mercredi 14 septembre 2016

AFFAIRE NABIL BENABDALLAH LE CHEF DU PPS, VA-T-IL SE RÉDUIRE A NÉANT PAR SUITE DU COMMUNIQUÉ DU CABINET ROYAL ?

BENABDALLAH ET LE DÉSESPOIR N’AYANT PLUS RIEN A QUOI SE RACCROCHER, CAR SON IDENTITÉ ALLANT S’EFFACER DANS LE MONDE POLITIQUE GRISONNANT !

       Maintenant, les marocains ont compris que les rôles sont distribués entre Benkirane et Benabdallah pour détenir la franchise des lignes électorales sans le RNI ni le MP, vu qu’ils donnaient l’impression d’avoir eu la haute main dans l’exercice du gouvernement sortant. Sauf que, ce qu’ils ont omis dans cette manipulation après qu’ils n’aient eu le feu vert de leurs coalisés pour présenter leur bilan remanié édulcoré bref trafiqué en leur faveur, c’est ‘’Li F'Rass Ejmel, F'Rass Ejemmalas’’ c’est-à-dire, au Souk de bétail, ce qui trotte dans la tête du chameau si tenté qu’il le fasse, est pré-pensé par les négociants en camélidés. Autrement dit, ce qui tourmente Benabdallah et Benkirane, est consciemment continuellement pris en compte par Mezouar et Laanser sans le montrer. Et ce, afin d'entamer un autre travail dans l'espoir de s'inventer un avenir où s'entretiendraient des rapports des procédés et des styles de l'unicité volontariste de langage sans naïveté sachant que c'est périlleux pour tout le monde. D’autant plus, déjà la fronde au sein des partis, en effet, se fonde sur la prétention des marocains de faire le nettoyage électoralement de la caste des privilégiés par le sang le copinage le voisinage voire même le chantage.

       Il est à noter, que quand on porte en politique la double casquette à la fois en tant qu’Ex communiste patron d’un parti progressiste légendaire, en plus pro programme-vision obscurantiste d’Abou Tamim que porte le chef du gouvernement, c’est qu’avec le temps qui courent c’est garanti que la mort politique serait au rendez-vous. Donc, par suite à la désinvolture de Benabdallah pour ce qui est de son attaque réitérée non réfléchie et non mesurée à l’encontre de l’institution royale, il ne lui resterait à présent que chagrin, qui plus tard, sûrement se muerait en démission comme revanche du temps politique. Comme ça, ses soi-disant subtilités, ses ruses, dont il se targue face aux sous-outillés politiquement ne lui seraient d’aucun secours, sachant qu’il ne rentrerait plus au palais. N’est-ce là où, par son snobisme hautain et sa langue de bois noyant toute vérité, il a, en cinq ans crée la marche politique paradoxale au sein du PPS ? Dans la mesure où sa façon d’orienter les discussions vers des échanges de sortie de route toujours dans le même sens sur le même refrain qu’il ait lui-même utilisé en 2009. Et qu’aujourd’hui, pour ne pas laisser de trace sur ses échecs cuisants en matière de gouvernance ministérielle, voire même de ses recombinaisons politiciennes pro PJD, il en réitère la même phraséologie déconcertante.

       En effet, pour subvenir à ses besoins pas seulement politiques, comprendra qui voudra, il a en plus contraint les notables parce qu'y en a aussi au PPS comme dans tous les partis en plus des novices adhérents à son parti, à se faire travailler leur mentalité comme les caciques Ex bolcheviques-staliniens pour se mettre sur la ligne islamiste d’Abou Tamim pour raison le concernant lui particulièrement. Une conversion qu’il leur a imposée à tous et qui ressemble à une fouille de leur subconscient pour les déstabiliser et donc par ailleurs découvrir leur limite d’acquiescement de ses élucubrations et de ses dérives. Feu Ali Yata, si l’on se reporte à son époque ne l’aurait jamais accepté, car donnant l’image d’un héritage aussi brouillé par ce suicidaire à la moustache fantasmée qui fait penser à Staline. Vraiment, sa pratique de la politique de l’extravagance politicienne au sein du PPS ressemblait à un jeu avec le feu, qu’à tout moment il peut détruire tout ce qu’il y a autour jusqu’à ce que les foyers des étincelles consument le Parti. D’ailleurs après l’affaire ‘’Jouj Francs’’, c’est avec l’aide du PJD qu’il ait pu sauver la jeune ministre d’un naufrage certain, ayant supplié à genoux les uns et les autres de l’aider à mener l’opération de sauvetage de sorte à la sortir du brasier et qu’elle renaisse de ses cendres.

       A cet effet, si on l’évalue sur la base de ses moments passés à faire l’éloge du chef de gouvernement, on en verrait une sorte de mélange de plusieurs variantes d’attaques contre l’Etat-Maroc dont il en est quand même un ministre. Ce qui montre en cette veille d’élections législatives du 07 Octobre 2016, qu’on lui a intimé l’ordre de coller sur le paravent de l’institution royale pour provoquer zizanie de conjoncture et induire un phénomène de panique. Qu’effectivement, cette méthodologie d’accélération du processus du dénigrement de personnalités du sérail royal, est désormais considérée par les observateurs aguerris une sous-production de la faiblesse d’affronter le peuple par des programmes solides viables réalisables sans emphases ni surenchères sur leurs chiffrages et leurs montages. Aussi, en conséquence à cette spirale mensongère de sa part, seul le temps dira si en tant que chef du PPS il avalerait sans maugréer la dérobade de beaucoup de ses proches amis au parti, après l’affront du communiqué du cabinet royal jusqu'a démissionner. D’autant qu’il est, qu’on ne le veuille ou pas, le politique sans virtuosité diplomatique ni clairvoyance gestionnaire ministérielle, car seulement porté sur la fanfaronnade de salon et les intrigues pour disqualifier ses concurrents. Malgré, ce qu’en pensent de lui les réfugiés sans conscience au sein de certains partis politiques le soutenant par espièglerie politique pour affaire les concernant. Ainsi c'est une autre réécriture de la réalité qu'ils essayent de livrer, et/où les aspects les plus contradictoires de l'infinitude réelle de leurs désirs respectifs de voir l'Etat-Maroc vaciller entre leurs différents raisonnements de création d'affrontements sociétaux. 


       C’est dommage pour lui d’en arriver à ça, d’où, derrière son visage de faux-chérubin apparaît celui qui veut s’agripper au pouvoir sans en avoir ni la popularité ni la carrure du politique juste non roublard. D’ailleurs, sans parler de son non virtuosité diplomatique en Italie, sa gestion actuelle du département de l’habitat est un désastre criard, même si dans ses locutions il se couvre de gloire étant le seul à le faire et à y croire. Tellement qu’on en voit une fantaisie rappelant son passage à la communication, à même de se déclarer en fin de législature prêt à parapher d’autres honteuses clauses sur les maisons qui tombent à chaque averse par l’absence d’un réel suivi responsable de sa part. On pourrait même dire qu’il aurait représenté sans le savoir les mafias locales partout, comme à Chefchaouen et ailleurs en violation de la transparence et la probité dans la distribution des lots de terrains qu’aux proches inconditionnels et pjdistes conditionnés. A bon entendeur, salut !

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