mercredi 9 mars 2016

LE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE L’ONU BAN KI MOON, A-T-IL FRANCHI LE RUBICON ?

BAN KI MOON DANS SES DÉRAPAGES INSULTANTS ET OUTRAGEANTS DES MAROCAINS, NE S’Y EST-IL VOLONTAIREMENT PRIS LES PIEDS DANS LE SABLE MOUVANT ?

       Encore la bonté du Maroc est mise à mal. Il semble pour Ban Ki Moon, que pour être lui aussi dans la niaiserie du même état d’esprit que l’UE, il fallait s’aligner sur l’Algérie et répondre Oui à ses tactiques de déstabilisation du Maroc. Une fois de plus, le secrétaire général de l’ONU dans sa pseudo-neutralité borderline a franchi le Rubicon ! En effet, alors qu’on s’attendait à ce qu’il montre une neutralité irréprochable, le voilà mettre en situation paradoxale non envieuse, la noble institution du Secrétariat Général de l’ONU. D’abord par son idolâtrie de l’Algérie sur le conflit du Sahara marocain, qu’au demeurant se précise de plus en plus entre construction/déconstruction de la ligne de démarcation. Puis, par sa préconisation sous-entendue de son désir d’instauration de protectorat au Sahara marocain, excusez-le du peu. Franchissant ainsi les lignes rouges, entre sa vérité molle imprécise et son faux-semblant changeant repoussant n'ayant même pas parlé du recensement des séquestrés malgré-eux.  

       Ce à quoi, aux yeux de tous les marocains au lendemain de cette visite en Mauritanie aux camps de la honte à Rabouni et en Algérie, est venu le moment de la riposte vigoureuse sans hésitation et énergique sans complaisance ni état d’âme. Bien sûr en tenant compte des résultats de l’évaluation intrinsèque et extrinsèque de ce ballon d’essai volontairement pernicieux émanant de lui en tant que Secrétaire Général de l’ONU, car voulant introduire le doute par transmission d’une illégalité et non droit dans la conscience communautaire internationale. A ce titre, n’est-ce même arrivé le temps de renforcer la nouvelle donne géopolitique marocaine d’autogestion dans la régionalisation avancée, par la déstructuration effective sur le terrain de l’envie et désir de Ban Ki Moon en fin de mandat ? Et ce, dans un but stratégique réel non virtuel, sans trop tarder dans l’explication ni justifier la contre-offensive à l’encontre de cette tentative de vœux cachés de mise sous-protectorat du Sahara marocain.

       Aussi, pour le Maroc diplomatique qu’en effet est exempt de toute responsabilité face à cette situation inédite, le principe essentiel du positionnement collectif marocain c’est la réappropriation de l’initiative par l’utilisation de ses affinités à l’international. En l’occurrence, celles consistant à faire télescoper les combinaisons sournoises contradictoires de Ban Ki Moon et son envoyé personnel Christopher Ross à l’échelle de l’ONU. N’est-ce ce qu’on voit déjà se produire à New York et dans les capitales influentes, en concomitance de la réaction populaire et de la charge du gouvernement qui n’a pas cette fois-ci tarder à réagir vigoureusement. Ce qui normalement doit le pousser dans le futur à mettre en ligne de mire l’anticipation, avec rigueur sur ses mésentendements politiques internes d’une part et idéologiques d’autre part. Parce que Ban Ki Moon le pouvoir algérien et leurs portes flingues dans la sphère médiatique, savent l’existence du continuum dévastateur de la confiance au gouvernement du fait de la juxtaposition des turbulences qu’il connait. En l’occurrence, pouvant faire souffrir par suite à ce délabrement relationnel de ses composantes, les programmes de développement structurant dans leur mise en effectivité.

       Néanmoins, notamment pour contrer cet état de fait Ban Ki Moonien d’insultes des marocains, ne faudra-t-il prendre le taureau par les cornes en usant de tous les moyens diplomatiques juridiques et pourquoi pas militaires à la façon Roi Salmane d’Arabie Saoudite ? Comprendra qui voudra ! Car dans ce paradoxe onusien algéro-dépendant, il n’est plus tolérable pour le gouvernement marocain de perdre les repères référentiels existentiels qui se posent désormais en force caractérielle ennemie devant lui. Au sens où c’est en anéantissant une fois pour toutes, les secrets onusiens de Ban Ki Moon nourrissant les haines et les malentendus vis-à-vis du Maroc, que le peuple accomplira sa marche dans la sérénité. N’est-ce comme ça peut-être, lui et ses relais manutentionnaires en cales onusiennes, ne chercheront qu’à se dégager de la planification de leur volonté de balisage pour contrôler la feuille de route sociale économique sécuritaire marocaine ? Laquelle, dans le cadre de la régionalisation avancée usant d’efforts colossaux structurants, n’est-elle déjà mise en marche soutenue particulièrement au Sahara marocain ?

       Partant de ce constat, personne ne peut nier que c’est une situation paradoxale de préparation repensée sans l’aval du Conseil de Sécurité pour y glisser une réglementation administrative tendance protectorat. De surcroît, avec calcul portant rancune et vengeance de faire entrer le Sahara marocain avec ses 03 régions, dans une période d’encouragement à la création et instauration de souveraineté fantoche via accessibilité à l’ONU. Mon Dieu, rien que ça ! Ce qui prouve que Ban Ki Moon ne sait pas qu’il est manipulé dans sa traversée du temps mort de sa présence à la tête de l’ONU, jusqu’à paraître le dindon de la farce aux yeux de tous les membres. Car s’étant laissé instrumentaliser dans son bon plaisir de les secouer voire irriter, en plus ne sachant que ça aboutirait à la révulsion de toute une région en engendrant le risque de provoquer une horreur de plus. Mais que faire face à cette disjonction de Ban Ki Moon confondant ordre et désordre ? Parce que c’en est une, si ce n’est l’aider à se libérer de son aliénation dont il en montre aujourd’hui en ON à tous, sa dépossession de sa raison et donc de son libre arbitre.


       Voilà pourquoi l’apothéose pour les marocains, c’est quand lui et ses souteneurs seraient cloués au pilori par le triomphe de la raison du Conseil de Sécurité. Même si, lui, il en aimerait échapper au qualificatif d’homme tartufe bloqué individualiste, qui n’a rien réussi dans cette virée pour éviter les conséquences du veto pour la bonne application et respect du droit international. Pauvre Ban Ki Moon ! Pourquoi ne sait-il d’ores et déjà qu’il est en position de faiblesse, même minimisant avec agressivité conjuguée de non rationalité, les efforts des marocains à la résistance à ses tactiques et leurres ? Ne peut-on dire qu’il a trahi la communauté internationale toute entière, qu’aujourd’hui elle travail d’arrache pied avec le Maroc sauveur du sens donné à l’épreuve de lutte anti terroriste que connait le bassin euro-méditerranéen maghrébin et sahélo-subsaharien-africain ? Pourquoi n’y arriva-t-il à intégrer les annonces émanant d’intellectuels des journalistes et d’analystes politiques des années durant, consistant à briser les désirs d’indépendance sans fondement historique ? S’ajoutant, à son reniement inconscient envers la projection d’union de groupuscules diffus dans la région, dont le Mali la Libye la Tunisie la Mauritanie et l’Algérie en commencent à payer les frais. N’est-ce pas ceci montre, que c’est seulement la connaissance et la maîtrise en pratique diplomatique d’apaisement des foyers de tensions, que le monde évitera la semence de données et idées de discorde pour la fabrication de nouveaux espaces qui seraient utiles et dévoués au terrorisme pléthorique. A l’évidence, Ban Ki Moon et ses sbires se doivent impérativement à changer leurs fusils d’épaules, pour le retournement des réseaux et lobbys anti Maroc. Seulement dans le but primordial de respect de la légitimité marocaine, et aussi pour maintien de la paix dans cette région. A bon entendeur salut !

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