mardi 14 février 2017

EN AVRIL 2017, QUEL SERAIT L'IMPACT DES NOUVEAUX ARRIVANTS SUR LA RÉSOLUTION DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU DANS LE DOSSIER DU SAHARA MAROCAIN ?

NE POURRAIT-ON D’EMBLÉE APPELER LA RÉSOLUTION DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU EN AVRIL 2017, L’ÉNIGME DES CENT JOURS APRES L’ARRIVÉE DE REX TILLERSON AU DEA (DÉPARTEMENT D’ÉTAT AMÉRICAIN), ANTONIO GUTTERRES AU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL DES NATIONS UNIES ET MOUSSA FAKI MOHAMAD A LA COMMISSION DE L'UA (UNION AFRICAINE) ?

      C'est parce que le temps du Maroc est arrivé à l'UA, voilà pourquoi il faut épauler la diplomatie officielle à l'ONU, dont il serait interessant de scruter la documentation non frappée ''top secret'' sur ses engagements à propos de l'évolution du dossier du Sahara marocain en fiabilité et lisibilité rédactionnelle de la future résolution du Conseil de Sécurité en Avril 2017. Et surtout de voir qu'est-ce qu'elle prévoit de rassurant pour que nos diplomates qui ont un bon moral de n’être manipulés et menés par le bout du nez, gardent l'esprit serein au bénéfice de la protection de la thèse marocaine face à l’infâme stratégie des ''loosers'' propolisariens. A ce titre, autant le dire sans détours, cela montrera l'exemple pour circonscrire leurs sournoiseries au sein de l'UA et l'UE, notamment après qu'aujourd'hui même, Jean-Claude Junker le président de la Commission de l'UE ait donné des signes de ne pas renouveler son bail et donc mis les lobbys anti Maroc dans l'embarras vu le risque de leur désintégration. A même en plus, d'espérer que l'Algérie et ses soutiens seront contraints de prendre le message avec sérieux et changer leur âme propolisarienne, en acte pour faciliter leur sortie de l'opacité à résoudre leurs positionnements énigmatiques s'y référant. Jusqu'à aller à ne rester dans le hors piste diplomatique à l'égard du Maroc, qu'en effet est considéré à contre champ de la vision géostratégique pour l'Afrique du Nord de Donald Trump et même à celle de projection en méditerranée de l'Ouest du moment de Vladimir Poutine

       Comme ça, on peut même rêver qu'ils n'aient plus beaucoup de temps de semer davantage de perfidies, sans garantie de réception au vu de l'anéantissement qui serait programmé de la chimérique idée ''Polisario'' fruit d'un coup d'état contre la légitimité et discours d'un temps révolu. Non seulement par rapport à la certification contrôlée par l'ONU de l'extirpation des consciences de cette idée saugrenue, mais aussi vis-à-vis de l'offre d'assistance pour l'accomplissement des démarches et formalités du retour des marocains séquestrés dans les camps de la honte à Tindouf Rabouni et ailleurs. Néanmoins, à ce propos, n'est-ce en cela qu'il faut stimuler la mémoire et générer le besoin d'entrée en concordance de gouvernance réparatrice du temps perdu à l'UA loin des tensions ? Ce qui démontre que maintenant c'est l'heure pour les ennemis d'enlever leur carapace, en ne se montrant plus scandaleusement insouciants de l'avenir de l'UA. Dès lors qu'en interne ça ne fait que tirer le Maroc vers le haut en faisant sortir les renégats de leur émotion, alors que c'est scandaleux de voir l'insouciance au demeurant vérifiée, de l'Algérie et ses 9 pays souteneurs devenir un signal de production de messages presque en ordre frontal contre ceux produits par les 39 pays africains pro Maroc. Tellement, pour l'avenir de l'UA, n'est-ce aussi désolant quand les allégations d'une minorité s'y greffent et s'y conjuguent les unes les autres à propos de leurs contenus, voulant dire qu'il y a quelque part un continuum de ne comprendre les défis qui l'attendent ? Et que pour elle, vouloir continuer à passer outre le besoin de cohésion africaine, par l'étroitesse du raisonnement politique absurde pas plus large que sa plateforme idéologique intériorisée, n'est autre que du temps perdu parce que le Conseil de Sécurité de l'ONU respecte son agenda. 

       Maintenant au vu du constat dramatique pour l'Algérie, n'acceptant le fait qu'après 33 ans d'absence, l'Etat-Maroc unique et unitaire ait pris les commandes à la tête du groupe triple A ''Action Afrique Avenir'' à l'UA, d'où se profile déjà l'introduction de sa démarche visionnaire nécessaire à relever le challenge et donc conséquemment à lui assurer de reprendre pour de vrai le leadership. Aussi, dans un but de marché total africain de libre échange, toutes les initiatives qui vont arriver par la volonté non pas souverainistes mais seulement de valeurs sécuritaires et marchandes, il faudrait s'y faire en se mettant du coté du Maroc et non de celui de l'Algérie larguée et en souffrance. Dont le discours de Dakar, le retour du Maroc à l'UA, la prestation royale à Addis-Abeba avec à la clé la hauteur de vue anti-paresse et anti-mollesse dans les décisions et la reprise des visites royales au Sud Soudan Guinée Conakry Ghana Zambie Mali et Cote d'Ivoire, ne sont-ils un signe avant-coureur de l'énergie qui circule déjà comme irrésistible envie de passer à la vitesse de croisière. Comme ça, après, en peu de temps, le doute voire stress accumulés se transformeront en capacité à se concentrer, d'abord sur la formation du gouvernement puis sur la bonne gouvernance à l'Exécutif. D'où, l'on verrait une écriture nouvelle de l'histoire des partis politiques, particulièrement, sur les réévaluations farfelues du temps politique que certains les survolent en se projetant sur les heures de soi-disant gloire de leur passé très discutable, connu le moins avant-gardiste des gestions gouvernementales depuis l’indépendance. Alors, quand on sent le vent tourné, ce n'est pas la peine de se fabriquer des raisons de ''made in morocco'' d'incorporation d'épreuves historiques par preuves insuffisantes en donnant l'impression d’accélération de remise à neuf.

      Aujourd'hui, franchement, le Maroc n'incarne-t-il la voix de cette rationalité dans ses prestations et partenariats gagnants-gagnants d'égal à égal, tenant compte de la complexité s'y afférant au marché des surcharges sociales et solidaires ? Ce qui constitue, certes, une déception voire un point d’arrêt aux désirs de l'Algérie et ses soutiens à l'UA, témoignant sans équivoque de leur haine du temps africain présent à son vis-à-vis. Car, d'autant plus ils sont convaincus qu'ils n'y peuvent rien de ne le laisser à chaque occasion de vanter l'avenir de l'UA avec lui, du fait qu'il soit le seul capable à parler le langage de l’intérêt mutuel commun avec tous les pays africains, par efficacité de mise en scène politique économique culturelle écologique et cultuelle-sécuritaire. Alors même, qu'il y a des signaux de révision d'attitude et croyance d’être toujours dans le vrai de leur part en ce qui concerne leur bataille acharnée anti Maroc qui concrètement n'a rien donné. Dont, apparemment il faut s'en attendre à des compensations politiques de la Commission de l'UA avec Moussa Faki Mohamad qui veut actionner sous le regard bienveillant du président Alpha Condé, le train de l'exigence de la démocratie de la légalité et de légitimité au dessus de tout soupçon via les préoccupations marocaines de se mettre seulement à l'heure du Conseil de Sécurité pour le règlement politique de ce dossier ni plus ni moins. Alors, n'est-ce là un soupir de soulagement au-delà des complications, car le cœur n'y est plus de la part de certains ennemis de continuer à vouloir affaiblir le Maroc sans raison, au sens où il faut temporiser d'après d'autres qui désirent désormais sauter le pas en s'organisant mieux ? Et ce, pour montrer au trio Algérie-Afrique du Sud-Zimbabwe, qu'il n'a qu'ambition démesurée à faire traîner les choses que de savoir-faire pour sortir l'UA du traquenard dont elle s'est fourrée elle-même des années durant. Rien qu'en se basant, sans aucune retenue, sur le scepticisme de partage de l’égoïsme dans le fonctionnement de défense de leurs intérêts éphémères n'ayant abouti, malheureusement, qu'à leurs échecs cuisants successifs. 

       Aujourd'hui à l'UA, peu importe ce que pourront penser certains, à propos de ce que les politiques de haut rang ont toujours besoin de temps de récupération, qu'effectivement, de surcroît nullement comparable à de la faiblesse ni à de la paresse de leur part. Et qu'en même temps, n'est-ce normalement un chef d'Etat africain qu'il soit arrivé par le suffrage, doit pouvoir se reposer en s'écartant de lui-même quand il se sent en baisse de vivacité physique comme aussi de légitimité de représentation et de défense de l’intérêt commun géopolitique et géostratégique à l'UA et à l'international ? Loin de donner le gout de l'inachevé, surtout en ventilation des priorités nationales pour la construction de la sérénité et la responsabilité dans le maintien de la sécurité et la paix pour l'avenir mondialisé commun de l'Afrique. Dont, autrement dit, ne faut-il que certains connus s'accordent à eux-même le break qu'il réclament à d'autres, au sens où il faudrait qu'ils osent réviser leurs présence d'esprit et compétences intellectuelles dans le traitement des grands dossiers, quitte à écorner l'image de battants si tant est qu'ils essayent de vouloir continuer donner d'eux. D'autant plus, ce n'est pas un hasard si ailleurs dans les démocraties, l'alternance fait partie de l'éloignement du stress dans la vie des pays par ce que l'on appelle prendre rationnellement soin du temps de l'avenir politique, sans s’éterniser dans son gaspillage par l'insistance ne générant qu'effets inverses. A bon entendeur, salut ! STOP ET FIN.  

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