L’UE ET L’ALGÉRIE CONTINUELLEMENT COMMUNÉMENT DANS LEUR JEU DE RESSERRAGE DIPLOMATIQUE MENSONGER, NE SONT-ELLES AUJOURD'HUI DÉPASSÉES PAR LA CONVERGENCE DE LÉGITIMITÉ ET OFFRE DE STABILITÉ-DÉVELOPPEMENT DU MAROC ?
Quand la bonté du
Maroc est brutalisée par l'UE depuis Ashton jusqu'à Moghirini, voire truandée aussi en continue par l'Algérie, il ne lui reste qu’à mobiliser tout azimut
pour y faire face. N’est-ce comme ça, la préconisation de combat diplomatique
permettra de comprendre les raisons du rapport de force de l’UE sous dominance
algérienne, face au pole d’intérêt économique et cultuel-sécuritaire qu’est le
Maroc ? Surtout après qu’il eut cru avoir acquis un capital-confiance, de ne
plus se retrouver dans l’incapacité de solder la position de nuisance du
pouvoir algérien. En tout cas le suivi diplomatique est plus que jamais d’actualité,
devant répondre à la règle d’or incontournable de contrôle et dépistage des
signes de surenchère, qui peuvent causer plus de tension aux frontières dont tout le monde en parle aujourd'hui avec mégarde. D'autant, l’annonce officielle de son gel des contacts avec l’UE révèle qu’il n’essaye aucunement
de courir après les événements, montrant sa vigueur en mettant à la disposition des observateurs
qualifiés un panel de sujets-questionnements sur sa nouvelle vision de desserrage
de l’étau diplomatique sur lui. Et qu'il redouble de vigilance dont aussi chaque décision par jalousie à son encontre, ne fait que
doper le potentiel intrinsèque de fierté nationale marocaine loin de tout acquiescement fataliste. Surtout pour
faire face aux essais d’hypertrophie scandaleuse du couple UE-Algérie, de surcroît voulant atteindre
la surcharge de performances politiques diplomatiques royales de grande
résonance au-delà du supranational.
Et oui, le Maroc
n’acquiescera jamais, parce que l’ambition de l’UE pour y arriver reste
dépendante de la bénédiction des lobbys anti Maroc, dont leurs agitations à eux sont
tributaires de l’aval du pouvoir algérien. Mais à qui la faute dans cette surchauffe
actuelle Maroc-UE et Maroc-Algérie, dont tout un chacun sait qui est le Bon, la Brute et le Truand ? Car, si l’on se réfère à l'hisoricité de la mise en disposition de
l’UE pour l’alliance Nord-Sud, on s’en convainc qu’il y’a un déséquilibre
flagrant aucunement du coté du Maroc. C’est d’ailleurs en ce sens que l’opinion
publique marocaine avertie, est interpellée par les écarts de gestion-attirance trop
déséquilibrés de l’UE. Entre extase ayant accompagné la période d’avant le ‘‘printemps
arabe’’ dans le Sud du pourtour méditerranéen et désagrément lié aux
modifications d’après, que vivent ces pays à l’exception du Maroc.
C’est vrai le Maroc
est secoué, mais ne peut être inquiété par cette UE elle-même au bord des
affres des ‘’...exit’’. Même si, les problèmes de gestion au quotidien par
Mezouar et ses protégés filipendules, sont devenus un secret de polichinelle au
vu de sa dernière sortie médiatique tonitruante à l’encontre du ‘’tahhaqoum
pjdiste’’. Ce qui démontre la confusion patente qu’il vit entre ses affaires
partisanes et les fondements de poursuite d’une politique extérieure percutante. Comprendra
qui voudra ! N’ayant pas réussi à mettre au point une méthodologie temporelle
de secouement des hypocrisies, particulièrement celles venant de l’UE qui ne
s’en cache de sa mise sous tutelle des contrevérités algériennes vis-à-vis du
Maroc. Encore heureux, qu’en réponse à la vision royale qui dépasse et de loin la
capacité normale du pouvoir algérien, le Maroc montre ou même démontre à qui
veut que sa riposte induit qu’on ne le veuille ou pas, des charges
diplomatiques de haute teneur de responsabilité historique, se conjuguant à son offre collaborative
de renseignement sécuritaire donnant-donnant. Et qu’au demeurant il l’ait souverainement
programmée, non seulement par la mise effective dans les canaux de sa chancellerie
via ses échanges économiques et commerciaux. Mais aussi par la convergence de
légitimité de ses diverses expertises reconnues, qui sont menées sans tremblement ni hésitation dont l'UE est mieux placée pour en apprécier la précision. Tout ça bien sûr, parce qu’il eut
constaté le manque d’espace d’échanges diplomatiques honnêtes et corrects, à
même de non reconnaissance à son égard, s’additionnant à la redondance
d’iniquités de louvoiements et de fourberies pour le contrarier. C’est dire que
l’ampleur de l’interventionnisme pro algérien de l’UE est néfaste, car se
considérant concernée directement dans la solution du problème du Sahara
marocain sans savoir qu’elle est la première cause de sa longévité.
A cet égard,
cette UE même dans ses petits calculs malveillants, pourquoi ne sait-elle qu’elle
ne trouvera d’oreilles fines qu’auprès du Maroc faisant la part des choses
en matière de sécurité en ce temps présent ? Seulement, pourra-t-elle intégré
cela, pour rattraper son retard en investissement via la plateforme marocaine
sur les pays du BRIC en plus de la Turquie en Afrique ? D’ailleurs, n’est-ce
aussi en cela que le Maroc est en passe de normalisation de la chronologie de
sa communication ciblée, pour qu’elle soit précise concise et surtout succincte
sans emphases ni élucubrations ? Tellement qu’on est en droit de dire
aujourd’hui, voilà pourquoi la Suède la France l’Espagne l’Allemagne la
Belgique l’Italie la Hollande et autres, s’y sont mis en file indienne pour
collaborer individuellement avec lui ? Sachant déjà qu’il est entré en phase de
rehaussement des mécanismes de prévention des obstructions de ses canaux
diplomatiques, pour ne plus vivre des moments comme dans le cas de la Suède la
CJE etc… En effet, pauvre UE, qu’aujourd’hui ne réussi qu’à dilapider le
capital de son rêve grandiose. Normalement but ultime d’éviter son entrée en décroissance
sociale et économique, voire de minimiser les concoctions d’opérations
fortement influencées par la haine et xénophobie jugées contraires à ses prétentions
humanitaires. A bon entendeur salut !
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