dimanche 11 septembre 2016

ZOOM SUR LES NOUVEAUX RATAGES DIPLOMATIQUES ALGER-DÉPENDANTS ANTI MAROC, A L’ONU L’UA L’UE L’ASEAN ET CHEZ LES PAYS NON ALIGNES.

POURQUOI LE MAROC DOIT-IL ACCÉLÉRER LE RENFORCEMENT DES FRONTIÈRES ET DE SES NORMES DE SÉCURITÉ APPLICABLES SUR TOUT LE TERRITOIRE ?

       Désormais l’on peut affirmer avec assurance en ce jour de l'Aid Al Adha 12 Septembre 2016, que l’Algérie est en perte de vitesse dans le traitement du dossier du Sahara marocain à l’ONU UA UE et partout dans les Instances Internationales comme à Asean et chez les pays non alignés. C’est pour cela ni ses encouragements aux manigances de Ban Ki Moon et ses manutentionnaires en cale du paquebot ONU, ni ses turpitudes propolisariennes à Boumerdès, ni les comptages et transferts de son arsenal d’armes par la mafia des Généraux de Maghnia et Sidi Belabbas en partance à Bir Lahlou via Tindouf ne la sortiront de son marasme nettement perceptible. Au point il faut le dire sans détour, son rayon d’action diplomatique se rétrécit tant par la proportion et la catégorie des pays qu’elle approche que par la délocalisation de son champ d’intervention de zone en une autre sans résultats probants. Dont Christopher Ross en a saisi le message, voulant ne pas laisser effacer ses traces et empreintes par sa demande d'entamer une visite au Maroc à la veille des élections législatives cruciales. Sauf que les décideurs marocains sûrement après analyse en voient une autre manipulation de sa part, lui intimant de surseoir à sa demande et donc d'éviter qu'il puisse structurer ses velléités en une offensive préparatrice du terrain pour l'Algérie en souffrance de renaître de ses cendres.

       D’ailleurs, qui l’eut cru qu’elle soit atteinte par l’incidence directe de son passé africain qui défrayât la chronique des années durant, l’ayant actuellement mise face à la fatalité de sa régression en matière d’influence loin de toute transcendance. C’à quoi, aujourd’hui elle cherche à augmenter ses coordinations avec les réseaux du mal en l’occurrence contrebandiers et terroristes au Sahel subsaharien à Agadès en porte de Libye, en les orientant vers la zone de séparation-tampon pour faire reculer le Maroc dans sa détermination de recouvrir toutes ses souverainetés territoriales. Mais ce qui est intriguant, pourquoi le fait-elle même sachant qu’en pratique sur le terrain, sa manipulation est surveillée de près par les services de renseignements américains russes japonais israéliens égyptiens et européens (français-espagnols-italiens-allemands) qui pullulent dans la bande sahélo subsaharienne africaine ? Et ce, en toutes les étapes, depuis l’induction de l’idée d’affaiblir le Maroc dont les tentatives sont effrayantes et en constante évolution, passant par le financement des cellules en dormance jusqu’au contrôle tactique et technique de la coordination du passage aux actes de déstabilisation. Bien évidemment qu’elle fait tout cela dans un but dont elle en espère qu’il ne manquera pas de contribuer à la maîtrise du calendrier diplomatique onusien en cette fin de mandat de Ban Ki Moon, pour mettre le ou la futur(e) Secrétaire Général(e) de manière plus ciblée devant le fait accompli d’une guerre même éphémère. Dont, malheureusement les répercussions ne peuvent qu’être fatalement dangereuses pour le Grand Maghreb l’Europe le Moyen-Orient et l’Afrique, du fait de la situation détonante relativement à l’incidence des actes terroristes et leurs destructions connexes des canaux diplomatiques.  

       Voilà pourquoi, à ce titre, nous y sommes déjà dans la transpiration pré-guerrière sur toute la zone de séparation au Sahara marocain ! Avec les tentations de réchauffements des esprits selon la prévalence de révision du cessez-le feu 1991 et l’apparition si ce n’est l’aggravation comportementale par imprudence insouciance voire extravagance du Polisario. D’où la riposte anticipative diplomatique-sécuritaire du Maroc pour assainir Guerguarate dans l’espace que tout le monde l’appelle Kandahar en référence à la sous-région de la ville qui porte ce nom en Afghanistan. Ce qui donne l’occasion pour les observateurs internationaux d’analyser les conséquences directes et indirectes sur le scénario de levée de bouclier définitif qui risque de s’établir, à savoir le droit du Maroc d’entamer la résolution définitive de ce problème par l’intransigeance. Même si, il est vrai qu’à valeur d’aujourd’hui à travers quelques indications, la stratégie de l’Etat-Maroc c’est de ne se laisser influencer ni se faire berner par aucune tendance ou modélisation vers la surenchère. D’autant plus restant serein, maître de lui-même, car il n’a pas dans son logiciel de sauvegarde de ses souverainetés la moindre idée d’attaquer en premier ses ennemis qui n’ont par ailleurs jamais cessé de l’harceler pour un oui ou pour un non.  Aussi la vague d’Intox à l’encontre de ses intentions ne pousse-t-elle à de graves complications, au vu qu’elle ne soit pas rassurante tout au moins non susceptible d’entraîner l’apaisement ?

       Néanmoins, l’information et la sensibilisation pour la mobilisation des marocains, ne doivent-elles se pencher sur les efforts déployés par le Maroc dans sa lutte exemplaire anti terrorisme ? Afin de contrer cette problématique que posent l’Algérie et la Mauritanie via leur fidélité sournoise au Polisario, s’additionnant à leurs agitations diplomatiques pernicieuses partout ou ils ont l’occasion pour essayer de circonscrire l’aura marocaine. En l’occurrence l’approche royale écolo-socio-économique via INDH, culturelle par la promotion du rayonnement du pays dans ce registre, cultuelle montrant un ensemble de normes de religiosité apaisée selon le rite sunnite d’obédience malékite et enfin sécuritaire de prévention des complications sur tout le territoire national. Effectivement, il s’agit de la stratégie nationale recommandée par l’engagement du Roi Mohamed VI de lutter contre les dérives dans toutes leurs composantes, par la mise en place d’un maillage socioéconomique cultuel sécuritaire permettant l’évaluation continue de l’information même standardisée. A cet égard, et ce n’est pas faire dans la surenchère de rappeler que le Maroc ne s’en cache de montrer sa stabilité, reflétant ainsi sa confiance et sa maîtrise du stress environnemental régional malsain, particulièrement via la fructification de l’investissement structurant qui arrive de toutes parts. D’ailleurs, le rôle des ONG n’est pas moins important, de par leurs initiatives qui enregistrent une nette augmentation pour une revitalisation du contrôle civil des aides humanitaires au Polisario. Et donc, conséquemment de mettre le mal algérien combiné dernièrement au mauritanien sous la loupe des instances judiciaires internationales, pour ne laisser la transpiration pré-guerrière du temps présent gâcher leurs intentions humanitaires. A bon suiveur, bon décryptage !

4 commentaires:

  1. L'article est très intéressant vu son contenu. Par contre le style d'écriture est très lours et pénible à lire.

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    1. J'aurai aimé le style d'écriture est très lourd et non lours. Alors je n'ai rien à ajouter. En tout cas Bon Aid Al Adha et salutations les plus sincères.

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    2. Très bon article mon ami, je "te" lis assez souvent et j'approuve tes écrits. Nous agissons tous pour pour dire à l'Algérie d'arrêter de s'immiscer dans les affaires internes du Maroc et de son intégrité territoriale.

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    3. Très bon article mon ami, je "te" lis assez souvent et j'approuve tes écrits. Nous agissons tous pour pour dire à l'Algérie d'arrêter de s'immiscer dans les affaires internes du Maroc et de son intégrité territoriale.

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