mardi 31 janvier 2017

QUAND LE ROI MOHAMED VI ANNONCE EN SUBLIMINAL DANS SON DISCOURS A L'UNION AFRICAINE, ENCORE ET TOUJOURS PLUS D'EFFORTS A FAIRE APRES LA RÉINTÉGRATION DU MAROC !

LA DATE DU 31 JANVIER 2017 AU SOMMET D'ADDIS-ABEBA DE L'UA RESTERA DANS L'HISTOIRE CELLE DU DISCOURS DE LA VÉRITÉ DE L’HUMILITÉ ET L’ÉMOTION A MÊME LES LARMES DU ROI DU MAROC, ANNONÇANT LE DÉBUT DE LA NORMALITÉ AUGMENTÉE POUR LA GOUVERNANCE PROACTIVE MAÎTRISÉE ET LA MORALITÉ ÉLEVÉE DANS L'ENGAGEMENT PRODUCTIF, LOIN DES RÉFÉRENCES AU TIERS-MONDIALISME AUJOURD'HUI CADUC.

          Maintenant après le retour triomphant du Maroc à l'UA le 30 Janvier 2017 au Sommet d'Addis-Abeba, n'est-ce le début de la normalité augmentée dans l'action et la moralité élevée dans l'engagement au sein de cette organisation ? Ce qu'évidemment, le discours royal de la vérité l'humilité et l'émotion en séance plénière de clôture du 31 Janvier met en relief par sa teneur hautement politique, montrant une valorisation de fabrication vérifiée par les actes et non la parlotte de l'Histoire qu'elle est la seule dont l'UA doit s'atteler à maîtriser. Et ce, pour ne plus continuer à collectionner des entités fantoches sous forme de pendentifs accessoires inutiles, œuvres de tant de perfidies effacées heureusement en un jour le 30 Janvier 2017. Parce que, depuis presque 33 ans, le Maroc a subi non seulement une injustice de représentation théâtrale à l'origine de la fondation Alger-Pretoria de la haine la rancœur et la jalousie à son vis-à-vis, mais aussi les effets controversés de sa politique de la chaise vide à l'UA. Et, donc, conséquemment la métamorphose cyclique de la production des contrevérités via masses médias pratiquant le journalisme stalactite-stalagmite le concernant. A même, jusqu'à être devenu après sa victoire écrasante de ce temps présent, la cible préférée des lobbys atteints du Syndrome de Vacuité par la Peur (SVP), autrement dit celui du refus de le voir rafler la mise par sa détermination légendaire à relever les défis. Sauf que, le Maroc a la conscience tranquille, ne voulant qu'assurer et rassurer l'Afrique sans aucune provocation ni recherche de division comme le prétendent certains, toujours les mêmes. 

       Chose, bien évidemment qui place de grands espoirs dans sa diplomatie de par ses valeurs ajoutées pour la bonne gouvernance, pour que demain l'UA soit dans de meilleurs auspices au-delà de ses blessures longtemps non cicatrisées et leurs stigmates aujourd'hui dépassés. A l'évidence, heureusement, les fabricants de cette marque diplomatique salutaire marocaine ne s'en éloignant jamais du credo-thème basé sur des lignes-illustrations de la volonté royale à faire face aux divers scepticismes endogènes et exogènes. Lesquels, ces sceptiques, ne sachant comment contrôler leur déconfiture ils usent de compagne insidieuse pour diminuer l'impact du retour du Maroc parmi les siens, dont, les causes à effets du recul de la régulation que préconise l'axe Alger-Pretoria depuis le Sommet de l'UA à Kigali à celui d'Addis-Abeba six mois après, ne sont plus mystérieuses. D'autant plus, n'est-ce depuis le clash de 2013 avec les USA sous Obama, le Maroc a fait viré sa cuti en mettant en exergue un processus de fixation de ses priorités par la présentation de sa diplomatie offensive et ses applications économiques culturelles écologiques politiques et cultuelles-sécuritaires sur le terrain africain ? Parce qu'il sait, cependant en plus, en se basant sur une stratégie de communication ciblée, certes à ce jour pas encore très élaborée, que ni l'Algérie ni l'Afrique du Sud et ses satellites gravitant autour de la ''marquise'' Nkosazana Dlamini ne peuvent le concurrencer dans cette logique de relever ces défis.


    Et oui, néanmoins, à ce propos en 
oubliant l'épisode de la ''Othmania-Pjdia-Accadémia'', le Maroc il y a 3 ans n'a-t-il monté une cellule de réflexion secrète comme fabrique de diplomatie prospective pour préparer ce retour, même surfant sur la vague des résultats de la couverture médiatique informationnelle des visites royales en Afrique et partout ailleurs ? Parce que, sachant que la qualité du silence induit souvent celle de la vivacité d'analyse de cette entité impactée des services muets discrets presque diaphanes, mais compétents pour l'accompagnement de sa stratégie de retour à l'UA. Dont, il faut le dire avec simplicité, tout un chacun était loin d'imaginer le succès rapide, notamment, au vu de ce qu'a rencontré la marque ''Maroc diplomatique'' comme résistance des ennemis et subi comme pression dans les montages politiques économiques et sécuritaires sur le terrain lors de ses nouvelles conquêtes en Afrique de l'Est et Ouest. A cause de déclarations-gesticulations malheureuses non bien calculées par certains, ayant failli mettre le temps de cette victoire géopolitique et stratégique sur le grill de Nkosazana Dlamini. Pourtant, n'en peut-on dire que l'histoire de ce processus intégré de cette victoire, n'a-t-elle commencé à prendre forme de ce grand défi que depuis l'amorçage de la production d'une vision géopolitique africaine de décloisonnement des sous-régions ( Nord-Est-Ouest-Centre-Sud ) et un travail de ciblage pragmatique géostratégique avec le CCG la Russie l'Inde et la Chine ? 

       Certes, déjà, des améliorations significatives ont été observées dans la façon de la nouvelle présidence de l'UA  du Président guinéen Alpha Condé, ayant fait preuve d'un engagement résolu à faire respecter la démocratie au niveau le plus élevé. Ce qui montre une parfaite harmonie avec l'envie générale de réduction des activités malsaines trop politiciennes, entre autres des perturbations de fonctionnement de la Commission de l'UA. Car, résultant d'appauvrissement de la condition d'autosatisfaction subjective, qu'au demeurant, à son tour, exacerbe la fameuse régulation FLN-ANC la mettant même en pleine panique. C'à quoi, n'est-ce l'une des causes indirectes du mutisme officiel de Ramtane Laamamra se voyant sûrement en survivance face à cette situation inattendue, qu'effectivement, de surcroît favorisant voire déclenchant son stress après l'annonce solennelle du retour sans ambages du Maroc au sein de l'UA ? Donc, grâce à cet apport massif au soutien du retour du Maroc, le Roi Mohamed VI a pris l'engagement de mise en chantier d'une contribution-rubrique de solidarité et de mobilisation de l'idéal confortant le choix du retour. Qu'effectivement, tout le monde considère comme un travail élaboré en commun, visant à prospecter et à évaluer régulièrement les différentes offres du co-développement structurel dans l'espace africain. 


       En résumé, voilà un discours porté avec clairvoyance et méthode sans dérobade sur les dessous des cartes africaines. Autrement dit, fort de signaux clairs pour le rééquilibrage et le ré-étalonnage harmonieux dans l'activité de la Commission et ses annexes avec le tchadien Moussa Fquih Mohamad et non l'accaparement du leadership par qui que ce soit comme ce que fut fait. Tout simplement, pour ne plus vivre à l'UA l'indignité qui fut fatale pendant 33 ans à son bonheur par l'absence du Maroc dans ses rangs. Alors, par suite de ce constat, n'est-il temps pour le pouvoir algérien de faire amende honorable, au lieu de continuer à faire payer au Grand Maghreb la note politique aux conséquences économiques et humaines gravissimes d'une désinvolture si ce n'est mésaventure qui n'a que trop durée ? Parce que, qu'on se le dise très franchement, tôt ou tard le Polisario, que l'on peut qualifier du ''protégé de la marquise'' sera invité à prendre le café en dehors de l'UA, pour ne plus le voir passer pour l'Etoile du spectacle de la triche du non droit et de l'illégitimité. N'est-ce ainsi, l'on percevrait que le Maroc apportera sa valeur ajoutée Sud-Sud en se basant sur les nouveaux processus de la bonne pratique de gouvernance dynamique et mobile et non sur les concepts figés de l'ancien temps ? A bon suiveur, bonne lecture !

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