dimanche 12 septembre 2021

GOUVERNEMENT AKHNOUCH, EN AVANT TOUTE.


AKHNOUCH ET SES COALISÉS NE DOIVENT-ILS  DÉFINIR LE ROLE SPÉCIFIQUE DE CHAQUE MEMBRE DU GOUVERNEMENT NOTAMMENT LE PORTE-PAROLE ?


       Maintenant, tout le monde sait qu'au Maroc, exercer le pouvoir Éxécutif avec des angles morts et ambition pas claire, c'est vraiment compliqué voire impossible. Ainsi, l'on peut dire, le RNI et ses coalisés au gouvernement n'ont de choix que de respecter leurs engagements de la campagne éléctorale avec l'intentionalité de mieux faire. D'abord, en détruisant le rôle joué par les divers pasticheurs opportunistes de tous les horizons qui ont largement profité de l'apaisement et la sérénité du peuple après les secousses du printemps arabe. Ensuite, sortir du mélange de l'euphorie politique de la victoire et la peur des faux espoirs, et ce, par le retour progressif à la normalité tracée après le discours royal mémorable du 09 Mars 2011. Sachant qu'il n'y a pas de recette magique,  mais seulement la prise de véritables bonnes décisions tactiques dans le respect de ce que préconise le modèle de developpement. Autrement dit, par la mobilisation des compétences dans les territoires et régions, pour préparer l'avenir en dehors de l'apologétique idéologique et autres propagations de fakes-news. Et, donc, pour ne plus vivre un autre bail législatif pour rien, comme l'ont relaté beaucoup de medias internationnaux après trituration du PJD. Comprendront, ceux qui voudront ! 


       Comme ça, si le gouvernement AKHNOUCH ne veut s'assujetir à la fronde de la classe moyenne et les pauvres, il devra sortir de la politique de l'entre-soi. En proclamant de s'offrir pour résoudre les problèmes sanitaires sociaux éducationnels culturels et de travail du pays avec détermination et abnégation. Parce que, le gouvernement n'est pas un lieu de villégiature mais d'engagement pour assurer le bien du pays. Et c'est là où la gouvernance sans erreurs dans les choix et suivis des grands chantiers doit se comprendre selon la triangulation (verticalité-horizontalité-humilité). Déjà, l'on sait qu'AKHNOUCH, OUAHBI ET BARAKA pour ne citer qu'eux, montrent un intérêt grandissant à cette gouvernance par la réalisation des résultats sans verbiage désolant et blessant à la façon BENKIRANE et ses inconditionnels  zélés adeptes. Primo, par et pour l'ouverture au dialogue social et interprofessionnel, secundo pour l'affirmation transcendantale sur le terrain du changement opéré par les urnes et tertio pour la montée irreversible de la conscience collective centrée sur le développement et le progrès dans l'unité et l'unicité du Maroc. 


       En effet, tous ces thèmes developpés n'auront leur place dans la perspective politique qui s'annonce, que si l'évolution d'existence au parlement des partis coalisés est au sein de l'influence entre AKHNOUCH et les chefs de partis sans accros avec la société civile. Pour cela, le poste-clef au gouvernement pour assurer la cohésion et la cohérence dans les propos, dans les programmations et dans les activités de l'administration publique, c'est le porte-parole. N'est-ce le futur postulant qui doit redonner ses lettres de noblesse à ce travail difficile et peut-être même ingrat, doit répondre aux critères de cette nouvelle gouvernance ? Ceci, évidemment, demande un savoir-faire, un doigté voire flair pour la bonne communication. En somme, ça exige une culture politique très large et une rationalité dans le raisonnement pour faire la part des choses. Parce que les marocains en ont marre de la langue de bois et des stéréotypes du passé récent, alors que le pays joue ses atouts économiques diplomatiques géopolitiques et sécuritaires géostratégiques pour contrer ses ennemis qui ne veulent toujours pas lacher prise sur son Sahara. À même jusqu'à contester la reconnaîssance souveraine de la marocanité intégrale du Sahara par les USA et l'entente trilatérale USA-Maroc-Israël. À bon entendeur, bon décryptage !


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