dimanche 24 juillet 2016

APRES 17 ANS, QUI A PEUR DU ROI DU MAROC VISIONNAIRE RÉALISTE ET PASSIONNÉMENT OPTIMISTE POUR SON PAYS ?

N’EST-CE LA L’ETAT D’ESPRIT DU ROI DU MAROC ENTREPRENANT, D’OU L’ON COMPREND QUE CE N’EST PAS SA FAUTE S’IL A PLUSIEURS LONGUEURS D’AVANCE SUR SES PAIRS MAGHRÉBINS ?

       Depuis l’intronisation de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, le 30 Juillet de chaque année est toujours l’occasion de mettre le Maroc sous les projecteurs. Ainsi, si 17 ans de règne constituent la preuve sans conteste du progrès réalisé par le Maroc, comment doit-on alors expliquer le scepticisme de l’Algérie fermant toutes les portes d’ouverture à son voisin de l’Ouest ? Tellement qu'elle pousse le Polisario à emprunter le même chemin d'intransigeance fallacieuse qu'elle et à tenir des propos anti Maroc infondés qui relèvent de la schizophrénie systémique et primitive. Dont tous les témoins sensés et respectueux de l'intelligence des marocains, confirment qu'effectivement cette maladie dont souffre le Polisario est aggravée par le côtoiement de pays irresponsables receleurs de l'histoire. Au sens que, pourquoi l'Algérie officielle ne se viderait-elle, elle-même, des dialogues perfides futiles et inutiles avec son rejeton? D'autant qu'elle le fait par jalousie et par calcul tacticien, jusqu'à vouloir mettre d’autres pays de la sous-région Euroméditerranée-Maghreb sur sa voie usurpée du non respect du droit international. D'ailleurs, quelle que soit l'arrière pensée qui sommeille dans sa vision, à l'évidence tout un chacun comprend qu’elle ne soit tentante ni sur l’opportunité de la faisabilité de cette usurpation ni sur la durée de son effectivité, et encore moins sur les résultats escomptés de par les éclairages apportés ici et là sur sa non viabilité et donc fragilité politico-socioéconomique-sociétale et sécuritaire. A même qu’on est en droit de penser à cet égard, que l'attitude de ce pouvoir algérien relève du dialogue shakespearien d'une nullité incroyable, notamment de sa négligence d’apporter des solutions pour mieux répondre aux doléances de son propre peuple qui souffre le martyr.

       Aussi, l’apparition de sa conduite narcissique, vu qu’en ce moment elle n’est qu’handicapante ne fournissant que mirages et parasitages aux répercussions graves. Et d’où, il n’y a ni ébauche d’entente ni espoir que ses interlocuteurs y souscrivent, seulement à une exception près en dehors de la Mauritanie empêtrée dans ses contradictions. Dont il ne faut pas se cacher la face pour le dire, car bien avant le printemps tunisien sous Benali il y avait une machination-entente avec le pouvoir algérien à se préparer à fond à contrecarrer les initiatives royales. Sauf que, aujourd’hui Benali n’est plus, pourquoi continuer avec l’Algérie en déconfiture, à insulter le présent et défigurer l'avenir ? Jusqu’à aller dans leur bêtise commune de réévaluation par le doute inintelligent et inopportun sur la moisson marocaine évidente politico-socio-économique écologique culturelle et cultuelle-sécuritaire dont le monde entier en parle. N’est-ce parce que la Tunisie non assurée d'aucune tranquillité, même à ce jour, elle parie sur son soi-disant génie inventif de casser l’attrait du Maroc aux investisseurs n’en tenant compte que lui, il témoigne à son égard d’une grande délicatesse ? N’est-ce pas la visite et le long séjour du Roi en 2014 font foi, même si le choix aujourd’hui de la diplomatie tunisienne de ne pas cosigner la motion des 28 au Sommet de Kigali 17-18 Juillet 2016 elle se l'explique bizarrement du fait qu’elle ne veuille être mise devant le fait accompli ? Contrairement à la Libye courageuse, sachant le poids de l'engagement dans les moments cruciaux et le choc du désengagement de non soutien d'un pays honnête correct et entreprenant, par ailleurs faisant beaucoup pour l'union du Grand Maghreb avec amour et sans complaisance. En plus, toute sa séduction est faite par ses choix politiques déterminants par réglages institutionnels minutieux et sans précipitation pour éviter les erreurs fatales comme ce que vivent beaucoup de pays dans le voisinage.  

       Vraiment, c’est là ou le bas blesse, pourquoi est-ce que la Tunisie croit aux encouragements sans garanties, d’une part de l’Algérie intraitable et intransigeante sur la décision de l’exclusion programmée de la RASD de toutes les structures de l’UA? Et d’autre part de l’occident comme quoi elle est son sujet primordial voire fondamental dans les chambres de réflexion à l’international. N’en voyant quelle ne peut compter que sur elle-même, pour s’en sortir de ses discussions byzantines en interne et aussi de ses rêves démesurés qui l’attachent avec l’occident menteur faisant semblant de faire sa promotion, mais sans résultats apparents si ce n’est le Nobel très discuté. A cet effet, s’il est vrai que le terrorisme, principale menace de la cohésion maghrébine, agit indifféremment et aveuglément, les études montrent que le Maroc résiste confirmant son avancée par l’application de sa feuille de route de développement multisectoriel. De ce fait, on peut affirmer qu’il est conscient de son impact sur son voisinage, tellement qu’il ne cesse de les motiver de sortir de leur contribution à la dégradation de l’ambiance fraternelle entres les peuples maghrébins. Avec l’ambition grandiose de diffusion de l’information concernant les méfaits d’aiguillage de l’histoire de l’espace Grand Maghreb vers l’inconnu, surtout par encouragement sournois du terrorisme quel qu’il soit.

       Voilà pourquoi, le Roi du Maroc s’est-il investi corps et âme, dans de nombreux partenariats de grandes valeurs géostratégiques visant l’amélioration du statut géopolitique du Maroc en Europe en Asie aux USA en Afrique et avec les pays CCG. S'additionnant aussi à la promotion du rôle de son économie productive de haute technicité, en tant qu'hub pour la co-localité des investissements pour faire bénéficier toutes les plateformes modernistes de l'Afrique. Par exemple celles touchant l’Energie renouvelable, la marine marchande, la recherche et l’innovation, la chimie les mines et phosphates, l’agriculture et agroalimentaire, les infrastructures en autoroutes ports aéroports ponts et gare ferroviaires de la dernière génération, l’industrie aéronautique et automobile en plus des domaines sensibles en matière de sécurité civile et militaire. Comme ça on ne peut pas dire que les marocains ne sont pas heureux de démontrer au monde qu’ils sont fiers de leur Roi visionnaire et entreprenant, et ce, sans vouloir déverser leurs voisins au Maghreb dans l’oubli et l’épuisement. Au contraire, ils cherchent dans tous les cas l'apaisement nécessaire, pour diminuer les complications qui peuvent survenir à tout moment. N'est-ce peut-être pour cela qu'on a peur dans le voisinage de la vision royale entreprenante, qu'au demeurant fait tache d'huile et provoque dissidences sociétales voire envies de se mettre à l'heure d'entrepreneuriat marocain dans tous les domaines ?

       Cependant, même sachant qu’il y a parmi les voisins une minorité vivant dans les nuages, ne cherchant qu'à porter le chapeau de leur mauvaise récolte politique sur la clairvoyance la détermination et l’activisme diplomatique positif non belliciste du Roi Mohamed VI, il n’en demeure pas moins que face à ces données préoccupantes partout au Maroc la vigilance requiert toute son importance. S’ajoutant à d’autres mesures adoptées pour son rayonnement visible et palpable en Afrique, car contribuant largement au co-développement partenariat gagnant-gagnant irréversible. Dont il importe de relever que le Roi ait eu à suivre dans les détails la mise en place des programmes communs avec les pays africains durant ses nombreuses visites et tournées royales, en s'impliquant personnellement pour faire respecter à la lettre toutes les clauses de sauvegarde du biotope des écosystèmes et de l’environnement. Aussi, l’intensification des campagnes d’information et de sensibilisation en préparation de la COP22 à Marrakech en Novembre 2016 n’a-t-elle retenu l’attention des associations à travers le monde surtout en Afrique ? Parce que le sérieux du Maroc à se faire l’avocat hargneux dynamique et responsable, des africains dans les tractations à venir sur les changements climatiques n’est plus à démontrer pour l’optimisation des actions préventives entamées à l’échelle planétaire depuis la COP 21 à Paris. En cela, une médiatisation professionnalisée surtout en matière de l’amélioration du ratio communicationnel dont souffre le gouvernement marocain actuel après le contrecoup de l’affaire des déchets italiens, est fortement recommandée. A bon suiveur bonne lecture !

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