TAISEZ-VOUS À ALGER MADRID ET PARIS ! LES USA NE SE DÉBINERONT DEVANT LEUR RESPONSABILITÉ, MALGRÉ LE HARA-KIRI DE TRUMP.

À MOINS DE CHERCHER À DISSIPER VOS CRAINTES SUR LA CONVERSION DE L'ENTENTE TRIPARTIE USA-MAROC-ISRAËL EN LOGISTIQUE DE SOUTIEN TACTIQUE ET TECHNIQUE SUR LE TERRAIN.

       Les USA ont bien terminé l'année diplomatique 2020. Mais, voilà que Donald TRUMP s'est autosacrifié virtuellement par hara-kiri sur l'autel du Capitole temple de la démocratie américaine. Devenu, en ces circonstances de chaos, citadelle assiégée puis attaquée après le discours enflamé de TRUMP. Donnant en même temps la pire des images d'un président américain toujours en exercice jusqu'au 20 Janvier 2020. Alors, maintenant, que le Congress a voté la validation de la victoire de Joe BIDEN, est-ce qu'il se prêtera à un resserement des liens avec les Républicains choqués par la grande fureur des partisans de TRUMP dans les dernières minutes avant le vote ?Vraiment, cette dérive totalitaire du président, un moment d'histoire vécu en direct qui ne donne pas aux démocrates carte blanche. Surtout, de ne pas faire mal fond sur la reconnaîssance de la souveraineté totale du Maroc sur son Sahara. Au contraire, c'est l'arme fatale qui scéllera, malgré tout, la poursuite de cette œuvre phénomènale entre Washington et Rabat initiée d'un commun accord entre (DGED-MAE) et (DEA-Pentagone). En préservant la mise en droit chemin l'administration américaine, pour ne pas donner à l'entente tripartite USA-Maroc-Israël un semblant de traité désuet. Oui, c'est ça le point d'orgue de la continuité d'où, Joe BIDEN et Kamala HARRIS sa Vice-Présidente vont, sans aucun doute, se conformer aux avis de l'ambassadeur des USA à Rabat. 

       Aussi, et c'est là l'intérêt de cette démarche, Joe BIDEN ne se verrait pas contraint de céder aux lobbies anti Maroc. À l'exemple des bandes à Christopher ROSS à John BOLTON à Susanne RICE en plus de la Fondation Kerry KENNEDY, qui, tous tirent les ficelles pour faire perdre pied du Maroc au Congress. Dès lors qu'ils redoutent de ne pouvoir faire passer au second plan l'entente tripartite et les partenariats stratégiques déjà projetés. Ne suscitant, au demeurant, chez-eux ni sympathie pour le Maroc sûr de lui, ni confiance dans les projections des investissements au Sahara marocain. D'ailleurs, à l'occasion, il faut le rappeler, leur exéburance dont l'orientation bascule vers les effluves pétro-gazières venant des champs des shistes butimineux, n'est pas sans inquiéter la relance des contacts directs Maroc-Israël. Au vu qu'ils sont, d'ores et déjà exploités ou en voie de l'être, par les firmes américaines qui souhaitent l'extension vers la région de Tindouf-Mehbes. Comprendront, ceux qui pourront ! Voilà, pourquoi, les FAR ont-elles inscrit dans leur programme des priorotés dans les trois régions du Sud, d'exclure définitivement de gré ou de force le Polisario de toute la Zone Tampon au-delà du côté oriental du Mur. N'est-ce pour cela, Alger Madrid et à moindre effet Paris, cherchent à dissiper leur crainte de voir leur stratégie de gagner du temps, balayée par la conversion en coups politiques de l'entente tripartite ? Particulièrement, en logistique effective militaire tactique et technique sur le terrain, avec célérité par l'équipe Joe BIDEN. À bon suiveur, bon décryptage !