LA DIPLOMATIE OBSTRUCTIVE ALGÉRIENNE N’EST-ELLE L’EXPRESSION
DE LA SINISTROSE QUE VIT LE POUVOIR A KSAR LAMRADIA D’ALGER ?
Maintenant l’on
peut dire ni Benkirane et ses ‘’feloul’’, ni Elomari et ses ‘’shogoun’’, ni Chabat
et ses pirates et encore moins les autres et leurs protégés n’ont pu mettre la
diplomatie obstructive algérienne en difficulté. Même sachant qu’elle ne se
caractérise que par l’outrance et l’offense, qu’effectivement ne l’ont amenée
des années durant qu’à la sinistrose provoquant altération voire carrément destruction
du tissu relationnel entre pays du Grand Maghreb. Tellement qu’aujourd’hui,
seule la vision politique socio-économique cultuelle écologique et sécuritaire multidirectionnelle du Roi Mohamed VI que partage en ON et sans réserve des Sommités comme Mme Hillary Clinton, a fait pencher la balance du coté du Maroc à la lumière de l’espoir suscité dans toute l’Afrique tendant vers la modernité. Fini
donc le mythe snobinard du pouvoir algérien, qu’en ce temps présent il est
montré au monde entier seulement ravageur des rangs au sein de l’UA. Dont
spécifiquement sa conduite rageuse onéreuse et hasardeuse anti Maroc, en est la
cause principale de toutes ses défaites sociales économiques culturelles et écologiques. S’ajoutant à ses déboires financiers en concomitance à sa bérézina diplomatique de par son daltonisme-polisarionisme
infondé ne collant aucunement avec l’ère du temps, ni dans la vision ni dans la
stratégie à penser sur le long terme.
Au fond de l’avis
de tous les observateurs, n’est-ce par l’assurance mesurée parfaitement murie
que Sa Majesté le Roi usant d’intelligence et pragmatisme, qu’il a permis au
Maroc d’exercer son influence pour retrouver son siège à l’UA ? D’autant plus,
il a fait montre auprès de ses amis que lui aussi comme eux, il ne veuille que
le divorce avec l’UA ne continue alors que dans plus de trois pays sur quatre il
n’y a plus de reconnaissance de la soi-disant RASD. Ni même désir de la
supporter davantage si ce n’est seulement une volonté de tous ces pays
africains de la mettre dans l’antichambre de glaciation en guise de s’en
débarrasser ultérieurement. N’y a-t-il là l’expression d’une attache
intellectuelle et spirituelle de ces pays à la personne du Roi du Maroc ?
Qu’au demeurant a changé le cours de l’histoire Maroc-UA, dont la lettre royale adressée à la présidence du Sommet de l'UA de Kigali ce mois courant, en évoque les choix politiques d’où en découlent les raisons positivement non
conflictuelles de ce retour. Ce qui montre le Maroc prendre ses responsabilités
et donc témoigner d’un grand réalisme, que par ailleurs partagent à l’international
beaucoup de pays avec lui.
Ce faisant, devant
ce constat criard, pourquoi la diplomatie algérienne aux abois, entame-t-elle
encore un autre cycle de collecte de soutien à la RASD même en dehors de l’UA ?
N’est-ce bien sûr, afin de pérenniser ces projets et en lancer ses
malveillances et sournoiseries dans les recoins et structures des organisations
internationales ? Sans s’en soucier des dernières évolutions sur les
positionnements de beaucoup de pays africains au 27-ième Sommet de Kigali au
Rwanda, d’où il n’est plus un secret qu’il s’agisse d’un désir premier de
ratatiner jusqu’à la nécrose ce protoplasme greffé illégalement en 1984 sous
l’OUA d’alors. Puis d’un second sur la même lancée, dans le but de préparer son
expulsion aisée en mettant la diplomatie algérienne en difficulté et hors état
de nuire. Parce que si l’on se replace dans les conditions désastreuses du contexte
algérien actuel, on n’en observera que le FLN comme d’autres partis ne sont
plus intransigeants que les vieux généraux de l’armée. En cela la tromperie algérienne
qui n’a que trop duré, n’est-elle en passe de devenir une impression d’ambition
d’avoir voulu faire plier le Maroc sans avoir la légitimité ?
Déjà que
maintenant la diplomatie obstructive algérienne ne peut se redonner plus de
dynamisme dans l’UA du fait qu’on lui a coupé l’herbe sous ses pieds, de par la
nouvelle architecture des prérogatives et compétences qui se profilent dans le
respect du droit international. Et qu’en plus, pour éviter dans le futur toute
complication juridictionnelle que les renégats loueurs de leurs plumes,
essayent de soutenir sans fondement par rancune et surtout légèreté
d’assimilation de la réalité sur le terrain. Oui, combien de fois faut-il le rappeler qu'ils continuent à tromper les observateurs par des analyses tirées par les cheveux concernant la date de l'avènement de l'UA qui n'est que le prolongement de l'OUA. Croyant que comme ça, ils vont perturber les analyses faites par des spécialistes chevronnés qui ne considèrent aucunement la RASD un élément fondateur de l'UA. Car, en définitive ces vendeurs de leur âme même ayant l'air de ne posséder de légitimité, ils écrivent et disent des bêtises sans en rougir de honte pour mettre en avant la nécessité de rétrocontrôle sur les décisions de l'UA seulement
par la commission africaine. Particulièrement, dans la prise en charge des
litiges concernant les recouvrements des souverainetés des Etats, n’en sachant
qu’ainsi au lieu de se tenir éloignés parce que conditionnés ils attentent à l’histoire
et à la mémoire du Maroc leur pays d’origine.
D’ailleurs,
tenez-le pour dit, c’est parce que vu de cet angle que l’Algérie boutaflikienne
n’aurait jamais au grand jamais cette chancellerie dynamique team leader des pays africains à haute valeur ajoutée. Dont la
mission est normalement de développer la construction de vraies relations économiques
et diplomatiques entre pays et d’appuyer les activités génératrices de liens forts
en faveur de la paix. Voilà pourquoi la diplomatie algérienne s’est-elle fixé comme
objectif les pays dont elle avait déjà effacé la dette, les ciblant pour qu’ils
reviennent sur leur décision en tant que cosignataires de ce qui est désormais
appelé la motion des 28. Au sens où, n’est-ce pas plus elle veut effacer les
empreintes de ses clichés à l’égard du Maroc, plus elle s’enfonce dans les
préjugés qui collent à son déterminisme acquis, et ce depuis la guerre des
sables 1963 ? Ainsi l’important c’est l’apothéose de la diplomatie du Roi du
Maroc, et non la sclérose du pouvoir algérien dont il ne faudrait aucunement se
cacher pour l’affirmer selon l’adage ‘’arroseur arrosé’’. Tellement qu’à
l’évidence, le Maroc et ses amis nouveaux et anciens, s’en sont forgés une
nouvelle conception pour l’image moderniste de l’UA, et ce, loin des règlements
de comptes d’un temps révolu et sans laisser de place ni aux menaces ni à la corruption
qu’elle soit active ou passive. A bon entendeur salut !
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