dimanche 27 mars 2016

LE MONDE DE LA DIPLOMATIE EN ÉMOI, DANS L’ATTENTE DE REQUALIFICATION DE LA FONCTIONNALITÉ DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL DE L’ONU ?

LE CDD (CONTRAT A DURÉE DÉTERMINÉE) DE BAN KI MOON EN PHASE TERMINALE, NE POUVANT PLUS ETRE CONÇU A L’AVENIR HORS RESPECT STRICT DE LA FONCTIONNALITÉ ONUSIENNE !

       Les marocains vont bien voire à merveille, mais Mister Ban Ki Moon le sait-il ? A-t-il encore quelque chose à déclarer ? Parce que maintenant tout le monde est au courant, il y a du gaz et du pétrole au Secrétariat Général de l’ONU sous sa direction. Et/où les subsides financiers transvasés par le système Boutaflika dans les poches des souteneurs du Polisario, font aujourd’hui couler beaucoup d’encre en Algérie. D’ailleurs pour être plus clair, qu’espérait-il Lakhdar Ibrahimi l’envoyé spécieux officieux du pouvoir d’Alger pour tâter la possibilité de le sortir du boudoir international dans lequel il s’y est fait volontairement isoler, à cause de ses soutiens aux pactes d’ouverture d’enfer avec Aqmi et pas seulement dans la région ? A cet égard, cet émissaire-négociateur lent, n’a-t-il appris à ses dépens les sorties médiatiques tonitruantes injustes partiales et non neutres de soutien de Ban Ki Moon au Polisario, lors de sa dernière visite dans les camps de la honte et en Algérie ? Au sens où, aujourd’hui la question qui se pose, n’est-elle ni plus ni moins de savoir si l’offre maximale marocaine d’autogestion de 2007 dans la régionalisation élargie, peut être avalisée lors de la délibération du Conseil de Sécurité de l’ONU fin Avril 2016 comme solution constructive positive ? Voilà pourquoi, ceux des rares marocains en fin de vie politique, qui marchent dans leur exoplanète de par leur essai de mobilisation pour faire revenir le Maroc en arrière, ils doivent affiner encore plus spécifiquement la recherche des traces de leur égarement lointain dans le raisonnement de Ban Ki Moon sous emprise du pouvoir algérien.

       D’ailleurs, après les deux dernières réunions du Conseil de Sécurité de l’ONU pour comprendre le tollé marocain et en même temps étudier le SOS de Ban Ki Moon, le climat est en effet plutôt serein presque favorable à la promotion de l’offre marocaine d’autogestion. De plus les USA Russie France Chine Inde Espagne Allemagne Italie Belgique Portugal Grèce Hongrie Bosnie Tchéquie Roumanie Canada CCG Turquie Japon UK s’ajoutant aux pays arabo musulmans et africains en plus des pays de l’Amérique Centrale et du Sud des Caraïbes et l’Océanie et Asie du Sud-Est, ont tous vanté cette forme moderne de solutionner définitivement le problème du Sahara marocain. D’où la décision importante, pour la première fois du Conseil de Sécurité multipliant ses appels à une autre requalification des contacts de l’ONU avec les vrais protagonistes en l'occurrence le couple Algérie-Maroc. Dont on en voit les prémices par la programmation de la venue de John Kerry le secrétaire d’Etat au Foreign Office des USA à Alger, certainement pour obtenir l’engagement des services de renseignement militaire algérien de n’attiser le grondement terroriste dans la région par des contacts condamnables, que ça soit avec Aqmi ou autres. De plus, Serguei Labrov le ministre des affaires étrangères de Fédération de Russie pour arrêter l’imprévisibilité s’inscrivant dans un accroissement de mésentente du Maroc avec Ban Ki Moon, serait lui aussi attendu dans la région après son premier passage pour pousser à l’apaisement ayant pour effet de promouvoir durablement la position du Maroc. Ce qui fait précipiter la France à recourir à la même argumentation en faisant un débarquement sans précédent de son gouvernement à Alger, parce qu’il y va de ses intérêts stratégiques avec le Maroc. Et, en sollicitant de l’Algérie de faire utilement le choix du développement contre la fumisterie de l’épaulement d’une entité fantoche qui n’a plus de raison d’exister par les temps qui courent. Notamment, avec les risques et dérapages perceptibles en cas de variations in pondérées de production de la violence par l’augmentation de la charge tensionnelle aux frontières qu’elle avait elle-même sournoisement fabriqué.

      Cependant, ce qu’il faudrait savoir c’est pourquoi le Conseil de Sécurité n’a pas encore condamné les pratiques qui s’étaient développées entre factions du renseignement algérien dans leur recherche d’intermédiaires terroristes pour déstabiliser le Maroc ? Sachant d’emblée que ce type de contrat connu de tous les marocains, n’en ferait qu’attiser plus d’inimités vis-à-vis de l’Algérie dans le monde, particulièrement dans le bassin euro-méditerranéen et la bande sahélo-subsaharienne-africaine. N’est-ce là un rappel à la raison à faire explicitement sans détour au pouvoir Boutaflika, parce que dorénavant, on ne peut plus dire ‘’on ne savait pas’’ pour minimiser sinon justifier implicitement le recours algérien à la nébuleuse terroriste ? Autrement, ça serait à l’encontre du Maroc, une décision dramatique et incompréhensible même on n’y renonçant pas d’attaquer Ban Ki Moon en justice, parce qu’il a utilisé son rôle de facilitateur à des fins internationalement illégales et donc condamnables s’agissant de leur dangerosité de déstabilisation de toute la région. Même si, il y a déjà l’utilisation de matelas diplomatiques des pays amis pour jouer les intermédiaires dans la prise de responsabilité historique par le Maroc, en guise de souplesse pour ne pas trop charger Ban Ki Moon.

       En tout cas, n’est-ce un camouflet cuisant pour les attiseurs au Secrétariat Général de l’ONU, qui utilisent abusivement l’emphase creuse voulant banaliser les propos de leur patron à Bir Lahlou en zone de séparation et au siège du ministère des affaires étrangères à Alger ? D’autant qu’il se trouve que l’application du droit international, n’exonère pas le Secrétaire Général et ses sbires filipendules tous rangs confondus du respect des articles du texte qui régit le fonctionnement et la fonctionnalité des Nations Unies. C’est vrai, il peut y avoir comme dans beaucoup de cas sous Ban Ki Moon d’interminables tractations, mais cela ne l’autorise aucunement de s’obliger à faire ce qu’il a fait outrepassant ses prérogatives et en même temps outrageant et méprisant les marocains. Pire encore, maltraitant le ministre de tutelle d’un pays souverain qu’est le Royaume du Maroc, pour des motifs extra-onusiens puissent-ils être à minima de servitude pour ne pas dire loyalisme au pouvoir algérien.


       Evidemment, une évocation honnête sans percer d’autres mystères Ban Ki Mooniens, son contrat de travail temporaire à durée déterminée (CDD) même renouvelable en tant que Secrétaire Général de l’ONU, ne peut avoir ni pour but de déstabiliser toute une région, ni pour objectif de pouvoir clouer au pilori l’offre marocaine d’autogestion. Qu’au demeurant, elle est politiquement liée à la confirmation du jugement historique de la cour de Justice de La Haye 1975 en faveur du Maroc. Contrairement à l’interaction entre, l’illustration manifeste et publique de la panne du pouvoir algérien face au désir populaire d’en finir avec le Polisario et la crise actuelle du traitement de la demande d’autodétermination de la Kabylie dont déjà beaucoup de pays s’y préparent pour la soutenir. Comme ça, on ne peut pas dire que le risque devient de plus en plus grand, de voir dans le futur proche le pouvoir algérien redoubler d’effort pour montrer pate blanche sur son alignement à l’offre marocaine maximale d’autogestion. Et, donc conséquemment de retrouver la confiance de ses citoyens jusque là perplexes quant à leur avenir sans le Maroc, lequel est très en avance dans la programmation de son développement pléthorique avec ses propres moyens, en plus de la mise en effectivité de la régionalisation avancée. A bon suiveur bonne lecture !

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