vendredi 10 février 2017

OUI, A L'UE DES LOBBYS SUR FOND DE PRIVILÈGES FONT DU CHANTAGE ECONOMIQUE AU MAROC, POUR LE COMPTE DE L’ALGÉRIE LARGUÉE.

L'UE (UNION EUROPÉENNE) N'EST-ELLE EN CELA DEVENUE LE PAVILLON DE CHASSE DES LOBBYS ENNEMIS DU MAROC, D’OÙ L'ON VOIT QUE LE RIDICULE S'EMPARE D'EUX JUSQU'A L’HYSTÉRIE ET/OU CATHARSIS CAR N'ACCEPTANT QUE L’ALGÉRIE NE SOIT STRUCTURELLEMENT  ÉCONOMIQUEMENT ET POLITIQUEMENT LARGUÉE PAR LUI ?

       Au Maroc, on est consterné de ne trouver le répit avec ces lobbys remplis d'orgueil sans vertu, qui à chaque fois esquissent leurs préférences sans gène presque dans tous les domaines. Tellement ils sont devenus insupportables pour le peuple marocain, dès lors que, pourquoi ne savent-ils pas que s'attaquer à lui c'est vraiment chercher à accélérer la déconstruction de l'UE ? Néanmoins, pour échapper à ce recommencement sans fin de leur chantage économique par faits désinvoltes qui s'installent comme une ROP (Recette d'Origine Protégée) et qui sont devenus un support atemporel dans son mode d'expression presque guerrier, il en faudra du travail de lobbying de persuasion de la part du Maroc. Et ce, même si maintenant il reçoit plus de soutien d'ailleurs, pour que l'UE approuve une fois pour toute la solution qui permet la levée de ce genre de barrières au libre échange trop politiciennes. Non seulement en changeant son paradigme économique avec lui, mais aussi parce qu'il commence à perdre patience de toujours se voir courir devant les tribunaux européens face à cet univers raisonnant politiquement faux, car regroupant ces lobbys férus de triches et pays sourds-muets à la légalité et la légitimité. 

       A cet égard, quand sauront-ils que le Maroc a des atouts qu'ils n'ont pas et qu'essayer leur conjugaison du verbe ''faire'' par la formulation ''on va faire'' ne les met que dans la parenthèse du hors-jeu au Conseil de Sécurité de l'ONU ? D'ailleurs, face à leurs turpitudes peu différenciées du procédé mafieux d'où les jets de venins fonctionnent même quand la question du Sahara marocain n'est pas posé dans leur agenda, n'en montre-t-il encore une perspective d'ouverture sur d'autres illustrations-partenariats en matière du libre échange approfondi bien documenté sur les gestions de crises, s'ajoutant à une coopération sur l'information-renseignement, le culturel, et les échanges universitaires ? Effectivement, l'UE dans sa recherche de dignité perdue n'arrivant toujours pas à sécuriser les accords agricoles-pêches avec lui, elle montre qu'elle tombe de haut. Et ce, au vu de sa géométrie politique variable à son vis-à-vis alors qu'elle est face au Brexit et devant Poutine lorgnant sur le Maroc pour s'assurer une entremise sur la méditerranée occidentale, sans oublier les nouvelles axassions africaines de changement de stratégie du Pentagone avec Trump et les populismes en Europe qui montent. Comme ça, n'est-elle pas, un peu dans l’abîme de l'ambiance d'un système qui met en danger ses implications nombreuses avec le Maroc souverain de ses décisions géopolitiques et géostratégiques ? Alors, pour voir émerger la meilleur mesure de sa part ne faut-il pour elle savoir que la conjoncture n'est pas de son coté, et donc pas question d'essayer de le décevoir sur cet accord signé en 2010 avant le grondement sociétal 2011 ? D'autant plus, pour lui la sécurité de ses citoyens pourra comptablement politiquement passer avant les autres, si elle continue à s'identifier à cette cohorte de pays africains jaloux qui n'excellent que dans l'assassinat des droits de l'homme. Notamment, en les considérant révolutionnaires issus de la partie laborieuse des peuples africains, alors qu'ils sont tous poursuivis ici et là de leurs biens mal acquis. 

       Cependant, ce qu'il faut savoir, c'est pourquoi ces lobbys occidentaux ne rougissent pas de honte au fait de leur prononciation à l'identique avec le ''mais'' d'un sens différent, ne sachant que désormais ils ne retrouveront plus à l'UA leur récépissé d'entrée dans les méandres et recoins du Siège à Addis-Abeba ? Aussi, il faut le répéter pour l'histoire, il y a longtemps bien avant que le Roi du Maroc Mohamed VI n'y prononce son discours inédit du 31 Janvier 2017, le siège de l'UA à Addis-Abeba en Ethiopie était le terrain des menaces envers les chefs des délégations des Etats africains récalcitrants à soutenir les manipulations montées contre le Maroc. Au point que ces lobbys inféodés à des pays connus d'antimarocanisme dans l'UE sont venus à la rescousse jusqu'à l'offense, en brandissant l'usage de mesures coercitives du 28 au 30 Janvier à l'encontre des chefs d'Etats pour les faire flotter et les éloigner de l'acceptation du retour du Maroc. Sauf que, lui, il s'en est trouvé en apothéose après l'officialisation de son retour à l'UA le 30 Janvier par un soutien massif de 39 pays. Dont, le lendemain, le 31 du mois, au moment où le Roi commençait son discours, si ému et si enthousiaste qu'il fut, l'audience en face ne put rester réservée pour l'ovationner sur ses appels lancinants à la prise en main des africains eux-mêmes du destin de l'Afrique. Et que seuls ces idiots de lobbys jaloux, n'ont pas mentionné leur admiration du moment historique que vivait l'UA, car sont pétrifiés coupés de la réalité visionnaire que contient le discours. 

       Il est loin le temps où pour s'adjuger les avantages en Afrique, il fallait narguer politiquement le Maroc, tout en s'alliant stratégiquement à l'Algérie. N'est-ce en cela que le commérage s'est emparé des lobbys anti Maroc jusqu'à la catharsis, car le voyant rester fidèle et attaché à sa volonté de ne faire de l'impermanence à formuler clairement son cap ? N’empêche, ce qu'ils ne savent pas, c'est qu'il fut hier toujours du coté de l'Afrique avec forte nostalgie de retour un jour à l'UA, aujourd'hui fort de sa présence effective dans ses rangs et demain certainement au bon équilibre en faisant bousculer l'entité fantoche au dehors de l'arène. D'autant plus, pour se faire dans ses choix géopolitiques et stratégiques pour le co-développement en Afrique, il comptera sur son expérience son autosuffisance et non l'intuition ni même le facteur chance. Alors ignorer cela, n'est-ce pas méconnaître sa typologie humaine entrepreneuriale de relever les défis et peut-être même son attachement à son continent d'avenir qui est à l'aube du grand développement, même s'il reste beaucoup à faire pour démultiplier ses potentialités encore non bien exploitées malgré tout ? Et oui, ce qui frappe le plus dans l'UE aujourd'hui, c'est le contraste entre l’ultra-scepticisme sans élégance diplomatique dans les repositionnements désolants de certains pays à l'encontre du Maroc et traditionalisme bête et méchant d'autres dans leurs initiatives économiques qui polluent leur appui à son vis-à-vis.

       D'ailleurs, ce discours royal à l'UA ne confirme-t-il la reprise de l'initiative du Maroc dans toutes les instances de l'UA, mettant tous ses ennemis de l'UE dans une rage bleue dont il ne faut pas s'étonner qu'il leur montre une résistance comme une répugnance ? Aussi, de ce fait, à leur malheur enfoui par la honte qui les envahit, le Maroc tout à son honneur, ne cherche qu'à les accabler davantage, même en les voyant se séparer en larmes des mamelles de Nkosazana Dlamini la tenancière pendant cinq ans de tout à la Commission de l'UA notamment le directoire politique et les finances. Laquelle, il faut le dire, après le 30 Janvier elle était dans un état second la voix cassée sans âme ni courage devant le président Alpha Condé stoïque calme et déterminé à lui indiquer la sortie à la première occasion. Comme ça, on ne peut pas dire que ses amis lobbyistes au sein de l'UE voulaient la voir dans cette position le jour du discours royal, et ce même avec sa misérable tendance d'envie d'occuper la direction de l'ANC dans l'espoir de succéder à son ex-mari le justiciable Jacob Zouma à la tête de l'Afrique du Sud. Effectivement, pour conclure, à son attractivité économique et son influence politique objective toujours en amélioration progressive, on ne saurait mieux faire que de s'en référer aux derniers discours du Roi pour comprendre pourquoi et comment le Maroc a-t-il tout fait pour en être le réceptacle serein et responsable, de surcroît fondamentalement tolérant hostile à tous les extrémismes ? A bon suiveur, bon décryptage !

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