mardi 7 février 2017

LE POLISARIO N'EST PLUS LA BONNE AFFAIRE DES ENNEMIS DU MAROC A L'UA, A L'UE ET A L'ONU !

N'EST-CE DE CELA QUE LA MOBILISATION MAROCAINE ENCADRÉE PAR SA DIPLOMATIE MAÎTRISÉE SANS IMPROVISATION NI DÉSINTÉRESSEMENT, EN A FAIT CONCRÈTEMENT UNE ENTITÉ-CHIMÈRE NON DÉSIRABLE AUX YEUX DE L'UA ET NON RECONNUE DEVANT LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE A L'ONU ?

       Avec sa coopération Sud-Sud, le Maroc dans l'UA ne se repositionne-t-il de manière à réaliser tous ses objectifs via sa feuille de route de son retour assuré et rassurant ? D'où, sans conteste, il aura à jouer son rôle locomotive par ses différents partenariats gagnants-gagnants d'égal à égal déjà en pleine exécution, même sur l'entame de l'Afrique désarçonnée qu'ont entretenu pendant 33 ans l'Algérie et l'Afrique du Sud. En effet, la question qui se pose pour les observateurs, ce n'est pas comment s'est-il adjugé à l'UA un fort soutien de 39 pays africains, mais quand commencera-t-il à récupérer à son avantage leur matérialisation des faits de respect de la démocratie, de la légalité et la légitimité ? A ce titre, comprendra qui voudra à propos de sa bonne réactivité pour augmenter la résonance et la force de cette analyse du temps présent et le proche futur ! D'autant plus, sa diplomatie avait, bien auparavant, vu assez loin, et réalisé que, ce faisant, le Roi Mohamed VI se retrouverait au Sommet de l'UA à Addis-Abeba pour prononcer son discours mémorable face aux chefs d'Etats africains et autres invités de marque à l'exemple du Secrétaire Général de l'ONU Antonio Gutteres. Ce qui conclut qu'il a atteint d'autres bases diplomatiques de par le monde, en mettant les ennemis dans une position où ils n'auraient jamais envisagé s'y confiner de honte voire de peur s'étant réinitialisées depuis les recadrages des nombreuses visites royales. 

      Voilà pourquoi ils sont tétanisés car ils savent désormais, au trait de la structure rédactionnelle par le ton mesuré la teneur émotionnelle et la charge politique du discours qu'ils sont dans sa ligne de mire. Et ce, pour leur faire savoir qu'il est clair dans ses engagements en vue de réussite de son approche géopolitique africaine patiemment entretenue, en concomitance de celle géostratégique avec le CCG USA France Espagne Russie Inde Chine Japon Brésil Pakistan et Turquie. Alors, de ce point de vue, quel bilan peut-on tirer de leur attitude de ne pas comprendre que le temps presse de le rejoindre et ne plus s'écarter de lui ? Aussi, n'est-ce malheureusement pour eux, le fait de n'avoir compris qu'il y a longtemps que le Maroc a trouvé l'enchère équitable Sud-Sud, les ayant rendu vulnérables par l'ouverture de son compte de fidélité sans naiveté ni amertume ni désinvolture ? Du fait, que ça donne plus de force et d'énergie en perspective d'une Afrique entreprenante dans la responsabilité la sérénité et la sécurité, ce qui met en exergue leur faillite de n’être à ce rendez-vous de l'Histoire avec lui pour plus de mise rationnelle de tous les programmes de co-développement. Dont tous les peuples africains en redemandent après qu'il aient vu le début de leur séquence se réaliser raisonnablement ici et là, et surtout compris que tous ces pays jaloux de lui, ne servent à rien, si ce n'est faire les discours sur des thématiques d'un temps révolu pour provoquer zizanie et division en Afrique. 

       A ce propos, maintenant, l'on peut dire, ne commencent-ils déjà à se dérober en OFF de leur soutien du Polisario malgré qu'ils affichent en ON un semblant d'adaptabilité aux nouvelles données géopolitiques et aux aléas de leur vent tournant ? Notamment, après qu'ils aient réalisé qu'il n'est plus bon de faire affaire avec cette entité fantoche, au risque d'en souffrir de la prise en main du Maroc du traitement de l'information pour accomplir la sensibilisation des chancelleries à travers le monde. Parce que, il faut le crier fort, le Polisario est maître dans le terrorisme multifacettes, la séquestration et les rapts, le détournement des aides humanitaires, l'immigration clandestine et les réseaux de trafic d'armes faux médicaments drogues et fausses monnaies. Ce qu'au demeurant suscite, aujourd'hui, pour les amis du Maroc au Conseil de Sécurité de l'ONU d’être conscients des différentes facettes de la tournure que prend la problématique du Sahara marocain. Notamment, au sein de l'UA l'UE l'Amérique Centrale et du Sud et aussi en Asie après son retour qui s'inscrit dans le cadre du renforcement de son maillage diplomatique, expression du nouveau structuralisme dont le discours de Dakar en a fait allusion pour se mettre à l'heure de l'Afrique. Un succès arrivé à point nommé, dont la communauté internationale n'a pas manqué de reconnaître la valeur ajoutée du retour du Maroc à l'UA, dénonçant en clair les fourberies du Polisario et les tromperies de l'Algérie et l'Afrique du Sud à propos d'autres orientations imaginations voire certitudes sans raison qui n'ont pas lieu d’être.  

       Néanmoins, lorsqu'on regarde à froid les conditions de ce retour du Maroc à l'UA, on s'aperçoit qu'il y eut une maîtrise de sa diplomatie de la chronologie des événements politiques et économiques partout en Afrique. S'ajoutant, en plus aux interventions avec soin des services parallèles en l'occurrence s'y afférant, dont effectivement ils ont assisté et aidé la diplomatie marocaine à devenir un ''Aimant'' sans pareil pour la mise en effectivité des réflexions programmatiques sur l'avenir commun avec les pays africains. D'ailleurs, qu'on se le dise sans complexe, on ne connait pas de meilleurs services qu'eux pour les décryptages des partages sournois et lectures zélées des ennemis à propos de leurs contre-offensives sur ce retour. Sans oublier l'ascendant amical qu'ils ont sur beaucoup de responsables africains, pour accélérer le rythme de programmation avec des levées de doute pour ne pas s’arrêter au milieu de chemin. Parce que si l'on attendait que le panel politique pour le faire, surtout de ceux qui ne ratent aucune occasion pour se mettre devant les pupitres afin de communiquer sur le fil d'actualité en géopolitique sans assurer leurs arrières, on aurait été mal-en-point eu égard à la résistance des ennemis. D'ailleurs, pourrait-on oublié l'embarras d'alors, à propos de la manipulation de certains députés et consultants en stratégie par de faux diplomates étrangers, que les marocains n'en acceptent qu'une telle chose puisse arriver ?

      De ce fait, pour étoffer l'argumentaire anti Polisario il faut surtout continuer à batailler pour le mettre hors-jeu à l'UA, dans l'attente de le faire débarquer définitivement de ses rangs. Bref, n'est-ce parce que cette entité fantoche qui s'enthousiasme d'un rien n'accepte que les marocains se projettent devant sa route, qu'elle ne pourra encore tromper la communauté internationale à l'UE et à l'ONU ? Et ce, non seulement du fait qu'elle partage sa lecture erronée sur le retour du Maroc, mais aussi parce qu'elle la considère comme le prolongement de tous ses soi-disant engagements. Dont, elle se targue les dédier au pouvoir algérien ankylosé qu'elle considère sans rougir comme le vrai défenseur des droits de l'homme, ne sachant que le Maroc par son carnet de bonne conduite octroyé par les instances à Genève en la matière, va lui faire à elle et à ce pouvoir après son retour à l'UA, l'apprentissage de l'humilité et la sagesse à travers les doutes qu'ils ne veulent admettre une fois pour toute. Particulièrement, en raison de leurs propos mensongers venant d'eux et leurs relais médiatiques pour minimiser cet épisode de la victoire de l'intelligence. Parce qu'ils ne désirent donner l'impression, un peu comme si, ils continuent à écouter le discours royal d'Addis-Abeba passant en boucle dans leur subconscient, les fragilisant jusqu'à imaginer l'expropriation du Polisario des rangs incessamment sous peu. A bon suiveur, bon décryptage ! 

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