COMPTE TENUS DES RÉSULTATS OBTENUS PAR LE MAROC, ENFIN
DAECH AQMI BOKO HARAM CHABABS ET AUTRES DANS LA LIGNE DE MIRE DE TOUS POUR LES
AFRICAINS.
La mise sur le
marché mondial de la méthode marocaine pour gérer le risque de propagation
terroriste, montre l’importance de tout bien surveiller par l’anticipation. De
ce fait, qu’attend-on pour en venir à bout des formes diffuses du terrorisme pour éviter les frustrations, et ce, via
la guerre étendue asymétrique multi foyers ? N’est-ce là, un questionnement qui
vise à définir la meilleure stratégie de lutte anti terrorisme, qu’hormis le
risque des guerres civiles les autres effets ne feraient pas plus de malheurs ?
Sachant que, grâce à la prévention l’épiage et le renseignement on dispose
aujourd’hui de boite à outils nettement plus efficaces, pour lutter contre le
terrorisme quel qu’il soit. Au sens où cela ouvre incontestablement plus de
chances de guérison contre ce fléau, au mieux contre le risque de le voir se
propager par d’autres éruptions sociétales. Même si, autant le dire sans
détour, le polymorphisme des terroristes est un problème majeur de sécurité
publique dans le monde, s’ajoutant à la gestion des dégâts collatéraux par
des complications qui s’y greffent en l’absence d’alternative.
A cet effet, au
Maroc la lutte anti terroriste constitue un véritable bon en avant, par suite
de sa prise de conscience précoce des dangers qui auguraient des règles de
luttes menées en premier lieu par les USA. Elle est même devenue depuis
l’hécatombe du 16 Mai 2003 à Casablanca la référence, et ce, quel que soit le
profile des terroristes. S’agissant de la comparaison à l’état de fait d’avant
la gifle du 11 Septembre 2001 aux Etats Unis et la prévalence des attentats
diversifiés opportunistes du temps présent en Europe en Asie aux Amériques en Afrique
et au Moyen Orient. Ce qui ouvre de par les recommandations basées sur des études relatives aux conditions d'arret de ce mal, de nouvelles perspectives à l’échelle mondiale
dans les contre-attaques pour son éradication de façon significative
sans naïveté ni cocorico. Ainsi l’on peut dire, le Maroc marque sa différence
dans la prévention du terrorisme, tellement que sa méthodologie présente
l’avantage par une innovation de taille, lui permettant de prendre le problème
à bras le corps d’une façon autonome. Ce qui n'est toujours pas le cas de beaucoup de pays, quant aux attaques qu'ils aient subies car non détectées à temps par manque d'une part de moyens concernant l'Afrique, et d'autre part de volonté politique pour y faire face avec détermination chez des pays nantis notamment en Europe.
Evidemment, au
symposium sur les stratégies de lutte contre l’EI (Etat Islamique) communément
appelé Daech, animé par les USA en la personne d'Ashton Carter le 20 Juillet 2016 à Washington et auquel étaient conviés
tous les pays de la coalition sur la base d'Andrews , on n’a pas tari d’éloges ici et là sur les bénéfices
engrangés par le Maroc dans sa lutte anti terrorisme. Dont les spécialistes en
la matière, sont unanimes à considérer le BCIJ (Bureau Central d’Investigations
Judiciaires) comme le support-rempart méthodiquement organisé dans ses
démarches. Ayant pour objectif le traitement instantané de la formation des
cellules terroristes quelles soient en préséance d’activisme ou en dormance forcée
par suite de traumatisme d’origine sécuritaire dans leurs environs. Et ce, à
coté d’autres facteurs de plus en plus importants dans l’évolution des
mentalités du mode de vie spirituelle, comme l’amélioration de l’ordre en
pratique cultuelle selon le rite sunnite malékite. Confirmant ainsi, que les
bombardements aériens concentriques en Irak Syrie Yémen et en Libye ne peuvent,
à eux seuls, venir à bout des formes étendues du terrorisme. Au vu que la
dangerosité de cette machine infernale reste cloisonnée, de par l’asservissement
en tant qu’agent causal de l’apparition la transmission et la fréquence des
attentats et attaques non seulement en aveugle partout dans le monde. Et qu’en
plus, elles sont liées structurellement en grande partie à l’environnement relationnel
international, incluant des déficiences et contradictions en gouvernances socio économiques culturelles et
politiques avec en plus lacunes sécuritaires flagrantes.
Maintenant, n’en
pourrait-on dire que les discussions sont tournées autour des perspectives du
retour du Maroc à l’UA, de dévoiler l’implication du Polisario dans la
nébuleuse terroriste par la preuve ? En effet, les manigances algériennes
suscitent encore beaucoup d’incompréhension sur cet état de fait, alors que des
rapports sans équivoque sont établis à ce propos par les services de
renseignements régionaux et de puissances étrangères, qui s'activent qu'on ne le veuille ou pas depuis le Sinaï jusqu’au golf de Guinée.
En tout cas, ce n’est pas parce qu’outre le fait de s’interroger sur la présence des forces spéciales de ces pays, de s’informer sur ce qu'elles préparent et donc conséquemment de réaliser que l'entité fantoche Polisario porte en elle le gène transcripteur du
terrorisme au Maghreb et dans toute la bande sahélo subsaharienne africaine, que
l’UA ne doit pas rendre hommage au Maroc en lui décernant le trophée de
reconnaissance de sa lutte acharnée anti Daech Aqmi boko Haram et Chababs. Notamment,
grâce à sa résistance à ce terrorisme pléthorique grondant en ses frontières, allant
avec les temps qui courent jusqu’à l’entraide si ce n’est carrément la sous-traitance
par bénédiction des services secrets algériens. D’autant plus, le Maroc pilote
par la même occasion l’initiative qui contribue à la promotion du
co-développement en tant que pays sur lequel l’ensemble des africains peuvent compter.
Ajouter à cela, les marocains ont été touchés par la solidarité de leurs frères
africains qui ont témoignés de leur attachement à la valeur ajoutée et à la
qualité de la présence parmi-eux du Maroc à l’UA, que ce soit sur le plan
cultuel, développement humain, sécuritaire et institutionnel politique. Ce qui
laisse coi presque sans voix la diplomatie algérienne accusant le coup, ne
sachant par quel bout prendre le Maroc trop sûr de lui se dirigeant vers la
plénitude au sein de l’UA. Et ce, en préparation de conditions requises pour
mettre dehors la soi-disant RASD, parce que l’UA ne sera plus le lieu de rendez-vous
prédictifs des turbulences et perfidies à l’encontre des pays africains. Au
contraire, dorénavant, elle sera cet espace de rencontre des chercheurs d’industriels
d’investisseurs pour le façonnage de la nouvelle Afrique dynamique libre et
rayonnante.
Désormais, et il
faut le dire avec fierté, toutes les chancelleries à travers le monde ont
montré une grande reconnaissance à la sagesse du Roi du Maroc ayant pris la
décision juste, murement réfléchie, de retrouver son siège parmi ses pairs au
sein de l’UA. D’ailleurs, ne peut-on confirmer que cette initiative royale
permettra d’envisager l’avenir de l’UA avec espoir, car elle contribue de fait à
la promotion de la participation marocaine massive anti terrorisme, par
ailleurs très appréciée par les journalistes spécialistes et chercheurs surtout
africains. Néanmoins, pourquoi les sites non officiels qui traitent de sujets
politiques au Maroc, ont-ils connu une grande affluence et un engouement sans
précédent d’éminents visiteurs de par le monde par suite à la publication de la
lettre royale historique ? Et, qui ont manifesté leur souhait de se mettre
à la disposition d’accompagner le Maroc par leurs idées dans ce beau challenge.
A bon suiveur bonne lecture !
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