C’EST QUOI CE NOUVEAU CADRAGE MANIPULATEUR IRRESPONSABLE
ET IRRESPECTUEUX DE LA RÉSOLUTION 2218 DU CONSEIL DE SÉCURITÉ PAR BAN KI MOON ?
Est-ce la déconvenue
subite du secrétariat général de l’ONU sous Ban Ki Moon le frustré, ne sachant qu’il est
juste l'une des petites mains en faveur des maîtres chanteurs-manipulateurs attitrés ?
Parce qu’en transigeant avec la neutralité et l’impartialité en totale
opposition avec tous ses prédécesseurs, il a fait subir l'atroce mort aux diplomates du
cercle fermé au Secrétariat Général de l’ONU. Au sens où, il a bafoué le
cadrage du Conseil de Sécurité en outrepassant les lignes directrices affichées
dans la résolution 2218. A cet égard, qu’en est-il aujourd’hui de l’essai de
réanimation diplomatique onusien, pour dépasser cet affront
inadmissible fait aux marocains par le Secrétaire Général en terre algérienne ?
Parce qu’attention de ne pas savoir, pourquoi soudain ses mots sont devenus pour
lui une ligne programmatique de levée de sa frustration de n’avoir pas assez
communiqué sur son aventure intériorisée anti Maroc ? Et aussi, pourquoi cette dimension intempestivement dangereuse pour toute la région, sans savoir que même avec son air de chérubin il ne passe pas pour l’homme ré-inventeur du silence diplomatique ? N'ayant même pas activé les thématiques sur le recensement des séquestrés malgré-eux, sur les détournements des aides internationales aux réfugiés par les nouveaux riches mercenaires-trafiquants et surtout sur les peurs compilées chez les pays riverains par suite au grondement terroriste menaçant. En somme, rien
ne rappelle en lui qu'il est l’homme à l’esprit souverain qui n’aime pas conduire d’actions
diplomatiques négatives.
C'est vrai, qu'avec cette posture, il n'aura jamais l'aura des grands hommes par sa légèreté de soutien des milieux de la paranoïa, même ayant après fait marche arrière face au
tollé d’incompréhension provoqué. Dont sûrement il en gardera un souvenir maculé de doute sur ses
capacités de fervent défenseur des mensonges et contrevérités de son envoyé
spécial Christopher Ross. Effectivement, dans un semblant désir de son
renouvellement en fin de mandat, Ban Ki Moon a tenté de modifier les lignes
politiques de sa devanture afin de n'apparaître blessé au fond de lui par suite
de ses échecs successifs criards. Peut-être, a-t-il rêvé être devenu le
Raspoutine du temps présent, pouvant guérir la région du terrorisme en prenant
pour caution le soi-disant prestige de l’amitié des usurpateurs de Ksar
Lamradia à Alger. Un non sens géostratégique des cultures des mensonges par Ban
Ki Moon aux yeux du monde, notamment les experts en matière de lutte anti terroriste
qui connaissent le gout pour la manipulation des gens du pouvoir algérien
actuel.
Ainsi, en se
rendant en Mauritanie aux camps de la honte et en Algérie, il a fait connaitre au
monde entier son penchant à la navigation en double aveugle dans les marais du
mercenariat structurel sous influence des grands manipulateurs. Voire aussi son
don de falsificateur fou de l’histoire du Grand Maghreb arabo-amazigh, ne
sachant même pas que l’Algérie n’a jamais existé. Contrairement à la Libye la
Tunisie et le Maroc, dont les gens du pouvoir militaire et civil algérien s’y refusent
aujourd’hui d’avoir une pensée tournée vers le passé pour masquer leur réalité
d’existence disloquée. Comme ça, pareille stupidité d’analyse de la part de Ban
Ki Moon de traiter les marocains comme des colonisateurs d’autrui, n’en peut
transposer qu’atmosphère de latence sans espoir et suspicion de maintenance du
statu quo devenu vestige des pratiques de ce pouvoir algérien en fin de vie. C’est
en ce sens, que Ban Ki Moon une fois hors circuit onusien s’en ira musarder
dans les couloirs des congrès privés et autres symposiums secrets. Non
seulement pour parfaire ses connaissances historiques géopolitiques afin
d’espérer se voir un jour intimement faire amende honorable vis-à-vis de sa
conscience. Mais aussi pour pouvoir faire son mea-culpa et négocier une bonne
place dans la corbeille des oubliés et éclipsés de la vraie ‘’Histoire’’ de
l’ONU.
Ce faisant, n'est-ce à
vouloir se transcender par ses écarts non bien calculés, n’est-t-il devenu sans
le savoir le pestiféré du ‘’machin’’ périmé ? Justement, alors qu’il trônait
à la tête de l’ONU, il n’en a acquis nullement d’ossature politique même
s’aidant des comportements d’énergumènes, en forme chèvres (délateurs) et
taupes (espions) pour le compte des lobbys onusiens anti Maroc. Pour preuve
toutes leurs déconvenues en série et en parallèle partout où ils intervenaient,
certifiant son inaptitude à discerner le vrai du faux dans tous les cas qu’il eut
en main. N’ayant provoqué que désolation en forme de partialités déconcertantes
eu égard à d’autres expériences avant lui, qu’au préalable il en aurait dû consciencieusement tenir compte sans se laisser faire manipuler. Et donc éviter
d’infliger à l’application du droit international, les pires traitements par
ses surpassements de non neutralité. Aussi, il est loin le temps lorsqu'il se considérait penseur chevronné même quand il usait d’inexactitude dans ses expressions, parfois non sans ton
sarcastique à l’égard de ses
interlocuteurs.
Et oui,
normalement un Secrétaire Général diplomatiquement préventif et donc digne de
ce nom, fait passer son comportement et langage par la case vigilance. A cet
égard pourquoi, lui, ne s’est-il doté d’impartialité et efficacité pour
l’anticipation sur les remous de son clash lors de sa visite dans la
région ? N’est-ce aussi là où on voit, son implication recommandée à travers la
mise en place de protocole de contrôle des gens qui pouvaient l’approcher, n'ayant laissé nulle place à la dissidence forte présente dans les camps ? En
définitive, ne doit-on considérer cela, le premier signal déclencheur de la
mort diplomatique subite que connait le Secrétariat Général de l’ONU
aujourd’hui sous Ban Ki Moon ? D’autant, on est tenté de répondre qu’un
certain nombre de gestes de sa part restent intrigants, comme le ‘’V’’ de la
victoire qu’il a levé aux camps de Rabouni dans un circuit parfaitement fermé.
Ne peut-on dire à ce propos, qu’il se préparait psychologiquement à enfreindre
le magistère onusien une fois arrivé à Alger et, conséquemment mettre le monde
diplomatique en émoi ? Ce à quoi, il est indispensable pour les marocains
dans leur coordination de mettre en évidence leur désapprobation totale de ses
faits et gestes, connaissant parfaitement les taches et attributions du
Secrétaire Général de l’ONU.
Ne s’agit-il là
d’une obligation pour eux, puisqu’au Maroc les institutions excepté le
ministère de tutelle ne sont tenues de se contrôler pour dénoncer les propos les
oscillations les sautillements et inaptitudes de Ban Ki Moon. Même si, le Maroc
officiel est dans une recherche des fondements diplomatiques saints, pour une
nouvelle coopération avec le Secrétariat Général de l’ONU dans l’attente du
départ de Ban Ki Moon. Aussi pour sauver le peu qui lui
reste sans donner l’impression que rien ne le tourmente, ne doit-il tenir
compte des voix s’élevant dans les chancelleries du monde pour compenser le
malaise profond ayant touché les marocains dans leur dignité? Dont, apparemment Christopher Ross en a mesuré la portée significative, tellement, qu'il en voit la seule et unique solution de complémentarité de rattrapage pour lui pour pouvoir
recouvrir son identité onusienne auprès du peuple marocain, et ce, via l'acceptation de l'offre maximale marocaine d'autogestion dans le cadre de la régionalisation avancée déjà en marche. Néanmoins, il n’en demeure que c’est une manière de faire savoir aux technocrates onusiens, qu’ils ne peuvent plus paraître ce qu’ils ne sont pas face au Maroc nouveau d’aujourd’hui. En tout état de
cause, cet épisode pourrait sans doute constituer une excellente introduction à la
gestion rationnelle diplomatiquement parlant, du dossier du Sahara marocain par
son successeur. A bon suiveur bon décryptage !
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