MAIS, AU VU D’AUTRES ILLUSTRATIONS ANTI MAROC DOMICILIÉES EN ESPAGNE QUI BIZARREMENT ÉMERGENT,
PRENONS GARDE DE REVIVRE LES MÊMES COUPS BAS ET MESURES D’ACCOMPAGNEMENT POUR
LE SOUTIEN DE L’ALGÉRIE ET SON AVORTON–POLISARIO COMME CE QU’ON A VÉCU AVEC BAN
KI MOON ET L’ADMINISTRATION OBAMA !
Alors, c’est
quoi ces aveux de Ban Ki Moon et Obama pour retournement de veste du lendemain émaillés d’indications
de faiblesse de leur part, lors de la soixante onzième session plénière de l’ONU sur leur bilan ?
Ainsi c'est surprenant d'entendre tout ça, sauf que le Maroc ne doit-il en voir une occasion d’entrée dans la phase du
nouveau puzzle politique onusien qui se dessine à l'horizon ? Et ce, pour peser davantage dans le
contenu du processus avec le ou la futur(e) Secrétaire Général(e) à cause de la levée de bouclier des ennemis inconditionnels qui squattent les locaux onusiens, dont on en décèle une domiciliation de cette rage anti Maroc en Espagne. Et
donc, pour la diplomatie marocaine de se mettre au devant tout en continuant à dénoncer leurs malveillances et
perfidies d’autrefois, n’ayant rien arrangé en matière d’appel et conseil
venant de partout de ne plus repousser la solution de l’offre marocaine de
l’autonomie 2007 aux calendes grecques. D’ailleurs ne peut-on prendre le bruit
foisonnant actuellement dans les couloirs onusiens à ce propos pour les dénoncer, comme résultat immédiat du mea-culpa de
différents niveaux de Ban Ki Moon Obama et d’autres, selon leur implication
effective ou figurative dans le fil directeur consacrant le statu-quo au Sahara
marocain ?
Aujourd’hui,
tout le monde aura vu que c’est une sorte de représentation de l’échec cuisant
de leur part, sur beaucoup de dossiers notamment la Syrie concernant le volet qui fait
implicitement référence au traitement de ce qui n’a que trop traîné à l’ONU, comme aussi à
l’évidence celui du Sahara marocain. Dont le Roi d’Espagne, en prenant la parole en a fait sortir un autre rôle expressif définissant ses ambitions rêvées sur Gibraltar,
faisant suite aux conséquences du Brexit à travers la synthèse paradoxale sur
le dos des souverainetés marocaines. Toutefois, avec toutes les considération de cette problématique, il ne faudrait s'emballer même si c'est dit de la sorte sans garde fou
ni précaution de bon voisinage ! Donnant l'impression que ce n'est nullemet improvisé et qu'effectivement ça pousse à y réfléchir consciencieusement pour ne pas dire que ça donne de la chaire de poule. C’est ainsi, l’on peut affirmer, les marocains ont accueilli avec réserve mesurée cette
vielle demande espagnole pour reprendre le rocher, mais cette fois-ci par le déploiement d’exposition d'un nouvel ordre politique malgré qu’il n’ait jamais été programmé officiellement auparavant. En plus,
force est de constater que cette perspective calculée voulant faire du Maroc un
spectateur et non un acteur est une grossière maladresse d'instrumentalisation, même si,
apparemment, elle est destinée à enchanter les foules en catalogne au pays
basque et en Andalousie pour raison interne à l’Espagne facile à deviner au vu
du fil d’actualités. Alors qu'en effet tous les ingrédients d’une concertation paisible et responsable avec le Maroc sont réunis, et pouvaient être mis à contribution préparatoire
pour les conditions idéales d’entamer les discussions sur le cas de Sebta
Melilia et autres rochers sans froisser l’honneur des marocains sur leur
Sahara en invoquant sans raison l'autodétermination en reléguant à l'oubliette la même attitude pour les habitants de Gibraltar.
A ce titre,
établir un bilan précoce de ce que peut apporter à l’Espagne qui n’a toujours
pas de gouvernement, cette sortie du Roi Flippe VI à l’ONU n’est pas chose
facile. Mais par la fusion totale des atouts innombrables qu’à en main le
Maroc, le cas de Gibraltar pour lui ne se scinde en aucune façon des présides encore
spoliés par l’Espagne. En cela, c’est d’abord une affaire régionale sur les
thèmes pouvant naître de la profondeur des négociations bilatérales allant dans
le même sens de la coopération multidirectionnelle exemplaire déjà existante.
Surtout par rapport aux rythmes de rencontres des officiels sécuritaires avec
leurs homologues espagnols, s’ajoutant aux passions diplomatiques marocaines en
alerte pour aller de l’avant dans l’information et les propositions à faire sur
le processus de recouvrement de toutes ses souverainetés. De fait, on ne peut
pas dire qu’il n’userait d’une synergie politico-sociétale populaire de base si
cela s’avère nécessaire, et s’attaquer de front au cumul des handicaps du bon
voisinage épuisé sans avoir soldé le passif selon un calendrier raisonnable.
Néanmoins, pourquoi n’en parle-t-on pas assez du trafic d’influence que
s’octroi l’Espagne pour assurer la pratique de dominance et du joug
administratif à l’égard des habitants frontaliers quant aux conditions de leur
travail et traversées au quotidien ?
En effet au-delà
de ces explications certes alambiquées, reste le seul fait d’importance qui
mérite plus d’intérêt, en l’occurrence la persistance de l’entente
hispano-marocaine avec ses basculements va-et-vient vers le développement
concret de création de partenariats gagnants-gagnants et donc d’emplois, d’exigence de flexibilité administrative sur les demandes de visas et regroupement familial, de
production des richesses des biens et services dans le pragmatisme politique et
le réalisme économique loin des tentatives de corruption qui gangrène des deux
coté du détroit. D’ailleurs, la pertinence de cette donnée, c’est quand on met
en évidence le retard pris au sein de l’ONU dans le dossier de recouvrement par
le Maroc de ses souverainetés à cause des tergiversations de Ban Ki Moon et ses
manutentionnaires. A cet égard, on devine que cette latence est aussi due aux
diverses étapes de grippages que connait l’ONU par suite d’instabilité des pays
par des intrusions parfois violentes dont les civils surtout les enfants et femmes en paient les frais, des turbulences terroristes gravissimes de par le monde ayant provoqué la phobie aux migrants et de l’émergence d’autres équilibres géopolitiques et horizons géostratégiques
engendrant d’autres alternatives de mobilisation dont le Maroc y a fait son gros assemblage-partenariat politique et économique. S’additionnant qu'on ne le veuille ou pas à
l’incompétence criarde du Secrétaire Général de surcroît non partial et non
neutre, ayant laissé la confusion par les imprévus néfastes l’emporter sur la
conformité et l'adaptation des solutions. Malheureusement loin de tout souci de transparence onusienne, en ne réagissant conséquemment aux événements que dans le cours terme voire l'immédiateté à courte vue.
Ainsi, l’on peut avancer que Ban Ki Moon a paradoxalement mesuré avec retard la gravité de la
menace terroriste dans l’espace Sahel subsaharien africain, s’étant empêtré
dans les mensonges de Christopher Ross en raison de ses sous-notifications
déclaratives dans le conflit du Sahara marocain. Mais pourquoi ne s’est-il
attelé dans sa fonction à éviter la surenchère algérienne pour ne pas rater son
rendez-vous avec l’Histoire, et donc de ne laisser les conspirateurs au Conseil
de Sécurité continuer dans leur mutisme opportuniste pernicieux dont on
comprend une décision d’acceptabilité du statu-quo ? Même si, hier 21
Septembre, après son discours presque d’adieu en cette session plénière 2016
avec des indications fournies ici et là, que toute la communauté internationale en exprime dans la sérénité son soutien à propos de la mise sur le marché onusien
du sérieux de l’offre marocaine d’autonomie dans la régionalisation avancée. A
cet effet, l’engagement du Maroc à maintenir sa stratégie payante et ses
actions opérationnelles fixées mûrement réfléchies, sera le principal atout
pour la COP 22 à Marrakech 06-18 Novembre 2016 par un service sécuritaire fiable de haut niveau et un suivi technique
en fluidité de programmation des ateliers sous l’égide de l’ONU en plus d’une
logistique à tout point de vue de qualité. D’autant plus, il faut le noter avec assurance, que pour les observateurs avertis l’espoir
suscité à la COP 21 à Paris sera concrétisé à Marrakech car on s’attend à une
participation record de chefs d’Etats et de gouvernements dans ce sens. A bon
entendeur, salut !
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