BAN KI MOON DANS SES DÉRAPAGES INSULTANTS ET OUTRAGEANTS
DES MAROCAINS, NE S’Y EST-IL VOLONTAIREMENT PRIS LES PIEDS DANS LE SABLE
MOUVANT ?
Encore la bonté
du Maroc est mise à mal. Il semble pour Ban Ki Moon, que pour être
lui aussi dans la niaiserie du même état d’esprit que l’UE, il fallait s’aligner
sur l’Algérie et répondre Oui à ses tactiques de déstabilisation du Maroc. Une
fois de plus, le secrétaire général de l’ONU dans sa pseudo-neutralité borderline
a franchi le Rubicon ! En effet,
alors qu’on s’attendait à ce qu’il montre une neutralité irréprochable, le voilà
mettre en situation paradoxale non envieuse, la noble institution du Secrétariat
Général de l’ONU. D’abord par son idolâtrie de l’Algérie sur le conflit du
Sahara marocain, qu’au demeurant se précise de plus en plus entre
construction/déconstruction de la ligne de démarcation. Puis, par sa
préconisation sous-entendue de son désir d’instauration de
protectorat au Sahara marocain, excusez-le du peu. Franchissant ainsi les lignes rouges, entre sa
vérité molle imprécise et son faux-semblant changeant repoussant n'ayant même pas parlé du recensement des séquestrés malgré-eux.
Ce à quoi, aux
yeux de tous les marocains au lendemain de cette visite en Mauritanie aux camps
de la honte à Rabouni et en Algérie, est venu le moment de la riposte vigoureuse
sans hésitation et énergique sans complaisance ni état d’âme. Bien sûr en tenant
compte des résultats de l’évaluation intrinsèque et extrinsèque de ce ballon d’essai
volontairement pernicieux émanant de lui en tant que Secrétaire Général de l’ONU, car voulant introduire le doute par transmission d’une illégalité et non droit dans la
conscience communautaire internationale. A ce titre, n’est-ce même arrivé le
temps de renforcer la nouvelle donne géopolitique marocaine d’autogestion dans
la régionalisation avancée, par la déstructuration effective sur le terrain de
l’envie et désir de Ban Ki Moon en fin de mandat ? Et ce, dans un but
stratégique réel non virtuel, sans trop tarder dans l’explication ni justifier la contre-offensive à l’encontre de cette tentative de vœux cachés de mise
sous-protectorat du Sahara marocain.
Aussi, pour le
Maroc diplomatique qu’en effet est exempt de toute responsabilité face à cette
situation inédite, le principe essentiel du positionnement collectif marocain c’est
la réappropriation de l’initiative par l’utilisation de ses affinités à
l’international. En l’occurrence, celles consistant à faire télescoper les
combinaisons sournoises contradictoires de Ban Ki Moon et son envoyé personnel
Christopher Ross à l’échelle de l’ONU. N’est-ce ce qu’on voit déjà se produire
à New York et dans les capitales influentes, en concomitance de la réaction
populaire et de la charge du gouvernement qui n’a pas cette fois-ci tarder à
réagir vigoureusement. Ce qui normalement doit le pousser dans le futur à
mettre en ligne de mire l’anticipation, avec rigueur sur ses mésentendements
politiques internes d’une part et idéologiques d’autre part. Parce que Ban Ki
Moon le pouvoir algérien et leurs portes flingues dans la sphère médiatique, savent
l’existence du continuum dévastateur de la confiance au gouvernement du fait de
la juxtaposition des turbulences qu’il connait. En l’occurrence, pouvant faire souffrir
par suite à ce délabrement relationnel de ses composantes, les programmes de développement
structurant dans leur mise en effectivité.
Néanmoins, notamment
pour contrer cet état de fait Ban Ki Moonien d’insultes des marocains, ne
faudra-t-il prendre le taureau par les cornes en usant de tous les moyens
diplomatiques juridiques et pourquoi pas militaires à la façon Roi Salmane d’Arabie
Saoudite ? Comprendra qui voudra ! Car dans ce paradoxe onusien
algéro-dépendant, il n’est plus tolérable pour le gouvernement marocain de
perdre les repères référentiels existentiels qui se posent désormais en force caractérielle
ennemie devant lui. Au sens où c’est en anéantissant une fois pour toutes, les
secrets onusiens de Ban Ki Moon nourrissant les haines et les malentendus
vis-à-vis du Maroc, que le peuple accomplira sa marche dans la sérénité. N’est-ce
comme ça peut-être, lui et ses relais manutentionnaires en cales onusiennes, ne
chercheront qu’à se dégager de la planification de leur volonté de balisage
pour contrôler la feuille de route sociale économique sécuritaire marocaine ?
Laquelle, dans le cadre de la régionalisation avancée usant d’efforts colossaux
structurants, n’est-elle déjà mise en marche soutenue particulièrement au
Sahara marocain ?
Partant de ce
constat, personne ne peut nier que c’est une situation paradoxale de
préparation repensée sans l’aval du Conseil de Sécurité pour y glisser une réglementation administrative tendance protectorat. De surcroît, avec calcul portant rancune et vengeance de faire entrer le Sahara marocain avec ses 03
régions, dans une période d’encouragement à la création et instauration de souveraineté
fantoche via accessibilité à l’ONU. Mon Dieu, rien que ça ! Ce qui prouve
que Ban Ki Moon ne sait pas qu’il est manipulé dans sa traversée du temps mort
de sa présence à la tête de l’ONU, jusqu’à paraître le dindon de la farce aux
yeux de tous les membres. Car s’étant laissé instrumentaliser dans son bon
plaisir de les secouer voire irriter, en plus ne sachant que ça aboutirait à la
révulsion de toute une région en engendrant le risque de provoquer une horreur
de plus. Mais que faire face à cette disjonction de Ban Ki Moon confondant
ordre et désordre ? Parce que c’en est une, si ce n’est l’aider à se
libérer de son aliénation dont il en montre aujourd’hui en ON à tous, sa
dépossession de sa raison et donc de son libre arbitre.
Voilà pourquoi l’apothéose
pour les marocains, c’est quand lui et ses souteneurs seraient cloués au pilori
par le triomphe de la raison du Conseil de Sécurité. Même si, lui, il en aimerait
échapper au qualificatif d’homme tartufe bloqué individualiste, qui n’a rien
réussi dans cette virée pour éviter les conséquences du veto pour la bonne
application et respect du droit international. Pauvre Ban Ki Moon ! Pourquoi
ne sait-il d’ores et déjà qu’il est en position de faiblesse, même minimisant
avec agressivité conjuguée de non rationalité, les efforts des marocains à la résistance
à ses tactiques et leurres ? Ne peut-on dire qu’il a trahi la communauté
internationale toute entière, qu’aujourd’hui elle travail d’arrache pied avec
le Maroc sauveur du sens donné à l’épreuve de lutte anti terroriste que connait
le bassin euro-méditerranéen maghrébin et sahélo-subsaharien-africain ?
Pourquoi n’y arriva-t-il à intégrer les annonces émanant d’intellectuels des journalistes
et d’analystes politiques des années durant, consistant à briser les désirs d’indépendance
sans fondement historique ? S’ajoutant, à son reniement inconscient envers
la projection d’union de groupuscules diffus dans la région, dont le Mali la Libye
la Tunisie la Mauritanie et l’Algérie en commencent à payer les frais. N’est-ce
pas ceci montre, que c’est seulement la connaissance et la maîtrise en pratique
diplomatique d’apaisement des foyers de tensions, que le monde évitera la
semence de données et idées de discorde pour la fabrication de nouveaux espaces
qui seraient utiles et dévoués au terrorisme pléthorique. A l’évidence, Ban Ki
Moon et ses sbires se doivent impérativement à changer leurs fusils d’épaules,
pour le retournement des réseaux et lobbys anti Maroc. Seulement dans le but
primordial de respect de la légitimité marocaine, et aussi pour maintien de la
paix dans cette région. A bon entendeur salut !
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