vendredi 1 juin 2018

N'EST-IL TEMPS DE METTRE FIN AUX COÏNCIDENCES DU ''GAUCHOISME'' ET ''ISLAMOISME'' VIS-A-VIS DU BOYCOTT ?

SI LE BOYCOTT PERDURE VOIRE S'INTENSIFIE, CERTAINEMENT ON AURA A RESSENTIR LE TEMPS POLITIQUE SANCTIONNER LES INCOMPÉTENCES DES UNS ET LES FOURBERIES DES AUTRES, POUR SORTIR LE PAYS DU DOUBLE PARRAINAGE DE ''L'ISLAMOISME'' PERFIDE ET DU ''GAUCHOISME'' BÊBÊTE.

       Quelle que soit la lecture politique que l'on peut faire du boycott, personne ne peut nier l'inquiétude qui s'enfle sur la géostratégie de défense des intérêts du Maroc dans la mondialisation. En effet, qu'on se le dise, son offensive économique suivie à ce jour, est une guerre commerciale remportée via les partenariats gagnants-gagnants qu'il contracte ici et là pour avoir une place dans ce concert du libéralisme ? Aussi, on doit le mentionner sans gêne, si le boycott est une décision justifiée et justifiable mais dangereuse, son choc aura permis de se focaliser sur les scénarios politiques pour éviter l'enlisement. Et donc, pour se faire à l'idée de ce mode d'expression, pas de naïveté sur l'approche oscillatoire du gouvernement et pas de naïveté sur le pari lancé des tireurs des ficelles toujours fourrés derrière le clavier en essayant de lier sournoisement les idées fatales à l'économie du pays. N'est-ce pas c'est effroyable de les voir s'agiter de la sorte, en plus participant à l'élaboration de ce stratagème de mise à feu du pays ? Du reste, que l'on soit d'accord ou pas, c'est la première fois qu'ils affichent une réelle implantation dans les réseaux sociaux, démontant en même temps l'autisme du gouvernement et la grande confiance en lui. Et d'où, les observateurs avertis trouvent le bilan gouvernemental pour contenir ce machiavélisme, maigre et décevant. Sans doute à cause de l'esprit hautain de quelques membres que tôt ou tard il va falloir les faire débarquer. Encore heureux, grâce à Dieu, rien de fondamental ne les distingue dans la coalition mais seulement les chavire dans le mépris du peuple, bien loin de la bonne foi.

       En effet, quand on scrute les commentaires, vidéos et autres audios sur le boycott, on a la certitude que la diablerie qui s'y greffe pousse à nous haïr les uns les autres ? Surtout, ceux venant des vendeurs de leurs âmes à l’Étranger, tantôt par les partages des mensonges et contrevérités pour se venger et détruire l'économie du pays, tantot par l'esquive de la réalité et la place du Maroc à l'international pour des fins faciles à deviner. D'ailleurs, on ne soupçonne pas la somme d'avanies qu'ils pensent avoir en réserve, pour continuer à attaquer vilipender voire humilier ceux qui leur tiennent tête. Évidemment, à cet égard, non seulement le plus important c'est la consolidation de l’intégrité territoriale la cohésion sociale et le progrès par la démocratie dans la paix et la sécurité, mais d'en tirer un bilan en faveur de la gouvernance qui pourra s'accompagner de l'idéal social solidaire. Autrement dit, même si le boycott est légitime, il ne faut pas céder à l'ingérence des ennemis, des lobbys et autres manipulateurs professionnels qui montrent une ambition de déstabilisation par le marché de la non convenance. Et c'est là où il faut savoir qu'il y a quelque chose d'immoral dans le boycott, quelque chose qui exclut ou qui freine, ne prenant compte des efforts consentis pour la modernité de l'économie du pays. Dont, des lobbys anti Maroc s’émissent car ils se considèrent avec prétention-indiscrétion et manque de tact politico-diplomatique, des entités supérieures par interjection. Ne sachant, en vérité, qu'ils ne sont que des templiers de la discorde se résignant à la médiocrité du pouvoir Boutaflika pour se prouver qu'ils sont encore très actifs au sein de l'UA de l'UE et de l'ONU. Oui, l'on peut confirmer qu'ils sont plus proches des grandes malhonnêtetés qui jalonnent toute l'histoire des gens de ce pouvoir, comme des forçats fourbus attachés aux norias idéologiques d'un temps révolu. 

       C'est vrai, la seule solution pour sortir de ce marasme c'est de répondre d'urgence aux attentes du peuple qui, lui, se met déjà à répéter que le boycott est un évènement digne des grands mouvements que le Maroc ait connu. N'est-ce, ce qui montre que les marocains ont changé et qu'il ne sont plus ceux d'il y a six ans au moment du printemps arabe ? Tellement, aujourd'hui, la majorité voit le cœur battant le boycott se jouer entre frustration et mal-compensation, par le double parrainage de ''l'islamoisme'' perfide et le ''gauchoisme'' bêbête. Par rapport à la pensée de la gloire perenne du Maroc, que les ennemis, hélas, n'acceptent toujours pas de par le style le ton de leurs critiques en majorité négatives. N'est-ce, ce qui prouve que l'Algérie ne se contente plus seulement de représenter le conglomérat résiduel des quelques pays ennemis du Maroc à l'UA, mais pousse vers la transformation des institutions au Maroc en dépôts de malentendus si ce n'est carrémment d'insultes. En effet, par son ingérence ne cherche-t-elle à lui porter le coup de grâce, dont l'intention ne vaut pas que l'atteinte à son intégrité territoriale mais aussi l'acte de déstabilisation des pays limitrophes de toute la région ? N'est-ce là, l'une des bizarreries du pouvoir Boutaflika qui, tente d'impacter les d’États maghrébins et du G5 Sahel pour en faire des contes  d'assoiffés de culture anti Algérie ? Bref, d'une manière générale, tout ce que la communauté internationale déteste et n'accepte plus entendre ni voir, surtout sur le Maroc disposant de beaucoup d'atouts dans l’échelle des cotations à l'ONU. Mais pourquoi l'Algérie ne sait-elle que son affolement n'arrivera jamais à donner à ses perfidies l'ondulation voire l’écho, et que si elle ne s’arrête pas ça va finir mal pour elle. Parce que les Nations-Unies, elles, sont convaincues des règles et standards qu'appliquent le Maroc dans sa perspective en tant qu’État respecté. En plus, donnant à sa conception irréprochable de bon voisinage, une portée politique qui va au-delà de la dimension régionale africaine. A bon entendeur, salut !

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