QUEL
PEUT ETRE L’IMPACT DE L’ APPORT INFORMATIONNEL DE WIKILEAKS, SUR LES COULOIRS
MORBIDES DU RENSEIGNEMENT ALGÉRIEN ?
Aujourd’hui le
pouvoir Boutaflikien, n’est-il face aux conséquences incalculables de ses mystères
irrationnels émanant du rêve chimérique de son armée de mettre le Maroc à
genoux ? Alors, que peut-on dire à cet égard ? Sinon, dur moment pour
le pouvoir algérien peu habitué à être vilipendé de partout à l’international,
car ne se rendant compte du désordre provoqué dans l’armée algérienne
elle-même par suite d'attaques à In Amenas et In Salah. N’est-elle par ailleurs aux abois, sans pouvoir nier le niveau de
son implication par son pacte-accord avec Aqmi de Mokhtar Belmokhtar alias
Belaouer ? Non seulement dans un but de maintenir la pression terroriste sur
les pays du Maghreb notamment le Maroc, mais aussi sur toute la bande
subsaharienne-sahélo-africaine en faisant trembler l’occident sur ses intérêts.
Sauf que, c’en est nullement une surprise surtout pour les connaisseurs avertis
des histoires à la Dracula de ce pouvoir, qui maltraite son peuple ne
réussissant que création d’inimités devenues ouvertement contentieusement
africanisées.
Avec ce pouvoir, n'est-ce pas que tout semble atemporellement intempestif et dangereux. Tellement qu’il ne faudrait pour le Maroc tomber dans le
piège, particulièrement, en ne se faisant pousser dans la réactualisation des
anciennes blessures de la guerre des sables 1963. C’a quoi l’équipe Boutaflika même étant pris à parti par la
communauté internationale dans un contexte de traumatisme terroriste hautement généralisé
de par le monde, elle ne veuille rien savoir. Ce qui permet qui plus est, de douter du script du silence
trompeur de ce pouvoir, alors qu’il y a péril en la demeure au titre de son
calendrier de construction des contacts prouvant des négociations parallèles
avec la nébuleuse terroriste. Dont Wikileaks en a démontré que le processus de
recrutement et sélection est d’autant plus crucial que le contact de
sous-traitance, et qu’en effet Midi1TV courageusement professionnellement en a ouvert le bal en ON
pour expliquer par la preuve l’ouverture de ce marché terroriste dans le Sud
algérien et chez les polisariens.
Aussi, pour
signifier sa colère à ce propos, pourquoi le gouvernement marocain n’a-t-il
adressé de communiqué cinglant à l’équipe Sallal. D’un coté pour montrer qu’il
ne transige pas avec les complicités des supports béniouiouistes de l’intérieur
pro Boutaflika, de surcroît sont incapables de résister aux ors de ses offres corruptrices.
Puis de l’autre pour crier son refus catégorique à cette transhumance
terroriste subsaharienne-africaine sous bénédiction des services de
renseignements algériens. A ce titre, il est maintenant clair que les
néo-faucons civils et militaires à Ksar Lamradia à Alger s’activent pour ouvrir
un front guerrier direct contre le Maroc. Et qu’en plus les dislocations
sociétales dans les wilayas servent d’effet d’aubaine pour leur mise en
effectivité de leur stratégie diabolique, dont tout semble indiquer que
l’agitation de Ban Ki Moon à l’ONU n’en est qu’un balisage préparatif répétitif
terrible. Comme ça, l’on peut affirmer que cet engagement vers l’inconnu
s’inscrit à la fois, dans la pensée sadique Boumediennienne et dans celle snobinarde
Boutaflikienne qui refuse la proéminence du Maroc. Malheureusement ayant pour
objectif en ce temps présent, de polariser le jeu d’alliances autour de la
tendance certifiée du Maroc vers l’émergence réelle et non fictive dans tous
les domaines. N’est-ce là où on voit qu’elle est inspirée par l’esprit
hégémonique centralisateur du pouvoir algérien actuel, dont on peut y voir sa
folle envie de sa passion de mise en scène de tragédie terroriste morbide. Qu’au
demeurant méprise le droit international, par l’entendement avec ces fractions
terroristes et/où chacune l’interprétera de façon radicale sinon diabolique,
dès lors que ça dérangerait et blesserait les âmes des voisins dans un but de
briser leurs espoirs et prétentions légitimes de vivre sereinement.
Le brouhaha au Maghreb aujourd’hui n’est pas
fait que de simples escarmouches entre factions, il annonce une véritable
tragédie sur fond de propagande guerrière si rien n’est fait pour le contenir. Voilà
pourquoi le Maroc confiant dans sa détermination à recouvrer toutes ses
souverainetés territoriales, il veut ne devoir ses victoires diplomatiques qu’à
sa propre feuille de route sans manipulation ni marchandage. A même d’imposer
la réécriture de l’histoire de son Sahara, la revisitant au sein des instances onusiennes
ou autres pour la vider des mensonges et contrevérités de Ban Ki Moon de l’Algérie
et les manutentionnaires propolisariens. En effet, il est à relever que l’Algérie
durant les quatre décennies écoulées, n’a jamais eu le courage de poser le
problème du Sahara marocain ni dans ses programmes gouvernementaux ni même dans
les plateformes des partis politiques. Au point que maintenant, le scandale
remonte en paroxysme sur ses visées d’utilisation des fonctions
militaro-terroristes à des fins de déstabilisation du Maroc. D’autant, c’est
vrai, par suite d’analyse des câbles diplomatiques échangés sur l’Algérie par
Wikileaks, il est évident qu’au Conseil de Sécurité de l’ONU on ne cherchera
aucunement à la protéger tout en se concentrant sur sa survie menacée de l’intérieur.
Seulement, à
toute fin utile, cette obsession du pouvoir algérien s’alignant derrière ses
objectifs désormais non tus voire ouvertement affichés, s’en trouverait devant
le profilage du nouveau Maroc trop puissant d’une portée insoupçonnable. En
cela, le Polisario, au lieu de continuer de pousser vers cette glissade s'aidant de notes tendancieuses de Christopher Ross, sans
pouvoir se dégager des contraintes de l’issue de l’affrontement si par hasard
il a lieu, il vaudrait mieux pour lui de ne surdéterminer ses atouts tout en mésestimant
voire occultant la puissance du Maroc. Le voilà donc ce Christopher Ross avertis, même envoyant emails et photos à ses amis pour manipuler encore une fois de plus les membres du Conseil de Sécurité ! Sachant que Ban
Ki Moon est plus qu’en colère car désespéré ayant voulu dans ses manipulations en
catimini pouvoir aboutir à cogérer le dossier de mise à niveau du Sahara
marocain par son plan machiavélique de reconversion hypothéquant l’avenir. Mais
c’était sans compter sur la vigilance des marocains, d’autant plus que sa
déroute s’est accentuée quand, le Conseil de Sécurité lui a presque retiré sa
confiance sans raison officielle. Dès lors qu’il est rentré dans un bras de fer
avec le Maroc à quelques mois de son départ sans garanties ni aval, au point qu’à
l’ONU aujourd’hui on compte bien l’obliger à s’excuser et à prendre ses
responsabilités face à l’Algérie qui n’en finit de décevoir. A bon suiveur
bonne lecture !
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