mercredi 21 août 2019

AU MAROC ON N'A PAS FINI D'INNOVER INVENTER ET PENSER UN NOUVEAU MODĖLE DE DÉVELOPPEMENT PAR RAPPORT AUX CAPACITÉS DE TOUS SES TERRITOIRES.

AU MAROC IL N'Y AURA PLUS DE GAGES POUR LE DÉVELOPPEMENT PAR DES RÉCITS QUI N'ONT SOUVENT FAIT QUE DECEVOIR.

       Les marocains ont applaudi chaudement les deux derniers discours du Roi Mohamed VI (30 Juillet-20 Août 2019). Ils savent, pertinament, de par la tonalité utilisée et la force de la promesse du Souverain de toujours mettre le citoyen au coeur du développement, que l'heure de l'arrêt de la mauvaise gouvernance est venue. Autrement dit, le bilan de l'extravagance gestionnaire par incompétence est décrié, tellement on ne jouera plus à qui veut gagner des millions par détournement des deniers publics. Aussi, ça va de soi qu'il faille bien sortir le Maroc de cette image douloureuse pour donner une autre plus embellie et promtteuse d'avenir sociétal serein. Car pour l'essentiel, il n'y a plus d'espoir possible qu'un jour tout s'arrange selon les désirs et rêves des marocains, sans sévir et sans punir les voleurs et pilleurs des deniers publics.  Voilà pourquoi, maintenant, ceux qui se sont accaparés des postes décisionnels des années durant en viennent aux rumeurs et aux fausses confidences sur le tsunami qui s'annonce. Eprouvant un sentiment de tristesse et d'où certains parmi-eux gardent encore le souci de pouvoir montrer pattes blanches. C'est sûr, ça doit être assez terrible pour eux, voyant leur influence perdue dans un Maroc qu'ils croyaient construire à leur guise à leur goût et à leur rythme. Désormais, c'est maintenant avéré qu'il s'agisse d'un besoin urgent de prendre le développement à bras le corp parce qu'il y a défaut de compétence au gouvernement. 

       D'ailleurs, pour les marocains les plus optimistes, il n'y aura plus de gages pour l'avenir par des récits de Com ici et là et, aussi par soi-disant bons sentiments de certains ministres qui ont souvent fait décevoir. Ça ne vaut plus la peine de les défendre devant leurs détracteurs à cause de leur façon de procéder et se comporter. Et, c'est précisément ce constat lancinant qui a poussé le Roi à annoncer l'installation prochaine de la Commission spéciale séparée du gouvernement, avec une charge à caractère consultatif pour arrêter le bal masqué dans bien des secteurs qui se déroule depuis le 25 Novemre 2011. C'est vrai, il y a les contraintes constitutionnelles pour qu'elle prenne ses résponsabilités en mettant le paquet en interne des institutions. En clair, c'est une nécéssité pour en tirer un retour d'expérimentation normative du nouveau modėle de développement. Face aux réalités économiques sociales et environnementales du pays, et ce, pour réduire les risques des dérapages à néant. Donc, pour éviter aussi les retards dans l'expression des aspects du developpement au quotidien. Concrètement, cela veut dire que cette nouvelle version est une façon de s'organiser en prenant compte les impératifs d'élaboration d'un contrat social typiquement marocain. En bonne et due forme bien sûr, avec des dispositifs de mise en oeuvre selon un plan concis et calendrier précis, tenant compte de la spécificité et la diversité des espaces géographiques dans le cadre de la régionalisation avancée et la déconcentration des pouvoirs dans l'administration marocaine.

       C'est vrai, depuis le lancement de l'INDH en 2005, le terme de développement a fini par se répandre dans les bouches des marocains. Aujourd'hui, la prise de conscience citoyenne et patriote de ce concept contribue à mettre l'accent sur d'autres questions. À l'exemple de la répartiton des richesses, la justice sociale, l'équité fiscale, pour un avenir plus positif par la réduction de la fracture territoriale. Ce qu'évidemment demandera plus d'efforts aidant à érradiquer la pauvreté, à améliorer l'accès à la santé, à l'éducation de qualité, à l'eau potable et à l'assainissement digne. Au fur et à mesure de l'avancée régulée du développement dans le respect des fondamentaux du pays. En quelque sorte, il s'agit pour la Commission de prioriser les enjeux colossaux du modèle de développement que préconise le Roi, les analyser et les étudier avec minutie. Tout en  essayant d'innover inventer et penser des programmes de réévaluation en se donnant les moyens de trouver des solutions et des aménagements pour construire ce nouveau modèle. Sans compromettre l'empreinte écologique que le Maroc veuille faire durer, sachant que cela demande la mobilisation des ressources humaines et d'acteurs du développement. En l'occurrence les collectivitès territoriales les ONG les groupements socioprofessionnels les femmes et la jeunesse, en plus des communautés soulalyates pour faire avancer le Maroc vers le progrés. A bon entendeur, salut !

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