TOUTES LES TAUPES SONT PIÈGEABLES, BAN KI MOON EST PIÈGEABLE, IL EST DONC UNE TAUPE DE SURCROÎT FACILEMENT IDENTIFIABLE CAR NON MAÎTRE DE SA DESTINÉE !
Ce qui est
navrant c’est après presque dix ans à la tête de l’ONU, pourquoi Ban Ki Moon à l'aune de la préparation de son adieu veut-il
démontrer par son ignorance du dossier du Sahara marocain, la différence entre
ses conclusions intimes dictées par gorge profonde et les arguments vrais et
valables qu’avance le Maroc. C’est ainsi qu’à partir de ces données, il est
possible d’évaluer la fausseté de ses propos tenus lors de sa visite en
Mauritanie aux camps de la séquestration honteuse des marocains et en Algérie.
Mais comment le prouver sans se contenter de noter l’étonnement de le voir
considérer comme vrais ses propres dires et gestes par suite de ce qu’il appelle
auto-émotion, sans tenir compte de la situation régionale au bord du précipice terroriste ? Dans la mesure où son implication d’après lui, n’exprime
pas la relation directe à la conséquence de l’outrage-insulte senti par le
peuple marocain. Et bien, il ne lui fallut rien que ça pour prendre les marocains pour
des bleus ! Et dire que ce qui compte aujourd’hui en diplomatie, c’est
comment penser juste et comment conduire sa raison sans avoir recours à des
digressions ni manipulations ?
Pour comprendre
les aspects de son implication en tant que taupe au service des faussaires de l’histoire
du Maroc, il suffit de remémorer le fil d’actualités pour sa venue dans la
région. Etant donné que tout un chacun la comprend, une sorte d’exécution-jeu
de rôle expansif onusien essentiellement volontaire, en choisissant le
calendrier qui l’arrange pour torpiller l’offre marocaine maximale d’autogestion
de 2007. Aussi, c’était facile sur la base d’analyse et quantification des ses
propos et sautillements, de détecter son calcul prémédité montrant la fausseté
complexe visant à dénaturer la vérité sur le terrain et, donc conséquemment
tromper la communauté internationale. C’est-à-dire, par son usage de tromperie
en substituant au langage onusien naturel une autre conception, il crut pouvoir
écarter les certitudes marocaines qui vont de pair avec ses incertitudes à lui.
Mais pourquoi ce mélange d’inculture contradictoire de sa part, n’ayant
provoqué que secousses onusiennes caractéristiques en réponse à ses montages de
contrevérités à l’égard du Maroc ? N’est-ce parce qu’il porte dans son
intime conviction soudoyée, le symbole de la négation qu’illustre son opposition
catégorique sous contrôle de Christopher Ross à l’offre marocaine dans le cadre
de la régionalisation avancée ? Au point qu’à cette fin symbolisée de
négativité de sa part montrant sa disjonction mentale, il fallait pour le Maroc
en connaitre, au préalable, les particularismes de ses connexions onusiennes anti
Maroc. Et, d’en établir la table de vérité entre le faux-vrai et le super-faux de
leurs surenchères diplomatiques dans toutes les instances internationales, afin
d’anticiper les mesures pour les contrer.
C’est vrai, en
élargissant cette réflexion par rapport à la disjonction avérée de Ban Ki Moon
car c’en est une, on ne peut ne pas dire qu’il ne veuille proposer son parti
pris dans le rapport qu’il s’apprête à établir pour le Conseil de Sécurité de l’ONU
en fin du mois d’Avril 2016 sur le Sahara marocain. Au point, si l’on anticipe l’interprétation
sur les possibilités que Ban Ki Moon se serait imaginé dans son approche, on ne
peut distinguer raisonnablement que deux cas : Ou bien le Conseil de
Sécurité ne changera rien à ce que le Secrétaire Général sous l’emprise
proposerait comme solution généralement dictée, et dont il obtiendrait gain de
cause pour ses recruteurs, ce qui est inconcevable; ou bien l’on supposerait de
ne rien changer à la résolution 2218 avec affinité de degré du possible dans l’encouragement
de l’offre marocaine de 2007, et alors il est naturel d’admettre que c’est le camouflet
généralisé pour toutes les taupes onusiennes. D’autant plus, l’expression de Ban
Ki Moon lors de ce voyage du calcul diplomatique n’a montré clairement, que comment
et/où il est passé à cette idée malheureuse d’illogique probabilitaire de n’être
entendu par le Conseil de Sécurité. Ce qui se caractérise désormais par le
débat sur la nécessité ou la contingence des événements onusiens à venir, dont
le Maroc fut amené d’en anticiper proposant ses ripostes fermes selon la
temporalité des opportunités diplomatiques sans calcul et sans hésitation.
Evidemment, dans
ce cas précis dont l’ONU n’ait jamais connu auparavant une telle turbulence
provoquée par le Secrétaire Général, il s’avère que la proposition marocaine
demeure la plus plausible. Parce que, juste fiable viable et facilement
réalisable en plus elle est déjà en phase d’exécution coté marocain. S’ajoutant
au soutien sans ambages de toute la communauté internationale à l’exemple des
USA Russie France Espagne UE Turquie CCG Amérique Latine Caraïbes Inde Chine Brésil
et autres. C’est-à-dire qu’elle est porteuse de valeur de sécurité et de développement,
par la fidélité à la forme de sérénité dans la mobilisation que tous les
Sahraouis hommes et femmes jeunes et moins jeunes, en ont fait preuve lors de
la marche de Laayoune 15 Mars 2016. Et/où le Sahara marocain assurera la
validité du raisonnement de l’offre d’autogestion dans la régionalisation
avancée, en se distinguant des variables individuelles et conceptuelles reliant
la fausseté polisarienne à la ‘’Ban Ki Moon-connexion’’ onusienne.
Finalement à la
validité reconnue du raisonnement marocain, pourquoi donc pousser le symbolisme
de son ossature diplomatique jusqu’à cet extrême ? N‘est-ce, pour pouvoir
dépouiller le contenu de celui que voudrait proposer Ban Ki Moon en Avril 2016 ?
Lequel, certainement n’assurera aucune cohérence, ni temporelle ni physique
pour vraiment maîtriser tous les éléments constitutifs n’en augurant bien sûr de
solution acceptable ? Aussi, la conclusion qu’il souhaiterait n’aurait pas
de place aux yeux des organes des Nations Unies, non seulement parce qu’il a
cessé d’être soutenu de par le constat flagrant de sa non neutralité et partialité.
Mais aussi, du fait même de ses formulations ne désignant qu’il est devenu une
variable indéterminée au sein du Conseil de Sécurité. Dont les membres, en ont vu
qu’il a fait preuve d’incompétence et en ont compris même tardivement qu’il est
une taupe au service des lobbys anti Maroc sans plus ni moins. Comme ça le
choix du futur Secrétaire Général, sera sans doute plus soumis au contrôle de
compétence de probité et de stature, tellement, pour être élu le lauréat doit
se détacher sur le fond d’observation draconienne pour la meilleure gouvernance
des dossiers à l’ONU. A bon suiveur bon décryptage !
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