LE RÉGIME ALGÉRIEN VERT-KAKI N'EST-IL DÉJÀ DANS LE SAUVE-QUI-PEUT ?

LE PEUPLE ALGÉRIEN NE VEUT PLUS DE CE RÉGIME QUI LUI GARANTIT DE MOURIR DE FAIM AVEC LA PERSPECTIVE DE LA GUERRE CIVILE.

       Aujourd'hui, l'on peut affirmer, les caprices du régime algérien se situent exclusivement à l'Ouest. Dont les objectifs braqués par ce comportement dangereux sont le harcellement et la division du Maroc. Il reste que du point de vue géopolitique cet enveniment de l'état actuel des relations Rabat-Alger est nocif pour toute la région MENA-Sahel-Subsaharienne. Parce qu'en faisant de lui la cible à abattre pour casser son envol économique et sa détermination de lutte antiterroriste, il est certain que la recession avec les inévitables dépassements antidémocratiques se dérouleront comme s'il s'agisse de région fermée. Tellement, l'on peut annoncer que la gravitation de certains pays limitrophes autour des malfrats Caporaux-Généraux vert-kaki ne fera qu'entretenir l'altération de leur neutralité passive longtemps étalée sans peur dans le conflit du Sahara marocain. En tout cas, on peut affirmer à ce propos, que le peuple algérien ne veut plus de ce régime qui lui garantit de mourir de faim en plus du risque d'éclatement de guerre civile. 

       En quelque sorte, ce peuple frère a horreur d'une Algérie emiettée et affamée dans un chaos où les séparatismes n'attendent pour s'ordonner que la première étincelle. Évidemment, de ce constat, tous les observateurs et analystes en géopolitique au Maghreb vantent le calme et la sérénité du Maroc face aux vociférations, véhémences et menaces du régime militariste algérien. Ce qui prouve que l'enragement de CHENGRIHA TEBBOUNE et LAAMAMRA vit un temps mort dans le bras de fer géopolitique sur le Sahara marocain. D'autant plus, n'annulant ni les interférences sur les libertés et la nécéssité de production pour le développement. Et encore moins les défections en séries vers l'Étranger d'Officiers de hauts rangs, confirmant l'état de délabrement avancé des Institutions en "Algérie nouvelle". Aussi, il n'y a pas de raison de voir ailleurs une autre solution au conflit préfabriqué par KADHAFI au Sahara marocain que d'imposer à l'Algérie et sa chimérique protubérance Polisario l'offre d'autonomie 2007. C'est d'ailleurs ce que promeuvent toutes les Résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU depuis cette date. 

       De fait, on ne comprend pas pourquoi l'Afrique du Sud se positionne-t-elle toujours dans le déni de cette réalité ? Étant donné que sa ministre des Affaires Étrangėres a montré un désinteressement hallucinant à l'unicité territoriale de l'Algérie après sa dernière visite à Brahim GHALI à Tindouf. En somme, une duplicité dans la reconnaîssance de la souveraineté algérienne et polisarienne sur les camps de la honte dans toute Lahmada. Et ce, au vu des conséquences de la chronologie des attaques de ciblage par les drones marocains des hordes polisariennes, après le nettoyage de Guergaratte et le balayage de la Zone Tampon à l'Est du Mur par les FAR. À dire vrai, cela montre que depuis le retour du Maroc au sein de l'UA, l'Afrique du Sud constitue avec l'Algérie qui décaisse beaucoup d'argent, le tandem énigmatique de la diplomatie Zéro africaine. Ce qui traduit, de facto, leur complexe vis-à-vis du Maroc d'où, l'on voit déjà le régime vert-kaki changrihaéen dans le sauve-qui-peut incarnant ses échecs tous azimuts. À bon entendeur, salut !