vendredi 27 novembre 2015

CHRISTOPHER ROSS ET ABDELAZIZ BOUTEFLIKA AU CŒUR DU HOLD-UP DU COURANT DU RÉALISME.

AUJOURD’HUI NOMBREUX SONT LES ALGÉRIENS RENTRANT DANS UNE DÉMARCHE CONTRE LA PERTE DE MÉMOIRE VIS-A-VIS DU MAROC !

       Il est évident que Ammar Saadani Louisa Hanoun  et toute l’intelligentsia même celle proche du pouvoir algérien, sont désormais dans une démarche pour sortir le pays du flagrant délire contre la mémoire. N’acceptant ni fédéralisme, ni confédération, ni schize-division et encore moins autodétermination au Sahara marocain. Et ce, avec ou sans recensement dans les camps de séquestration, dont expressément ils n’en tolèrent plus l’existence. De fait, pour le Maroc droit dans ses bottes, c’est le Niet absolu vis-à-vis de ce hold-up aux quatre versions, car s’agissant effectivement d’une imposture bizarroïde qui n’existe que dans la tête de Christopher Ross le noctambule nostalgique de ses anciennes virées dans le Sud algérien. Et, dont en ce temps présent, il en a perdu l’assise référentielle pour éviter son décrochage où les portes de sortie sont fermées sinon trop étroites. Ainsi, autant l’annoncer, même en s’appuyant sur un raisonnement conceptuel de dématérialisation du marché de la mémoire, il ne pourra faire oublier le joug marocain et ses légitimités historiques tentaculaires en Afrique et sur le terrain algérien.

       A cet égard, ne peut-on dire que les marocains en ont assez des approches énièmes mains en marge et en dehors de la résolution 2218 du Conseil de Sécurité de l’ONU d’AVRIL 2015, que cherche à imposer Christopher Ross en préparation de la visite de Ban Ki Moon dans la région ? Car, à chacune de ses visites en tant qu’envoyé spécialement spécial, on s’en rend compte qu’il veuille raccorder le Maroc à l’accord-cadre qui a été conclu entre lui au nom de son patron et le président Bouteflika au nom du protopolisario. C’est dire que son objectif n’est autre que la protection, de seulement ce que veulent les lobbyings et centrales de productions des mensonges à l’encontre du Maroc. De surcroît sous-forme de demande on ne peut moins dire cautionnée par le Secrétaire Général qui n’a par ailleurs rien réussi nulle part, à savoir en (Crimée-Vénézuella-Syrie-Irak-Mali-Centrafrique-Libye-Somalie-Yémen etc…). En plus sans tenir compte de l’histoire de la mémoire régionale, mais juste pour requinquer le mental et psychologie du pouvoir algérien en bérézina totale sur tous les plans.

       D’ailleurs, outre le fait que ces initiatives invraisemblables de Christopher Ross n’en éviteraient que le Maroc puisse continuer tranquillement avec sérénité ses efforts pour l’offre du seul seuil de l’autogestion qu’il a proposé depuis 2007, elles ne pourraient qu’augmenter les turbulences voire risques de déstabilisation de tout le Maghreb et la bande Sahélo-africaine. Pourtant, et c’est le moins que l’on puisse dire, Ban Ki Moon sait pertinemment que le Maroc a donné ce qu’il peut comme solution politique sérieuse viable et/où il n’y aura ni vainqueur ni vaincu. D’autant qu’il est auréolé du déroulé électoral exemplaire du 04 Septembre 2015 et de l’ampleur de participation des habitants du Sahara, s’ajoutant à leur attachement fusionnel sans condition à la royauté. A ce propos, faut-il continuer à faire confiance à Christopher Ross qui cherche par tous les moyens de sous-traiter l’intégrité territoriale du Maroc voire mêmes ses souverainetés ? Ne s’en souciant aucunement de la réactivité des marocains, parce que si en 1975 ils étaient 350000 dans la Massira, cette fois-ci ils seraient 3500000 en partance non Saint Coran et drapeaux à la main mais brandissant armes.

       Apparemment, seul lui n’est pas conscient des dangers politiques et sécuritaires que peuvent engendrer ses suggestions génériques à l’emporte pièce. Parce que, ni l’Espagne ni la Mauritanie qu’à l’évidence ne rentreront jamais dans cette légèreté d’analyse et de conception maladroite, du fait que chaque pays a son propre agenda au regard de l’urgence à la sécurité qui l’emporte sur l’idéologie consumée il y a belle lurette. En cela, pourquoi ce diplomate reste-t-il dans l’aveuglément total, au point de changer d’objectif tantôt dans l’autodétermination tantôt dans la parthéno-division, parfois dans le fédéralisme ou la confédération ? Sans tenir compte des propositions et mesures prises par le Maroc, confirmant que c’est juste se tromper du coté où se trouve l’avenir rayonnant du Sahara marocain et donc de toute la région.

       C’est tellement vrai que nos officiels diplomates ont doublé de vigilance avec lui, usant de techniques de séquençages de ses propositions qu’au demeurant varient d’un entretien à un autre et tout le temps. Néanmoins avec les temps qui courent, ses propos mêmes oscillatoires ne sont-ils indispensables pour le ciblage le montage et l’homogénéisation des contre-attaques diplomatiques marocaines ? S’ajoutant au foisonnement des cris de la raison des soutiens que le Maroc ne cesse de recevoir de par le monde. Dans le but de le conforter dans son savoir-faire et de l’en encourager de continuer dans sa feuille de route de programmes diversifiés concis et précis pour son développement structurant, sa sécurité légendaire et son rayonnement reconnu.

       Aussi, dans un monde dominé par sa standardisation à tout point de vue, à cet égard, est-ce que la différence marocaine dans sa feuille de route vers le développement sans ambages, sa fonctionnalité institutionnelle et ses performances, ne mérite-t-elle d’être prise en compte par Ban ki Moon par les actes en dehors des paroles ? N’est-ce, ce que doit en effet creuser Christopher Ross, c’est comment faciliter le retour des sahraouis ne voulant rester en dehors de l’histoire événementielle qui bouge qu’on ne le veuille ou pas au Sahara marocain ? Comment aider le Maroc stable, dans sa lutte contre les parasitages d’environnement des camps en cellules terroristes d’obédience à Daech Aqmi Boco Haram et autres Chababs ? D’ailleurs l’intérêt qu’accorde le Maroc au daechisme polisarien n’est pas fortuit, dès lors que le conformisme à des calculs politiciens en matière de renseignement anti terroristes n’est pas pour les marocains. Sachant que ses conséquences sont ainsi anticipées, vu qu’elles sont mesurées ici là en Afrique de par l’agitation des groupuscules terroristes dans les camps à Tindouf Rabouni et dans le Sud algérien en général. Important l’est aussi avec ou sans aval de l’ONU de savoir, est-ce que le Maroc ne pourrait user le cas échéant du droit de poursuite à l’encontre des terroristes bien ancrés dans les camps ? Voilà peut être en quoi, si Christopher Ross ne révise son accord-cadre par une analyse approfondie de ces exemples, il pourrait se confronter. N’est-ce pour cela les FAR et le BCIJ s’en sont dotés de moyens dans les provinces du Sud et aussi le long de toutes les frontières terrestres de Saidia à Lagouira, comprenant des services et unités performants de traitement des crises et situations dangereuses? Gageons encore une fois, que la prédisposition du Conseil de Sécurité de l’ONU vers le réalisme se généralise dans sa résolution future d’Avril 2016, pour une coopération avec le Maroc dans le volet sécuritaire dans le respect de son intégrité territoriale. A bon suiveur bonne lecture !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire