mercredi 25 janvier 2017

FINI LE CRYPTAGE DE L'AFFAIRE DU SAHARA MAROCAIN A L'UA, PAR LA GIROUETTE NCOSAZANA DLAMINI FORMATEE AUX INTRIGUES ET DIVERSIONS A L'OBAMA !

N'EST-CE LA OU L'ON VOIT QU'ELLE EST TERRIFIÉE DE L'ISOLEMENT PAR SUITE DE LA COURSE OUVERTE A LA PRÉSIDENCE DE LA COMMISSION POUR LA REMPLACER MÊME S'IL YA DES POSTULANTS DE SA TREMPE ?

       Avec la fin du bail à la tête de la Commission de l'UA, la marge de manœuvre de Madame Ncosazana Dlamini n'est plus. D'autant qu'elle n'a même pas la possibilité de se mettre en convention dans le cadre de la future Commission, d’être partie prenante de la réforme que préconise le Comité des sages et experts autour du Président rwandais Paul Kagamé. Toujours est-il, n'est-ce pas interessant de voir ces spécialistes mettre à la disposition du Sommet 30-31 Janvier 2017 à Addis-Abeba, un nouveau code-mode de gouvernance au sein de l'UA ? Dont on espère qu'il aura un impact positif sur la gestion du dossier du Sahara marocain après l'actassions solennelle officielle du retour du Maroc serein et déterminé ? Parce que, rien ne dit qu'ils n'aient pas fait germer l'idée de réappropriation de l'offre marocaine d'autonomie faite au Conseil de Sécurité de l'ONU en 2007, et donc pousser l'UA à avancer en parallèle dans la plateforme de l'esprit de la régionalisation élargie. D'ailleurs, c'est par simple déduction à partir de ces données que l'état actuel des choses en Algérie et chez les polisariens ne peut faire jouer la concurrence de la thèse de la rancune séparatiste aventurière et immature. Essentiellement, du fait que sa marge décroit au fur et à mesure que l'influence du réalisme politique de l'UA augmente avec la percée du Maroc qui est de plus en plus sollicité dans un tel contexte africain. 

       A l'évidence, qu'on ne le veuille ou non, cette rancune qui les malmène est essentiellement d'ordre de mesquinerie politique car faisant piteusement preuve d'irréalisme ''bon cœur'' contre ''bonne fortune''. Et qu'en plus, à l'UA personne n'en ignore les différents pays et leurs relais derrière lesquels se cache une jalousie de voir le Maroc réussir sa marche africaine, de manière raisonnablement équitable vis-à-vis de tous les pays africains. S'additionnant à celle raisonnée à l'égard de la subsistance équilibrée des démunis marocains et des migrants via l'INDH les fondations Mohamed V et VI, chacune dans son champs d'action tenant compte de l'économie solidaire équitable à effet direct sur la problématique de la précarité la pauvreté et la marginalisation. Alors, pour ceux qui demandent un moratoire doutant des moyens du Maroc de sa politique africaine, ils verront leur déception se concrétiser devant leurs yeux, s'accompagnant d'un effet coupe-rêve indirect de leurs projections dont il y a derrière des options politiques de semer le doute. Donc, non au moratoire piège sur l'arret de l'engagement du Maroc parce qu'après son retour à l'UA, ce sera l’avènement de la relance des programmes de mobilisation de toutes ses lignes directrices avec des perspectives ciblées plus étayées facilement actualisables. Auquel cas, ses prospections diplomatiques d'où il y participera à régler ses bonnes pratiques de façon non standardisée en direction de chacune des cinq sous-régions de l'Afrique (Nord-Est-Ouest-Centre-Sud), seraient revivifiantes des relations économiques politiques et sécuritaires. 

       Et oui, n'est-ce là où l'on s’aperçoit que Ncosazana Dlamini est vraiment tétanisée par son isolement, résultat de la création par le Maroc de certitude juridique fondée sur pratique démocratique par l'obtention de majorité largement au-delà de simple quorum au Sommet d'Addis-Abeba pour son retour à l'UA ? En cela, c'est un coup dur qui s'annonce pour l'Algérie et l'Afrique du Sud et une occasion en Or de rabattre les cartes de de la Commission pour Rabat afin ne plus les laisser imaginer d'autres perfidies de provoquer la zizanie à l'UA par l'absence de recours. Fini donc le temps de Ncosazana Dlamini à la présidence de la Commission même étant longtemps supportée par ces deux pays perturbateurs de la cohésion africaine, dont leurs sournoiseries de basse besogne représentaient la part du lion en matière de charge haineuse anti Maroc. Décidément, sans aucune misogynie, il n'y a que ses coiffeurs qui la comprennent car la connaissant via son bas niveau du genre cervelle de moineau de faire la part des choses. Et pour cause, pour elle, le Maroc c'est juste une image mentale sans présence effective ni objective par ses choix politiques économiques culturels écologiques cultuels et sécuritaires. Excusez du peu de sérénité qu'elle montre par cette pensée de la procréation du vide autour d'elle au sein de l'UA ! Du coup, à ce genre de dénigrement que d'autres postulants (es) de sa trempe à la présidence de la nouvelle Commission prendraient comme argent comptant, n'en pourrait-on leur répondre d'avance ils n'ont qu'à prendre leur responsabilité face au risque de manque de performance politique via le management flou des dominations entre pays africains ? A bon suiveur, bon décryptage !    

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