vendredi 3 février 2017

COMMENT LA COHÉSION DE L'UNION AFRICAINE S'EST-ELLE RÉVÉLÉE INESTIMABLE PAR LA GRANDE VISION DU ROI DU MAROC ?

QUI DES MAROCAINS N'A PAS RÊVÉ DE CE RETOUR A L'UNION AFRICAINE, EN ETANT EN PLUS CONVAINCU QU'IL Y'AURAIT PAR LA SUITE UNE LÉGENDE DERRIÈRE ?

       Le Maroc, bien avant l'officialisation de son retour à l'UA le 30 Janvier 2017 au Sommet d'Addis-Abeba, n'était-il dans toutes ses heures d'amour à l'Afrique à la croisée des mondes africain européen asiatique et américain ? De fait donc, quand au sein de cette Union, la grande vision du Roi du Maroc et la volonté de 39 chefs d'Etats se rencontrent, cela donne cohésion sous-forme de chef-d'oeuvre géopolitique et stratégique. Alors que, quand la lâcheté de 14 autres chefs d'Etats les empêche de reconnaître leur tort, même le voyant la rejoindre par la grande porte, cela mentionne que leurs jours se suivent et se ressemblent. Uniquement, par le partage d'animosité anormale et irraisonnable à son vis-à-vis, jusqu'à relancer leurs arguments erronés pour voir si leur capacité de mobilisation de continuer leur jeu politicien est toujours d'actualité. Qu'au demeurant, en l'occurrence, consiste à le compléter de manière que chacune de leurs lignes du déni des réalités ne contienne que la façon dont ils veulent refaire l'Histoire de l'Afrique. C'est même dommage qu'ils y aient cru et soient arrivés à ça, par l'usage des capteurs de transmission de la pensée préprogrammée seulement entre eux pour mauvaise affaire les concernant. Parce qu'ils pensent, de la sorte pouvoir en reportant leurs conclusions dans le tableau de synthèse trompeuse, ils assureraient au Polisario le Nom l'espace et l'activité légitimée. Encore un essai pour vol de la conscience des 39 pays africains, qu'au demeurant ne leur rétorquent que la seule clé à trouver n'est en vérité que la proposition de l'offre marocaine d'autonomie 2007 dans la régionalisation élargie. 

       Néanmoins, en sortant, du cadre du processus de l'urgence de la réforme que préconise le rapport des sages autour de Paul Kagamé, n'est-ce pas qu'ils montrent qu'ils n'ont que faire de l'esprit gagnant-gagnant des propositions pour la normalité dans l'action et moralité dans l'engagement qu'il contient ? En plus, c'est parce que l'information ne les tourmente pas sur tous ces thèmes de ce rapport, ni la modification de la réalité géopolitique ni économique ni sécuritaire dans leur volet prospectif à terme ne les intéresse. De fait, à l'évidence, seulement la création des conditions de non retour du Maroc à l'UA qui les motive, sans savoir que, lui, est déjà sur le bassin de l'investissement en normalité et moralité en gouvernance pour les jeter en pâture devant les peuples africains et la communauté internationale. Chose, évidemment, qui augure de prévision et tendance d’élévation des fronts de refus à leur connexion à une thèse dépassée et incompatible avec les réalités sur le terrain. Aussi, dès lors qu'ils n'ont de choix que manger leur chapeau, autant l'expliquer aux donneurs de leçons en interne et en externe, faisant les honnêtes gens si tant est qu'il en existe, ce n'est pas leur transcription du résultat flagrant du retour du Maroc à l'UA comme soit disant un accord tacite avec l'Algérie qui franchement ne les montre pas eux aussi des nains à tous égards. Point du tout, de les laisser tromper encore la communauté internationale avec ce genre de ''décoctions journaleuses'', car tous les marocains s'y sont préparés de ne plus faire la sourde oreille à leurs dépends. D'autant qu'ils en ont mare de cette imposture machiavélique de vouloir continuer à imposer la ''RASD'' à l'UA, sachant, qu'il y aura plus d'oreilles pour les possibilités de correction de l'état de non respect du droit crée en 1984 à Nairobi. Comme l’insinuât le président du Sud Soudan Salva Kiir à l'issu de la visite royale mémorable à son pays, ayant donné le vrai sens positif du retour du Maroc à l'UA. En balayant deux jour après la clôture du 28-ième Sommet en présence du Roi, d'un trait le fait de faire un parallèle du combat pour l'indépendance de son pays avec la danse des polisariens d'adaptabilité au gré de leur rêverie d'y accéder à l'autodétermination. 

       Cependant, de par ce constat loin de toute naiveté, ne s'agit-il justement pour le Maroc d'un arrangement pour l'accompagnement, il faut le dire sans gène, du cycle désormais établi de sortie de l'intrus par sa suprématie de retour sur ses ennemis ? Alors en plus, même sachant, depuis longtemps qu'il vit sous surveillance permanente de leurs relais médiatiques à l'UA, comment peuvent-ils alors s'indigner de son retour qui est démocratique moral normal et légal ? N'est-ce, parce qu'il n'est plus seul face à eux, pour déconstruire leurs pyramides des malveillances montées par la manipulation de l'époque Ban Ki Moon et tromperie voire indécence de Christopher Ross aux ordres du DEA sous John Kerry en connivence avec l'ANC du justiciable Zouma ? En effet, maintenant que le Maroc n'est plus en dehors de l'UA, pourquoi tous les tricheurs usurpateurs de quelle origine que ce soit, cherchent à se dérober par des racontars frôlant l'idiotie car ne voulant se plier à la raison temporelle que porte le discours royal du 31 Janvier dans la salle Nelson Mandela à Addis-Abeba, celui de la solidarité et de la consolidation de la cohésion entre pays africains. A priori, sans aucune réticence cela est admis dans la conception d'Antonio Gutteress d'aborder le dossier du Sahara marocain, loin des sournoiseries d'avant rien qu'en plaçant dans le bon ordre les priorités dont sûrement l'Algérie et ses malfrats verront apparaître un extrait au mois d'Avril 2017.  

       A ce titre, d'ailleurs, assez de ce marché du forcing diplomatique anti Maroc, qui attire chaque année au mois d'Avril les procureurs-producteurs de la surenchère pour influer sur la résolution toujours attendue avec nervosité du Conseil de Sécurité de l'ONU ! Tellement, c'est presque certain, le Secrétaire Général des Nation Unies au delà de la sympathie qu'il porte à beaucoup de marocains dont le Roi Mohamed VI, est déjà conditionné à ne prêter aucun intérêt à ce genre de show d’arrêt sur image. Et, en conséquence, de ne laisser ses collaborateurs tomber dans ce jeu de réalisation de score de mensonges et contrevérités, presque à la même grille-graphie que les observateurs aient vu s'installer dans les antichambres et couloirs onusiens depuis le début du premier mandat de Ban Ki Moon. Alors, à ces Messieurs de la bande des 14 (quatorze), ne peut-on leur dire, qu'ils se tiennent tranquilles, car il se peut qu'ils aient besoin d'aide de sortir de leurs contradictions sociétales déjà grondantes ? Surtout le trio consanguin en activité de cyclicité muette et sourde, dont tout un chacun sait maintenant à quoi s'en tenir, dès lors que rira bien celui qui rira la dernier. Parce que les 11 (onze) autres dont l'Algérie c'était prévisible de leur part, d'où la question qui taraude, lequel de ces pays va lever le premier le pied et franchir le pas de rejoindre le groupe des 39 sur le pont du réalisme à l'UA ? Voilà, pourquoi finalement il faut tout dire, par suite au succès inestimable du retour du Maroc qui a vu sa cote démultipliée sur la scène internationale. Laquelle, qu'on ne le veuille ou pas, lui doit la vraie interprétation du droit couplée des positionnements tranchés des 39 pour défaire les tentatives des 14 ne voulant sortir du synopsis de l'ANC pour sa réalisation sous Nkonosazana Dlamini. A bon lecteur, bon décryptage ! 

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