samedi 11 février 2017

LE MAROC BRILLE-T-IL SEULEMENT DU ''ROYAL BRAIN BOX'' LOIN DE TOUTE AVERSION CONTRE L’ALGÉRIE ?

NE PEUT-ON AFFIRMER QU'IL BRILLE AUSSI DE BEAUCOUP D'AUTRES CHOSES, SIMPLEMENT PARCE QUE LE ''ROYAL DIPLOMATIC THINK FACTORY'' A TOUT PENSÉ POUR LUI FAIRE EVITER LES RISQUES D'INSUCCÈS DANS LES GRANDS DÉFIS LANCÉS AU FIRMAMENT DE SON APOTHÉOSE  ?

       Il n'y a pas de raison pour ne pas dire les choses tel qu'on les ressent. Notamment, sur les centres incubateurs des malveillances anti Maroc partout de par le monde, à l'exemple de la version DEA de l'époque Obama dans l'UE UA et ONU. Par ailleurs, n'est-ce là une recherche-illustration au firmament de son assurance profonde par et avec exposition des projections référencées aux raisons garantes de la vérité significative, sur sa brillance désormais reconnue à l'international ? Pour qu'il puisse en faire le bouclier de protection des jeunes politiques marocains d'où ils viennent, des diffusions mensongères incontrôlées issues du machiavélisme de certains Généraux algériens. Et, dont, certainement les jeunes diplomates dernièrement accrédités sur les parcours des chancelleries à travers le monde, ont envie de s'exprimer la-dessus comme des professionnels rodés avertis et éclairés. Parce que, voulant montrer qu'eux aussi sont branchés sur les préoccupations prioritaires de leur pays, en scrutant le travail diplomatique minutieux et inventif qui a pris forme dans le dédale des chantiers ouverts au cabinet royal et au ministère de tutelle, depuis l'offre d'autonomie 2007 dans la régionalisation élargie par le Maroc au Conseil de Sécurité de l'ONU. 

       En cela, ne peut-on dire que la matière et l'outillage utilisés pour faire face aux ennemis sur le terrain diplomatique, révèlent la densité des réflexions sur cette préparation par ce que l'on appelle désormais le ''Moroccan Diplomatic Think Tank'' ? L'un des plus en vue de toute l'Afrique, et qui fonctionne tellement bien, en phase avec les explorateurs de l'ombre de par les résultats obtenus avec célérité argumentée par la conviction et aussi par la persuasion d'autres filières parallèles se basant sur la charge identitaire patriotique. En plus, après avoir fait expérimenter sur cette même lancée, des mécanismes d'accompagnement concis et précis qui ont fait profiter à l'Etat-Maroc d'une notoriété qui n'a d'égal que le prestige du Roi Mohamed VI le concepteur de cette nouvelle vision diplomatique. Support sans conteste, primo des nombreuses visites royales en Afrique USA Russie Inde CCG Chine et en Europe et de la suite des discours puissants révélateurs de la force sondagière du Roi, pas seulement du marché des influences mais aussi celui d'assurance des arrières géopolitiques-géostratégiques. Malgré qu'il y eut la parenthèse qui a porté sur l'assistance obamaéenne d'un jeu diplomatique dangereux à son encontre en tant qu'Etat unique et unitaire, dont il s'en est heureusement rendu compte à temps pour ne rester dans l’œilleton des tireurs de ficelles surplombant les océans de l'islamisme diplomatique. D'ailleurs, autant le dire avec franchise, pis sur eux et sur leur soi-disant soutènement qu'en fait il n'est producteur que de tournis diplomatique ! Dans le sens où le Maroc, il faut le rappeler, a eu raison sur leurs critiques fouettardes parfois snobinardes sans fondement, surtout celles venant de relais médiatiques ne cherchant que de gâcher la rythmique de son offensive diplomatique enclenchée avec hauteur de vue et dextérité du savoir-faire. 

       Evidemment, quand on y pense, qu'est-ce qu'il manque aujourd'hui à l'élite pour ne pas parler des incertitudes et crises que vit le pouvoir Boutaflika, toute en restant loin de toute aversion contre le peuple algérien frère ? Ne sait-elle que le Maroc n'est plus hanté par l'idée incongrue de ce pouvoir de le faire glisser vers la revanche de la guerre des sables 1963, après son retour triomphal à l'UA ? Bien sûr, avec recommandation de ne pas manquer, sous aucun prétexte, la bonne appréciation de son tracé d'avenir commun avec tous les pays africains, sachant que l'aversion a moins de flexibilité que le désir de réussir sans encombres les grands défis du moment et futur proche. Dont les services de renseignement algériens admettent en OFF que la vie politique à l'international s'y référant, ne leur sourit pas de par le déroulé du fil d'actualités à l'avantage de ceux du voisin de l'Ouest méthodiques méticuleux et sûrs d'eux impactant  sa bonne réactivité équilibrée dans toutes ses relations ? D'autant plus, pour lui, dans sa percée africaine par ses partenariats gagnants-gagnants d'égal à égal, ne s'en sort-il mieux malgré la conjoncture de la mondialisation de l'insécurité et ses effets dont on voit les tragédies ici et là ? Notamment, en aidant dans la chaîne onusienne de stabilisation des conflits, et s'impliquant cordialement face à la concurrence farouche de la Chine Inde USA Turquie France UK Brésil Portugal Espagne et Allemagne sur le plan économique et ses régulations politiques culturelles et écologiques passives positives. Avec un état d'esprit de compréhension de la chute du moral de certains Etats africains n'ayant pas les moyens ni la logistique civile et militaire d'y faire face, mais se sentant dans l'obligation alliant vigueur et rigueur de s’accommoder à la bonne pratique de lutte anti terrorisme qui n'est plus à démontrer. 

      Néanmoins, n'est-ce cela qui met le Maroc en position d'Etat filtrant ne laissant passer les manigances en géopolitique qui les concerne et en géostratégie qui les arrange de par la confiance sans ambages qu'ils ont en lui, contrairement à l'Algérie dont ils préfèrent ne plus passer par aucune de ses plateformes ? D'ailleurs, ne commencent-ils tous sans exception de s'orienter, désormais sans se cacher, vers l'expertise marocaine de formation de leurs agents de sécurité en évitant toutes les nuances dans leurs réunions fermées entre eux. Et, d'où en plus ils lui donnent des gages déterminants pour l'assaut prospectif contre les groupuscules terroristes via l'échange du renseignement, la recherche et épiage des présumés terroristes et géolocalisation de leurs points fixes de rencontres en collaboration avec d'autres services sur le terrain. Cependant, c'est malheureux d'en arriver à ça avec le pouvoir algérien n'aimant que flagornerie, avec en plus nombrilisme exagéré énervant ne sachant prendre du recul. Mais, n'est-ce obligatoirement ce qui arrive, quand un pays se veut le seul héros dans la bande Sahel-subsaharienne africaine, alors même que tout le monde sait qu'il fricote avec Daech Aqmi Boko Haram et d'autres pour mettre tous ces pays sous sa botte ?  

      En ce sens, c'est vrai que l'ingénieux manège de Nkosazana Dlamini sur instructions de Ramtane Laamamra aurait pu duré au sein de l'UA, pour que ce pouvoir puisse continuer dans ses perfidies en provoquant embrouillamini dans les consciences des chefs d'Etats africains. Seulement, c'était sans compter sur le message marocain intercepté par plus de 39 pays au Sommet d'Addis-Abeba 30-31 Janvier 2017, dont la curiosité a fait éveiller les soupçons sur ce linkage machiavélique de non accompagnement du grand défi sécuritaire. Pour ne laisser la mise en relief de la conception sécuritaire commune du Maroc et ses amis prendre l'ascendant, s'ajoutant, évidemment, à la méthodologie scrutatrice du déroulé des événements suivis à temps réel par la diplomatie marocaine. De surcroît, anticipant même sur les communications du commissaire algérien ''permanent'' à la paix et sécurité le in-civilisé Smail Chergui avec la dizaine de ses semblables complices, d'intimer l'ordre au Polisario d'engager plus de tensions avec les FAR (Forces Armées Royales) à Guergarate. A même jusqu'à l'affrontement par des escarmouches comme une préconisation insistante, qu'au demeurant, elles les aurait invités à envoyer plus de câbles de protestation à l'ONU et ailleurs vers leurs lobbys, pour mettre la diplomatie marocaine sur le mauvais pied. Sauf que, ne sont pas malins ceux qui font leur manège border-line, sans tenir compte de l'environnement géopolitique géostratégique et surtout du crédit dont jouit la partie légitimée dans ses droits inaliénables en l'occurrence le Maroc à l'échelle de l'ONU. A l'évidence, ne s'agissait-il d'une préparation implicite de leur part, comme balisage à leurs imaginations fourbes de l'année, dont, honteusement, ils en espèrent que le Conseil de Sécurité à la session d'Avril 2017 ne manquera pas à les récompenser ? Plus machiavélique que ça, on connait pas ! A bon suiveur, bonne lecture !         

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