche en matières premières, et/où s’affrontent les multiples modifications de mentalités nées des contradictions de l’éclatement de l’ex URSS. Au point de devenir une arme politique dans leur utilisation, ayant fait apparaître des foyers de tension avec quelques nouveaux voisins voire même au-delà pour raison de géopolitique. Et par ricochet donc, face à ce que tous les officiels russes appellent coquilles vides à propos des tergiversations proclamant fidélité aux résolutions onusiennes, la Russie en fait fi en anticipant par des modalités diverses usant du Niet. D’autant plus, montrant une capacité de nuisance envers tout ordre social culturel économique et politique, soi-disant conséquemment préétabli ne tenant compte des droits des minorités. Evidemment, il s'agit d'après elle tout simplement de la politique des options vides, ce constat de décalage entre rêve et réalisme qu’elle a vécu au moment de la crise libyenne, dont elle ne s’y prête plus à la revivre. N’est-ce pas ce que l’on voit toujours dans le cas syrien, et aussi sa dénonciation quasi-redondante d’un soi-disant complot occidental européo-américain dans le cas de l’Ukraine?

       Ce faisant, pour rester en cohérence par rapport à cet imbroglio-métastase, la diplomatie marocaine doit tendre efficacement vers l’état de sa revitalisation graduelle, en ne prenant en compte que les opportunités viables sans encombre et porteuses d’espoir. Bien évidemment, en diminuant les déficits de communication par l’acquisition de maîtrise de soi dans ce tandem russo-marocain de création de richesses, face aux inhibiteurs autoproclamés comme aussi ceux œuvrant en sous-traitance. Lesquels, par ailleurs, tous sont en excitation quasiment brownienne paniquée, dont tout le monde aura compris qu’ils sont dans le déni et le mépris. En particulier, à chaque fois que le souverain marocain montre ses désirs ascendants d’améliorer davantage les performances économiques du Royaume dans ce futur-partenariat mondialisé de plus en plus dur à convoiter sans risques ni malentendus. A cela s’ajoute la détermination par l’argumentation autour de thèmes principaux d’échanges choisis délibérément communément pour réussir ce défi sans ambages. 

   
    A l’évidence, aujourd’hui le Maroc prend de plus en plus de place en Russie pour son rôle de leader dans le développement Sud-Sud. D’ailleurs c’est cette compréhension russe du marathon royal africain, que le président Poutine et son staff veulent mettre en exergue au sens strict des objectifs à atteindre. Et ce, en les quantifiant et rationalisant selon le même concept offensif usant de la même approche diplomatique marocaine. Voilà ce qui ramène à dire, si Khrouchtchev la tornade, en 1960 surprenant tout le monde ôta sa chaussure pour en frapper violemment sa table en séance plénière de l’ONU, attirant l’attention  de la sensation que les occidentaux se méfiaient de l’URSS et se comportaient agressivement à son vis-à-vis, Poutine le russe stratège froid, utiliserait une autre notion-couplet de non interventionnisme-interventionniste. Déroutant ainsi tous les observateurs, à même de voir le courant libéral russe, lui aussi, refusant ce qu’il surnomme à tort ou à raison, d’hypocrisie suprême occidentale dont il est convaincu qu’elle ne fait que transformer ceux qui se prennent comme défenseurs des libertés en oppresseurs se nourrissant de l’idéologie fasciste. A ce propos ne peut-on dire que c’est cela, qui souligne en Ukraine amputée de Crimée, la difficulté d’intégration de la représentation des forces antagonistes sur le terrain ? Car se heurtant aux idéaux dans une nouvelle société où les principes ne pourraient être ni mutilés ni déformés, en privilégiant le respect des droits humains et surtout de la démocratie.


   
    Bien entendu, il n’est nullement vain de rappeler la clairvoyance marocaine de ne pas ajuster ses prévoyances relationnelles diplomatiques avec la Russie au prorata du déroulé du fil d’actualités, mais seulement rester en phase avec le rythme politique sans s’essayer aux jeux interdits. D’autant plus, n’est-ce pas là une  posture qui évoque la gouvernance géostratégique diplomatique royale juste et équilibrée à l’égard de tous les pays notamment du tiers monde particulièrement l’Afrique ? Et qu’en plus, elle est pour le Maroc une notion de grandeur dans tout le monde en parle, se définissant à la fois par la quantité des échanges et la qualité des mesures accompagnatrices nécessaires pour élever son rendement. A ce titre, est-ce que la Russie continuera-t-elle en faire bonne lecture dans le cas de l’affaire du Sahara marocain, comme ce qu’elle a fait au moment de l’essai incompréhensible de l’épisode USA-ONU d’Avril 2013 franchement anti-Maroc, qui depuis, heureusement, s’est dissipé pour de bon ? En tout cas, c’est ce qui semble se profiler, si l’on s’en tient aux dires de monsieur l’ambassadeur de Russie à Rabat, faisant finement la part des choses dans ce dossier qui n’a que trop durer d’après lui. A tout bon lecteur bon plaisir !