jeudi 23 février 2017

APPAREMMENT, DONALD TRUMP AURAIT DIT NON A LA PRÉFÉRENCE DE BARACK OBAMA DANS LE CONFLIT DU SAHARA MAROCAIN ?

LE 20 JANVIER 2017 DONALD TRUMP L'ALARMISTE SOPHISTIQUÉ A-T-IL VRAIMENT DIT NON AU PLAIDOYER PRO-ISLAMISME DE BARACK OBAMA LE MANITOU FILOU, A PROPOS DU SCÉNARIO SUR LEQUEL IL COMPTAIT POUR IMPOSER UNE AUTRE GÉOGRAPHIE DES LIEUX AU MAGHREB ?

       Beaucoup de mes suiveurs sur mon blog (homelibre.blogspot.com) à travers le monde pourraient se dire, décidément, je n'arrive pas à changer voire évoluer dans mes écrits en dramatisant tout ce qui a un rapport entre DEA avec Kerry sous Obama et le PJD au Maroc. Et bien, je leur réponds que je ne suis pas de ceux lorsqu'on leur demande que feront-ils si l'islamisme politique s'accapare des arcanes du pouvoir, et qu'ils répondent cela dépendra si la chance sera du coté de l'Etat pour avoir sa part dans ce marché. Forcément, c'est en ce sens que c'est même ahurissant de voir l'élite politique opportuniste et les intellectuels border-line se voir inviter à des événements sous contrôle du DEA, sans prendre les précautions de ne tomber sous le charme d'une telle conception que finalement ne ferait que raccourcir le temps de résistance à la manipulation et donc prolonger celui de l'obscurantisme. De ce fait, maintenant qu'Obama n'est plus aux commandes, pourquoi tout le monde est interloqué voire interpellé sur les prédictions de Benkirane à propos du risque de déflagration sociétale, si rien n'est fait en matière de justice sociale ? Par conséquent, n'est-ce pas qu'il se fout du peuple en disant cela, et même de l'Etat qu'il malmène parfois à raison mais souvent à tort alors qu'il a gouverné pendant cinq ans, en faisant du mal aux démunis exceptés ses colonnes d'assistés, qui, eux, pour des raisons électoralistes ont reçu les ''Iqramiyates'' à gogo ? 

       Cependant, il faut le dire avec courage, n'a-t-il abusé de la confiance de l'Etat par sa configuration gouvernementale greffant les affaires de la société civile au ministère chargé de la relation avec le parlement sur lequel il avait l'ascendant ? Une technique à l'Ardogan Ghanouchi et Morsi dont tout un chacun a vu l'harmonisation des actes sur mesure pour sa branche, en plus ne s'en étant soucié ni des marocains du monde à l'exception de l'intéressement par le ministère de tutelle après l'intervention royale. Voire même du dossier du Sahara marocain, parce qu'apparemment rien n'est moins sûr il y aurait une idée derrière d'attendre d'y voir clair selon la place que lui prédestinait Obama au Maghreb. Et c'est là où il faut être plus vigilant, pourquoi Benkirane a-t-il fauté délibérément contre son propre pays par l'usage de langage toxique devant le parterre des syndicalistes de sa lignée, pour conforter et concrétiser l'application de la nuisance sans assurance de ses arrières ? Au sens, où l'on peut y voir non seulement un populisme extravagant dans le contexte actuel marocain-africain mais une insatiabilité de la rébellion dans les propos en faveur des ennemis. Puisque l'on a l'impression qu'il est dans une relation qui détruit la confiance pour la prise du pouvoir, au moins de ce que, lui, il appelle avec presque mépris et insouciance voire inadvertance les consciences marocaines hantées par l'engagement royal en Afrique. Dont l'Algérie en a fait son leitmotiv de propagande extrêmement complexe, pour nuire et porter zizanie sur la visite royale en Zambie, et surtout pour faire reporter celle au Mali par la surenchère irresponsable. Ce qu'évidemment, rappelle qu'en un semestre le Maroc a vu sa devanture politique qu'il a façonné avec minutie d’orfèvre à l'international, brouillée de l'intérieur plus de trois fois par des propos déconcertants d'au moins trois chef de partis, mettant les ennemis en position d'attaque sous l'effet de ce genre de données et manœuvres inadmissibles insupportables. 

       A l'évidence, par ce constat, l'Etat-Maroc prendra-t-il les initiatives qui s'imposent en s'aidant de ce qu'il lui revient par la force de la loi et de la constitution montée sur démocratie juste qui n'accepte aucune nuisance délibérée ? Où, laissera-t-il le hasard s'en charger pour se réapproprier son existence en tant qu'acteur pivot incontournable, en arrêtant de chercher  de se consoler dans d'autres directions sans sévir ? Dès lors que, tout un chacun constate que sur les réseaux sociaux les prêcheurs sournois de la thèse obamaéenne d'imposer une autre cartographie du Maghreb, ne s'en lassent pas. Car, ne voyant toujours pas du jeu américain des moyens de pression sur eux, puisqu'entre Obama le manitou filou et Trump l'alarmiste sophistiqué rien ne va plus, dans ce qui est surnommé la guerre des tranchées institutionnelles. D'où, à ce jour l'ambiance par l'absence d'une prise de position officiellement par le nouveau Secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson sur le Sahara marocain, a rendu leurs médisances plus virulentes n'acceptant que les forces d'influence soient changées après le retour triomphant du Maroc à l'UA. En plus, combien même Antonio Gutterress a-t-il besoin d’être en réserve sur les agissements de pays ennemis du Maroc au Conseil de Sécurité tel l’Uruguay sur demande de l'Algérie et son excroissance abortive le Polisario, il n'en demeure pas moins qu'on est en droit de se demander jusqu'à quand ça va durer ? Notamment, par rapport à son calendrier du traitement du dossier du Sahara marocain, dont on sait qu'il prend des précautions pour ménager l'Algérie dans sa descente inéluctable aux enfers. S'ajoutant à l'appui qu'Amnesty International apporte, en l'occurrence la montrant continuer à couvrir les crimes du Polisario dans les camps de Tindouf Rabouni et ailleurs. 

       Aussi, c'est parce que les déroulements des événements successifs en Algérie ce pays frère, n'augurent que d'une tendance vers la prépondérance de la violence et la souffrance, que des observateurs onusiens et autres analystes à l'international lui prédisent une chute fracassante prochaine. En ce sens, juste pour étoffer leur raisonnement, si le pouvoir Boutaflika est tombé par terre n'est-ce parce qu'il y a une débandade institutionnelle et constitutionnelle par la faute de ses Généraux milliardaires ? Si le bout du tunnel de leurs aventures africaines n'est toujours pas en vue, n'est-ce justement c'est la faute à Laamamra leur substitut irréaliste obtus ? Et, enfin, si le Polisario est devenu leur souffre-douleur, ce n'est quand-même pas la faute à l'UA voyant en le retour du Maroc son lave-honneur. N'est-ce pas que ça rime ? A bon suiveur, bon décryptage ! 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire