samedi 23 juillet 2016

L’IMPORTANT C’EST L'APOTHÉOSE DE LA DIPLOMATIE DU ROI DU MAROC.

LA DIPLOMATIE OBSTRUCTIVE ALGÉRIENNE N’EST-ELLE L’EXPRESSION DE LA SINISTROSE QUE VIT LE POUVOIR A KSAR LAMRADIA D’ALGER  ?

       Maintenant l’on peut dire ni Benkirane et ses ‘’feloul’’, ni Elomari et ses ‘’shogoun’’, ni Chabat et ses pirates et encore moins les autres et leurs protégés n’ont pu mettre la diplomatie obstructive algérienne en difficulté. Même sachant qu’elle ne se caractérise que par l’outrance et l’offense, qu’effectivement ne l’ont amenée des années durant qu’à la sinistrose provoquant altération voire carrément destruction du tissu relationnel entre pays du Grand Maghreb. Tellement qu’aujourd’hui, seule la vision politique socio-économique cultuelle écologique et sécuritaire multidirectionnelle du Roi Mohamed VI que partage en ON et sans réserve des Sommités comme Mme Hillary Clinton, a fait pencher la balance du coté du Maroc à la lumière de l’espoir suscité dans toute l’Afrique tendant vers la modernité. Fini donc le mythe snobinard du pouvoir algérien, qu’en ce temps présent il est montré au monde entier seulement ravageur des rangs au sein de l’UA. Dont spécifiquement sa conduite rageuse onéreuse et hasardeuse anti Maroc, en est la cause principale de toutes ses défaites sociales économiques culturelles et écologiques. S’ajoutant à ses déboires financiers en concomitance à sa bérézina diplomatique de par son daltonisme-polisarionisme infondé ne collant aucunement avec l’ère du temps, ni dans la vision ni dans la stratégie à penser sur le long terme.

       Au fond de l’avis de tous les observateurs, n’est-ce par l’assurance mesurée parfaitement murie que Sa Majesté le Roi usant d’intelligence et pragmatisme, qu’il a permis au Maroc d’exercer son influence pour retrouver son siège à l’UA ? D’autant plus, il a fait montre auprès de ses amis que lui aussi comme eux, il ne veuille que le divorce avec l’UA ne continue alors que dans plus de trois pays sur quatre il n’y a plus de reconnaissance de la soi-disant RASD. Ni même désir de la supporter davantage si ce n’est seulement une volonté de tous ces pays africains de la mettre dans l’antichambre de glaciation en guise de s’en débarrasser ultérieurement. N’y a-t-il là l’expression d’une attache intellectuelle et spirituelle de ces pays à la personne du Roi du Maroc ? Qu’au demeurant a changé le cours de l’histoire Maroc-UA, dont la lettre royale adressée à la présidence du Sommet de l'UA de Kigali ce mois courant, en évoque les choix politiques d’où en découlent les raisons positivement non conflictuelles de ce retour. Ce qui montre le Maroc prendre ses responsabilités et donc témoigner d’un grand réalisme, que par ailleurs partagent à l’international beaucoup de pays avec lui.

       Ce faisant, devant ce constat criard, pourquoi la diplomatie algérienne aux abois, entame-t-elle encore un autre cycle de collecte de soutien à la RASD même en dehors de l’UA ? N’est-ce bien sûr, afin de pérenniser ces projets et en lancer ses malveillances et sournoiseries dans les recoins et structures des organisations internationales ? Sans s’en soucier des dernières évolutions sur les positionnements de beaucoup de pays africains au 27-ième Sommet de Kigali au Rwanda, d’où il n’est plus un secret qu’il s’agisse d’un désir premier de ratatiner jusqu’à la nécrose ce protoplasme greffé illégalement en 1984 sous l’OUA d’alors. Puis d’un second sur la même lancée, dans le but de préparer son expulsion aisée en mettant la diplomatie algérienne en difficulté et hors état de nuire. Parce que si l’on se replace dans les conditions désastreuses du contexte algérien actuel, on n’en observera que le FLN comme d’autres partis ne sont plus intransigeants que les vieux généraux de l’armée. En cela la tromperie algérienne qui n’a que trop duré, n’est-elle en passe de devenir une impression d’ambition d’avoir voulu faire plier le Maroc sans avoir la légitimité ?

       Déjà que maintenant la diplomatie obstructive algérienne ne peut se redonner plus de dynamisme dans l’UA du fait qu’on lui a coupé l’herbe sous ses pieds, de par la nouvelle architecture des prérogatives et compétences qui se profilent dans le respect du droit international. Et qu’en plus, pour éviter dans le futur toute complication juridictionnelle que les renégats loueurs de leurs plumes, essayent de soutenir sans fondement par rancune et surtout légèreté d’assimilation de la réalité sur le terrain. Oui, combien de fois faut-il le rappeler qu'ils continuent à tromper les observateurs par des analyses tirées par les cheveux concernant la date de l'avènement de l'UA qui n'est que le prolongement de l'OUA. Croyant que comme ça, ils vont perturber les analyses faites par des spécialistes chevronnés qui ne considèrent aucunement la RASD un élément fondateur de l'UA. Car, en définitive ces vendeurs de leur âme même ayant l'air de ne posséder de légitimité, ils écrivent et disent des bêtises sans en rougir de honte pour mettre en avant la nécessité de rétrocontrôle sur les décisions de l'UA seulement par la commission africaine. Particulièrement, dans la prise en charge des litiges concernant les recouvrements des souverainetés des Etats, n’en sachant qu’ainsi au lieu de se tenir éloignés parce que conditionnés ils attentent à l’histoire et à la mémoire du Maroc leur pays d’origine.


       D’ailleurs, tenez-le pour dit, c’est parce que vu de cet angle que l’Algérie boutaflikienne n’aurait jamais au grand jamais cette chancellerie dynamique team leader des  pays africains à haute valeur ajoutée. Dont la mission est normalement de développer la construction de vraies relations économiques et diplomatiques entre pays et d’appuyer les activités génératrices de liens forts en faveur de la paix. Voilà pourquoi la diplomatie algérienne s’est-elle fixé comme objectif les pays dont elle avait déjà effacé la dette, les ciblant pour qu’ils reviennent sur leur décision en tant que cosignataires de ce qui est désormais appelé la motion des 28. Au sens où, n’est-ce pas plus elle veut effacer les empreintes de ses clichés à l’égard du Maroc, plus elle s’enfonce dans les préjugés qui collent à son déterminisme acquis, et ce depuis la guerre des sables 1963 ? Ainsi l’important c’est l’apothéose de la diplomatie du Roi du Maroc, et non la sclérose du pouvoir algérien dont il ne faudrait aucunement se cacher pour l’affirmer selon l’adage ‘’arroseur arrosé’’. Tellement qu’à l’évidence, le Maroc et ses amis nouveaux et anciens, s’en sont forgés une nouvelle conception pour l’image moderniste de l’UA, et ce, loin des règlements de comptes d’un temps révolu et sans laisser de place ni aux menaces ni à la corruption qu’elle soit active ou passive. A bon entendeur salut !

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