mardi 25 décembre 2018

POURQUOI, L'ATTITUDE DU MAROC DANS SA LUTTE ANTI TERRORISME NE VA PAS DÉTENDRE LES SERVICES DE RENSEIGNEMENTS ALGÉRIENS ?

LA ENCORE, LE MAROC EST CALME ET NE VEUT PAS LEUR BRISER L’ÂME PAR TANT DE SÉVÉRITÉ SUR LEURS DENIS DE FEU ET DE SANG PENDANT LA DÉCENNIE NOIRE 1990-1999 !

       Que faut-il attendre de l'équipe Boutaflika qui a lâché des enragés journaleux sous sa botte, pour narguer le Maroc par suite à l'acte terroriste barbare d'Imlil ? A-t-elle oublié le comportement exemplaire de ce voisin de l'ouest pendant sa décennie noire des années 90 du siècle dernier et/où le sang coulait à flot partout sur son sol ? Cela, indique sans ambages qu'elle brule d'envie d'attiser les différends Rabat-Alger, par cette volonté à heurter plus les marocains après ce drame inqualifiable. Mais pourquoi ces quelques médias qui gravitent autour de ce pouvoir haineux, se sont-ils remis à éditer des articles mensongers violents voire nauséabonds ? Que désirent-ils par cette réactivité journalistique de basse besogne ? N'est-ce, tout simplement pour saper la démarche de la main tendue du Roi Mohamed VI envers l'Algérie et aussi pour continuer à divaguer comme quoi les marocains sont dans une cage enfumée où le désordre règne en maitre ? D'ailleurs, on en doute pas qu'ils veuillent en rester là, étant décrédibilisés après avoir préparé ce règlement de compte pernicieux à beaucoup d'égards. L'ayant fait, primo pour créer le doute dans les petites têtes naïves et résignées et secundo pour salir la réputation de la DGST-BCIJ et donc assombrir l'image du Royaume.  Parce qu'ils n'ont pas le courage de s'arracher à l'angoisse et à la rancune qui leur tenaillent le cœur, même avec les turpitudes et manigances de John Bolton.  

       En tous cas, jamais, ils n'en sortiront indemnes de cette triangulation hystérique de leurs messages, en y faisant à allusion à lui, au Polisario et à la fondation Kerry Kennedy. Néanmoins, n'est-ce pour cela le Maroc est dégouté et ne veut plus gâter à force d'indulgence ce pouvoir indécemment jaloux qui, désespérément, appelle John Bolton et ses lobbys à la rescousse ? Tellement, aujourd'hui, il parait enfermé dans le secret de ses calculs politiques, car rongé par l’ambiguïté de l'algorithme de recherche pour faire plaisir aux ennemis du Maroc. Finalement, que de tourments pour ce pouvoir en mal d'inspiration ! Même les souvenirs de lutte commune anticoloniale avec le Maroc le font fuir ne se rendant même pas compte qu'il lui doit respect. Et que seul le caractère de son coté égoïste lui évoque cette période par la diffraction des images qu'il veut que le peuple algérien garde. Pourtant, de cette perniciosité de raisonnement, on ne peut pas dire que le rire des observateurs et historiens le voyant dans le déni ne le secouent pas.  En effet, il s'agit d'une crise de nerfs dont on peut dire, y' aura-t-il d'autres prédictions-conneries de leur part sur la Sécurité au Sahara marocain qui montreront le degré de leur aliénation ? Dès lors que le DEA a exhibé un rapport sur le Maghreb où chaque pays fut soigneusement évalué en matière de sécurité, montrant le Maroc sortir haut la main du lot, respectant l'engagement de lutte anti terrorisme qu'il s'était imposé de Tanger à Lagouira. 

       Après tout, rien que pour ça, le Maroc est en droit de se sentir déçu par l'attitude de John Bolton qui est sous l’emprise du pouvoir militariste algérien. Mais pourquoi, quand des congres-mans américains disent à l'administration Trump qu'elle soit du coté du Maroc dans son Sahara, les coupables lancent leurs piques comme des varans à son égard ? A l'évidence, c'est parce qu'ils sentent que le grand jour est arrivé de défaire le Polisario, quitte à ce que les FAR s'en occupent pour de bon de ses incursions en zone Tampon. Voilà pourquoi l'Algérie dans sa tentative border-Line des pourparlers de Genève, essaye par des artifices diplomatiques faisant partie des perspectives lugubres de John Bolton, de le faire échapper des tenailles des Résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU. En réalité, tout le monde sait que ce manège sous l'autorité de ce bonhomme, conseiller de son état à Sécurité à la Maison Blanche, ne durera pas.  Ce à quoi, dans le fond et dans la forme, le Maroc, lui, restera impassible sagement calme, sans aller jusqu'à briser l’âme de ce pouvoir par tant de vérités sur tous ses dénis. En restant sur les seuils des non dits à propos de la stabilité relative de l'Algérie et son interventionnisme financier dans beaucoup de pays, surtout en Amérique Latine au Moyen Orient et en Afrique. A bon entendeur, salut !

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