dimanche 13 mars 2016

LA RIPOSTE DU MAROC CONTRE LA CHIMÉRIQUE-TACTIQUE PROTECTORAT DE BAN KI MOON, NE DOIT-ELLE ETRE RECONNUE PAR LE CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L’ONU ?

POUR LE MOMENT LE MOINS QUE L’ON PUISSE DIRE A BAN KI MOON LE MANIPULÉ  C’EST DE SE TAIRE, CAR SON ESSAI CHIMÉRIQUE-TACTIQUE PROTECTORAT MÉRITE LA RÉPONSE ÉCLAIR PAR LA PRÉSENCE PHYSIQUE DES MAROCAINS AU DELÀ DU MUR DE SOI-DISANT DE SÉPARATION.

       Le voilà donc avertis Mister Ban Ki Moon ! Il doit écouter les diplomates à travers le monde qui l'accablent et, aussi les marocains de Tanger à Lagouira et ceux du monde qui le grondent le lui faisant savoir par leur marche multi-millionienne (3500000) de Rabat. Dont Mezouar aurait du en anticiper et lui répondre du tac au tac par : ‘’Ça suffit taisez-vous maintenant, vous faites preuve d’incompétence tellement que vous êtes bon pour la camisole pour éviter à la région d’autres blessures à cause de votre mauvais rôle’’. Parce que ça fait presque trois ans depuis le clash USAEEN-ONUSIEN 2013 voulant élargir les prérogatives de la Minurso pour le contrôle des droits de l'homme au Sahara marocain, que les menaces des lobbys anti Maroc à l’ONU se précisaient de plus en plus. Devenant aujourd’hui identifiables et donc mesurables, par comparaison à celles faites à l’égard d’autres conflits où le rush médiatique s’apaisait entre flux et reflux selon les moments des tensions sur le terrain. Ce qui montre vraiment que le Sahara marocain exprimant aujourd’hui son développement sans précédent, par le rayonnement des femmes et hommes sahraouis à travers la culture l’économie l’écologie et la sécurité dans la région, est en passe de devenir l’un des grands enjeux géostratégiques des débats politiques onusiens. Malheureusement, relevant encore de la démarche de Ban Ki Moon affichant sa volonté d’utiliser l’arme du chantage par son essai chimérique-tactique protectorat fourré de coups bas au service des ennemis du Maroc. Une non neutralité avérée aux yeux du monde, poussant à se poser la question, est-ce que vraiment il va bien ?

       Longtemps considéré comme nuage diplomatique passager, en ce temps présent l’essai de Ban Ki Moon ne tend-t-il à devenir gravissime parce qu’invraisemblable ? Il est évident que la réponse à cette situation inédite, est de ne plus rester dans la tendance de confinement des questions stratégiques existentielles à de simples débats entre marocains. Mais, de les mettre dans l'agenda du Maroc diplomatique pléthorique en état de veille continue, en s’avançant par l’offensive sur les positionnements des séparatistes pour contrôler leurs passerelles des régulations de leurs nuisances dans toutes les instances internationales. Encore faut-il pour y arriver, mettre un programme d’envergure de formation de commandos diplomatiques ayant du courage politique fusionnel spécifié multifactoriel cohérent lisible et visible pour assurer dans la durée cette dynamique d’assauts et de reconquêtes. Parce qu’à scruter l’interface communicationnelle que voulait imposer l’état de fait de Ban Ki Moon dans les locaux du ministère des affaires étrangères algérien, il est de l’intérêt du Maroc de sa cohésion sociétale de son développement socio-économique et de sa stabilité sécurisée de se mettre au niveau du tollé provoqué dans les chancelleries du monde. D’ailleurs pour être plus clair, cette charge abjecte ne fut-elle initiée par des diplomates du cercle fermé du Secrétariat Général de l’ONU, sous le contrôle politique strict de l’équipe rodée à cette besogne de Ramtan Laamamra ? Visant en même temps la déstructuration des relations avec le Maroc et le renforcement du relationnel intimiste entre Ban Ki Moon et la cohorte du pouvoir algérien. Avec mission de provoquer d'abord la confusion et déstabiliser dans le futur proche les objectifs rationnels et logiques du Maroc dans son approche de régionalisation avancée. Puis de pouvoir remettre en scelle le Polisario en lui garantissant pérennité à marche planifiée, en usant de stratagèmes pernicieux de rivalités tribales pour diminuer la charge politique de l'offre d'autogestion 2007.

       Forcement, face à ça, les marocains ne pouvaient laisser passer leur émoi après l’effroi jeté par ban Ki Moon. Et ce, sans lui envoyer et à ses commanditaires la signification de la vraie formulation de l’identité marocaine par la vague humaine à perte de vue du 13 Mars 2016 à Rabat. Bien sûr en tant que primo-réaction, faisant partie d’un plan d’action adopté à l’unanimité entre société civile partis politiques syndicats corporatismes professionnels oulémas intellectuels médias et d’autres. Dont l’objectif c’est de partager dans l'avenir l’approche sur le concept de la ‘’confiance préventive’’ avec le Conseil de Sécurité de l’ONU via le CSS marocain (Conseil Suprême de Sécurité selon l’article 54 de la constitution). Afin de rétablir la bonne application des prérogatives du Secrétaire Général dans la neutralité et l'impartialité, ayant pour but le règlement politique définitif du conflit sur la base de cette offre maximale d’autogestion 2007. En cela, dans l’intérêt des marocains, voila pourquoi la marche de Rabat d’aujourd’hui qu’au demeurant est teintée d’émotion, de nostalgie du 06 Novembre 1975 ayant marqué le parcours des participants et d’ambition constructive dans l'avenir, elle s’inscrit dans le cadre de lutte contre l’essai chimérique-tactique protectorat que porte la feuille de route de Ban Ki Moon sur fond de recommandations itératives vicieuses des manipulateurs onusiens. Formulons le vœu qu'après cette marche à l'honneur de la patrie, le Conseil de Sécurité de l'ONU puisse en tenir compte et se sortir lui même de ses balbutiements hésitations voire imperfections, à travers d'indéniables corrections du cour de l'histoire que voulait lui imposer Ban Ki Moon !

       Maintenant, on peut dire les anciens de la Massira (Marche Verte) 1975 peuvent dormir tranquilles. La relève est là aux aguets. Montrant, que personne n’en a le droit d’interpréter à tort la bonté du Maroc comme un témoin de non veille, où même de nonchalance voire d’inadvertance au vu que la question du Sahara marocain est placée au cœur de la trilogie SDS (Sécurité-Développement-Souveraineté). C’est dire que la psychologie du fonctionnement de l'Etat-Maroc est maintenant au point faisant intervenir de nombreuses structures, tant sécuritaires civiles et/où militaires que d’effort d’indépendance énergétique pour le développement tout à azimut. Et oui c’est ça le nouveau Maroc sous Sa Majesté le Roi Mohamed VI, qui n’est lié à aucune hyperexcitation politique exogène par perte involontaire de sa détermination voire besoin urgent de quelque sorte que ce soit. D’ailleurs, n’ouvre-t-il les portes du pays par son aura et sa détermination inégalable dans la région, à l’investissement de pointe à grande valeur technicienne stratégique. Couronnant de la sorte son élan visionnaire de sa politique pionnière d’accompagnement structurant, en particulier dans les 03 régions du Sahara marocain (Guelmim-Laayoune-Dakhla) ? Dont le Forum Crans Montana à Dakhla pour la réflexion et le développement dans sa deuxième nouvelle mouture, en fera le thème essentiel sur les perspectives des échanges multidirectionnels avec l'Afrique et leur réglementation au niveau international. A bon suiveur bonne lecture !  

1 commentaire:

  1. Tous Les Marocains du Monde sont d'accord avec sa Majesté Mohamed VI le Maroc comprend dans son Royaume le Sahara....Point Barre.....!!!

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