AU MAL D’ASSIMILATION PAR CES POLITIQUES DE CE QU’EST
L’ETAT-MAROC, SOLUTIONS DE FERMETÉ CONCERNANT LEUR REVE DE DIMINUTION DE COMPRÉHENSION !
Il est vrai
qu’un Etat qui tergiverse dans ses prises de positions fermes à l’encontre des
perfidies populistes électoralistes, il ne fait que perdurer le risque de
rupture de sa cohésion sociétale. Justement, comme de coutume les observateurs
nationaux et étrangers n’ont pas manqué de débattre des thèmes du discours
royal ferme et tonique à l’occasion d’Aid Al Aarch 30 Juillet 2016. Qu’en résumé, ils en ont
noté que le politique marocain est invité à s'engager et s’inscrire dans la démarche des
exigences de la qualité et compétence lui permettant de mieux structurer ses
pensées et donc d’améliorer ses performances en probité et droiture. D’autant
que c’est vrai avec les temps qui courent, cet engagement demande d’auditer
connaitre et définir les objectifs précis à améliorer dans ce sens, en plus d’efforts
de requalification pour avoir une planification de rehaussement des
responsabilités politiques. Sauf qu’à cette diagnose doivent s’ajouter d’autres
exigences telle la prescription technique de la traçabilité des pratiques
politiques non conformes à l’esprit du management de la constitution du 01
Juillet 2011. Dont le but ultime c’est d’augmenter la satisfaction des
marocains au plus long terme à propos de l’exercice de la politique, bien évidemment sans se libérer du
devoir de vigilance permanent pour la détection des anomalies comportementales et
des dysfonctionnements s’appuyant sur des motivations douteuses.
Partant de ces
considérations, maintenant c’est clair, la doctrine-vision du Roi du Maroc
c’est le saut vers le progrès dont il faudrait politiquement en comprendre l’exigence
l’ordre et la méthode en ne laissant point de place aux manipulations-sournoiseries
partisanes. Mais, est-ce que les politiques pourraient être amenés à en intégrer la portée et réfléchir
à l’évolution de leur prestation tant décriée en ce temps présent afin de maîtriser les phases pré et post-électorales ? De ce fait, heureusement l'Etat-Maroc stoïque droit dans ses bottes s'étant approprié une conscience politique moderniste, ne se laisse aucunement berné continuant à
vivre tranquillement sa marche pour éviter de laisser croître les chocs et les blessures à un rythme effrayant comme sous d'autres cieux non envieux. D’où le
souhait après les élections législatives du 07 Octobre 2016 de développer un
nouveau créneau qui ouvre la voie vers des opportunités nouvelles, en
perspective d’amélioration des rendements socio économiques culturels et écologiques. N’est-ce là ou est sa meilleure attitude de se donner raison contre les manipulateurs-menteurs, notamment en termes de
sensibilisation de tous les marocains contre les complications sociétales que
veulent lui imposer ces pirates des consciences au nom d’Al Watan ? Même
si, pour certains parmi-eux aboyeurs populistes de surcroît pseudo idéologues intolérants
et rigides dans leur réquisitoire contre l'Etat, ça puisse leur apparaître si difficile à interpréter positivement ni
à accepter aisément.
Aussi, au Maroc
aujourd’hui l’interprétation des repères de la modernité et son évolution, ne
serait jamais dépersonnalisée ni par indifférence à l’authenticité ni par perte
de résurgence identitaire et encore moins par suite d’usurpation d’Al Watanya
(Patriotisme). N’est-ce là aussi, l’obligation constitutionnelle faisant de la
personne du Roi en tant que commandeur des croyants le garant de la jouissance
de l’Etat de toutes ses prérogatives de toujours se mettre hors mêlées
partisanes et sociétales en assurant cohésion et stabilité du pays ? Et qu’expressément
il s’y atèle en jugulant dans la responsabilité le lien causal par quoi on veut
essayer sans raison valable de tordre la main du ministère de l’Intérieur
électoralement parlant. Et oui, à l’heure où l’émergence du Maroc est devenue
un signe d’accomplissement personnel du Roi Mohamed VI, l’arbitrage de la cour
constitutionnelle s’avère primordial pour éviter l’installation de ce cycle
vicieux pouvant ne provoquer que lésions de prédisposition partisane dont il
est urgent de stopper la recrudescence. Dès lors que l’origine politique de son
apparition et progression est due à l’enchevêtrement des influences
intrinsèques et extrinsèques, et dont il ne faut négliger la part du formatage
de certains leaders-prêcheurs de haine ayant un rôle clé dans la propagande en
ON et en OFF. D’ailleurs pour eux, il n’est pas question d’économiser leurs
gestes d’aggravation du champ politique, dont ils espèrent ré-axassions du
profilage électoral pour le mettre dans un alignement à leur avantage.
Evidemment il
faut savoir que le populisme est l’une des caractéristiques qui se développe le
plus dans la sphère politique marocaine. Montrant de fait, que c’est fini le
temps des débats sur les grandes idées que l’on qualifiait d’antan en terme
général de conséquence logique pour que les dirigeants se hissent au rang de la
responsabilité du courage et de la probité des Hommes et Femmes d’Etat. Chose
que l’on n’a pas vu qu'on ne le veuille ou pas depuis l’avènement des PJDistes à l’Exécutif, ayant montré
qu’il y a un mal d’assimilation de leur part de ce qu’est vraiment l’Etat-Maroc. Non
seulement à cause de l’amour bidimensionnel du chef dans l’exercice du pouvoir
tout en faisant en même temps l’opposition chronique préoccupante, mais aussi
par la conséquence directe de l’augmentation du facteur de risque pour d’autres
attitudes gravissimes qui n’ont pas d’être lieu. Et, d’où l’on peut dire que
les marocains auraient raisons de se méfier des comportements border-line de ces
prêcheurs-menteurs se considérant presque des héritiers de l’Exécutif. Ainsi,
tout marocain digne et fier de sa marocanité doit intégrer le fait que le
discours d’Aid Al Aarch 30 Juillet 2016 lui a conféré une tranquillité de
conscience, notamment à propos du sifflet royal de la fin de tolérance de ce
genre de populisme à visée électoraliste de bas de gamme. Duquel c’est d’un kidnapping
de la volonté des marocains dont il s’agit, par l’encouragement aux heurts
sociétaux, souvent sans respect de la vie privée des gens afin de mettre le pays
sur le brasier de l’islamisme bête et méchant.
Voilà ce qui
amène à affirmer, n’est-ce pour cette raison que Feu Hassan II avait une grande
estime pour le regretté Abderrahim Bouabid le classant en tant qu’Homme
d’Etat ? Et qu’aujourd’hui, l’Histoire se répète avec Sa Majesté le Roi
Mohamed VI envers Abderrahmane Youssefi l’ayant honorablement mis dans la même
catégorie. Toutefois, si pour les observateurs avertis il s’agit d’un geste montrant
comment le Roi l’apprécie grandement spécifiquement pour sa hauteur de vue sur
la gestion des affaires de l’Etat, il n’en demeure pas moins que le désaveu du
populisme électoraliste du PJD est évident. Parce qu’on ne peut pas être à la
fois décideur-prêcheur et opposant-agitateur, comme ce que l’on voit presque en
direct aujourd’hui par des polémiques tendancieuses et essais de capitalisation politicienne contre l’usure de
l’Exécutif. Effectivement, de cette
inauguration d’une avenue à Tanger en son Nom en sa présence par Sa Majesté, n’en
pourrait-on affirmer que cela a fait prendre conscience au panel politique
marocain de la hauteur de vue de ce petit homme sobre mais rayonnant par sa
culture et son autosuffisanc? D’ailleurs, personne ne peut en nier la profondeur
et la symbolique que c’est pratiquement une reconnaissance officielle, en plus
le jour même du discours du trône au style direct clairement contre les
tentatives de dépersonnalisation politique du Pays.
Finalement, alors que la saison électorale sonne aux portes annonçant le
lancement de moments de désinformation pour dénigrer les institutions, ne
faut-il pour ces politiques pirates de sortir de leur schizophrénie de fabrication
des médisances gratuites sans valeur ajoutée à l'image du Maroc à l'international ? Une fois de plus, n’est-ce l’espoir c’est qu’il
n’y ait de place aux manipulateurs dans la presse de caniveaux et aux sites des
réseaux sociaux conditionnés et inconditionnels qui prêchent la haine, la
violence voire le meurtre et le colportage des mensonges et contrevérités ? A cet égard,
pourquoi est-ce qu’ils ne savent pas que leur méthode est préjudiciable pour
eux, vu qu’elle n’est productrice que de poussées congestives inter et entre
paris politiques ? A bon suiveur, bonne lecture !
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