mercredi 30 novembre 2016

AVEC LA VISITE DU ROI DU MAROC AU NIGERIA, FINI LA THÉORIE DE LA MOSAÏQUE CARTE POSTALE A L’ALGÉRIENNE DE L'UA (UNION AFRICAINE) !

L'EXTINCTION DE LA PLAQUE CHAUFFANTE D'ABUJA PAR LA VISITE DU ROI DU MAROC, N'ANNONCE-T-ELLE LA FIN DE LA THÉORISATION DE LA MOSAÏQUE POLITIQUE SYMBOLISANT L'ISOLEMENT DES PEUPLES DANS LA MÉSENTENTE SANS LENDEMAIN DE PROSPÉRITÉ ?

       L'arrivée du Roi Mohamed VI au Nigéria chez le président Muhammadu Boukhari, n'est-ce une autre proportion de déballage non velouté des non-dits à propos du comportement de Madame Dlamini Ncosazana à la commission de l'UA sous dominance algérienne ? Avec en plus, une touche haute performance de la DGED ce fleuron au don fatal pour l'exploration d'une nouvelle coopération bilatérale tous azimuts, dont la caractéristique serait la franchise pour la réussite et non le secret des cachotteries et des émotions. Ainsi, n'en peut-on déjà déclarer que la route du Roi du Maroc en Afrique a le mérite d’être calme sereine et envoûtante en matière de ''marocanisme'' se présentant par ailleurs avec l’établissement de beaucoup de liaisons géostratégiques au cas par cas ? S'ajoutant aussi à la passion de travail de finition en géopolitique de surcroît dissipant les jacqueries de l'état d'opinion de quelques Chefs d'Etats africains, qu'effectivement aujourd'hui commencent par réalisme même tardif de changer de fusil d'épaule. Ce qui traduit la confusion, plutôt l'hystérie du pouvoir algérien confronté à cette ligne tracée par le Roi à travers le continent africain, comportant les initiatives inédites de partenariats gagnants-gagnants bénéfiques pour le bien-être des peuples. Car, c'est évident, il se sent abandonné dans ses mauvais choix géopolitiques depuis la démarche du temps de la lecture du discours palinodie de l'enfumage de Boutaflika d'Abuja Novembre 2013. Ne pouvant sauver ni assurer maîtrise voire perspective pour son propre devenir même en mettant les moyens de transformation de ses essais irresponsables. Et ce, par une quête d'adrénaline pour éviter la navigation en double aveugle ayant fait de lui une sorte de vestige politique du temps présent, dont tout le monde le sait maintenant que sa légende usurpée du sur mesure de faire, est en panne.

       Ce n'est nullement anodin de dire, l'UA a besoin d’être à point dans tous les domaines pour faire face à la gourmandise algérienne usant de ses petits gloutons toxiques pour l'emmerder. Et c'est là où il faut voir qu'il y a un autre regard de la part du Maroc sur l'Afrique d'aider de rendre ses décideurs maîtres de leurs décisions, principalement le Nigéria dans sa recherche par ses influences un peu de ses partisans désormais comptant sur lui car le voyant s'approcher par réalisme au montage de l'oeuvre politique marocaine à pas soutenus et rassurés. D'abord en s'interdisant de n'accompagner les élucubrations de majoration des tensions dans les propos anti Maroc, comme des mille feuilles pétris à la façon Ramtane Laamamra qui ne rate aucune occasion pour distiller ses messages cryptés sur les conditions acceptables d'après-lui du retour du Maroc à l'UA. Puis en s'éloignant des édulcorations de sa détermination intense de véhiculer ses décisions souveraines indépendantes de qui que ce soit pour le Sommet de l'UA à Addis-Abeba en Janvier 2017 en faveur du Maroc parmi les siens. Parce que, au delà des souvenirs que laissera ce Sommet que ça plaise ou non, il ne faudrait plus aux officiels marocains de s'essayer à la grammaire de la langue de bois sur les impératifs de la présence de la RASD, pour ne pas la laisser prospérer par la prise en charge de son étroitesse à minutage surveillé. Alors qu'on a le choix de s'en sortir pour casser cette baraque de fabrique de mensonges des services des renseignements militaires algériens et leurs attachés baroudeurs qu'ils soient diplomates irrités où mercenaires supportés de Zouma Mogabee Shissano et d'autres.

       Il est vrai que le Maroc prend en considération la configuration politique de ce pays aux ressources minières de grande valeur technologique, producteur de cacao cultivant le palmier à l'huile l'hévéa en plus possédant d'importants champs gaziers et gisements de pétrole, malheureusement en présence d'une pauvreté endémique qu'en elle même ne serait pas un ferment de révolte, si elle n'était entourée de tant de luxe et de privilèges. Au point que pour le gouvernement fédéral central du Nigéria ce vaste pays arrosé du fleuve Niger, la priorité c'est d’accroître le plus vite possible les conditions inéluctables pour le co-développement Sud-Sud sachant pertinemment que le Maroc en est la locomotive sans conteste. Et dont il en est convaincu que ça l'aiderait cultuellement et économiquement dans sa lutte contre Boko Haram qui sévit dans toute la sous-région de l'Afrique de l'Ouest et Centrale, et ce, pour appuyer le processus d’intégration à la marocaine via l'IDH comme ce qui se fait avec Madagascar Sénégal Gabon Cote d'Ivoire Guinée Konakry Djibouti et Guinée Bissau. Evidemment, primo quand il n'y a ni larcin ni détournement des fonds d'aide de suivi et d'exécution de ces programmes, et secundo loin des querelles ethniques et tribales séculaires empêchant encore l'unité du pays, surtout depuis l'arrivée-retour de Boukhari à la tête de l'Etat qui ne cesse de se trouver face à une renaissance-incitation de l'esprit sécessionniste comme d'antan dans beaucoup de régions. D'ailleurs, pour rappel, une guerre civile ne l'a-t-il terriblement déchiré pendant l'existence de la république autoproclamée du Biafra de 1967-1970 au Sud-Est qui fut le creuset-réceptacle de l'humanisme contemporain d'où est sortie l’expression ''Frenchs Doctors'' concernant Bernard Kouchner ses confrères et leurs amis de par le monde ? N'est-ce pour cela, par exemple, le Nigéria semble prêt à accepter que les entreprises marocaines, dans le cadre de partenariats faisant preuve de grande imagination de cooptation et captation des opportunités ne soient assujetties à la participation nigérienne d'au moins 40% ? D'où l'on en voit un premier pas de création du capital-confiance nécessaire au travail en commun d'égal à égal Maroc-Nigéria, allant dans le sens de tarir la connivence de Boko Haram maître du kidnapping de masse avec le Polisario. Qu'en effet, maintenant ce dernier est avéré le support d'arrière plan des trafiquants multipliant les rapts dans la bande sahel-subsaharienne africaine et piratages dans les differentes baies du Golf de Guinée.

       Néanmoins, cette temporalité relevée par les deux pays Maroc-Nigéria d'aller de l'avant, ne mérite-t-elle d’être préservée des coups bas de l'Algérie au bord du précipice ? D'autant qu'elle fait craindre aux gens de ce pouvoir algérien ingrat et rancunier, de vivre leur drame de l'isolement voire le syndrome des leaders même sans vrais talons politiques qu'ils sont, car ils ne cessent inconsciemment de répondre au postulat ''chasser les receleurs des mensonges contrevérités et opprobres de votre entourage, ils vous reviennent racketteurs de tous vos soutiens''. En cela, pourvu qu'on en arrive pas à ce choix terrible, celui de ''adviendra que pourra'' en laissant ce pouvoir seul sous les feux des terroristes et aussi les soulèvements populaires déjà en phase de surchauffe par suite à sa très mauvaise gouvernance et son soutien infondé au Polisario au détriment des algériens eux-mêmes. D'ailleurs, pourquoi en espèrent-il à front retourné refaire la bataille des sables 1963, sans que cette fois-ci il n'en reçoive la bénédiction de Massimo Feu Fidèle Castro, qui, lui, de son vivant eut compris sans le dire en ON que seule l'offre marocaine de l'autonomie 2007 dans la régionalisation est envisageable. Afin que Cuba ne puisse continuer à participer au drame des séparations forcées des familles marocaines séquestrées de leurs enfants dans les camps de Tindouf Rabouni et ailleurs. Bien sûr, beaucoup de personnalités connues par leur proximité à ce monument de la résistance à l’impérialisme américain, dont Régis Debray  le compagnon du Che, Jack Lang l'érudit pro marocain, Ignacio Cembrero le convulsé espagnol tantôt d'un coté tantôt de l'autre, Jean-Luc Melenchon le tangerois et d'autres le connaissant pourraient en témoigner maintenant qu'il est parti. Ah, si nos politiques savaient comment tremper dans cette façon d'équilibrer les dosages on s'en sortirait indemne du blocage pathétique gouvernemental actuel ! Notamment en donnant dans la volumétrie raisonnable et la compétence remarquable qui donneront envie de le supporter dans la traçabilité d'envergure du discours de Dakar, en perspective de l'accompagner tout au long de sa législature. A bon suiveur, bon décryptage !

dimanche 27 novembre 2016

C'EST MAINTENANT OFFICIEL, LE MAROC EST JALOUSÉ PAS SEULEMENT AU SEIN DU GRAND MAGHREB LA LIGUE ARABE ET L'UNION AFRICAINE !

PLUS DE DOUTE, CERTAINS PAYS DE L'UMA DE LA LIGUE ARABE ET DE L'UNION AFRICAINE PROVOQUENT LE MAROC CAR SONT RESTÉS FIGÉS DANS LE MARCHÉ  NOIR DES COUPS BAS SUR INSTRUCTIONS SYSTÉMATIQUES VENANT D'AILLEURS.

   Le désir du changement de braquet diplomatique-économique et sécuritaire a consciencieusement germé après les différentes attaques infondées à l'encontre du Maroc à l'ONU L'UE L'UA et L'UMA depuis l'arrivée de Ban Ki Moon à la tête du Secrétariat Général. En cela, il a même été amplifié après les couacs successifs avec la Cour Européenne de Justice la Suède la Commission africaine et dernièrement avec l'Egypte d'Al-Sissi, avec l'objectif d'enrayer définitivement le coté des échanges de diplomatie de complaisance et donc de mannequinat sur les espaces des chancelleries à l'Etranger. Tellement c'est officiel, que ces pays et Institutions susmentionnées sont en passe de se transformer en entité de racketteurs dans les rencontres symposiums et Sommets à l'international, alors qu'on croyait que de sensibles progrès de leur part ont été accomplis. Ayant, à cet effet, machiavéliquement montré toute une série d'actes dans le découragement de mise d'association d'éléments destructifs de leurs relations avec le Maroc, malheureusement, tout en s'octroyant de nouvelles stratégies sournoises dans le renforcement par procuration sans raison valable de leurs perfidies pour le combattre. Ce qui montre que seul un gouvernement marocain contrôleur de tout ce qui se passe dans son entourage, pourra intervenir sans temps de latence à décourager les tentatives mensongères et en tirer profit immédiatement de son système de surveillance des contrevérités à l'égard de la marche tranquille du pays.

     Mais, n'est-ce voilà à raison pourquoi Sa Majesté le Roi Mohamed VI en a fait fi de leurs manigances interventionnistes politiciennes de basse besogne, en mettant les bouchées doubles dans ses initiatives africaines ? En l'occurrence, économiques culturelles écologiques et géopolitiques cultuelles-sécuritaires en partenariats stratégiques gagnants-gagnants d'égal à égal dans tous ses déplacements, dont la renommée est inégalée au Rwanda Tanzanie Ethiopie Madagascar Nigeria et Zambie. D'autant plus, à Madagascar face à la presse de ce pays il a remis les pendules à l'heure, montrant en subliminal à qui comprend les messages et les non-dits, qu'il n'y a aucun mystère à sa non participation au 16-ième Sommet de la Francophonie et que le Maroc est souverain dans ses décisions. Notamment dans l'ajout de l'écriture d'un nouveau paragraphe de son histoire dans cette Ile-Pays, par le focus de l'excellence politique à l'origine du concept de priorité face au fil d'actualités où l'acuité des problèmes socio économiques offusque la splendeur et la diversité du potentiel naturel et humain existant. Et, qu'au demeurant invraisemblablement est restée hors du processus d'appui de l'UE et l'UA par une vraie intégration régionale des économies Est-Sud-africaines, sur la base de la coopération solidaire. Dont le Maroc s'inspirant du code de son bon sens d'utiliser son savoir-faire du rétrécissement de ce décalage flagrant dans toute l'Afrique, entend garder son avance sensée représenter les notions référentielles de sa noblesse dans l'ère du temps. Et ce, pour le rendement de ses partenariats stratégiques avant-gardistes de sa tradition de solidarité qui serait toujours utilement corrigée et augmentée à chaque fois que les conditions le permettent. 

       Néanmoins, à ce propos, n'en peut-on voir que ce qui arrive à beaucoup de pays africains comme retard de développement et épanouissement, c'est la faute à l'Algérie et ses manutentionnaires ne les ayant laissés prendre leur destin en main des années durant? De par ses agissements idéologiques basés sur le soudoiement et la corruption des décideurs datant de l'ère du rideau de Fer, au vu que l'Afrique hier n'était pour elle qu'un champ d'expériences et de complications des cloisonnements relationnelles géopolitiques inutiles sans avenir. Et qu'aujourd'hui, le Forum africain de l'entreprise qu'elle compte organiser du 03-05 Décembre 2016 à Alger, dont elle se prétend en tant qu'acteur prioritaire dans l'EANS (Energie Agroalimentaire Numérique et Sous-traitance) sans vouloir accepter la réalité sur le terrain étant largement larguée par le Maroc. D'autant plus, elle n'est pas à son premier essai de reluisement de sa posture-pastiche, de par la diplomatie de ses baroudeurs longtemps restés amplificateurs du désordre à la Ramtane Laamamra se tenant à contre courant du déroulé de l'actualité africaine. Ne voulant malgré ses nombreuses déconfitures comme à Margaritta à Malabo à Sirte du temps de Kadhafi à l'ONU et au parlement européen, intégrer que c'est vers le décloisonnement des 05 sous-régions africaines que le Maroc se propose de guider la croissance partagée vers le progrès, en disposant d'outils de son capital technicien comptant sur l'ampleur du marché intérieur global.

      A l'évidence, à présent le format définitif de la Commission Africaine sous le (la) futur(e) président  (e), traduira le souci d'en faire une Instance compacte cohérente truffée de compétences pour une meilleure gouvernance facile et efficace. Dont le Maroc par l'inventaire de ses partenariats gagnants-gagnants en représentera sûrement les différentes orientations dans le champ d'action du prochain gouvernement. En sortant des tractations considérées comme office de partage d'un trésor électoral ou d'un présent facile à distribuer aux partisans aux copains d'aventure de voisins idéologiques et mêmes aux larbins détournés d'ailleurs. Tellement que la mouture à présenter au Roi, doit être établie sur la base de la structure du discours de Dakar via des pôles forts délimités par les lignes claires des prérogatives. Sans omettre en aucune façon la présence en même temps des colombes et faucons connus, loin du narcissisme et/où nombrilisme des uns et des autres comme ce qui se fait partout dans les pays forts. Parce que, ce qui attend le Maroc si par malheur il y a mauvaise appréciation des défis dans l'avenir au court et moyen termes, n'augure rien de bon pour faire face à l'Algérie et ses soutiens. Surtout par l'usage du vocable politicien qui se veut l'outil de la standardisation de la pensée des marocains, sans faire attention à la manipulation venant d'origines internes et externes connues anti Maroc. C'est pour cela, il faut dire donc sans hésiter, assez des versions gouvernementales se présentant comme des brochures des désirs sur mesure des partis politiques ! Assez de vouloir passer la méthodologie livrée pour la formation du gouvernement jusqu'à présent, comme une synthèse partielle et donc lacunaire sans l'aval clair du RNI bien au diapason de la démarche marocaine en Afrique ! Assez de tromper l'opinion en s'étonnant de ne pas y trouver l'aide de l'Etat et aussi de n'avoir des soutiens des associations et autres corporatismes socioprofessionnels ! Assez de recommander aux récalcitrants de consentir l'effort de revoir leur positionnement pour la compréhension de cette construction d'une majorité même vacillante. A bon entendeur, salut !

mercredi 23 novembre 2016

C’EST QUOI CE SOMMET AFRIQUE-PAYS ARABES, SANS LE MAROC NI LE CCG YÉMEN JORDANIE SOMALIE EN GUINÉE EQUATORIALE?

RÉELLEMENT IL S’AGIT D’UN PSEUDO-SOMMET ‘’SOMMETON’’ AFRIQUE-PAYS ARABES DE SURCROÎT CHEZ LE BOUDDHA DÉPRESSIF DE GUINÉE EQUATORIALE, METTANT EN EXERGUE L’INDICE DU DÉBUT DE MÉDITATION  DE LA HUITAINE DE PRÉSIDENTS AFRICAINS COURSIERS SANS AURA DE CÉLÉBRITÉ MÊME DANS LEUR PAYS.

       Désormais c’est un constat flagrant, le Maroc en plus de huit pays arabes et autres trente cinq africains, estiment que ce Sommet faisant passer les pertes avant les bénéfices est irrecevable. Car pour eux tous, il est stupide de leur imposer l’épreuve de la présence de la RASD pour la énième fois consécutive en faisant fi de leurs objections légitimes. A cet égard, ils n’en pensent aucunement que le Niet marocain dans ce contexte n’enfreigne l’ordre du jour de ce Sommet transformé en ‘’Sommeton’’. Mais, seulement rend compte de la légèreté du président Bouddha depuis 1979 de la Guinée Equatoriale, n’ayant voulu garder l’œil ouvert sur l'illégalité de son action risquée d’avoir invité la RASD. Et, dont il croyait en faire sa course contre la montre pour poser des chaines d’entraves qui visent à promouvoir tacitement cette entité fantoche qui vacille, en temps et place du retour annoncé du Maroc à Addis-Abeba en préparation du Sommet de l’UA en Janvier 2017.  

       Sauf que, à toute fin ses raisons au vu que le Maroc n’est pas né de la dernière pluie pour se laisser se faire marcher sur les pieds notamment en réagissant par une démonstration de force politique, en se retirant avec ses vrais amis arabes suite à des manœuvres à la limite du concevable et donc de l'acceptable. Dont tous les médias en présence en font l’écho, d’abord tenant compte de son approche géopolitique de grande qualité de ciblage s’ajoutant à sa réflexion géostratégique connectée auprès des grands à l’avantage des pays africains. Puis, plaçant le curseur très haut en assumant sa volonté d’accompagnement de tous les chefs d’Etats africains qui en expriment le désir en option de ce qui fut initié au Sommet africain de l’action en marge de la COP 22 à Marrakech 07-18 Novembre 2016. Qu’au demeurant, tous les pays africains amis présents ne veulent se voir enfournées dans l'ambiguïté et finalement contraints de participer à ce Sommet de Malabo sans se sentir bien dans leur peau et être à l’aise dans leur attitude pour rendre l’ascenseur en marche au Maroc. Car, si par le passé certains présidents faisaient au sein de l’UA dans le deux poids deux mesures à l’égard du Maroc, roulant sans protection pour la Libye de Kadhafi l’Algérie de Bouteflika et l’Afrique du Sud de Zouma, il n’en serait point aujourd’hui avec lui sous la direction d’un Roi fort et déterminé dans son retour puissant dans tous les domaines en Afrique.

       Néanmoins, la huitaine de l’ensemble de chefs d’Etats et de gouvernements récalcitrants à la thèse marocaine étant arrivés à Malabo, les voilà incohérents dans leurs postures immobiles les yeux retournés dans leurs retraits repensant à chaque instant à leur position de reclus dont leurs conseillers les dérobaient à la vue des médias. N’est-ce d’ailleurs là où le bât blesse, c’est pourquoi Al-Sissi que la presse égyptienne sous sa botte, excusez du peu, présente comme la star de ce ‘’Sommeton’’ par hypocrisie de la réincarnation de pharaon a-t-il soudainement quitté les pieds des pyramides où il méditait à ses déconvenues sans boire ni manger pour se rendre en Guinée Equatoriale afin de participer à cette criée des coursiers inutiles et indésirables en l’absence de neuf pays arabes et pas les moindres ? D’autant, même si ses manutentionnaires médiatiques sevrés à la démocratie l’en encouragent de se mettre à contresens du Maroc en tant que vrai dynamo de l’Afrique, il se doit se mettre au diapason de la démarche africaine de Sa Majesté le Roi Mohamed VI pour ne pas tomber si bas. Parce que, s’il pense comme ça pouvoir élargir ses coopérations Sud-Sud selon d’autres attitudes préprogrammées en Algérie de non réchauffement de ses relations avec le Maroc, il se fourgue le doigt dans l’œil surtout avec l'arrivée de la républicaine Nikki Hailey en tant qu'ambassadrice représentante permanent des USA au Conseil de Sécurité de l'ONU. Aussi, pour être plus clair n’en peut-on voir que les cas de défaillances directes ou indirectes de sa gouvernance instable au vu des variations de ses conversations avec les pays du CCG et autres, commencent à plonger l’Egypte dans l’imbroglio des pays courtiers voire concessionnaires des chimères seulement ?

       A dire vrai il est le réceptacle de la colère en Egypte parce qu’il divise et instaure la dictature, d’où la violence tout autour de par ses gestes inamicaux de sa nouvelle signature de ses devants à l’encontre de la sagesse politique en gouvernance vis-à-vis de ses concitoyens. Ce qu’au demeurant choque les peuples africains, qui connaissent mieux le Roi du Maroc compétent tolèrent et loyal d’après des enquêtes réalisées, le voyant effectivement le seul meilleur chef d’Etat réaliste digne de confiance. Contrairement à Al-Sissi qui essaye de poignarder dans le dos le Maroc par ses attouchements pro Polisario algériens-dépendants, même sachant que sa cote politique est en dépression partout en Afrique. Mais, pourquoi veut-il concurrencer le Souverain marocain dans sa poursuite logique de ses visites prometteuses et porteuses d’avenir en Ethiopie Madagascar Nigéria et Zambie sur le plan socio culturel économique écologique et cultuel-sécuritaire ? De ce point de vue, pourquoi ne sait-il qu’en plus le Roi africain n’en serait déstabilisé par les sottises et âneries des certains médias et sites de réseaux sociaux égyptiens, voyant en le rapprochement Maroc-Ethiopie la main des Falachas autrefois rapatriés à Israël ? Omettant, que l’Ethiopie est en phase de finition de son barrage de la renaissance qui est aussi l’un des points de discorde sur la gestion des eaux du Nil avec le Soudan qui n’en tient par lucidité nullement rigueur au Maroc. N’est-ce sans doute cela qui affaibli un peu plus le raisonnement périphérique de tous ces snipers du Net, dont, le Maroc garde l’esprit clair car n’y est pour rien dans cette construction de ce barrage? Bien que même installant aujourd’hui une usine d’engrais et de fertilisants à hauteur de 3,7 milliards de dollars dans le cadre de sa coopération-partenariat gagnant-gagnant pour l’accompagnement de l’Ethiopie dans sa révolution agraire en perspective.

       En effet, la tournée royale jusqu’à présent en Ethiopie et à Madagascar a donné du tournis aux ennemis connectés dans l’idiotie accélérée et inconditionnelle anti Maroc. Ils en tiennent même, haut la main, la première place dans le crossing-over  des paramètres de mesure de surchauffe de leurs cerveaux ratatinés de haine de rancune et rancœur. Parce qu’ils sont nichés dans la position des receleurs de médisances de mensonges et contrevérités, n’en sachant pas que ce pays qu’ils détestent tant n’est plus relié aux axes traditionnels qui ne permettent qu’une démarche saccadée de revalorisation de ses choix. Au contraire, il est aujourd’hui en total mouvement dans son champ de pratique démocratique de l’alternance par les urnes malgré quelques difficultés de circonstances politiciennes, d’où son particularisme ne peut que les profondément surpasser. Tellement qu’on en parle partout de sa réussite de transition depuis 1999, lui donnant un gage pour son miracle sociétal malgré les contraintes sociales les défis sécuritaires terroristes et les malveillances-perfidies des pays faux-amis à l’ONU l’UE et l’UA. A bon entendeur, salut !  

vendredi 18 novembre 2016

LE DEUXIÈME ROUND DE LA VISITE ROYALE EN AFRIQUE, N’EST-IL L’ULTIME OCCASION DE RECOURS A LA SAGESSE POLITIQUE POUR LA FORMATION DU GOUVERNEMENT ?

AUJOURD’HUI, LA FORMATION DU GOUVERNEMENT EST UN DUEL ENTRE (RNI-UC-MP) ET PI DONT CHABAT CRIE DE FRAYEUR AVANT QU’IL NE SOIT APPAREMMENT DÉCLARÉ DOUBLEMENT VAINCU PAR BENKIRANE LUI-MÊME.

       Au Maroc, après la projection des résultats des élections législatives du 07 Octobre 2016, la schizophrénie politique est devenue le caractère imprévisible sur les fondamentaux de la formation d’un gouvernement fort cohérent et responsable. Mais alors, à cet effet, pourquoi Benkirane se montrant à la fois derviche mutin et révérant opportun continue-t-il à défier tout l’arc politique, même son propre parti le PJD en fréquentant sans vraie lucidité ni perspective d’avenir l’un de ses ennemis déclarés d’hier ? Dont, par ailleurs, invraisemblablement il en aspire au calme pour confronter les ombres hantées de déchéance de ce repenti filipendule humilié, pour le sauver. Aussi, n’est-ce uniquement en cela, que des ténors et pas les moindres au PJD ont-ils décidé de le mettre en garde, le suppliant de ne les laisser dans l’expectative qui leur fait sciemment volontairement une peine infini du fait qu’il ne les écoute pas ? C’est même frustrant pour eux, parce qu’ils savent à juste titre, que la vie politique de cet ennemi d’alors est damnée depuis le 07 Octobre 2016, et qu’en effet son futur est déjà marqué au cœur de l’abîme par l’œil prodigieusement ouvert des adhérents même de ses proches soutiens au parti.

       A dire vrai, là où Chabat et ses inconditionnels frustrés ne valant rien sans le pouvoir économique ont entamé leurs invectives et diatribes vis-à-vis de la recherche d’un gouvernement fort déterminé influençant la décision politique, son rival Akhnouche n’en tremperait jamais ! Tellement, n’est-ce là où la démultiplication des cris les vilipendant tous en tant que vaincus, se distingue-elle de leur frayeur des uns et des autres avant d’être laminés électoralement, par rapport à l’angoisse du processus des tractations à pas de tortue. Même s’il s’agit de recherche de positionnement pour négocier l’entrée au gouvernement avec un Benkirane se trouvant désormais entre douceur de réussir après le discours de Dakar et fureur d’être contraint de rendre la politesse en déposant les clés pour débloquer la situation. Notamment, après ses prophéties-délires du 05 Novembre 2016 abandonnant la trame de prédilection pour la formation du gouvernement, que normalement elle doit être comblée de sérénité de son parti sorti gagnant des élections pour accompagner la feuille de route validée par la vision royale. Et non réorientée au profit d’intrigues au symbolisme plus vengeur fortement frappé de style de passion orgueilleuse par la transfiguration des souvenirs politiques, que tout un chacun n’en peut en garder en mémoire que la paralysie sans la protection des engagements comme sous d’autres cieux non envieux.

       Maintenant, après plus de quarante jours l’on peut dire que Benkirane prend conscience du dilemme de non réussite à former une majorité, ce qui met en exergue sa faillite de n’être au rendez-vous après la mobilisation des élections du 07 Octobre 2016. D’ailleurs, pourquoi était-il resté fragmenté dans ses raisonnements sans avoir la posture du rassembleur, pour ne pas passer de ce que des observateurs appellent la tentative d’observance introspective de ses états de service rendus vers la rétrospection de se voir transporter dans le passé ? A-t-il oublié qu’on l’a traité de support de Daech et Mossad, et qu’aujourd’hui on fait pareillement pour d’autres à même d’en voir en eux des nouveaux Karazay, alors que le Maroc n’est aucunement sous occupation où dominance ? Au contraire, et je le dis sans détours, l’expression du respect de la démocratie venant de la bouche de girouettes ne va de paire avec leur reddition dans l’humiliation surtout après avoir dansé sur toutes les pistes de la majorité et de l’opposition pendant toute une législature. Non, de fait, ni Benkirane ni Akhnouche ni Lachgar ne sont de cette lignée, mais plutôt chacun selon son parcours ils sont les témoins personnifiés de la mouture des politiques du temps présent avec ses défaillances et ses dépendances. Et, dont, ils ne sont pas forcément des mercantis de l’opprobre de la médisance et de la conjecture, comme ce que l’on voit colporter par certains médias et autres sites sur le Net et réseaux sociaux.

       Oui, à valeur d’aujourd’hui, Benkirane reconnais qu’il ne soit encore arrivé à fédérer le RNI et le PI quand à l’avenir d’une majorité stable au vu de l’appauvrissement en facteurs encourageants. Et ce, à cause des controverses distillées ici et là pour le saper par peur qu’il ne puisse céder solennellement au RNI-UC-MP, par suite d’éventuelle bonne évaluation et quantification de leurs effets sur la marche gouvernementale dans le futur. S’ajoutant au pessimisme ambiant ne pouvant laisser la réaffirmation d’une telle dynamique aux allures d’espoir qui pourrait changer leurs positionnements vis-à-vis du PI pour le réintégrer in fine. En revanche, il ne faut pas se leurrer, le PJD comprend que le temps presse de former une majorité sans le PI, même avec les conditions de l’USFP et ne plus s’en écarter du RNI quitte à paraitre avaler des couleuvres. Tout simplement, en y ouvrant un compte de fidélité partagée sans amertume ni désinvolture pour le bon rapport bénéfice/risque en projection de la construction d’un gouvernement répondant aux critères de la charge du discours royal à Dakar. Mais aussi, en fonction du marché des priorités diplomatiques relationnelles se conformant aux exigences des obligations internationales, surtout en Afrique par la quête des grands projets de développement infrastructurel au profit des peuples. En suivant méticuleusement les traces de la campagne de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, dont il en intensifie ses efforts en Ethiopie Madagascar Kenya et Nigéria dans tous les domaines via un encadrement exemplaire structurant des partenariats gagnants-gagnants d’égal à égal.

       Ce qui corrobore, que seule la sagesse politique pour la formation du gouvernement au diapason de l’avalanche des discours du Roi serait porteuse et prometteuse pour éviter les alliances de tromperie sur la nécessité du dialogue basé sur les signes de l’émerveillement sans lendemain sur le terrain. Aussi, ne faut-il le rappeler, Sa Majesté a développée magistralement son discours au Sommet de la COP 22 à Marrakech annonçant au monde l’implication du Maroc dans le programme de garantie de la production de richesses locales en Afrique dans le respect de l’accord de Paris contre le réchauffement climatique. Réitérant éloquemment dans son discours au Sommet africain de l’action en marge de cette COP 22 cet engagement, à même de démontrer qu’avec ses visites répétitives audacieuses il se mobilisera sans faillir pour l’Afrique par un nouvel ordre-conception de par la détermination du Maroc en tant qu’Hub de l’économie verte de partage. Et ce, selon les moyens et le rythme des mesures d’accompagnement indispensables à la sauvegarde de l’écologie et à la préservation des écosystèmes et biotopes de l’environnement du lac Tchad du bassin Congo et des pays insulaires. Dont incroyablement l’Algérie y semble emballée, avouant étonnement à qui veut l’entendre que le Maroc sans carnet de chèques, décolle, contrairement à l'enlisement dont, elle, se trouve. Tellement que beaucoup d'algériens avertis sur les distributions de rôles entre les décideurs, en voient sans complexe que c’est la victoire de l’intelligence et des initiatives louables d’un pays non ankylosé non déprimé et non gelé. Un plaidoyer inédit, pour la relance d’une coopération extraordinaire Maroc-Algérie, que Belkhadem et même Sellal dans sa virée saoudienne et auparavant Saadani Louisa Hanooun et d'autres, en ont montré une prédisposition dont on peut en déceler qu’il est peut-être loin le temps des livraisons de critiques acerbes vis-à-vis du Maroc. D'ailleurs, n'en peut-on comprendre que c'est une façon de vouloir se faire réceptionner auprès et par son voisin de l'Ouest dans sa lutte de front contre le terrorisme? Et donc, de fait, elle ne soit pas analysée seulement comme une fertilisation du concept de mise rationnelle de l'ordre et la sécurité sur tout le territoire algérien. A bon entendeur, salut ! 

mardi 15 novembre 2016

PAS DE PANIQUE IL Y AURA BIEN UN GOUVERNEMENT MÊME AU FORCEPS, MAIS PAS COMME L’ENTEND FAIRE BENKIRANE !

ET OUI, N’EST-CE PAS CA CHANGE TOUT LE TEMPS VU QU’ON NE SE REFAIT PAS UNE VIRGINITÉ POLITIQUE PAR L’ENCLENCHEMENT DE POLÉMIQUE OPPORTUNISTE ?

       On n’y comprend rien, c’est même  fou puisque à chaque fois on donne une réponse différente au blocage de la constitution du gouvernement. Tantôt, c’est d’une conspiration imaginaire fictive dont il s’agit et qui aurait commencé au lendemain de l’annonce des résultats des élections législatives du 07 Octobre 2016. Tantôt, c’est le chantage des partis pour l’acceptation de leurs conditions sinon la descente rapide aux enfers par suite de mauvais parachutage d'un gouvernement ne pouvant s'expliquer que d'une non ouverture du parachute. En cela, rira bien celui qui rira le dernier, car le succès de formation de gouvernement capable de l’encadrement et l’effectivité dans l’efficacité avec Benkirane ne dépend plus de lui, dès lors qu'il a passé sa législature finie à narguer l'Etat-Maroc par des sorties médiatiques bizarroïdes. Justement, pour rappel, les préoccupations des marocains dont on peut en voir qu’effectivement ils s’en inquiètent, c’est ne pas avoir une formation gouvernementale qui botte en touche comme ce qu'on a vu avec certaines composantes de celle sortante par rapport aux grands défis qui attendent le Maroc. En effet, c’est donc à propos du risque de tentative de Benkirane de s’octroyer le droit de la criée d’ouverture de ses succursales s’y rattachant pour la formation du prochain gouvernement dont tout le monde en a eu connaissance de ses relents au moment de sa mise au point devant la commission administrative du PJD le 05 Novembre 2016, que le discours royal de Dakar le jour suivant en date du 06 est arrivé à point pour les fermer et tout arrêter.

       Non, le Maroc mérite mieux parce qu'il ne peut se permettre de revivre la même expérience d’avant, dans les mêmes conditions de pratique du monopole gestionnaire par l’emphase sans valeur ajoutée ni efficacité ni résultats politiques probants. D’autant plus qu’il y a de quoi se soucier davantage du rôle des partis sans base populaire dans le gouvernement futur, chose inconcevable pour les marocains par le fait de savoir qu’on songe à créer des conditions d’ordre politicien pour gâter les allégeances contre nature et donc pour servir leurs soi-disant grosses pointures. En plus, ne pouvant dissiper toutes les interrogations sur les gouvernements Benkirane I et II, en tant que les plus incohérents si ce n’est les faibles dans quelques départements en compétences depuis l’indépendance. Au sens ou on est en droit de savoir si ça continue, comment faire pour relancer l’économie nationale loin des slogans politiques d’Alaamzine, que par ailleurs ils vivent une atténuation de leur fonds de résurgence liée au constat du rythme de tortue à propos de la formation du gouvernement ?  

       Cependant, en ce jour de l’ouverture du Sommet de la COP 22 à Marrakech 07-18 Novembre 2016 alors que le Maroc a connu des élections législatives corsées et difficiles, il fallait sortir le paysage politique de la dérision vu la manière dont on en parle de l’insertion de partis qui ont été laminés par le suffrage pour conduire les affaires de l’Etat. Un non sens surfacique de pratique de démocratie trompeuse, que les initiés et observateurs avertis n’en aiment cette façon d’acquisition de l’Exécutif au compte de liaisons et synapses de soutiens aux incompétents. Ne pouvant en l’occurrence que mettre le pays en difficulté puisque le mal à mobiliser les compétences et les énergies indispensables sur le moyen et long terme persiste toujours. Et, dont on espère très vivement pour dépasser cette formule de priorisation de calculette que Benkirane intègre le schéma prospectif positif qu’a insufflé le discours royal de Dakar. Et ce, pour restructurer un gouvernement fort au fait d’impressionner à l’international d’un coté, et de l’autre de lutter contre le chômage la corruption et travailler à maîtriser par les actes les préoccupations majeures du peuple en matière de santé de logement et de production équitable des richesses dans les 12 régions. En quelque sorte, de se responsabiliser en modifiant son linkage d’imbrication futile et inutile et ne plus rester dans la danse turpitudes politiciennes. A commencer par une accélération de refonte de sa vision par palier géopolitique à l’égard de l’Afrique et géostratégique vis-à-vis du monde en plein changement.

       Sauf que, bizarrement, le chef du gouvernement pressenti et reconduit a raté le coche, jusqu’à ce que le discours de Dakar le lui rappelle, qui, est vraiment le chef de l’Etat ? Parce qu’il n’en faisait qu’à sa tête sous dominance des expectantes d’idées non conformes aux scoops des analyses pertinentes de la situation du Maroc sur le Net et réseaux sociaux. Dès lors, pour constituer une équipe gouvernementale il s’est englué dans le marécage des coalitions à la calculette d’épicerie, sans se projeter sur l’incitation à la facilitation et l’accélération du rythme de la bonne gouvernance. N’est-ce d’ailleurs c’a quoi il fut violemment tancé depuis Dakar, sur cette attitude qui n’augure rien de bon pour le Maroc des grands défis ? Mais le hic, même étant au plus mal, il continue son essai de ramassage électoral alors qu’il n’y a aucune amélioration en vue du fait qu’il est tombé dans le piège de Chabat qu'apparemment il n'est pas soutenu de ses hauts cadres. Ce qui rappelle l’histoire du scorpion avec la grenouille, dont voici le récit montrant qu’on ne se refait pas ! Ainsi, de la façon qu’elle a été racontée de bouche à oreille, il était une fois un scorpion arrêté devant une étendue d’eau se demandant ’’comment faire pour traverser ce marécage inattendu’’ ?
Passe une grenouille. Le scorpion la prie de le conduire sur l’autre rive.             
- Pas si bête, dit la grenouille, je connais cette histoire. Je vous fais traverser et vous en profiterez pour me piquer.
- Je vous assure que vous vous trompez, lui dit le scorpion, soyons logique, si je vous pique pendant que vous me portez de l’autre coté, vous mourez. Si vous mourez, je tombe à l’eau. Et comme je ne sais pas nager, je me noie. N’est-ce logique ça, pour me faire confiance? Éblouie par ce raisonnement, la grenouille se charge le scorpion sur le dos, et se met à nager. Arrivé à mi-courant, le scorpion la pique. Et, surprise elle a le temps avant d’expirer de demander au scorpion : 
- Vous trouvez que c’est logique, ça de ne pas tenir promesse ?
- Ha ! fait le scorpion, oui, c’est mon caractère !

       Voilà pourquoi l’on peut dire, Akhnouche et Chabat luttent pour avoir le même standing gouvernemental. L’un pour son bon vouloir de mettre à la disposition de l’engagement de l’Exécutif de son carnet d’adresses à même de se mobiliser pour les projets actifs et productifs, l’autre pour son désir d’adaptation par vagues saccadées au palier de marquage en coordination avec les mesures incitatives émanant d’experts pour ne pas basculer dans la corbeille des oubliés en politique. Tellement, le premier montre que s’il a avec lui l’Union Constitutionnelle et le MP c’est pour aider à la réalisation de la vision du nouveau Maroc, en action en projet et surtout en politique publique d’atténuation des souffrances des populations. D’autant plus, sachant que Benkirane y est sensible à l’histoire du scorpion et la grenouille, et donc, n’y peut rien devant le Niet du RNI à la sollicitation du PI. Dont le second, en l'occurrence Chabat, lui, il cherche à s’embarquer dans ce gouvernement s'agitant se retournant même de toute son énergie pour attirer l’USFP sur la base du creuset idéologique koutléen d’autrefois, qu’en effet il croit qu’il a subi une large maturité revue et corrigée pour se lancer avec aisance en compétitivité contre son rival. Mais, à l'évidence n’y arrivant pas à ce jour de convaincre Lachgar, il attaque Akhnouche par des invectives sur ses prétentions de mettre le PI hors course, en oubliant que c’est aussi une revanche de l’ascenseur en panne rendu à l’envoyeur, comme du temps des tractations et des polémiques opportunistes de 2011 après le 25 Novembre dont aujourd'hui n'en veut pas s'en rappeler.

       D’ailleurs, à cet effet, personne ne peut zapper la réunion de la commission administrative qui a été organisée par l’USFP, après son annonce d’octroi d’une fenêtre d’espoir en vue de la formation du gouvernement. D’autant plus de laquelle, de fait, l’on pourrait en soupçonner une attirance voire tentation par un autre linkage plus en harmonie avec la charge politique du discours de Dakar, si évidemment les conditions se réunissent de par l'observation méthodique des tractations linéaires engagées ne prenant compte de l’état de conscience du peuple marocain. En tout cas, qui vivra verra ce qu’apporteront les prochains jours contre ces blocages, dont pour les uns c’est tellement évident car la méthode à la calculette de Benkirane ne peut rien y faire. Tandis pour les autres, ce ne sont que des contraintes devenues universelles, dont le Maroc n’en peut s’en acquitter car  imposées à l’islamisme politique à l’Abou Taymima, et ce comme préparation tôt ou tard à un autre ancrage gouvernemental surtout après l’arrivée de  Donald Trump le républicain pragmatique à la tête des USA. A bon suiveur, bonne lecture !  

jeudi 10 novembre 2016

GARE AUX POUVOIRS ALGÉRIEN ET MAURITANIEN, LE DONALD TRUMP PRÉSIDENT DES USA NE TROMPERA ET ENCORE MOINS TREMPERA POUR TRAHIR LE MAROC !

DÉTREMPEZ-VOUS MESSIEURS DES POUVOIRS ALGERIEN ET MAURITANIEN, DONALD TRUMP NE TROMPERA JAMAIS LE MAROC NI TREMPERA DANS LES MACHINATIONS COMME DU TEMPS D.E.A AVEC JOHN KERRY ET SUZANNE REIS !

       A travers tous mes sujets traités touchant au dossier du Sahara marocain depuis plus de six ans sur le Net réseaux sociaux et blog, j’ai eu beaucoup d’occasions pour montrer une réserve qui s’est avérée juste sur l’obamania. Dont l’attitude de Boutaflika et Ould-Abdelaziz ayant une liaison passionnée avec cette mode, montre qu’ils s’y sont eux aussi opportunément intéressés pour raison de bras de fer Maroc-Algérie à l’UA. Ainsi, en ce moment où les critiques de leurs médias et réseaux sociaux à tort ou à raison tailladent Donald Trump en toutes pièces, le grand argument pour tout marocain qui se respecte c’est évidemment de les affronter sur le terrain du suivisme obamaéen pour démonter leur arnaque de la communauté internationale. Ce faisant, vu de cet angle, voilà donc ces messieurs avertis se devant revoir leurs positions et reculer dans le dossier du Sahara marocain, parce que, le Trump président des USA ne bradera en aucune façon l’amitié ni d’autrefois ni du temps présent avec le peuple et le Royaume marocain. Justement, il aurait même dit dans l'un de ses passages en Turquie pour l'inauguration de Tour Trump avec Ardogan, que son rêve c'est d'en construire des répliques en Egypte et au Maroc. Tellement, dans les faits tout le monde en verrait qu’il est prêt dans le contexte actuel à extirper le Polisario Daech Aqmi et autres protubérances terroristes afin d'arrêter les frais dans la région MENA. Laquelle, est presque en état de guerre froide secrète à cause de cette boulimie obamaéenne de foutre le désordre partout, symbolisant sa ligne misérable interventionniste dans le prolongement de la conspiration Sykes-Picot de surcroît politiquement très discutable.

       D’ailleurs, force est de constater que sa ligne de démarcation c’est le respect de l’engagement qui est l’une des ses valeurs fortes, que le prochain représentant permanent des USA au Conseil de Sécurité de l’ONU exprimera sans euphorie ni excitation pour défendre l’offre marocaine d’autonomie 2007 dans la régionalisation avancée. Et, qu’en plus le Maroc sous Sa Majesté le Roi Mohamed VI aura certainement droit à accueil sans ambages de sa part et surtout de la part des nouveaux responsables dans toutes les institutions désormais sous dominance républicaine. A cet égard, après tant d’années de fourberies le pouvoir algérien est aujourd’hui saisi de panique, au point qu’il commence à faire semblant de lancer en subliminal des appels au Maroc. Laissant entendre qu’il essaye de se normaliser pour se préserver, sachant qu’il n’a plus de choix de se faire soigner de son automutilation psychologique, conséquence de 41 ans de gesticulations sans sagesse ni envergure mais seulement avec tricherie sur l’Histoire de la région.                      

       A l’évidence, par suite à la dégradation de la situation dans la zone MENA-Sahel subsaharienne africaine, d’après son staff le plus proche les USA doivent se désengager et ne plus paraître bienveillants aux yeux du monde sur le dos de la contribution financière des américains. Dont lui, personnellement il dit STOP à l'existence du dysfonctionnement des institutions devenues non conformes aux normes de bonnes pratiques de fabrication de la bonne attitude face au terrorisme  ! Sachant que le Maroc fait partie d’une bonne quinzaine de pays très menacés, et duquel il n’hésitera à en parler à ses interlocuteurs privilégiés qui traînent encore le pied, pour qu’il le prenne plus en bonne considération avec clarté et lucidité. Notamment, sur les sujets de sécurité pour préserver sereinement la justesse de la cause de recouvrement de toutes ses souverainetés. Plus clair que ça, connais pas ! A même, de leur demander de se mettre du coté de la thèse du Maroc en matière de distance d’attirance en valeurs normatives politiques à propos de son Sahara et aussi en interface contributive avec succès et non sans excès de son soutien économique. Pour qu’il soit à l’abri des perfidies du Venezuela Angola et Uruguay au Conseil de Sécurité de l’ONU et n’ait jamais d’inquiétude ni sentiment de transition en termes de ses dispositifs géostratégiques voire géopolitiques qu’il eut déjà façonné au sein de l’UA face à ses voisins et autres pays africains faux-amis.

       En ce sens, est-ce que cela n’indique-t-il que la politique extérieure de Donald Trump vis-à-vis du Maroc tiendra du volume de sa production des réalisations futures ? Qu’en effet, elles seront mises à son actif sur les territoires du Sahara marocain, pour montrer au monde son sérieux et sa détermination de chasser les idées saugrenues séparatistes sans compromis ni manigances de nécessité politicienne. D’autant plus, ce qu’il faut savoir au-delà du contexte passionnel, maintenant que le temps de la campagne électorale américaine et ses invectives est fini, n’est-il venu le moment du Maroc d’en découdre avec le Polisario ? Même si, celui de la réalité de cette possibilité sur la base de la pratique de l’exercice de l’Exécutif par le PJD clintonien en vue de l’apaisement des esprits, ne fait que commencer en rééquilibrage à la défaite inattendue de Madame Clinton. Autrement dit, concrètement tout est possible puisque le Maroc encouragé des républicains n’a d’autres alternatives que de devancer et anticiper les menaces polisariennes qui, au vu et au su même du nouveau Secrétaire Général de l'ONU Antonio Gutteress et le personnel de la Minurso maitrisée, malheureusement, donnent des ailes aux terroristes et aux imbéciles contrebandiers faisant courir le risque de déflagration à la région. S’ajoutant d’un coté aux incertitudes sociétales ethnoculturelles purement algériennes et de l’autre aux problématiques raciales exclusivement mauritaniennes déjà sur le brasier.

       Franchement, pour le redire à la façon Trump sans langue de bois, l’avenir des pouvoirs algérien et mauritanien est incertain face au rouleau compresseur diplomatique déployé par le Maroc. Dont, il s’avère qu’en matière de géopolitique à l’UA, ils sont largués et dépassés même avec un staff de Ramtane Laamamra à Addis-Abeba s’efforçant à rassurer que, avec sa petite fenêtre de tir, leur impact diplomatique à eux est plus convaincant que la déferlante du ton marquant marocain. Et donc sans montrer d’étonnement au vu que ces deux pays, pourtant voisins mitoyens faisant partie du Maghreb, ne sachant gérer ni la temporalité ni le lieu et encore moins les opportunités des synthèses des services de renseignement étrangers qui pullulent en Afrique qui, majoritairement disent le Maroc est maintenant hors portée, ils continuent sur le marché du déni des réalités. Comme ça leur moisson diplomatique mensongère s’en trouve déclassée même après contrôle des lobbys anti Maroc, car ce dernier les encercle par autant d’initiatives censées rehausser son capital-crédit auprès de ses partenaires plus nombreux de jour en jour partout en Afrique. A bon entendeur, salut ! 

mercredi 9 novembre 2016

L’UNION AFRICAINE (UA) QUE PRÉCONISE LE DISCOURS ROYAL DE DAKAR, SERAIT-ELLE EN PHASE AVEC L’ELECTION DE DONALD TRUMP A LA TÈTE DES USA ?

EN CELA PAR UNE ANALYSE SÉRIEUSE DE CE DISCOURS SANS RÉSERVE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES DE QUELQUE NATURE QUE CE SOIT, NE PEUT-ON EN DEVINER POURQUOI ET COMMENT LE ROI DU MAROC VEUT-IL INCULQUER L’AUDACE ET LA DÉTERMINATION AUX MEMBRES DU GOUVERNEMENT POUR SE METTRE A L’HEURE DE L’AFRIQUE QUI BOUGE ?

       C’est incroyable mais vrai, après 32 ans d’absence officielle au sein de l’UA les marocains ne voient plus l’Afrique australe et du sud comme un nuage lointain, mais comme un nouveau ancrage où l’on prépare aussi d’autres nouvelles victoires sur les risques et les turbulences du terrorisme. D’abord, via des plateformes de renforcement de l’essor économique en co-développement coopératif productif et solidaire adapté au mieux vivre Sud-Sud. Puis, par anticipation sur les scénarios politiques des convenances pour éliminer les révérences aux caméléons manipulateurs agitateurs attitrés au sein de l’UA. Ce qui demeurera, à n’en pas douter, un témoignage du génie du Roi du Maroc par le choix circonstancié de Dakar auquel il sut imprimer sa vision remettant en question le langage sournois dont se figeaient ces caméléons. D’autant, est-ce que la doctrine défendue par cette vision royale peut-elle être montée en perspective de continuité des relations Maroc-USA en collaboration avec la nouvelle équipe inconnue de Donald Trump, que lui au moment de sa compagne électorale il ne s’en est pas caché de montrer son penchant isolationniste ? Au demeurant anti OTAN anti migration anti Etat palestinien anti CCG anti vielle Europe anti Chine anti Cuba anti traité nucléaire civil avec l'Iran anti traité COP 21 anti interventionnisme à l'Etranger anti financement des ONG dilapidant l’argent pour des causes non porteuses de l’idéal de son programme électoral.  

       Néanmoins, à ce propos, n’est-ce là où il faut affiner l’analyse des superpositions des discours prononcés à l’Etranger par Obama depuis son  arrivée aux commandes des USA il y a huit ans, et ceux du Roi Mohamed VI après le déclenchement en 2010 en Tunisie de ce qui s’appelle désormais ‘’souffle printanier arabe’’ à ce jour. Parce que, pour ceux du président américain à Ankara pour l’Occident au Caire pour Israël et le monde arabo-musulman et à Nairobi au Kenya pour l’Afrique, on pensait qu’ils allaient contribuer à la diffusion de ses belles promesses, malheureusement, ce fut la déception n’ayant tous mené qu’à des résultats controversés dont en a bénéficié aujourd’hui Donald Trump pour prendre la Maison Blanche. Puis, pour ceux du Souverain marocain qui ont marqué le déroulé des actualités de ces cinq dernières années, comme à la chambre constituante en Tunisie pour l’encouragement à l’accélération de la construction du Maghreb, à Bamako au Mali pour la stabilité et la lutte contre le terrorisme dans la région MENA-Sahel subsaharienne africaine, à Abidjan pour l’éclosion socio-économique et le soutien des productions de richesses locales via la réplication de l’INDH, à Riad pour montrer l’indépendance décisionnelle et la capacité d’interactivité souveraine du Maroc en géopolitique et géostratégie et enfin à Dakar où il inculque l’audace et la détermination aux membres du gouvernement leur demandant la grande mobilisation pour se mettre continuellement aux grands soins avec l’Afrique.

       Et oui, tout indique que c’est comme ça que c’est fait le mûrissement de l’idée de retour du Maroc à l’UA pour jouer son rôle de locomotive, non seulement en matière de stratégie de ses échanges économiques culturels cultuels et sécuritaires mais aussi pour la requalification politique de son image de marque à l’international. Évoquant ainsi la nostalgie de l’esprit de l’OUA malheureusement devenu caduc de par le ton de non prodigalité de vitalité en grande œuvre à cause des manipulations et fourberies de l’Algérie et ses soutiens. A ce titre, concrètement, avec cet appel de Dakar aux africains de retrousser leurs manches n’est-ce un accompagnement assumé de la rédemption plus vivante plus vraie de l’Afrique que préconise le Maroc qui a acquis une maîtrise et un succès appréciable dans sa ligne de conduite qu’il n’entend jamais dilapider ? Et ce, pour la protection de sa marque de fabrique diplomatique en montrant aux peuples africains de dépasser les discordances et les perfidies du discours d’Abuja du président Boutaflika. Par ailleurs, n’est-il vrai après ce discours de la vérité remplie d’humilité et de reconnaissance au Sénégal, que les africains s’y sentent au centre des préoccupations dont ils y reconnaissent aussi la prise en compte de la charge de leur émotion ? En plus, de voir enfin naître l’espoir d’une mouvance de rassemblement induit par le Souverain marocain sans hostilités ni coercitions envers aucun pays pour un avenir brillant de toute l’Afrique, contre les contraintes sociales imposées et surtout l’impuissance à s’attaquer à la radicalisation que nourrissent la marginalisation et la mauvaise gouvernance en interne.

       Pour l’instant, aujourd’hui sans contenir tout le mystère des grands cycles historiques sous-entendant les rêves de liberté d’action, il importe de bien comprendre le fonds de l’onde de choc de l’arrivée de Donald Trump le pragmatique voire concentrationel prioritairement sur les intérêts des USA sans machinerie ni machiavélisme à la façon DEA sous Obama. Ce qui amène une vraie réflexion sur la constitution du gouvernement au Maroc, de savoir qui des marocains au diapason de se qui se passe peuvent postuler à la ministérialité ? Sachant qu’ils doivent intégrer sans filouterie la vision géopolitique la force de l’analyse et le génie géostratégique du Roi Mohamed VI, et donc de pouvoir évaluer les situations dont le discours de Dakar en a fait allusion. Parce que quand on le scrute en long et en large, on voit qu’un nouveau concept de transformation de zoning géostratégique de l’Afrique est en voie de voir le jour à Rabat. Une inspiration qui attire l’attention sur sa portée temporelle et teneur référentielle sans ambiguïté, même si l’idée fondamentale ‘’l’Afrique pour tous et tous pour l’Afrique’’ datait d’au moins cinq ans. C’à quoi apparemment la visite royale au Rwanda et Tanzanie a donné un coup d’accélérateur mettant les pouvoirs algérien et mauritanien dans l’œil du cyclone, vu leur exercice politique régional scabreux à contre courant de la volonté des peuples du grand Maghreb.

       A cet égard, ce sera sûrement l’expression du nouveau structuralisme gouvernemental, dont les marocains en espèrent qu’il soit ramassé et restreint à tendance paritaire en compétences masculines et féminines. Loin de toute rhétorique virulente entre partis politiques, au vu qu’il n’a de choix que de mettre en place des comités d’experts pour l’accompagner dans l’exécution de toutes les étapes de la feuille de route tracée par Sa Majesté le Roi Mohamed VI. Ce qui, absolument, conviendrait au désencombrement des ministères des obligés du copinage et de l’allégeance partisane, qui sont de surcroît définis par les observateurs du champ politique marocain infructueux responsables de la contamination inquiétante de l’administration marocaine. D’ailleurs, bon nombre de chefs d’Etats africains et pas seulement reconnaissent l’énorme travail de l'équipe de collaborateurs auprès du Roi, en symbiose parfaite avec les décideurs économiques tel l’OCP les banques les assurances la RAM et d’autres institutions travaillant d’arrache-pied pour se mettre au niveau de l’offensive royale diplomatique tous azimuts. Notamment, dans la préparation des documents et plateformes pour signatures des protocoles d’accords d’associations et de partenariats d’égal à égal gagnants-gagnants. Evidemment, tout cela répond à beaucoup de questions pour le renforcement conceptuel de l’acte politique du Roi du Maroc cohérent, qu’effectivement, en plus, qu’on ne le veuille ou pas il tient la route. En particulier envers le décloisonnement des cinq sous-régions de l’Afrique en guise de dynamisation du marché des échanges et l’entretien de rapports limpides multi potentiels au cœur de ses priorités. A ce niveau, de ce point de vue, d’ores et déjà on peut penser qu’avec l’élection de Donald Trump ça ira mieux, dont les messages portent aussi en ON sur la lutte sans conteste du terrorisme quel qu’il soit. A même qu'il eut la primeur avant son élection de montrer du doigt des gesticulations étatiques qui s’y greffent, ayant les différentes allures de sournoiseries-tromperies comme celles propolisariennes que supportent le pouvoir algérien et ses généraux. A bon entendeur, salut !    

dimanche 6 novembre 2016

PLUS DE DOUTE, LE DISCOURS ROYAL DE DAKAR CONSACRE LE GÉNIE MAROCAIN POUR L'ACCENTUATION DU RYTHME DE DÉCLOISONNEMENT D'AMPLEUR DES CINQ SOUS-RÉGIONS DE L’AFRIQUE.

N’EST-CE L’ANNONCE DE LA FIN DE L’ÉLOGE DES CAMÉLÉONS ET DONC L’EXPIRATION DE LEURS RÊVERIES QUE CE SOIT EN INTERNE POUR LA CONSTITUTION DU GOUVERNEMENT, OU AU SEIN DE L’UA RÉVÉLANT LE DOCTE TRAVAIL DE LA DIPLOMATIE MAROCAINE SOUS L’IMPULSION DIRECTE DU ROI.

       La question fondamentale à propos de la constitution du prochain gouvernement, c’est ou nous mènera-t-elle la caravane des caméléons si elle n’est pas stoppée comme l’entend faire en priorité sans ambages Sa Majesté le Roi Mohamed VI pour le respect de la démocratie sans démagogie ni petits calculs hégémonisme ? Comme aussi le cas de la présence du Maroc en Afrique pour arrêter l'attitude scandaleuse de certains perturbateurs agitateurs toujours en quête de discordance et dissonance d’arrière plan au sein de l’UA. D’ailleurs, à ce titre, c’est avec clairvoyance perceptible que le discours du Roi du Maroc à Dakar démontre comment ces caméléons et leurs compagnons en interne et à l’Etranger surtout à l'UA, ont-ils priorisé l’auto flatterie ayant des années durant mené à justifier leurs points de vue au gré de leurs passions. Parce que jusqu’alors en ce qui concerne l'UA, elle est restée strictement brouillonne car accaparée par la commission sous Ncosazana Dlamini ouverte à quantité d’idées superflues souvent négatives et subjectives, ne voulant elle-même se voir en face. Dont, à l’occasion de ce discours, la description du ton assuré du style accompli et de la teneur proactive informe qu’il est l’expression ardente sans contrainte pour une meilleure efficacité qui dépeint les liens séculaires Maroc-Sénégal. En plus, montrant le militantisme et la détermination des deux chefs d’Etats aux soins de toute l’Afrique en réponse à l’historicité de l’événement de la Massira 06 Novembre 1975, pour la sortir de l’étouffant huis clos des faux héros au fil des grinçantes péripéties créées selon des agendas dont on connait les bas-fonds.

       Mais, sur ce plan, qui pourrait mieux que le Souverain marocain se permettre de les contrecarrer en enfouissant voire enterrant une fois pour toute sous terre leurs thèses et gesticulations qui s’y en suivent ? Sachant qu’ils n’ont qu’une envie c’est de ne voir l’UA sortir de leur joug, voulant la projeter par leur folie dans les méandres du terrorisme et des violences ethnoculturelles voire dans le scepticisme aux multiples facettes. Ainsi, hélas d’après eux, cette situation ne provoquera que guéguerre au sein de l’UA à Addis-Abeba, ce qu’évidemment consciencieusement pousse le Maroc fort de ses décisions aux objectifs audacieux et de ses atouts de moralisation normative de ses ambitions à l'exemple de la problématique migratoire, de s’accorder avec les intentions de plus de 40 pays africains à ce jour pour dire bien haut le fond inaltéré de sa foi en l’Afrique ? Lesquels, ces pays aujourd’hui, sont tous inspirés et engagés géo-politiquement avec lui, en guise de sa légitimité ascendante de par l’aura du Roi et aussi la conviction inébranlable de tout un peuple en son Sahara ressuscitant l’ambiance de la marche verte de 350000 marocains et marocaines sous le commandement de Feu Hassan II.

       A cet égard, n’en pourrait-on y voir que l’idée de base de ce discours en cette date mémorable c’est montrer l’Afrique sortir de l’apesanteur des procédés d’exposition de perte de ses vrais gènes ? Et ce, en faisant mieux découvrir ses atouts potentiels comparatifs par ses propres talents parce qu’ayant commencé à changer son logiciel productif de ses tabulations d’antan préconçues à l’Etranger vis-à-vis du Maroc. C’à quoi le Roi Mohamed VI y a fait allusion pour que les futurs membres du gouvernement ne s’éloignent de prendre en ligne de compte advitam aeternam le continent africain comme partenaire sérieux et positif. En tous les cas, c’est le point crucial de ce discours qui a une valeur concessive au sein des propositions marocaines pour que l’Afrique ne se décompose pas et surtout que ses rêves grandioses ne disparaissent dans les multiples zones d’ombre qu’entretiennent avec perfidies inégalables les caméléons susmentionnés. Aussi, il est certain, tandis que le déroulé du retour du Maroc prend une tendance d’effectivité rapide, qu’encore on verra ces petits profiteurs des folies de l’histoire de ce séparatisme donquichottesque polisarien de surcroît illégal et illégitime, rentrer dans des danses-transes pour provoquer zizanie. Mais peu importe qu’ils le fassent, ce qui intéresse le Maroc c’est qu’il y a urgence à aller de l’avant en passant des mots à l’action quant à la conception de la nouvelle UA, avec des principes se détournant de l’archaïsme des programmes indéfinis dans leurs dimensions de préparation de co-développement de l’avenir prospère et dynamique commun.

       Et oui, aujourd’hui tout indique que l’Afrique se met au travail pour la réussite générationnelle avec vertu de modélisation géostratégique à la marocaine, par recentrage qualitatif en imagination géopolitique de partenariats d'égal à égal gagnants-gagnants dans tous les domaines. Défiant de la sorte, la conjoncture décisionnelle que veulent lui imposer ces caméléons installateurs de confusions et de mésententes inimaginables à l’UA, dans le but de retarder l’embarquement officiel du Maroc alors qu’il est le maître d’œuvre de cette ligne directrice de par le témoignage en ON de toute la communauté internationale. D’autant plus, tout un chacun sait qu’au nom de l’efficacité de l’UA, la course devenue mythique des repositionnements autour de l’idée du tracé de l’avenir que le Maroc insuffle commence à porter ses fruits en matière de la reconnaissance de son expertise multidimensionnelle multidirectionnelle et/où figure son impact populaire. N'est-ce là le nouveau défi de toute l'Afrique par l'organisation marocaine de la COP 22 à Marrakech 07-18 Novembre 2016, en forme de nouvelle révolution de diversification de ses atouts pour les mettre à disposition des forces locales dans le respect de l'écologie et de l'héritage du verdissement des espaces ? C'est d'ailleurs l'un des souhaits du Roi du Maroc à travers les messages distillés à la jeunesse à participer à la grande fermentation des idées qui marquent le temps présent, à propos de l'environnement sans mépris pour l'air ni à la la terre et encore moins à la mer.

       Voilà, pourquoi il faut que le prochain gouvernement du Maroc continue de partager les bonnes expériences dans le cadre du recadrage institutionnel sans calcul d’épicier ni vengeance pathétique de la victoire populiste, et ce pour rester en phase avec la charge émotionnelle proactive de bonnes solutions des déplacements du Roi partout. Pour preuve la réussite de la visite royale successivement au Rwanda et Tanzanie dans l’attente de reprendre le deuxième round commençant par l’Ethiopie, dont l’originalité c’est l'accentuation sous son influence du décloisonnement des cinq sous-régions de l’Afrique (Nord-Ouest-Centre-Est-Sud) en matière des échanges productifs de dynamisme solidaire et collaboratif à même la découverte de niches appréciables. Même si, parfois de par le coté de la peur de l’informel, il y a l’abandon de l’efficience politique dans ce panorama de superposition d’incertitude et d’espoir dans certaines filières de quelques partenariats. Néanmoins, le Roi dans ce discours de Dakar en donne la preuve que le Maroc se livre partout en Afrique à un véritable marathon politique socio économique écologique culturel et sécuritaire-cultuel pour dématérialiser le spectre de cette peur en accord avec son volontarisme de consolidation de ses liens avec tous les pays africains. A bon suiveur, bon décryptage !

samedi 5 novembre 2016

AFRIQUE MON AMOUR, REFRAIN D'INSPIRATION DU NOUVEAU SOUFFLE MAROCAIN SANS ILLUSIONS ET SURTOUT SANS APPÉTIT D’OGRE !

UN RÉALISME POLITIQUE VOLONTARISTE QUI VA DANS LE BON SENS DE L’HISTOIRE EN TERMES D’OBJECTIFS POUR LE CO-DÉVELOPPEMENT ET LA RÉDUCTION DES TENSIONS RELATIONNELLES ENTRE PAYS AFRICAINS.

       Afrique mon amour, cette inspiration du Roi du Maroc par le discours de Dakar d’ou il en inaugurerait pour de bon la nouvelle vague relationnelle au sein de l’UA. Parce que, quand il y a deux jours le Président du Sénégal le bien pensant Macky Sall, a vendu la mèche sur la teneur politique et sa valeur pédagogique à l’intention de l’Afrique du discours du Roi Mohamed VI depuis Dakar le 06 Novembre 2016, il n’a pas manqué subliminalement de jeter un coup de glaciation sur les titulaires de la Chair de la discorde en Afrique. Distillant ainsi une vérité, parce qu’il pense que leur positionnement anti Maroc n’a pas lieu de continuer ni même d’être, dès lors que leurs inquiétudes non fondées ne soulèvent guère d’adhésion mais seulement exigence d’explication sur leurs turpitudes non tolérées de leurs propres peuples. Consistant une meilleure activation de solidarité avec le Maroc sans aucune surprise, pour que l’Afrique soit apaisée stable sécurisée et non indifférente au marquage des consciences par le succès désormais à point du Roi Mohamed VI combatif et tolérant.

       D’ailleurs, à ce titre, ne faut-il rendre hommage au président sénégalais d’avoir saisi cette occasion, dont son initiative communicationnelle indique d’une manière évidente le déclenchement du processus de résolution définitive du retour du Maroc au sein de l’UA. Dans ce sens, ne faut-il aussi rappeler que l’ONU avait objectivement décidé depuis le début du conflit du Sahara marocain, de geler à son niveau tous les avis soi-disant nécessaires à l’obtention de la reconnaissance de l’entité fantoche RASD ? Mêmes ceux appuyés par les quelques autorisations de complaisance accordées sans scrupule par le Secrétaire Général Ban Ki Moon et qu’au demeurant, à ce jour, ne sont reconnues par le Conseil de Sécurité de l’ONU. Au point que ce qu’il faudrait savoir aujourd'hui, que doit-il maintenant faire Antonio Gutterres pour garantir dans la neutralité et impartialité la fiabilité et la valeur de ses futures investigations à propos du devenir du Sahara marocain ? Notamment sur les préoccupations de la communauté internationale, dont on peut en déduire qu’effectivement elle s’en inquiète des tentatives d’ouverture de succursales Polisario sous-bannières sans fondement juridique surtout du Venezuela l’Angola l'Uruguay au Conseil de Sécurité en plus de l’Algérie ce dynamo d'agitation dans les couloirs des instances internationales. D’autant que tout indique que le Conseil de Sécurité de l’ONU dans une majorité confortable sans veto, aurait par réalisme objectivement choisi l’approche de l’offre marocaine 2007 d’autonomie dans la régionalisation avancée la considérant viable et réalisable dans un cadre réglementaire approprié aux nouvelles prérogatives de la Minurso. 

       Cependant, cette démarche royale inédite, signe de sagesse africaine de prononcer exceptionnellement le discours de commémoration du 06 Novembre de la Marche Verte (Massira 1975) à Dakar au Sénégal, ne confirme-t-elle pas l’expression d’une forte quête en vue d’une pratique stratégique commune conforme à l’aspiration d’antan des fondateurs de l’OUA ? Et, par là même, une leçon sur l'engagement la détermination et l'humilité pour l’évitement des risques de discorde et division que veulent imposer aujourd’hui à l’UA, des agitateurs patentés ne cherchant qu’à faire éclater la gloire significative future du Maroc, qu’évidemment, elle, ne fera selon la chronologie de son effectivité que grandir les décideurs africains l’ayant dernièrement rejoint. Aussi, la polémique enclenchée par ce petit bloc de récalcitrants ayant abattu leur carte telle la Namibie sur cette opportunité s’en trouve ratatinée voire éclatée. Et ce, au vu que l’acceptation de la RASD n’a plus raison d’être, et d’où, conséquemment en perspective de bonne gouvernance l’UA gagnera davantage en qualité de ses prestations et de tous ses actes maillon incontournables de toute sa future chaîne décisionnelle en présence du Maroc. Ce qui montre sans conteste qu’il s’agisse d’un Roi à la dimension des défis de l’Afrique d’aujourd’hui, conscient de la difficulté d’introspection installée dans les tours de contrôles de certains pays haineux et rancuniers. Allant, malheureusement, jusqu'à même de critiquer son organisation de la COP 22 à Marrakech du 07-18 Novembre 2016 au nom et pour l'Afrique. Comme ça, le discours de demain sûrement implicitement dénoncerait non seulement leurs égarements en montrant leur vanité dé néantise et notamment l’orgueil sans raison du pouvoir algérien et ses soutiens onusiens désormais résiduels et ridicules. Mais aussi la tromperie de l’orientation et de l’imagination de Madame Ncosazana Dlamini sans aucune certitude ni sur le sens géopolitique de ses décisions et encore moins sur l’aboutissement à la stabilité de l’Afrique et donc conséquemment à la quiétude de ses peuples.

       En cela, ce ne serait en plus, qu’une incitation à l’UA de comprendre les enjeux de conjoncture assurant la félicité du continent tout entier, par le flashage et stoppage de ces agitateurs par le Maroc, afin qu’ils ne s’essayassent plus au franchissement des limites des pays souverains reconnus à l’ONU.  De fait, de par une phraséologie peu commune en Afrique et structuralisme discourant dont les marocains s’en sont accommodés depuis de dix sept ans, les idées de mobilisation attireront bien sûrement l’attention des africains. Surtout qu’ils auront l’occasion de voir le Roi Mohamed VI s’adresser à eux indistinctement de façon directe, aux présidents chefs de gouvernements décideurs économiques notables paysans classe moyenne société civile et aux sécuritaires, sur les défis qui attendent l’Afrique. Ce qui ne laissera point d’occasion à l’effet surprise que concoctent les ennemis à Addis-Abeba qui, par ailleurs s’amenuise notablement en faveur de l’harmonisation et amélioration des partenariats-business contractés avec les nombreux pays. En matière de la qualité de réadaptation de leurs enjeux principaux notamment, en tenant compte du renseignement productif collaboratif par la volonté des Etats et leurs peuples. Tout en assumant d’aller à contre-courant des emprunteurs en interne de l’usurpation des consciences via l’argumentaire doctoral dont il faut le dire qu’il est l’expression non démocratique presque fascisante du temps présent.

       Voilà pourquoi, le discours royal du 06 Novembre 2016 à Dakar, il les tient déjà tous en haleine comme les marocains, par ce qu’il concentre leur intérêt sur ce que pourrait éventuellement leur annoncer le Roi. Dont Seule Sa Majesté en tient le secret en particulier sur les dispositions prises où préconisées pour le Sommet de l’UA en Janvier 2017 et la COP 22, pour que soient dissipées toutes les interrogations des chefs d’Etats qui ont rejoint l’approche multidirectionnelle pour le co-développement gagnant-gagnant dans tous les domaines socio-économiques culturels écologiques et sécuritaires-cultuels. Ceux-là mêmes, qui commencent à contester le monopole de l’Afrique du Sud de l’Algérie et du Nigéria, par exemple, sur leurs intrigues qui se chevauchent sans cesse sur la trame de la vraie histoire de l’Afrique sans ajout substantiel sur leur économie de proximité ni au niveau infra structurel ni dans l'accompagnement financier et/où en ressources humaines. Et ce, en appelant à faire recours au génie innovateur du Maroc pour trouver d’autres ressources alternatives en cadres et techniciens compétents qui ont fait leur preuve ici et là. Dans le but pour qu’ils ne soient plus laissés à ces manipulateurs pour les capter et/où les envahir par des promesses à tire larigot, sans perspective de dénouement des troubles aux effets pervers du temps du lieu et des intervenants de l’extérieur. Là encore ne pourrait-on dire que le Roi du Maroc se présente dans la conscience africaine comme le marqueur du temps actuel, s'activant se déplaçant et s’acharnant à maîtriser la réhabilitation digne et morale de son pays dans le concert de l’UA. A bon suiveur, bon décryptage !