dimanche 3 janvier 2021

L'ALGÉRIE ENTRE LA MAIN DU DIABLE À KSAR ALMOURADIA D'ALGER ET CELLE DE DIEU DANS LAHMADA-TINDOUF.


ÇA PLEURE À PROFUSION À KSAR ALMOURADIA ET DANS LES CAMPS DE LA HONTE À TINDOUF, MAIS PAS POUR LES MÊMES RAISONS.


      Il n'y a que Tebboune le malade, Chengriha l'insolent, Boukadoume le diverti et leurs médias timorés inféodés aux Généraux grabataires vert-kaki pour croire à la solidité de l'Algérie. C'est quand-même incroyable de voir ce type de projecction dans l'avenir, ne représentant que du déni de la réalité. En revanche, il faut le rappeler à redondance, il y a sûrement un problėme chez-eux de ne pouvoir faire les discernements d'analyse et décryptage adéquats pour sortir le pays des divers marasmes dont il se trouve. Ce qui témoigne du choc qu'encaisse le peuple à cause de la non maîtrise de l'économie, la mauvaise gestion des contraintes de l'identité et multiculuralisme, l'inadéquation des systèmes de Santé publique et de l'Éducation Nationale, l'absence de vision pour relever les défis, la désinvolture dans le partage des richesses pétro-gazières, la faiblesse du rendement géopolitique et diplomatique, l'enrichissrment illicite flagrant des caciques du pouvoir, l'ingérance et l'aventurisme de l'Armée et enfin le droit à l'information objective loin des fakes-news. Tout un programme de révision du dogme du pouvoir, qu'au demeurant pourrait le sortir de son complêxe vis-à-vis du voisin de l'Ouest. Du coup, aujourd'hui, l'État algérien outre les besoins sécuritaires, doit faire office de pertinence et justesse en matière de gouvernance pour sortir lAlgérie de cet imbroglio ouvert sur les portes de l'enfer. Les exemples de l'Iraq la Syrie la Libye et le Yemen sont encore fumants dans les  mémoires des peuples arabes.


       D'ailleurs, en se remémorant cela, on a envie d'y revenir à la jeunesse algériènne qui s'est investie dans le Hirak corps et âmes et qui, aujourd'hui, paie les frais de se laisser-aller vers le black-out indescriptible des tenants et aboutissants du système. À plus forte raison pour tenter de renverser ce cour d'histoire de l'Algérie désormais hors course dans tous les domaines, avec en plus pour bonus des conséquences géopolitiques catastrophiques. De fait, on peut imaginer le boulversement culturel économique et diplomatique que provoquera le retrait des Généraux de la vie politique algérienne. C'est-à-dire, vivre une sorte de prossecus avec changement générationnel qui donnera à réfléchir, parce que tout à fait différent de ce qu'a vécu l'Algérie depuis 1962. Sauf qu'il ne faut pas trop rêver, ce pouvoir sanguinaire sans vision ni cap fixé, est porteur seulement de la main du diable. Au point qu'à Ksar Almouradia et dans les camps de la honte dans Lahmada-Tindouf on pleure à profusion, mais pas pour les mêmes raisons. Évidemment, pour les premiers, toujours portant leur rancune et haine, ils essayent tant bien que mal, de sortir de la main du diable pour sauver l'Algérie. Alors que pour les seconds, ils ne font qu'implorer Dieu d'assurer sans accros leur retour à la mère-patrie, tout en regrettant leur fuite au moment de la Marche Verte. À bon entendeur, salut !

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