POURQUOI LE MAROC DOIT-IL ACCÉLÉRER LE RENFORCEMENT DES FRONTIÈRES ET DE
SES NORMES DE SÉCURITÉ APPLICABLES SUR TOUT LE TERRITOIRE ?
Désormais l’on
peut affirmer avec assurance en ce jour de l'Aid Al Adha 12 Septembre 2016, que l’Algérie est en perte de vitesse dans le
traitement du dossier du Sahara marocain à l’ONU UA UE et partout dans les
Instances Internationales comme à Asean et chez les pays non alignés. C’est
pour cela ni ses encouragements aux manigances de Ban Ki Moon et ses
manutentionnaires en cale du paquebot ONU, ni ses turpitudes propolisariennes à
Boumerdès, ni les comptages et transferts de son arsenal d’armes par la mafia des
Généraux de Maghnia et Sidi Belabbas en partance à Bir Lahlou via Tindouf ne la
sortiront de son marasme nettement perceptible. Au point il faut le dire sans
détour, son rayon d’action diplomatique se rétrécit tant par la proportion et
la catégorie des pays qu’elle approche que par la délocalisation de son champ d’intervention
de zone en une autre sans résultats probants. Dont Christopher Ross en a saisi le message, voulant ne pas laisser effacer ses traces et empreintes par sa demande d'entamer une visite au Maroc à la veille des élections législatives cruciales. Sauf que les décideurs marocains sûrement après analyse en voient une autre manipulation de sa part, lui intimant de surseoir à sa demande et donc d'éviter qu'il puisse structurer ses velléités en une offensive préparatrice du terrain pour l'Algérie en souffrance de renaître de ses cendres.
D’ailleurs, qui
l’eut cru qu’elle soit atteinte par l’incidence directe de son passé africain qui
défrayât la chronique des années durant, l’ayant actuellement mise face à la fatalité de sa régression
en matière d’influence loin de toute transcendance. C’à quoi, aujourd’hui elle cherche à augmenter ses
coordinations avec les réseaux du mal en l’occurrence contrebandiers et
terroristes au Sahel subsaharien à Agadès en porte de Libye, en les orientant vers la zone de séparation-tampon pour
faire reculer le Maroc dans sa détermination de recouvrir toutes ses souverainetés
territoriales. Mais ce qui est intriguant, pourquoi le fait-elle même sachant
qu’en pratique sur le terrain, sa manipulation est surveillée de près par les services
de renseignements américains russes japonais israéliens égyptiens et européens (français-espagnols-italiens-allemands)
qui pullulent dans la bande sahélo subsaharienne africaine ? Et ce, en
toutes les étapes, depuis l’induction de l’idée d’affaiblir le Maroc dont les
tentatives sont effrayantes et en constante évolution, passant par le
financement des cellules en dormance jusqu’au contrôle tactique et technique de
la coordination du passage aux actes de déstabilisation. Bien évidemment
qu’elle fait tout cela dans un but dont elle en espère qu’il ne manquera pas de
contribuer à la maîtrise du calendrier diplomatique onusien en cette fin de
mandat de Ban Ki Moon, pour mettre le ou la futur(e) Secrétaire Général(e) de
manière plus ciblée devant le fait accompli d’une guerre même éphémère. Dont,
malheureusement les répercussions ne peuvent qu’être fatalement dangereuses
pour le Grand Maghreb l’Europe le Moyen-Orient et l’Afrique, du fait de la
situation détonante relativement à l’incidence des actes terroristes et leurs destructions
connexes des canaux diplomatiques.
Voilà pourquoi, à
ce titre, nous y sommes déjà dans la transpiration pré-guerrière sur toute
la zone de séparation au Sahara marocain ! Avec les tentations de
réchauffements des esprits selon la prévalence de révision du cessez-le feu 1991 et l’apparition si ce n’est
l’aggravation comportementale par imprudence insouciance voire extravagance du
Polisario. D’où la riposte anticipative diplomatique-sécuritaire du Maroc pour
assainir Guerguarate dans l’espace que tout le monde l’appelle Kandahar en
référence à la sous-région de la ville qui porte ce nom en Afghanistan. Ce qui donne
l’occasion pour les observateurs internationaux d’analyser les conséquences
directes et indirectes sur le scénario de levée de bouclier définitif qui
risque de s’établir, à savoir le droit du Maroc d’entamer la résolution
définitive de ce problème par l’intransigeance. Même si, il est vrai qu’à
valeur d’aujourd’hui à travers quelques indications, la stratégie de
l’Etat-Maroc c’est de ne se laisser influencer ni se faire berner par aucune
tendance ou modélisation vers la surenchère. D’autant plus restant serein, maître de lui-même, car il n’a pas dans son logiciel de sauvegarde de ses
souverainetés la moindre idée d’attaquer en premier ses ennemis qui n’ont par
ailleurs jamais cessé de l’harceler pour un oui ou pour un non. Aussi la vague d’Intox à l’encontre de ses
intentions ne pousse-t-elle à de graves complications, au vu qu’elle ne soit
pas rassurante tout au moins non susceptible d’entraîner l’apaisement ?
Néanmoins,
l’information et la sensibilisation pour la mobilisation des marocains, ne
doivent-elles se pencher sur les efforts déployés par le Maroc dans sa lutte
exemplaire anti terrorisme ? Afin de contrer cette problématique que
posent l’Algérie et la Mauritanie via leur fidélité sournoise au Polisario,
s’additionnant à leurs agitations diplomatiques pernicieuses partout ou ils ont
l’occasion pour essayer de circonscrire l’aura marocaine. En l’occurrence l’approche
royale écolo-socio-économique via INDH, culturelle par la promotion du
rayonnement du pays dans ce registre, cultuelle montrant un ensemble de normes de
religiosité apaisée selon le rite sunnite d’obédience malékite et enfin
sécuritaire de prévention des complications sur tout le territoire national. Effectivement, il
s’agit de la stratégie nationale recommandée par l’engagement du Roi Mohamed VI
de lutter contre les dérives dans toutes leurs composantes, par la mise en
place d’un maillage socioéconomique cultuel sécuritaire permettant l’évaluation
continue de l’information même standardisée. A cet égard, et ce n’est pas faire
dans la surenchère de rappeler que le Maroc ne s’en cache de montrer sa
stabilité, reflétant ainsi sa confiance et sa maîtrise du stress
environnemental régional malsain, particulièrement via la fructification de
l’investissement structurant qui arrive de toutes parts. D’ailleurs, le rôle
des ONG n’est pas moins important, de par leurs initiatives qui enregistrent une nette
augmentation pour une revitalisation du contrôle civil des aides humanitaires
au Polisario. Et donc, conséquemment de mettre le mal algérien combiné
dernièrement au mauritanien sous la loupe des instances judiciaires
internationales, pour ne laisser la transpiration pré-guerrière du temps présent gâcher leurs
intentions humanitaires. A bon suiveur, bon décryptage !
L'article est très intéressant vu son contenu. Par contre le style d'écriture est très lours et pénible à lire.
RépondreSupprimerJ'aurai aimé le style d'écriture est très lourd et non lours. Alors je n'ai rien à ajouter. En tout cas Bon Aid Al Adha et salutations les plus sincères.
SupprimerTrès bon article mon ami, je "te" lis assez souvent et j'approuve tes écrits. Nous agissons tous pour pour dire à l'Algérie d'arrêter de s'immiscer dans les affaires internes du Maroc et de son intégrité territoriale.
SupprimerTrès bon article mon ami, je "te" lis assez souvent et j'approuve tes écrits. Nous agissons tous pour pour dire à l'Algérie d'arrêter de s'immiscer dans les affaires internes du Maroc et de son intégrité territoriale.
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