BAN KI MOONGATE, UNE AFFAIRE DE TROMPERIE DÉSORMAIS AVÉRÉE AU MONDE !
Le Conseil de Sécurité
de l’ONU par sa prise en urgence du SOS de Ban Ki Moon n’a-t-il fait qu’apaiser
la maltraitance du Maroc par ce dernier et ses fournisseurs
manipulateurs ? Alors que tout le monde le sait maintenant, la
réactivation du satanisme du pouvoir algérien conjugué de machiavélisme Ban Ki
Moonien et du saprophytisme polisarien, n’est pas un choix de prudence. Qu’au contraire c’est une tromperie
perpétuellement ressuscitée, dont le Conseil de Sécurité sous présidence
angolaise en conçoit aujourd’hui la difficulté du conselling de Ban Ki Moon par
suite de renchérissement de ses caprices archivés. D’autant que l’une des
principales difficultés en diplomatie onusienne sous sa direction, est
l’existence d’un large éventail de maladresses aussi déconcertantes que
décevantes les unes les autres. Montrant qu’elles sont d’ordre de ses
faiblesses à diagnostiquer l’homogénéité évolutive sereine pour plus de rayonnement
et développement du Sahara Marocain dans la sécurité, par rapport à l’hétérogénéité
dans l’expressivité variable d’un temps révolu de par la fonctionnalité de la
temporalité réactionnelle de l’Algérie.
Du coup, n’est-ce
là un comportement irresponsable et omni pesant de la part de Ban Ki Moon,
tractant ce mélange détonnant en ne tenant aucunement compte de la tension
Rabat-Alger ? Et ce, presque à redondance sur les étapes d’épuration du
conflit du Sahara marocain, en plus ne sachant que ça pourrait à tout moment
basculer vers la complexification du destin de toute une région. D’ailleurs, sa communication présentée après avoir mal
reçu Mezouar, n’était-elle un SOS en direction du Conseil de Sécurité pour le
sauver de l’impasse ? Sauf qu’il a reproduit encore plus de confusion sur
le débat concernant le lien entre sa conception de la responsabilité
personnelle et le risque de jeter l’opprobre sur le fonctionnement dans la
neutralité et l’impartialité du Secrétariat Général de l’ONU. Ainsi, l’on peut
dire que ses tergiversations font donc partie de son déterminisme préconçu en
terre algérienne, exclusivement par le recensement des priorités orientant ses
soi-disant efforts de manière ciblée. Dont certains sont aujourd’hui connus par
ce qu’élucidés par les observateurs avertis en tant que syndrome anti Maroc
renfermant de véritables curiosités diplomatiques.
Bien entendu
cette réactivation de leur mal à Ban Ki Moon et ses sbires au Secrétariat
Général à l’encontre du Maroc, ne se limite pas uniquement à leurs manipulations
diversifiées du pré carré lobbying anti Maroc. Mais aussi à leurs mesures de résections
par le chantage risquant de rajouter à l’ONU un autre foyer cauchemardesque de
haute dangerosité, dont elle n’a nullement besoin. D’autant plus, la
particularité de cette réactivation n’est que les vrais manipulateurs reposent
sur des techniques de pression à sens unique ne recourant à aucune objectivité
conventionnelle. Notamment celle privilégiant l’interrogation sur l’histoire du
conflit pouvant diminuer les mauvaises postures et les pensées négatives sur
l’incidence du réchauffement de la tension. Mais, que faire pour sortir Ban Ki
Moon de cette logique de tendance vers la création des enfers, alors qu’il a
déclaré à qui veut l’entendre que ce qui l’a étonné c’est l’effacement des
clivages sociétaux au Maroc dans le cas du Sahara marocain ? N’est-ce là
où on voit qu’il vit avec le cercle fermé du pouvoir algérien civil et
militaire, un surmoi trop fort, ayant donné leur consensus découvrant à
tendance tacticienne manipulatrice ? Aussi, et de l’avis d’experts et
sommités reconnues à l’international, le Maroc a devant lui le pire des
secrétaires généraux que l’ONU n’est connu. Faisant à la fois le lièvre et
cavalier seul pour essayer de se rattraper aux yeux de ses commanditaires, sans
avoir la certitude qu’il puisse arriver à orienter le Conseil de Sécurité vers
un référentiel algéro-dépendant.
Si aujourd’hui
les diplomates marocains en savent beaucoup sur les manipulations de Ban Ki
Moon, désormais répertoriées dans les services du cercle fermé au Secrétariat
Général, certains à l’international même accrédités auprès de l’ONU n’en ont
aucune idée ni sur le nombre ni sur la fréquence de ces expressions nuisibles
au Maroc. Vu qu’elles ne sont pas à déclaration obligatoire en ON, qu’en cela
sont souvent méconnues par les praticiens diplomates dans les chancelleries
dans le monde. Ce qui constitue une honte et un déshonneur pour Ban Ki Moon,
aimant travailler en noir pour cacher cette tare onusienne à caractère de
favoritisme sans neutralité ni impartialité dans le traitement des dossiers. Et
dont certaines de ces transcriptions peuvent être graves soit du fait de
l’existence d’outrage informationnel vis-à-vis du Maroc, soit du fait du risque
de dégénérescence gravissime sur le terrain algérien en plein barbotage n’augurant
rien de bon, soit encore du fait de la psychose qu’elles engendrent chez les
tenanciers de la nébuleuse terroriste au sein des services de renseignement
algérien et leurs aides dans les camps de la séquestration honteuse chez les polisariens.
C’est vrai, le cœur
de cette crise avec Ban Ki Moon, c’est son changement de rapport avec le Maroc,
ne sachant que c’est une affaire existentielle de tout un peuple. Tellement que
son angoisse avec ses technocrates proches du Secrétariat Général, a grossit devenant
prégnante de ne pas être compris dans leur gestion dans la discontinuité du
dossier du Sahara marocain. D’autant plus, force est de constater, que les marocains
estiment qu’ils étaient depuis toujours pénalisés par l’ONU, ne les ayant à
aucun moment aidé à recouvrir leurs différentes souverainetés. Dont, aujourd’hui
par leurs ripostes bien ciblées et montées intelligemment que tout un chacun connait, ils en protègent
leurs arrières surtout après l’épisode UE déjà en mémoire et le feuilleton Ban
Ki Moon qui s’en est suivi voulant laisser le Maroc sur le carreau
par ses enfumages. Et ce, malgré l’extension des garanties du Maroc pour son
rendez-vous avec l’histoire de son offre maximale d’autogestion de 2007,
évitant ainsi de tomber dans des accords qui puissent ressembler à un grand
marchandage.
Finalement, n’est-il
arrivé le temps de dire à haute voix, d’une part qu’il n’est plus possible pour
le Maroc de continuer à se montrer comme une entité sans techniques
communicationnelles de standardisation de ses faits et gestes ? Et d’autres
part, de ne plus accepter de se retrouver impuissant quand à la prise en charge
des turbulences en interne dans de pareilles circonstances. Notamment, en
mettant en exergue devant le pays de Tanger à Laguouira leur irresponsabilité
honteuse alors que certains de leurs supports ne sont pas exempts de soupçons. A
bon suiveur bon décryptage !
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