mardi 13 septembre 2016

VIVEMENT LA FIN DU GROTESQUE A LA BAN KI MOON ET DU TRAGIQUE A LA BOUTEFLIKA DANS L’AFFAIRE DU SAHARA MAROCAIN !

CES DEUX LA, AVEC L’EMPREINTE DE LEURS MEURS POLITIQUES A LA SICILIENNE DANS LE CONFLIT DU SAHARA MAROCAIN, CONTINUERONT-ILS A VIVRE POUR L’UN LE GROTESQUE DANS SES SIMULATIONS ET POUR L’AUTRE LA TRAGÉDIE DES SIMULACRES DE SON AGE AVANCE ?

       Il est vrai que la question qui taraude à plus d’un titre, n’est-ce pourquoi alors sont-ils bien semblables à des décideurs disloqués dans leurs décisions chacun dans son rayon d’action ? De surcroît incapables de se recomposer l’idée d’avoir tenté à changer l’identité du Sahara marocain qu’ils appellent occidental, faisant dans l’anecdote ‘’l’éléphant ça trompe énormément’’. Pourtant les faits historiques à reconnaître pour de vrai la marocanité du Sahara sont là, pour qu’ils ne s’abandonnent totalement à l’euphorie des influences d’un temps révolu. Dont actuellement l’empreinte des meurs politiques à la sicilienne est si forte que Bouteflika fut tout naturellement choisi à prendre la suite en 1998, alors qu’on pressentait déjà la fragilité sociétale de l’Algérie consentante à ce genre de liens de convenance et de tromperie. Tellement, malheureusement aujourd’hui, Ban Ki Moon et le DEA (Département d’Etat Américain) et autres lobbys aux USA UK et pays scandinaves via Christopher Ross, sont l’un des plus incompréhensibles soutiens en sous-cave onusienne.

       Néanmoins, pourquoi le font-ils tous même la sachant errer comme une ombre dans le sable, avec au fur et à mesure l'installation d'un pessimisme suicidaire sans couloir caravanier de sortie ? Voyant son espoir de construire une soufrière se volatiliser face à un Maroc solide bien ancré dans ses désirs de recouvrement de toutes ses souverainetés. Et donc pour que puisse se réaliser l’intégrité territoriale totale avec des sacrifices non par les mots mais par l’adhésion physique diplomatique voire militaire, loin de la caricature du Polisario à la fois fantôme et prisonnier dans ses gesticulations ubuesques. Qu’en effet, malheureusement, le grotesque à la Ban Ki Moon le pousse à l’improvisation n’en sachant qu’il est pris au jeu illusoire des lamentations de façon presque exécrable, car incapable de saisir l’occasion de l'offre du Maroc de l’autogestion de 2007 dans la régionalisation avancée. Au sens qu'il s'en rende compte de l'opportunité de pouvoir prendre part à la gloire de la mère patrie et s’imposer une ligne de conduite responsable pour accompagner le développement, la démocratie et au plus intimement caractéristique le nouveau positionnement géopolitique marocain véritable poste de pilotage stratégique dans toute l’Afrique. Cette fois-ci, conséquemment à ce ratage onusien, il faut le rappeler sans hésitation qu’il ne reste plus à Ban Ki Moon qu’à disparaître vraiment du perchoir onusien, et chercher à s’accrocher au comment devenir une autre personne alors que le réel de son entourage est microscopique, au vu de l’ensemble de ses couacs ne lui permettant de s’enraciner profondément auprès des ONG et autres institutions légalistes.

       Quant à Bouteflika, régi par le code d’immoralité source du tragique chez les polisariens jouant leur partition de crise existenielle, voire d’angoisse pour toute la région MENA-Maghreb-Sahel subsaharienne africaine et/où la pression terrible des manutentionnaires-mercenaires est perceptible, il lui faudrait sortir de ses querelles avec sa psychologie contractée depuis son bas âge à Oujda. S’étant fabriqué une sorte de mémoire-gouttière ou les racines du mal en ont trouvé le gène de sa transition vers l’anti Maroc, ne laissant place à aucune expression ni de compréhension ni même d’indulgence envers ses compatriotes qui puisent la sagesse du coté marocain. Cependant, vraiment, dans cette analyse aussi diverse que concise et précise, il ne faudrait en oublier l’autre volet de Boutaflika en tant que conservateur en politique qui réagirait au gré du courant des contrebandiers et supporteurs des terroristes qui le côtoient. Dont il en a montré plus tard via le secret de son propre bonheur une hardiesse révisionniste de son passé, montrant donc qu’il n’a rien à voir avec le socialisme allant jusqu’à le considérant comme une histoire honteuse. Alors qu’avec Boumedienne et les caporaux généraux ils en ont fait le mirage la tromperie voire le hold-up des richesses du pays dans la liesse populiste entre le tragique et le grotesque. Ce qui pousse aujourd’hui les médias les syndicats les intellectuels et certains partis politiques algériens de demander le départ du Polisario, pour passer à une nouvelle vitesse de production de l’amitié Maroc-Algérie comme dans l'ancien temps de la lutte commune contre la colonisation ne pouvant qu’assurer stabilité et essor du Grand Maghreb.

       Cependant, de par l’actualité foisonnante il n’y a aucun doute sur la volonté de l'Etat-Maroc de ne plus s’autocensurer dans sa communication et de ne plus céder sur aucun terrain fut-il sur les signes annonciateurs de zizanie politicienne en interne, que ceux d’une crise sans précédent avec les USA ciblant et diffamant les pays amis de longues date, l’UE si à tout hasard il y a entrave sur le chemin de son succès en vue d'une meilleure collaboration et avec à la triplette Algérie-Mauritanie-Polisario à propos de sa circulation aisée en Afrique en raison d'un manque de lucidité politique de leur part. A cet égard, son argument est en béton dès lors qu’en interne il respecte à mot la constitution restant toujours neutre et à même distance surtout des partis politiques et des institutions, et que vis-à-vis de l’extérieur il est d’une fidélité sans faille à ses amis pour le meilleur et pour le pire. Même sachant qu’il vit parmi les ingrats pour qui seules comptent les opportunités scabreuses et non les qualités de ténacité que requiert en interne comme en externe l'initiation politique pour affronter les séquelles de mauvaise gestion de la mondialisation. Aussi, dans l’attente dans deux mois de l’annulation de la Cour de Justice de l’Union Européenne, de l’arrêt du 10 Décembre 2015 et de rejeter le recours du Polisario comme irrecevable, il va falloir combler le trou béant de l’accord commercial de 2012 sur les produits agricoles partant de ce qu’avait constaté le Tribunal manipulé par les lobbys pro algériens. Ce qui avait suscité à l’époque l’ire du Maroc jusqu’annoncer la rupture de ses relations diplomatiques avec l’UE l’ayant poussé au pourvoi en cassation. Dont aujourd’hui même le procureur général de cette Cour dans son rapport livré ce jour-même à la presse, montre qu’il est résolument hostile aux manigances lobbyistes autour de ce dossier qui pourtant d’après lui est clair en faveur sur beaucoup de points au Maroc. Et ce n’est nullement faire dans l’euphorie patriotique de rappeler qu’en plus il y a la visite du président du parlement africain Mr N'Kodo qui a fait présenter avec brio sa première intention d’accueillir très favorablement la venue du Maroc après qu'il ait été convaincu par la thèse marocaine.

       C’est clair maintenant que l’approche marocaine multisectorielle rénove potentiellement la logique politique de l’ONU l’UA l’UE et toutes les Instances qui se battent pour la paix. Tellement, le voyant désormais ne pas renoncer à ses activités pacifistes au sein de l'ONU malgré la parenthèse d’exclusion-expulsion des agents civils de la Minurso d'avant l'étape annuelle du mois d'Avril 2016 au Conseil de Sécurité. A même de les voir eux aussi faire sans complexe son éloge de sa lutte exemplaire anti terrorisme dans l’affaire Gurguarate qui de surcroît fait déjà des émules partout. Et c’est pourquoi il va falloir faire très attention à la collaboration du Maroc avec le Secrétariat Général de l’ONU encore sous Ban Ki Moon en fin de mandat sans gloire. Car son secrétariat particulier sous contrôle et domination de Christopher Ross fonctionne mal, se cantonnant dans l’affaire du Sahara marocain dans un rôle partial de non neutralité irresponsable jusqu’à essayer d’exercer une influence saugrenue et viciée, tant sur les voisins du Maroc que sur l’assemblée générale et le Conseil de Sécurité de l’ONU. Ne sachant que chemin faisant le Maroc fut doté d’une défense diplomatique hors flambée idéologique, sous l’égide du Roi Mohamed VI dont tout le monde en parle, salve des derniers discours faisant foi. Et qu’en plus sa créativité faisant le buzz est favorable pour le développement socio-économique culturel écologique cultuel sécuritaire et politique du pays, ayant provoqué dans son voisinage en l’occurrence Algérie-Mauritanie que l’atmosphère frustrante et le désenchantement du pouvoir. A bon entendeur, salut !

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