LA TUNISIE RISQUE DE DEVENIR LE SQUELETTE DANS L'ARMOIRE DES CAPORAUX-GÉNÉRAUX ALGÉRIENS.

EN CAS DE DÉSACCORDS ALGER-TUNIS, LA RIPOSTE DES CAPORAUX-GÉNÉRAUX ALGÉRIENS NE SERA JAMAIS CONVENTIONNELLE.

      Après l'adoption de la Résolution 6202 du Conseil de Sécurité de l'ONU sur le Sahara marocain, l'on peut aujourd'hui dire, sans résérve que l'Algérie par ses chantages et pressions, fait subir à la Tunisie les pires rétorsions diplomatiques. En la faisant souffrir surtout, de l'inattention envers elle par la Ligue Arabe unanime dans son soutien au Maroc. Ce qu'évidemment, en plus la met dans une situation politique compliquée devant les instances de l'UA. Notamment, la Commission présidée par Moussa Mahamet FAKI qu'auparavant a musclé ses réponses envers l'Algérie, car ne voulant plus faire survivre la RASD en son sein. Tellement, les coincidences sont bien au-delà de l'invraisemblable jeu des Caporaux-Généraux algériens, exacerbant et exaspérant de ce fait les observateurs assidus non corrompus de l'Histoire politique de l'OUA devenue UA. Finalement, on n'est pas loin de l'envoûtement sombre de l'ingrât Kaiss SAIED, par le modèle algérien au parfum de l'inélégance noire du TRIO de la terreur NEZZAR MEDIÈNE et CHENGRIHA. Lesquels, n'ayant pour attractivité que les coups vivants de l'invention des Fakes-News effrayantes, et ce afin de prouver qu'ils sont indispensables au pays.

       En effet, c'est ce qui explique que L'APN usurpatrice du pouvoir en Algérie depuis BOUMEDIENE, est aujourd'hui considérée par la CIA dans son dernier rapport à la Maison Blanche, hors la loi. Non seulement au vu de son refus de la Résolution 6202 du Conseil de Sécurité de l'ONU, mais aussi de ses exactions envers le "Hirak" et non respect des droits humains et libertés dans les camps de Lahmada-Tindouf. D'autant qu'elle porte de nouvelles reconstitutions du puzzle de la destabilisation dans toute la bande Sahel-Subsaharienne. Par le terrorisme multifacettes, et/où, les vielles ficelles de DRS sont truffées de versions secrètes, à l'exemple des coups sourds qui ont secoué le Mali le Niger le Tchad et la Mauritanie. Dont, Dr Moncef MARZOUKI l'ancien chef d'État tunisien en a à maintes reprises appelé à la vigilance par rapport aux combines mafieuses des illettrés Caporaux-Généraux algériens. En cela, même si la Tunisie apeurée et bègue jusqu'au maître du palais présidentiel de Carthage Kaiss SAIED, elle doit surveiller ses arrières sans être obligée de continuer à jouer le pion de service. Autrement dit, pas un partenariat ni plan d'essai de sa sortie du joug algérien ne doivent filtrer, sinon elle deviendra le squelette dans l'armoire de la "Issaba" à Ksar Almouradia. Étant donné que la riposte envers toutes les Institutions constitutionnelles tunisiennes ne sera jamais conventionnelle ni rassurante et encore moins inoffensive. N'est-ce pas que c'est un régime criminel qui a donné à ses nombreux actes restés à ce jour impunis, des explications farfelues et désinvoltes ? À bon lecteur, bon décryptage !