LES FAR ANTICIPENT TACTIQUEMENT ET TECHNIQUEMENT LE RISQUE DE GUERRE, APRÈS LE RETOUR DE LA BANDE À MEDIÈNE.

CE N'EST PAS LE RETOUR DE LA BANDE À MEDIÈNE, NI LA CONTIGUÏTÉ MAROC-MAURITANIE-ALGÉRIE DANS L'ESPACE MAHBÈS-TINDOUF QUI ARRÊTERAIENT LES FAR DANS LEUR MARCHE SUR  LA ZONE TAMPON.

      Bien que prêt à en découdre avec le Polisario en Zone Tampon du côté oriental du Mur, le Maroc n'oublie pas ses engagements de respect du cessez-le-feu 1991 envers l'ONU. Toutefois, ceci ne l'empêche aucunement de prendre toutes les dispositions militaires pour protéger ses frontières physiques avec le Sahara oriental spolié par la France et offert en 1962 à l'Algérie et qui reste non reconnu par le Maroc. Néanmoins, vu la manière paradoxale dont les Généraux vert-kaki se comportent dans la région de Tindouf, ils ne méritent pas qu'on leur fasse confiance. Notamment après l'acquitement de la Bande "ISSABA" de Mediène l'intrépide, ayant de tous temps ouvert des hostilités de tous genres contre le Maroc. Par conséquent, s'agissant de cette donne, c'est encore un complot contre le peuple algérien qui n'a pas droit au chapitre ni droit de citer. Et, donc, n'est-ce le moment de leur dire "stop", même n'ignorant, cependant pas, de quoi les FAR sont outillées. Pour que, de gré ou de force elles peuvent se frayer des passages le long du Mur pour stabiliser et contrôler toute la Zone Tampon. Le cas de Guergaratte en est la preuve de la détérmination des marocains derriėres leurs FAR pour mettre de l'ordre en assurant la circulation des personnes des biens et des marchandises. 

       À cet égard, tolérer les incurssions des mercenaires pro Polisario et/ou des commandos de l'Armée de Chengriha, c'est reconnaître un début de relachement avant même d'avoir à les affronter sur le terrain. Autrement dit, plus de sécurité au-delà de tous les chek-points de la Minurso en Zone Tampon et pas seulement à Mehbes-Birlahlou-Tifirati-Mjik-Amgala et autres. D'autant plus, ce n'est pas la contiguïté des trois pays Maroc-Mauritanie-"Algérie" dans l'espace Tindouf-Mahbes qui freinera les FAR à s'autoriser d'user de drones espions voire des "Predators-Killers" en plus des satellites Mohamed VI A et B, pour épier les mouvements et attroupements suspects. Il s'agit, donc, qu'on ne le veuille ou pas, d'une anticipation tactique et technique à la possible guerre-éclair qui se prépare tambours battants du côté de Ksar Almouradia contre le Maroc. Et ce, dès lors que s'interpose en ce moment l'épineuse question du Sahara oriental, dont Alger en réclame, obstinément maladroitement, la possession aux dépens des 132 ans de colonisation française. Oui, c'est une technique connue de ravalement du fil d'actualités pour se rassurer et ne pas redouter l'alibi de la demande de rétrocession de ce territoire au vrai détenteur qui est sans conteste le Maroc. D'ailleurs, la Tunisie la France la Turquie et l'Espagne comme aussi l'ONU le savent, tout en restant pour l'instant dans l'expectative. À bon suiveur, bon décryptage !