C'EST ACTÉ QUE LE MONDE VIVRA LE CRASH EN DIRECT DU POUVOIR ALGÉRIEN !

L'ALGÉRIE DOIT SE CALMER DANS SA RECHERCHE DE DIGUES DIPLOMATIQUES POUR ISOLER LE MAROC DE LA LIGUE ARABE ET L'UA, SINON ELLE SE VERRAIT PLOMBER DÉFINITIVEMENT LES AILES.

      Depuis la généreuse main tendue du Roi Mohamed VI à Abdelmajid TEBBOUNE, la société algérienne vit une réelle ébullition. Dénonçant par la preuve à la fois, les discours hystérisés anti Maroc des Caporaux-Généraux grabataires algériens et les impulsions expressives aggressives de leurs portes-flingues complêxés vis-à-vis de la diplomatie marocaine. Aussi, on peut le dire sans gêne, la méthode à la façon Ramtane LAAMAMRA ne suit pas le mouvement sociétal algérien, se donnant exclusivement pour tâche de ne laisser le Maroc faire rayonner davantage sa présence dans les instances internationales. Au point que la rapidité de la prise de décision de la rupture des relations diplomatiques avec le voisin de l'Ouest ne représente le fait majeur ni sur le fond ni sur la forme. Au contraire, côté Rabat c'est même un non événement car elles n'étaient au niveau. D'autant que la majorité des algériens n'approuve pas cette décision sachant qu'elle n'est considérée comme un chemin d'accès au développement du pays sans l'aide du Maroc leader en Afrique en la matière. De fait, il n'est même pas troublant qu'une longue période de plus de 46 ans n'ait laissé aucune trace dans la mémoire du régime algérien en faillite dans tous les domaines. Notamment, dans le renseignement et la diplomatie, dans la non cohésion et stabilité du pays, dans les programmes de développement et l'assurance d'une vie d'autosuffisance alimentaire de première necéssité digne d'un pays petrolier et gazier. 

       Voilà pourquoi, l'on peut affirmer, ce régime se la joue comme application politique vengeresque en interne contre les algériens eux-mêmes. Ce que par conséquent les marocains ne tolèrent plus, formant qu'on ne le veuille ou pas, la clef de voûte qui les soutient dans leur lutte d'émancipation et de liberté voire d'autodétermination pour la Kabylie le Mzabe et l'Azawad. Et, dont on se pose la question, est-ce que ce régime sanguinaire saura-t-il se réveiller de cette démence sans repère ni fondement dans les initiatives qu'il prend pour contrecarrer le Maroc ? En tout cas, avec cette Algérie caporalisée quels enseignements peut-on en tirer pour l'Allemagne hautaine l'Espagne crucifiée et la France hypocrîte dans leurs deals avec les faux-chérubins que sont les Caporaux-Généraux ? Certes, ceci ne désigne encore qu'un comportement en phase avec l'attitude hostile des ennemis du Maroc telle l'Allemagne. Lequel, de surcroît, est façonné par les portes-plumes du pouvoir à Ksar Almouradia sur la rivalité dogmatique contre ce qu'ils appellent l'ennemi classique, en l'occurrence le Maroc. Cette rivalité faisant appel à l'irrationnalité de leur part dans les interprétations du déroulé du fil d'actualités sur commande de la DRS. À même jusqu'à prôner dans les rapports secrets l'affrontement direct, sans oublier le symbolisme désuet d'un temps révolu prenant sa signification dans l'histoire des haines infondées de BOUKHARROUBA depuis la guerre des sables 1963. 

       Il est évident que la puissance multipotente, désormais reconnue du Maroc, donne un sens plus pragmatique à ses relations avec l'Algérie. Dont, le message est resté clair et sans ambages à l'occasion du discours royal d'Aid Al AARCH 2021. Mais, avec un régime pareil au voisinage, c'est comme prêcher dans le désert. N'est-ce cela qui a poussé les Caporaux-Généraux algériens dans leur fuite en avant, à se précipiter de se positionner comme allié objectif des lobbies ennemis du Maroc, espagnols français et surtout allemands ? Ne s'agit-il là d'une stratégie fantasmagorique de leur part, subliminalement piègeante montrant le ventre mou de l'UE ? Qu'au demeurant, tout un chacun sait qu'elle est incapable d'être spontannée pour bien digérer la discorde Rabat-Alger sans parti-pris et sans complotisme. Autant le dire avec franchise, cette rupture des relations diplomatiques importe peu, même si, quelques novices en analyse politique la voit bizzarrement une mauvaise nouvelle pour le Maroc. Pourtant, c'est juste considéré par l'ensemble des marocains, un pont pathétique voire humoristique qui n'a rien d'un défi pour contrer le Maroc en essayant de l'isoler. Autrement dit, pour lever les doutes, vouloir l'organisation de digues diplomatiques pour l'isoler dans ses rapports avec la Ligue Arabe et l'UA, est une chimère. D'ailleurs, de ce point de vue, c'est comme si le pouvoir algérien cherche à se crasher en direct, car n'ayant plus les parachutes adéquats pour éviter cela. À bon entendeur, salut !