dimanche 29 janvier 2017

CA Y EST, MAROC-UNION AFRICAINE TOUT EST BIEN QUI FINIT BIEN !

AU VU QUE LA SURENCHÈRE ALGER-PRETORIA A MONTRÉ SES LIMITES AU SOMMET D'ADDIS-ABEBA 30-31 JANVIER 2017, VOILA POURQUOI L'ON PEUT DIRE DÉSORMAIS LES ACTES DE L'UA S'INSCRIVENT DANS L'ARGUMENTAIRE DU MAROC.

       Alors, maintenant avant l'élection imminente du remplaçant de Nkosazana Dlamini à la tête de la Commission de l'UA, qu'est-ce qui reste de celle-ci si ce n'est l'incompréhension de la violence de ses allégations anti Maroc ? En plus du foutoir provoqué dans les couloirs du siège à Addis-Abeba, par l'application de la politique de faire plaisir à des perturbateurs politiciens pendant cinq ans. Notamment par des diversions, en ce qui concerne l'attirance à l'épreuve des défis des pays longtemps restés réticents au droit et à la légitimité, voulant aujourd'hui entrer dans un plan complet de réforme de gouvernance à l'UA préconisé par le rapport des sages autour du Président rwandais Paul Kagamé. Qu'effectivement, il va dans le sens d'éviter le risque du chaos par la surenchère et les mensonges de l'Algérie et ses soutiens concernant l'affaire du Sahara marocain, dont on a la certitude de n'aboutir par la garantie de la nouvelle UA qu'à la revanche du Maroc qui surgit de la marche de l'Histoire. Aussi, visiblement, à l'UA la sortie de cette tension ne s'est faite que contre demande n'ayant pas dispensé le Roi du Maroc d'un passage en Ethiopie pour intervenir à ce Sommet d'Addis-Abeba. 

       A cet égard, cette situation ne doit-elle mener à un dédoublement des efforts de la future Commission pour apporter des réponses à des questions qui restent encore sans réponses, par suite du manque de considération de la présidente sortante au Maroc n'en sachant que la Commission n'est nullement sa propriété. Par exemple, quels sont les remèdes qui la feront fonctionner le mieux et comment peut-elle les valider savamment avec dignité sans ambiguïté au niveau des autres instances de l'UA ? Quels méthodes du savoir-faire et outils de préparations relatives à la bonne gouvernance faut-il utiliser sans aucune uniformisation ni standardisation des approches ? Comment favoriser la collaboration et le respect des délégués-collaborateurs du futur (e) élu (e) entre les sortants et les entrants, pour identifier les retards, répertorier leurs causes et documenter les solutions qui seront prises ? Bien sûr, à  l'issu de quoi, le marché d'avenir avec le Maroc qui s'est arrêté il y a plus de 32 ans ne pourrait que se réactiver davantage, sachant que des liens anciens l'ont inlassablement entretenu pour le retour en force aujourd'hui face à tous les scepticismes. D'ailleurs, n'est-ce pour cela que les peuples d'Afrique surtout la société civile sont en colère contre l'Afrique du Sud qui a raté, du moins en partie, comment régler l'injustice faite au Maroc à Nairobi 1984 ? 

    En fait, en vérité c'est la Commission qui doit contrôler l'Afrique du Sud et non le contraire à propos de sa philosophie de ne provoquer que zizanie et mésentente au sein de l'UA. Parce que, le Maroc n'a fait que suivre le profil de son histoire en guise de son retour à l'UA avec détermination, pour gain de sa cause au-delà des essais d'intensification des efforts de beaucoup de pays comme le Nigéria la Tanzanie l'Ethiopie et d'autres pour une meilleure Afrique. Néanmoins, suivant les recommandations pour le moins décriées de l'Algérie en ballottage informationnel, dont ce qui frappe à l'esprit c'est ses propositions de promouvoir le déséquilibre sur des égoïsmes idéologiques d'un autre temps pour relancer le doute sur cet avenir africain. Un non compliment de sa part vis-à-vis de l'UA qui n'en vaut pas un autre de ses étalages de contrevérités par correspondance via l'Afrique du Sud usant de la contre offensive de ses supports médiatiques. Parce que, vu de par le monde, elle passe pour un pays xénophobe menant une politique de manipulation et de rupture avec l'un des fondateurs de l'OUA, en l'occurrence le Maroc, en usant de mesures politiciennes in-discriminées de fermeture des portes de l'UA à son égard.

       Oui, maintenant l'on peut confirmer c'est la lune de miel qui s'annonce entre Maroc-UA, vu que désormais l'argumentaire d'un coté s'inscrit dans les actes de l'autre. Et, aussi parce qu'au cours de la séance plénière du Sommet, tous les chefs d'Etats africains auront à constater une vision commune dans la gestion des intérêts et objectifs de l'avenir de l'Afrique de la part du Roi Mohamed VI. D'autant plus, la synthèse à partir des données fournies par les délégués permanents de plus de 40 pays africains 28-29 Janvier en faveur du retour du Maroc, montre qu'il y eut des débats informatifs très poussés en matière du savoir-faire du Maroc. Par ailleurs, la plupart des analyses des observateurs avertis sont centrées sur les travaux des chefs d'Etats qui vont porter sur l’élection du futur(e) président(e) de la Commission, sur la problématique sécuritaire du Soudan du Sud, sur les financements et modalités de fonctionnement des forces d'intervention et maintien de paix sous la coupe de l'UA et sur l'indispensable et nécessaire retour du Maroc. Aussi, l'exercice illégal de la méticulosité décourageante de Madame Nkosazana Dlamini pour servir la propagande anti Maroc, n'est-elle une usurpation presque délictuelle au moins sur un point, celui de ne préserver l'évolution de gouvernance de prendre racine ? Du fait du non respect de la charte de l'UA, d'où la sanction morale décidée par le Président du Sommet le tchadien Idriss Déby Etno qui la frappe au vu de son manquement au devoir de réserve. Lequel, par ailleurs, n'a-t-il lancé une invitation au Roi du Maroc, car n'acceptant plus de la laisser continuer dans son jeu trop politicien méchant et cruel anti Maroc, au demeurant hors du cadre la légitimité temporelle et de la légalité effective ? A bon entendeur, salut !

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