lundi 12 novembre 2018

LA CÉRÉMONIE DU CENTENAIRE DE L'ARMISTICE, N'A-T-ELLE RÉVÉLÉ AU MONDE LA PLACE QU'OCCUPE LE ROI MOHAMED VI A L'INTERNATIONAL ?

LA SYMBOLIQUE DU CENTENAIRE DE L'ARMISTICE 14-18 A PARIS, EST AUSSI UNE VÉRITABLE CONSÉCRATION DU ROI DU MAROC TOUS AZIMUTS SUR LE PLAN GÉOPOLITIQUE ET GÉOSTRATÉGIQUE.

       Maintenant, le monde entier sait que l'image du Roi Mohamed VI à l'international obsède le pouvoir algérien. En effet, bien souvent, la communauté internationale en prend acte, dans les FRSA (Forums Rencontres Symposiums et Assemblées). N'est-ce, ce que tout un chacun a vu et observé lors de la cérémonie du Centenaire de l'armistice à Paris le 11 novembre 2018, en présence de soixante quatorze chefs d’États et de gouvernements ? D'ailleurs, c'est très juste et fort bien expliqué ici et là sur le Net et les réseaux sociaux, à propos du regard de réplique jalouse du premier ministre algérien Ouyahia sur le salut chaleureux de Ronald Trump au Roi du Maroc et au Prince Héritier. N'est-ce un malheur encore plus grand pour ce premier ministre algérien, de ne pouvoir le dissimuler ? Même si, des observateurs de la mimique et gestuelle politique en confirment que ça ne lui déplairait pas d’être, lui aussi, sous l'influence et le charme du Souverain, si c'est pour son bien électoral. S'ajoutant à la place parmi les grands de ce monde qu'occupe le Souverain, en ayant le courage et l’honnêteté de regarder le pragmatisme et le réalisme du Conseil de Sécurité de l'ONU par l'adoption de la Résolution 2440. Autrement, dès lors que Donald Trump est maintenant convaincu de la solidité des raisonnements du Roi sur de nombreux sujets emblématiques du moment, n'est-ce ce qui montre qu'au Maroc on a horreur des faveurs qui donnent sensation de dépendance à autrui. En cela, pour tous les marocains patriotes, c'est un plaisir d'aider ceux qui ne savent pas encore les reconnaitre, car ayant plutôt l'air renfrogné.

       Pourtant, n'est-t-il facile de lire dans la pensée du président américain, une appréciation positive sur le positionnement du Souverain vis-à-vis du terrorisme des migrations et des problèmes du développement gagnant-gagnant. D'où, apparemment, il n'est pas prêt à accorder de faveur aux noblaillons civils et militaires algériens qui se cachent derrière leurs médias proférant qu'allégations et mensonges envers le voisin de l'ouest. Parce que pour lui, sanctuariser le Maghreb passe par des États forts dans leur lutte anti terroriste et dans leur obsession de se protéger des risques des frontières poreuses devant les migrations, les trafics de drogue d'armes et la traites des hommes et femmes. Notamment, après la cinglante leçon du Roi du Maroc lors du discours du 06 novembre 2018, pour ne plus insulter l'avenir de la construction du Maghreb cimentée par les liens de fraternité entre Rabat-Alger. En l'occurrence, par l'art de savoir comment saisir ce moment opportun ouvert à la coopération évolutive et normative des choix en commun. Et ce, des chantiers pouvant porter le sceau et/où le cachet de la sensation de vivre ensemble dans le même espace paisible et tranquille. N'est-ce, comme ça, institutionnellement, la relation diplomatique de grande cohésion dans les approches tous azimuts entre le Maroc et l'Algérie, paraitra loin des murmures de la défiance, de la méfiance et de la dé-confiance ? Et, donc, conséquemment sera si captivante pour l'investissement inclusif via ces chantiers, quels soient commerciaux agricoles industriels culturels diplomatiques et sécuritaires. Et pourquoi pas, sur la transition énergétique avec impact sur les décisions écologiques de part et d'autre, tout en veillant à ce que l'essor socioéconomique soit perceptible dès les premières années, . 

       Mais pourquoi l'Algérie, à ce jour, a du mal à reconnaitre ses torts en continuant à chercher des manœuvres politiciennes à ses propres incuries, allant jusqu'à considérer la main tendue du Roi Mohamed VI, un non évènement ? Dont, le menteur Messahel en est l'artisan, persuadé en ayant lancé un refus par médias interposés qu'il affaiblirait le cercle de l'influence royale hors norme. Ce qui semble faire l'inventaire de tout ce que cet enragé aboyeur porte comme animosité au Maroc, à même de s’emprisonner dans ses rêveries. Alors que Horst Kohler l'ait notée, continuant avec calme ses préparatifs de la table ronde 05-06 décembre 2018 à Genève. A vrai dire, l'Algérie hoche la tête, paraissant déconcertée par la pertinence du ton et de la temporalité du dernier discours du Roi du Maroc, parce qu'elle n'arrive à en supporter l'excellence de l'explication. Comme quoi, elle n'est pas lucide, toujours renfermée dans la logique des idées de l'ancien monde par le continuum de l'intrigue sur le Sahara marocain. Dont, elle ne sait que c'est une imbécilité de songer à se consoler ainsi, par crainte de se retrouver en larmes à l'instar d'une mère à qui l'on annonce que son enfant n'a plus de jambes. Quelle amère déception pour elle qui cherche toujours et uniquement à mettre à tort, la charrue avant les bœufs dans l'affaire du Sahara marocain par ses bavardages et ingérences sans le reconnaitre ? Est-ce que, avec tout ce fil d'actualités, l'on est pas à deux doigts de la voir face à ses propres contradictions se conjuguant ses idées irrationnelles, ses difficultés et leurs diverses complications territoriales au vu de ses évaluations erronées du contexte international. A bon suiveur, bonne lecture !

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