COMMENT L’OPÉRATION-ASSAINISSEMENT DANS LE MONDE DE LA CONTREBANDE A GUERGUARATE EN ZONE DE SÉPARATION AVEC MAURITANIE, EST-ELLE DEVENUE LE RÉVÉLATEUR DES RANDONNÉES INSOLITES
DES POLISARIENS SEMANT L’EFFROI CHEZ LES CAMIONNEURS-TRANSPORTEURS ET AUTRES ?
Les marocains et
pas seulement, ont appris avec un vif plaisir le montage responsable de l’opération-assainissement à
Guerguarate par leurs services de police et douane loin de toute excitation. Depuis, la
conclusion qu’ils en livrent grâce aux faits sur le terrain à propos de cette mobilisation encadrée militairement est à beaucoup d’égard
envieuse, parce que ciblée-géo localisée dans l’espace et maîtrisée dans le
temps pour éviter les désordres obstructifs pouvant se manifester. Et, dont il n’est plus possible pour les trafiquants de faire transiter les voitures d’occasion en provenance des pays européens avec de fausses
immatriculations, vu que les informations sur la méthode utilisée sont maintenant connues parfois disponibles sur le Net. Enfin, avec la situation actuelle, tout le monde sait qu’il n’y aura
plus de ruée vers le trafic de drogues armes alcools devises faux-papiers faux-médicaments et
autres produits prohibés, en zones de séparation de contrebandiers et
d’apprentis-terroristes des camps de la
honte et du non droit à Tinfouf. D’autant que le Conseil de Sécurité n’a
aucunement ordonné l’examen de la plainte du Polisario, d’où l’on peut deviner qu’il
ait décelé l’absurdité qui côtoie la fatalité irrémédiable. En plus rejetant les arguments, qui, pour lui, symbolisent l’extravagance à même qu’on est en
droit d’en comprendre une jurisprudence de droit de suite du Maroc en zone de
séparation voire au-delà même pour assurer ses arrières et sécurité
territoriale.
Aussi, en réponse on est
tenté de dire, les infiltrations comme les échanges commerciaux douteux à
travers les postes frontières sont presque impossibles par les temps d’accentuation
de vigilance qui courent. Par ailleurs, les difficultés grandissantes et les
exigences primordiales du libre échange avec la Mauritanie étant ce qu’elles
sont, les trafiquants et autres négociants de produits illicites commencent à
tourner les pousses en attendant des jours meilleurs. En quelque sorte vivant dans
une ambiance n’assurant pas leur indépendance ni leur gaieté mais plutôt ennui
et solitude, d’où se déclinerait leur inculpation éventuelle par la communauté
internationale à propos de leurs détournements d’aides humanitaires aux
séquestrés des camps. Ce qu'évidemment inhiberait leur perversité, s’ajoutant à une décroissance notable du racket des
usagers de ses postes frontières via la construction et goudronnage des 7 km de route qui séparent le Maroc de la Mauritanie. Ce qui permettrait automatiquement aux transporteurs honnêtes de ne plus avoir peur des occupants des pistes, qu'en effet ne se
consacrent rien qu’au vol et larcin. C’est dire l’âge d’or du non droit dans
cette bande de blanchiment selon les données des Observatoires dignes de foi, sur
la base d’échange de sommes colossales en tant que plateforme internationale de
transfèrements de capitaux. A ce titre, ne pourrait-on dire que dorénavant tout
ce commerce illicite traversera les années de dèche si ce n’est de plomb, mais seulement
après la mobilisation de la communauté internationale pour le contrer ? D’ailleurs
la Minurso n’a pas hésité à qualifier les turpitudes du Polisario de non étonnantes, en référence
à la mobilisation sus-indiquée encourageant la construction de portions routières dans un but d'apaisement. Pour faciliter la communication concernant les différents aspects de l'impact diplomatique et surtout commercial, que c’est un enrichissement
progressif vers la paix dans la région nécessitant ces mesures techniques sécuritaires urgentes.
Sur ce sujet, il faut l'affirmer naturellement calmement que la spéculation
de Ban Ki Moon et son gourou Christopher Ross sur les risques de dérapages vers
le non respect du cessez-le feu de 1991, n’est pas fondée. Bien au contraire,
la communauté internationale estime que via cette prise en main marocaine on assiste à la préparation du début de dé
ghettoïsation des camps de Tindouf de Rabouni et autres en territoire algérien
mitoyen. Dont le pouvoir algérien lui-même n’en supporte plus cette étanchéité
d’apartheid et/où la ségrégation entre Noirs et Blancs a dépassé la cote d’alerte,
le montrant seul responsable de cet état de fait inadmissible et intolérable. Du moment que,
des années durant (40 ans) il n’a aucunement essayé d’inverser cette tendance, rien qu’en
s’engageant à détruire ces cloisons par la facilitation du recensement. C’est
en ce sens qu’il est aujourd’hui en pré écriture de sa nécrologie presque Kafkaïenne,
montrant ainsi l’angoisse dont il se trouve comme si la honte devait le
poursuivre. Voilà en quoi les derniers discours du Roi du Maroc, d’une part remplissent
les objectifs à atteindre par l’ONU pour la sécurité régionale dans le cadre de l'offre d'autonomie 2007 et d’autre part
consacrent l’avènement de véritables solutions symboles de prospérité dans la régionalisation avancée. Néanmoins,
sans vouloir provoquer ni zizanie ni peur sur les enjeux géopolitiques et stratégiques, si l’expansion de groupuscules
terroristes se poursuit au rythme actuel, la région MENA et bande Sahel subsaharienne-africaine
vivront inéluctablement de temps en temps sous des concentrations de smog
neurotoxique si ce n’est les nuages nucléaires ponctuels. Comprendra qui voudra !
Il est vrai que
les services de police et de douane marocains ont engagé une véritable course
contre la montre pour relever le défi de lutte anti-contrebande dont on sait qu’elle
est cyber-assistée. D’ailleurs, les sous-traitants polisariens, pendant
longtemps en ont trouvé à Guergarate le terrain idéale pour commettre leurs
attaques en tout anonymat et/où les preuves sont difficiles à démontrer. Sauf
que, selon les résultats obtenus à ce jour, ce monde de crime organisé n’existe
plus après l'intervention des services marocains qui en ont détruit les
connexions à une vitesse phénoménale. Et c’est même le jackpot avec l’arrestation
d’une cellule active de quatre trafiquants notoires dont le fils d’un ministre de la fantomatique entité
polisarienne, qu’en effet le BCIJ en décrocherait directement quelques réponses
à beaucoup de questions. Même pour les plus ciblées après exploitation des
données informatiques des cellulaires qu’apparemment auraient été saisis, et ce
sur les transferts de fonds et autres implications de personnalités étrangères
dans ces trafics. N'est-ce pour cela qu'on entend déjà ici et là des sommités diplomates et intellectuels à travers le monde, demander à l'ONU de lever le secret de ses tergiversations à chasser le Polisario de ses élucubrations politiciennes sans lendemain. Evidemment, les résultats de l’enquête ne sont pas destinés à
être publiés, au moins dans un premier temps mais peuvent en outre indiquer les
tendances dans l’impartialité la plus totale, ce qui corroborera la demande sus-mentionnée. D'autant qu'aujourd'hui, tous les services de renseignement de par le monde savent par la preuve que le Polisario est impliqué dans la cybercriminalité, à savoir la traite des femmes l'immigration clandestine les réseaux pédophiles le vol d'identité la fraude le blanchiment d'argent le chantage informatique, en plus de l'incitation à la haine le racisme et le terrorisme sous ses différentes expressions. A bon suiveur bon décryptage !
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