AVEC JOE BIDEN PRÉSIDENT DES USA, LES GÉNÉRAUX VERT-KAKI NE SAVENT QUAND NI COMMENT LE POLISARIO RENDRA LES ARMES.
Aux acclamations qu'emet le pouvoir algérien dans toutes ses composantes, concernant les attaques imaginaires du Polisario sur Guargaratte, le Maroc répond qu'il a confiance en la capacité des FAR pour enrayer l'optimisme de cet agenda de fakes-news. Il faut dire que c'est la rançon à payer du succès diplomatique marocain et de la marche des FAR sur la Zone au-delà du Mur. Mais, que s'est-il réellement passé dans cet espace aux environs de 21h00 du Samedi 23/01/2021 ? Rien de particulier, conformément aux notes des éléments de la Minurso sur place. En tous cas, quoiqu'en colportent les médias algériens et polisariens aidés dans leur campagne par la chaine France 24 l'enragée comme à son habitude, il s'agit de conclusion de non événement dont la Minurso n'y a même pas fait allusion dans ses messages à qui de droit. À cet égard, pourquoi les Généraux algériens vert-kaki, craignent-ils la vérité sur le terrain avec Joe BIDEN ? N'est-ce, parce qu'ils veulent remettre en circulation l'imagination farfelue de John BOLTON, dont laquelle il préconisait que le dossier du Sahara était clos depuis 1991 au moment du cessez-le-feu ?
Oui, la junte militaire entend faire de ce montage machiavélique, le tournage de ses fictions dans la Wilaya de Bechar-Tindouf spoliée. S'aveuglant plus qu'on ne le pense, sur son envahissement par le Polisario qui rêve sans rougir de la perspective de la guerre au Sahara marocain. En réalité, à ce propos, ce ne sont que des harcellements à distance, de plus en plus réduits à des foyers de brulures de 4x4 vétustes pour donner l'impression d'attaques à l'artillerie. Alors qu'ils le font à partir du Sahara oriental marocain, que le pouvoir algérien à Ksar Almouradia en redoute la revendication par le Maroc dans les circonstances actuelles. Et c'est là, l'intérêt de l'adoption plus impressionnante encore par l'administration Joe BIDEN guidée par DEA-Pentagone-CIA, du même chemin diplomatique que du temps de Donald TRUMP. Et ce, en marchant vers l'avenir, sans jamais renoncer à l'entente trilatérale USA-Maroc-Israël et encore moins au partenariat stratégique avec l'allié sûr depuis toujours qu'est le Royaume Chérifien. D'autant plus, de sources sûres, Barack Obama qui s'est confié d'avoir regrété qu'il ne l'ait pas fait en son temps de président des État-Unis sur conseil d'Hilarry CLINTON. À bon lecteur, bon décryptage !
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