dimanche 20 mars 2016

DONC, BAN KI MOON EST UNE TAUPE AU SERVICE DES FAUSSAIRES ET RECELEURS DE L’HISTOIRE DU MAROC.

TOUTES LES TAUPES SONT PIÈGEABLES, BAN KI MOON EST PIÈGEABLE, IL EST DONC UNE TAUPE DE SURCROÎT FACILEMENT IDENTIFIABLE CAR NON MAÎTRE DE SA DESTINÉE !

       Ce qui est navrant c’est après presque dix ans à la tête de l’ONU, pourquoi Ban Ki Moon à l'aune de la préparation de son adieu veut-il démontrer par son ignorance du dossier du Sahara marocain, la différence entre ses conclusions intimes dictées par gorge profonde et les arguments vrais et valables qu’avance le Maroc. C’est ainsi qu’à partir de ces données, il est possible d’évaluer la fausseté de ses propos tenus lors de sa visite en Mauritanie aux camps de la séquestration honteuse des marocains et en Algérie. Mais comment le prouver sans se contenter de noter l’étonnement de le voir considérer comme vrais ses propres dires et gestes par suite de ce qu’il appelle auto-émotion, sans tenir compte de la situation régionale au bord du précipice terroriste ? Dans la mesure où son implication d’après lui, n’exprime pas la relation directe à la conséquence de l’outrage-insulte senti par le peuple marocain. Et bien, il ne lui fallut rien que ça pour prendre les marocains pour des bleus ! Et dire que ce qui compte aujourd’hui en diplomatie, c’est comment penser juste et comment conduire sa raison sans avoir recours à des digressions ni manipulations ? 

       Pour comprendre les aspects de son implication en tant que taupe au service des faussaires de l’histoire du Maroc, il suffit de remémorer le fil d’actualités pour sa venue dans la région. Etant donné que tout un chacun la comprend, une sorte d’exécution-jeu de rôle expansif onusien essentiellement volontaire, en choisissant le calendrier qui l’arrange pour torpiller l’offre marocaine maximale d’autogestion de 2007. Aussi, c’était facile sur la base d’analyse et quantification des ses propos et sautillements, de détecter son calcul prémédité montrant la fausseté complexe visant à dénaturer la vérité sur le terrain et, donc conséquemment tromper la communauté internationale. C’est-à-dire, par son usage de tromperie en substituant au langage onusien naturel une autre conception, il crut pouvoir écarter les certitudes marocaines qui vont de pair avec ses incertitudes à lui. Mais pourquoi ce mélange d’inculture contradictoire de sa part, n’ayant provoqué que secousses onusiennes caractéristiques en réponse à ses montages de contrevérités à l’égard du Maroc ? N’est-ce parce qu’il porte dans son intime conviction soudoyée, le symbole de la négation qu’illustre son opposition catégorique sous contrôle de Christopher Ross à l’offre marocaine dans le cadre de la régionalisation avancée ? Au point qu’à cette fin symbolisée de négativité de sa part montrant sa disjonction mentale, il fallait pour le Maroc en connaitre, au préalable, les particularismes de ses connexions onusiennes anti Maroc. Et, d’en établir la table de vérité entre le faux-vrai et le super-faux de leurs surenchères diplomatiques dans toutes les instances internationales, afin d’anticiper les mesures pour les contrer.

       C’est vrai, en élargissant cette réflexion par rapport à la disjonction avérée de Ban Ki Moon car c’en est une, on ne peut ne pas dire qu’il ne veuille proposer son parti pris dans le rapport qu’il s’apprête à établir pour le Conseil de Sécurité de l’ONU en fin du mois d’Avril 2016 sur le Sahara marocain. Au point, si l’on anticipe l’interprétation sur les possibilités que Ban Ki Moon se serait imaginé dans son approche, on ne peut distinguer raisonnablement que deux cas : Ou bien le Conseil de Sécurité ne changera rien à ce que le Secrétaire Général sous l’emprise proposerait comme solution généralement dictée, et dont il obtiendrait gain de cause pour ses recruteurs, ce qui est inconcevable; ou bien l’on supposerait de ne rien changer à la résolution 2218 avec affinité de degré du possible dans l’encouragement de l’offre marocaine de 2007, et alors il est naturel d’admettre que c’est le camouflet généralisé pour toutes les taupes onusiennes. D’autant plus, l’expression de Ban Ki Moon lors de ce voyage du calcul diplomatique n’a montré clairement, que comment et/où il est passé à cette idée malheureuse d’illogique probabilitaire de n’être entendu par le Conseil de Sécurité. Ce qui se caractérise désormais par le débat sur la nécessité ou la contingence des événements onusiens à venir, dont le Maroc fut amené d’en anticiper proposant ses ripostes fermes selon la temporalité des opportunités diplomatiques sans calcul et sans hésitation.

       Evidemment, dans ce cas précis dont l’ONU n’ait jamais connu auparavant une telle turbulence provoquée par le Secrétaire Général, il s’avère que la proposition marocaine demeure la plus plausible. Parce que, juste fiable viable et facilement réalisable en plus elle est déjà en phase d’exécution coté marocain. S’ajoutant au soutien sans ambages de toute la communauté internationale à l’exemple des USA Russie France Espagne UE Turquie CCG Amérique Latine Caraïbes Inde Chine Brésil et autres. C’est-à-dire qu’elle est porteuse de valeur de sécurité et de développement, par la fidélité à la forme de sérénité dans la mobilisation que tous les Sahraouis hommes et femmes jeunes et moins jeunes, en ont fait preuve lors de la marche de Laayoune 15 Mars 2016. Et/où le Sahara marocain assurera la validité du raisonnement de l’offre d’autogestion dans la régionalisation avancée, en se distinguant des variables individuelles et conceptuelles reliant la fausseté polisarienne à la ‘’Ban Ki Moon-connexion’’ onusienne.


       Finalement à la validité reconnue du raisonnement marocain, pourquoi donc pousser le symbolisme de son ossature diplomatique jusqu’à cet extrême ? N‘est-ce, pour pouvoir dépouiller le contenu de celui que voudrait proposer Ban Ki Moon en Avril 2016 ? Lequel, certainement n’assurera aucune cohérence, ni temporelle ni physique pour vraiment maîtriser tous les éléments constitutifs n’en augurant bien sûr de solution acceptable ? Aussi, la conclusion qu’il souhaiterait n’aurait pas de place aux yeux des organes des Nations Unies, non seulement parce qu’il a cessé d’être soutenu de par le constat flagrant de sa non neutralité et partialité. Mais aussi, du fait même de ses formulations ne désignant qu’il est devenu une variable indéterminée au sein du Conseil de Sécurité. Dont les membres, en ont vu qu’il a fait preuve d’incompétence et en ont compris même tardivement qu’il est une taupe au service des lobbys anti Maroc sans plus ni moins. Comme ça le choix du futur Secrétaire Général, sera sans doute plus soumis au contrôle de compétence de probité et de stature, tellement, pour être élu le lauréat doit se détacher sur le fond d’observation draconienne pour la meilleure gouvernance des dossiers à l’ONU. A bon suiveur bon décryptage !     

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