jeudi 8 septembre 2016

PLUS D’AUTRE CHOIX POUR LE MAROC DIPLOMATIQUE, QUE DE CONTRER TOUS LES DISCOURS IDÉOLOGIQUES QUI BRISENT VOIRE ASSERVISSENT L’HUMANITÉ !

COMMENT EN CETTE RENTRÉE 2016-2017 LE MAROC DIPLOMATIQUE DOIT-IL RÉAGIR, VOYANT S’ÉRIGER EN ON LE DISCOURS DAECHISTE MANIPULATEUR MÊME DES MÉDIAS ?

       Qu’on ne le veuille ou pas, la tolérance de ces logorrhées dis courantes à pensées ‘’Abou Tamim’’ n’a pas droit de citer nulle part. Tellement le Maroc diplomatique se doit les contrer en façonnant ses objectifs anti terrorisme dans la forge des consciences à l’ONU et partout ailleurs. A cet effet, n’est-ce durant 17 ans le Souverain marocain n’a cessé de faire savoir progressivement sa conception de gouvernance virtuose cultuelle culturelle écologique diplomatique et sécuritaire, comme profession de foi s’inscrivant dans cette ligne du pragmatisme visionnaire. Lequel, s’étant par la suite infusé et diffusé voire déployé dans les esprits transcendés de presque tous les marocains. Telle une volonté objective de fermeté en vue de soumission rien qu'à la bonne gouvernance multidirectionnelle pour remporter victoire l’une après l’autre. Et ce, loin des scepticismes et solutions brutales qu’entretiennent en subliminaire en cette veille des élections législatives du 07 Octobre 2016, les porteurs des desseins et conceptions d’Abou Tamim faisant un pas de plus sur le chemin de l’inconnu avec dangerosité.

       N’en pensez aucunement que la communication subliminaire de vengeance à ciblage simultanée de Com, faite par le chef du gouvernement lors de sa rencontre avec la jeunesse du PJD à Agadir fin Juillet 2016, est seulement d’accéder à plus de reconnaissance du peuple marocain. Non, au contraire, il s'agit d'un chantage saugrenu lancé et/où c’est malheureusement l’une des perspectives de mettre en difficulté la conception royale organisée autour de la mobilité du dispositif de lutte anti terroriste, véritable choix stratégique programmé dans le temps pour contrôler le flux populiste usant de la raison de récupération et d’orientation des consciences des petites gens. Dont le ministre de l’Intérieur marocain Mr Hassad au parlement européen en a montré devant un parterre de personnalités à l’UE, la force majeure de l’Etat-Maroc dans ses contrôles  sans relâche des espaces physiques et circuits des pratiques terroristes. D’ailleurs, tout un chacun peut s’en rendre compte en voyant s’ébranler le rêve du pouvoir algérien au sens qu’il y a partout rejet de la chimérique RASD dont l’aménagement du ton menaçant n’est plus à démontrer. Qu’au demeurant, maintenant, la communauté internationale sait qu’il y eut un travail colossal fait par les services marocains, opération-assainissement à Guerguarat faisant foi pour neutraliser les groupes supports de la menace interne et aussi externe dans les camps de Tindouf voire en longueur et largeur dans toute la bande de séparation.

       A première vue, est-ce que ces incrustés dans le maillage de l’Etat secondant le chef du gouvernement dans sa prédisposition subconsciente jihadiste à la façon Abou Tamim, ne cherchent-ils à faire de la résistance de composition dans ce que l’on peut qualifier de ‘’création de champ de bataille à connotation salafiste’’ par la violence de leurs mots et passions ? Dont ils n’en espèrent par ailleurs que mettre à lourde épreuve, les constantes de la résilience de l’Etat-Maroc qui est une forme de résistance de sa machine sécuritaire-diplomatique proactive. Et donc, de ce point de vue, il ne faudrait attendre une catastrophe pour mettre à l’arrêt cette  attitude revancharde allant même jusqu’à s’élever à braver les interdits érigés par la constitution du 01 Juillet 2011. Et d’où émane cette même machine étatique, qu’en effet, elle est aujourd’hui si brillamment cautionnée de par le monde car positionnée sur la voie de consécration. Excluant de fait, toute tendance vers la dramatisation qui dessert les causes nationales, notamment en essayant de briser la cohésion sociétale par des positionnements de religiosité dont le discours du 20 Août 2016 plein de signaux en référence à la situation de dé-confiance, en a fait la part des choses essentiellement concernant le libre choix des marocains.

       Néanmoins, quand on regarde de près les relents médiatiques déconcertants de ces derniers temps, on s’aperçoit que les données sur lesquelles ces concepteurs du ‘’Tamimisme’’ se basent, sont remaniées voire mêlées à leur fiction. Absolument, spécifiquement, pour contrarier la raison d’Etat afin de satisfaire leur soif de domination qui, hélas, se projette en perspective politique tragédienne. A cet égard, tout système d’évaluation de ce genre de comportement borderline meme venant de la part de contractuels bigarrés et profiteurs, ne doit-être exempt de sanctions, fussent-elles populaires électorales. Comprendra qui voudra à ce propos ! Car, le degré de compétence et de performance dans la machine étatique, ne demande-t-il une révision de l’évaluation de la stabilité du pays dans sa globalité sans en rétablir une quelconque approche policière politique. Mais seulement en tenant compte de l’encadrement qui en assure le suivi, évidemment connu et reconnu de tous. Bien entendu sans flancher ni hésiter à stopper à tout moment les dérives tendancieuses de quelle origine que ce soit, et qu’après, que la judiciarisassions prenne son chemin normal. C’à quoi elle donnerait la possibilité des recours à tout un chacun se voyant floué dans ses droits d’établir la conduite à tenir et de ne se soumettre qu’à elle. Ainsi, Oui à l’Etat des libertés d’expressions mais dans le respect de l’idéal de la loi, même dans les antagonismes du bien et du mal que l’on voit aujourd’hui se manifester à tous les niveaux. Dont, malheureusement certains veulent s’en réapproprier en tant qu’outils de supériorité dans le cadre des opportunités de communication offertes à eux, de par leur fonction institutionnelle.


        Voilà pourquoi, c’est dans ce sens qu’en diplomatie, les questionnements faits par les observateurs relatifs aux modalités d’évaluation et le choix des diplomates pour faire face à ce fonctionnalisme fictionnel interpellent à plus d’un titre. D’autant plus que le débat sur ce sujet oscille entre, d’une part, ce que l’on pourrait appeler cooptation d’office de privilégiés seulement par la consanguinité et/où favoritisme de convoitise hermétique pour raisons faciles à deviner. Et d’autre part, insistance sur la valeur et la compétence tout au long du cycle de la formation, dont doit faire preuve chaque candidat avant de se voir accréditer dans le circuit des chancelleries. Ce qui revient à dire qu’il va falloir se garder de l’élitisme stérile qu’il soit partisan ou autre, du fait qu’il y a risque de mélanger l’incompétence avec la bonne compétence dans l’occupation des postes stratégiques au moment de la bataille qui s’annonce à Addis-Abeba. D’autant qu’en plus, on ne doit se départir d’une rigueur dans le traitement de l’information pour s’assurer de la bonne exégèse du fil des actualités, en rappelant aux futurs diplomates l’obligation de se mettre suffisamment à niveau dans l’accomplissement de leurs responsabilités. Vraiment, dans ce traitement du discours à connotation daechiste du chef de gouvernement, ne faut-il le réaffirmer sans complaisance que pour la diplomatie il doit être un sujet de préoccupation à part entière des diplomates ? Et ce, pour qu’ils puissent l’évaluer rigoureusement avec ou sans leur aura, s’ajoutant à l’appréciation évolutive des phases d’accompagnement de l’emballement si à tout hasard il a lieu. A bon entendeur salut !

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