MAIS, CE SECRET DANS LES DIVERS CHOIX DE CANDIDATURES NE
SERAIT-IL PEUT-ETRE TOMBÉ DU CIEL AMÉRICAIN ?
Autant le dire
sans détour, bas les masques chez certains partis politiques marocains après
leur compromission avec gratifications de l’Etranger ! D’ailleurs, qu’on
se le dise franchement, que cherchent-ils ces partis politiques à faire des
élections législatives du 07 octobre 2016 avec dans leurs rangs les Salafistes
les Transhumants reformatés et les Tyrans partisans mal transformés. Dont on
découvre la face cachée en tant qu’usurpateurs, parce que les partis qui les
cautionnent tentent d’hypnotiser si ce n’est anesthésier leurs adhérents et électeurs
potentiels en leur faveur. Sans savoir que ce cautionnement sans précaution des
gens à l’origine de controverses sociétales n’est pas accepté en les intégrant,
alors qu’ils viennent d’horizons où ils auraient causé malédiction et division.
D’ailleurs plus la présence de forces obscurantistes sera importante au
parlement, plus le Maroc trouvera des difficultés à maîtriser les incartades par
rapport aux initiatives PLS (Prospérité-Liberté et Sécurité) pour un meilleur
champ politique dans le futur. S’additionnant à l’insouciance voire légèreté
des perturbateurs attitrés obturant l’ordre fonctionnel normal des partis
politiques en rapport avec le sur-dimensionnement de leur surmoi qu’à l’évidence est en
perpétuel reformatage selon les opportunités.
A cet égard,
certains politiques arrogants instables dans leur psychologie de traitement des
affaires pactes et actes qui défrayent la chronique jusqu’à basculer dans la
pathologie de rééchelonnement de couacs gestionnaires, n’ont fait produire que
ras-le-bol sociétal. Ce qui donne l'impression que ce n'est un souci pour leurs partis respectif d'aller à la pêche aux salafistes et autres politiques qui se déploient dans le renversement de leur veste à toute fin utile. Aussi, la forme de la relation observée entre indicateurs
de cette ruée vers le Salafisme et facteurs de pollution de conscience
longtemps restés cachés par ces politiques-caméléons, n’est-elle devenue linéaire jusqu’à l’irrationalité sans
seuil ? D’où en ce qui concerne les mesures de sélectivité adoptées, la
nécessité de les évaluer selon l’impact qu’elles ont sur le déroulé du
processus technico-électoral en raison de la place importante du terrorisme
parmi les facteurs de risques. Alors que, jamais auparavant un Chef d’Etat n’a
été plus actif et incisif pour la création d’occasions afin de lutter contre ce
fléau que ce que fait le Roi du Maroc commandeur des croyants. D’une part, pour
le bien de la sécurité à la hauteur du moment gravissime que connait le monde en
contrôlant voire éradiquant sans triches le daechisme. Et d’autre part, aussi
pour le bien des valeurs humanitaires communes en encourageant les interrelations
de coexistence normale et paisible pour préserver l’entente entre religions.
D’autant plus aujourd’hui au Maroc après 5 ans
de PJDisme, toutes les indications montrent que d’autres partis politiques sont
eux aussi envahis par l’exposition chronique salafiste, la transhumance revancharde
polluante du champ politique et l’excitation partisane acquise rancunière à
contre courant du bon sens. Malheureusement c’est comme une continuité d’un
système de fausseté des choix des électeurs de leurs représentants, en les
orientant vers des partis où apparemment la défaite électorale ne serait pas
envisageable. Mais pourquoi le PJD PI MDS et les autres petits partis qui se
sont impliqués dans ce raisonnement, ne savent-ils que cela ne signifie pas
qu’ils l’éviteront forcément ? N’est-ce par ailleurs là l’intérêt de l’avertissement
royal du 20 Août 2016, où il semble que derrière si rien n’est rattrapé c’est
le trou sans fin qui attend les institutions surtout le gouvernement et la chambre des députés à cause du risque de naissance en leur sein de club de surf sur les sens de l'islamité... ? Dont des documents
estampillés secrets n’ont nullement tari d’éloges pour la position du Roi du
Maroc afin de faire face à cette menace qui pèse sur la stratégie globalisante anti
genèse du terreau terroriste qu’il eut préconisé après l’hécatombe du 16 Mai
2003 à Casablanca.
Effectivement,
pour ne risquer de sombrer dans le chaos, ne faut-il comprendre pourquoi ces
partis cherchent-ils à s’affirmer électoralement ainsi ? Après leur
compromis avec l’Ambassade des USA à Rabat de cautionner les salafistes, jusqu’à
vouloir forcer l’Etat-Maroc de clarifier impérativement cette question restée en
suspend. Spécialement concernant leur intégration sans hésitation dans le
processus électoral, avant la date fatidique du dépôt de candidatures en l’occurrence
14 Septembre 2016. Sauf que la question qui taraude à plus d’un titre, que
pensent-ils les autres partis politiques qui ne se fixent pas dans cette ligne
TNPS (Trajectoire de Non Prolifération Salafiste) qu’au demeurant exige de leur
part vigilance sur les suppositions interventionnistes des autres pays
tiers ? Ne pourraient-ils appeler à un vote révocatoire au parlement contre les élus versant dans la psycho-stimulation des vertus slafistes-jihadistes? Du
moment que des rapports américains sont faits en ce sens de viol de la
conscience marocaine, même sachant que le peuple en majorité ne s’y prêtera
jamais à ces jeux interdits de création de confusion.
Néanmoins, n’est-ce
cela qui montre cette pathétique intention américaine à propager l’esprit
salafiste au Maroc sous-forme de défense électoraliste dépassée ? Même si,
les voisins ennemis déclarés sont convaincus que cette vectorisation jihadiste
du champ politique servirait leur animosité de longue date. Alors qu’il y eut pendant
5 ans depuis le 25 Novembre 2011 une stratification des traumatismes des
électeurs, dont en effet Benkirane n’en veut toujours pas reconnaître les
conséquences apocalyptiques. Surtout celles ayant laissé des traces à un moment où
la coupe est pleine, avec le risque de faire perdre la tête à ceux qui plongeront
dans ses mystères sans précautions préalables. Voilà pourquoi le Département d’Etat
Américain est soupçonné de tenter de vendre ses chimères électoralistes
secrètes à beaucoup de partis politiques marocains. Croyant qu’il pourrait les
mettre en stationnement démocratique provisoire pour affaire le concernant lui,
en plus sans différencier très clairement l’obligation de confiance des
préparatifs à sa volonté d’entraver momentanément les progressions politiques socioéconomiques
culturelles cultuelles écologiques et sécuritaires. A cet effet, les câbles
échangés dans les chancelleries n’ont-ils pris le dernier message royal comme
cote d’alerte au monde, de ne pas démissionner devant le péril daechiste pour
quelle raison que ce soit ? Finalement, ce n’est un secret d’Etat d’y voir
que tout cela rentre selon une première évaluation, dans la traduction des
aspirations confidentielles pour le compte de l’entreprise de déstabilisation
du Grand Maghreb. A bon entendeur salut !
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