IMPARTIALITÉ ET NEUTRALITÉ, DEUX VALEURS POUR LE FUTUR D'UN
POSITIONNEMENT MODÈLE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL DE L’ONU !
Les désaccords des
marocains avec le Secrétariat Général de l’ONU, ne s’arrêtent toujours pas après
l’atteinte flagrante par Ban Ki Moon du code de neutralité et impartialité ?
Ne peut-on dire qu’ils sont aggravés par les balbutiements interminables des
portes paroles qui s’ingénient à saper les efforts marocains, par des
non-dits suspects au travers manipulations et contrevérités ? D’ailleurs
d’autres éléments viennent également alimenter ce sentiment de doute qui est
basé sur la désinformation pour définir les critères et l’amplitude des dérapages-tromperies
Ban Ki Mooniens à contresens, alors qu'auparavant il avait donner sa parole à Sa Majesté le Roi de rester neutre et impartial. Dont aujourd’hui la diplomatie marocaine
regardante aux aguets en est préventive, visant à empêcher la contamination de
l’état d’esprit marocain indispensable à la compréhension des contrôles onusiens. Au
sens où la disponibilité de données stratégiques est le premier pas vers la
meilleure prise en charge des encombrements des canaux d’échanges. Non
seulement en matière d’élaboration des référentiels diplomatiques marocains
pour contrer la mise en réseau onusien des mensonges. Mais aussi pour prévenir
les coups bas envers la notoriété et l'image du Maroc, par des protocoles réguliers de décontamination et vaillance-vigilance.
Aussi, en ce
temps présent, seule l’option d’opérationnalisation du choix de la
régionalisation comptera, et ce au-delà des tergiversations des portes paroles au
sein du Secrétariat Général de l’ONU. Qu’au demeurant, elles sont suffisamment dépassées
par la détermination de réhabilitation si ce n’est carrément rehaussement de la
pensée marocaine au sein du Conseil de Sécurité. Notamment dans sa volonté
avérée de recadrages et mise en œuvre de résolution d’Avril 2016 sur le même
profilage de 2015 tendant vers la solution politique équitable et viable qu’est
l’offre d’autonomie gestionnaire. N’est-ce là où, on en décèle la vision
du Maroc de renforcer son offre responsable, ayant entamé un vaste chantier financier de la campagne énergique de
mise à niveau des 03 régions du Sahara marocain (Dakhla-Laayoune-Guelmim) d’une
enveloppe de 77 milliards de dirhams pour les cinq ans à venir ? Ce
qui ne laisserait aux manutentionnaires onusiens soumis à la pire des
exploitations de leurs âmes et consciences par les lobbyings anti Maroc, qu’un
et un seul choix. Celui de la normalité de n’en sortir du cadre d’exigence de
la proximité touchant d’abord à la part de participation des sahraouis hommes
et femmes dans le processus électoral qu’est la régionalisation avancée. Puis
au panier des applications de l’autogestion comme une avancée, qui permettrait
de passer selon toute logique à sa mise en effectivité reposant sur le principe
de solidarité entre régions dans tous
les domaines.
Certes, pendant
longtemps la diplomatie marocaine est restée l’une des moins offensives. Une
vérité, que beaucoup de nos concitoyens ont définitivement oublié, sachant qu’il
y a eu résurgence d’exposition experte après la rafale des derniers discours du
Roi Mohamed VI. Ayant montré au monde qu’on en n’a aucun autre choix que de
condamner à l’échec le projet concocté au secrétariat de l’ONU et, qui est en
instance de présentation au Conseil de Sécurité, tant il n’est ni génial ni
opportun. Toutefois, au regard de l’évolution des choses, pourquoi alors ces
attouchements de Ban Ki Moon avec le Polisario concernant le Sahara marocain,
ont-ils laissé la communauté internationale sceptique ? Au point qu’il est
permis à tout un chacun de douter de l’emphase des portes paroles de Ban Ki
Moon au Secrétariat Général, ne sachant pendant qu’ils parlent ils pervertissent
la réalité par leur médiatisation tendancieuse et superflue. Même en mentionnant
à mots compilés de ne vouloir en faire bénéficier ni au plus vite ni dans les
meilleures conditions les protopolisariens et leurs soutiens inconditionnels,
de leur lamentable comportement vis-à-vis du Maroc. S’agissant en principe de
la recherche d’une solution politique devant susciter espoir, comme l’offre
marocaine d’autogestion 2007 dans la régionalisation avancée. Et/où il est
curieux en effet que le Secrétariat Général de l’ONU sous Ban Ki Moon ne daigne
toujours pas croire à sa faisabilité et validité voire viabilité, contrairement
aux USA Russie France Espagne CCG Turquie Chine Japon UK et d’autres.
D’ailleurs pour
bien comprendre les dessous de ses attouchements en tant que Secrétaire Général
actuel et en saisir le paradoxe qu’il y a derrière, il ne serait pas vain de
remémorer les étapes de sa dernière visite aux camps de la honte et à la zone
de séparation de Bir Lhlou en préparation de son arrivée calamiteuse à Alger.
Au sens où, à travers ses gestes et paroles on en comprend sa nouvelle trouvaille,
sorte d’idée-redistribution de la recette qu’il s’apprêtait à présenter au
Conseil de Sécurité pour le mois d’Avril 2016 comme plateforme de la tromperie
et tricherie. Sauf que, il ne s’n’y attendait pas à la mobilisation de tout un
peuple lui rappelant énergiquement sans hésitation, les critères de fixation
des contours d’une solution politique, auxquels lui-même devait s’assujettir
selon les textes d’application de la charte de l’ONU. D’autant plus, personne
ne peut nier que le Sahara marocain est fédérateur à même de provoquer passions
faisant partie de la richesse immatérielle et donc du patrimoine du Maroc.
Tout le monde
est maintenant convaincu que l’action diplomatique concertée entre les forces
vives et les diplomates professionnels, est un outil très puissant pour persuader
le Secrétaire Général de l’ONU de revoir sa copie. Dont apparemment il se réjouit
de la perspective de pouvoir résoudre la problématique, sans tenir compte de l’autonomie
gestionnaire proposée par le Maroc. Ne sachant que c’est un non-sens de l’histoire
de la région, alors que le terrorisme grandissant gronde à ses portes pour la
faire basculer dans l’abime. D’ailleurs, le fait que sa dernière missive envoyée
à Sa Majesté le Roi du Maroc, qu’elle soit fuitée par ses services du
secrétariat particulier n’arrangeant pas les choses, montre qu’il y a risque d’attaque
invasive dans son prochain rapport au Conseil de Sécurité de l’ONU. Et, dont en
plus le Maroc n’est pas dupe de lui faire aveuglément confiance et d’accepter voire tolérer les pseudo-indications de
ses regrets émis, non dans un but de diminuer les risques de déflagration
régionale mais comme pansement emphatique sans tendre vers clôturassions de ce dossier selon l’offre marocaine 2007.
Finalement, avec
les temps qui courent, quand on gagne une bataille diplomatique, ce qu’il faut
c’est essayer de l’immortaliser par tous les moyens en la faisant reconnaître auprès des Nations Unies sans tomber dans l’émotionnel endormeur. N’est-ce
ainsi, que tout le Maroc voit aujourd’hui se défiler sa première bataille avec
la pléthore d’ennemis, s’apercevant que les événements ont retenti sur la structuralité
fonctionnelle du Secrétariat Général ? A bon entendeur salut !
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