vendredi 6 novembre 2015

LE MIRACLE MAROCAIN A L’HEURE DE VÉRITÉ FACE A L’ ALGÉRIE IRRESPONSABLE JALOUSE EN PLEINE DÉBÂCLE…

N’EST-CE LA OU LE ROI DU MAROC DANS SON DISCOURS-SCRIPT DU 06 NOVEMBRE 2015, A MONTRÉ  L’ARME-ÂME SOCIO-ÉCONOMIQUE ET POLITIQUE MAROCAINE RÉSOLUMENT AMBITIEUSE DONT IL VA FALLOIR COÛTE-QUE-COÛTE CONTINUER A LA RALLUMER !

       Au début des années 70 avant 1975, l’ensemble du Maroc n’était pratiquement qu’un champ d’influences idéologiques, tellement que certains croyaient qu’il ne se relèverait jamais. D’abord parce qu’il y avait la guerre froide avec ses compromissions et intrigues de part et d’autre, dont le Maroc s’en est bien sorti par rapport aux voisins. Puis, bien que fidèles au libéralisme les gouvernements de l’époque s’étaient pliés aux règles de la planification visant normalement à améliorer le vécu des citoyens. Au point que, plongé dans le doute, le Roi Hassan II devait connaitre une période très pénible surtout après les putschs militaro-socialisants. Mais voilà que le miracle du coup de génie de Feu Hassan II de la Massira se produisit, ayant donné les résultats escomptés pour le recouvrement du Maroc de son Sahara, en plus le mettant sur un nouveau départ vers un développement accéléré de ses provinces du Sud par des sacrifices qui honorent tout un peuple.

       En revanche, n’est-ce pas l’autre miracle marocain d’aujourd’hui se reflétant par la visite grandiose du Roi, car menu d'atouts socio-économiques culturels et cultuels d'ouvertures de chantiers d'envergure pour l’avenir des 03 régions du Sahara, qui met l’Algérie jalouse en pleine transe-débâcle politico-diplomatique ? Et dont le discours royal de Laayoun en a montré les relents extrêmes de bifurcation des destins Maroc-Algérie normalement devant être partagés sans complexe ni souffrance. Et auxquels s’y sont greffés, malheureusement, des calculateurs voguant à bord d'essais d'esquifs et manipulations pour s'approprier les détournements de fonds des subventions et aides à destination des égarés dans les camps de Tindouf. Donnant une image désolante voire désappointante des séquestrés frôlant le cas de servitude et mendicité résultat d’une répression sans merci, particulièrement envers ceux qui ne veulent continuer à cautionner politiquement ce désastre inhumain dont la communauté internationale en est aussi quelque part responsable.

       Et oui, l’histoire dans ses répétitions à travers les générations, a toujours besoin de personnalités ayant le charisme des grands leaders pour pousser à l’accompagnement des relèvements des défis. Ceci étant, ne peut-on dire que le Maroc aujourd’hui quarante ans après la Massira, est entré dans cette ère, se matérialisant par la rupture avec l'ancien modèle d'approche pour le développement? A ce propos, ne veut-il faire de son Sahara le comptoir maritime ferroviaire et aérien de l’offre des échanges sectoriels de partenariats gagnants-gagnants avec l’Afrique et pourquoi pas avec l’Amérique du Sud? D’ailleurs n’est-il déjà en voie de devenir ce pivot Sud-Sud, grâce au charisme visionnaire et percutant de SM le Roi Mohamed VI au Sommet Inde-Afrique du 29 Octobre 2015 à New Delhi. Dont la côte sur l’échelle onusienne notamment auprès des délégations Afrique-Asie-Amérique Latine, se révèle d’une puissance rappelant l’époque de l’essai de l’émanation de la Tricontinentale. Cet héritage immatériel même  politiquement avorté appartient par devoir de mémoire à tous les marocains, auquel SM Le Roi en a fait allusion dans sa lettre envoyée des terres du Mahatma Gandhi et Nehru. Et, qui fut lue par Youssefi dans un lieu symbolique qu’est la bibliothèque nationale à Rabat lors de la commémoration de la disparition de Benbarka il y a 50 ans à Paris.

        Néanmoins, n’est-ce là où il faut voir que le discours royal de Laayoun du 06 Novembre 2015 inscrit le Maroc dans l’histoire des pays enjoués par le désir de coupure avec la rente et aussi secouement du mammouth administratif pour l’effectivité de la déconcentration tenant compte de l’approche participative des citoyens. En effet, il ne s’agit pas seulement d’un discours tendance remarquable dans sa cohérence sur l’émergence de la spécificité marocaine, mais d’une feuille de route établie sur les repères en plusieurs points des priorités avec méthode et discernement. Une sorte de script du réel résolument ambitieux de recherche de la consécration de la singularité du Maroc, faisant du règne du Roi Mohamed VI une rencontre d’un destin avec son heure de vérité. Qu’en effet, elle donne aujourd'hui un aperçu sur la mécanique du traitement des affaires de l’Etat dans le futur proche, par des actes et pactes forts au bon gré malgré du déroulé du fil d’actualités. Evidemment dont la régionalisation avancée dans tous ses volets, en aura la bonne part en prenant en considération les particularités de la radioscopie du bilan des 40 ans avec ses hauts et ses bas.

       Pour grand nombre d’observateurs dans ce magma d’informations, est-ce que la jeunesse des camps de Tindouf et ailleurs, qui continue à pratiquer le Chouf désemparé en tenant les murs , ne semble-elle passer aux yeux des décideurs honteusement devenus richissimes, une entité négligeable la laissant comme proie facile au daechisme ou autres mouvements terroristes qui pilulent dans la région ? Autant dire que les dirigeants algériens ne seraient toujours rien aux yeux des marocains, s’ils ne combattent pas leur propre mensonge et faire leur autocritique à propos de la catastrophe des camps qu'ils entretiennent avec leurs manutentionnaires devenus presque des crésus. D'ailleurs, qu’ils ne le veuillent ou pas, le gouvernement Kabyle en exil prospectivement parlant, est loin d’être conjoncturel et circonstanciel face à la chronologie des défis s’y greffant chemin faisant devant eux. Tellement qu’aujourd'hui ils ne peuvent éviter de s’y laisser emporter par la clarté des réflexions idées et thématiques marocaines à ce propos. Et donc, de se rattraper vis-à-vis de la Kabylie du Mzab du Hoggar et autres territoires, en s'appliquant au réalisme et non l'aventurisme, pouvant les sortir de l’impasse dont ils s’y sont fourgués. D’ailleurs, à cet égard, que faire d’abord face à l’incurie des gens du premier cercle de Abdelaziz et sa femme épris de tout ce qui a attrait à l’Offshore et aux détournements pour raison facile à deviner ? Puis face à l’inconscience des groupuscules à l’Etranger d’influence-tartuferie et surtout des ONG idéologisées à outrance dans leur propre raisonnement politique anti Maroc. Au sens qu’il est maintenant temps de dépasser les maux parlants de quelques diplomates marocains officiels ayant longtemps auparavant plombé la marche forcée du Maroc, par inadvertance pour ne dire nonchalance ou carrément incompétence. En ce sens, c’est d'une diplomatie méthodique offensive sans complaisance ni compromission et sans merci comme ce que ont font en ce temps nos diplomates à l'ONU, que tous les marocains devront désormais faire subir à ces ONG dans les couloirs des forums salons et instances internationales.   

      En résumé, au-delà du retard de l’assimilation de la donne mondialisée des nationalismes, par certains pays faisant partie du giron des rancuniers du Sud, il se pose aujourd’hui celui du fossé sans cesse grandissant entre le Maroc leader stable ouvert à la démocratie et l’Algérie à la traîne où une atmosphère d’instabilité politique se développe. Certes, pour être plus clair, plusieurs facteurs y ont contribué depuis l’avènement de SM le Roi Mohamed VI à cette situation. Dont, notamment, son action soutenue et vigoureuse se manifestant par des pactes de facilitation et actes d'exécution dans les temps impartis du calendrier des défis socio-économiques financiers culturels écologiques et cultuels-sécuritaires à relever. N'est cela qui a fait aboutir le Maroc à un développement prodigieux, avec discernement intelligent dans l’interventionnisme de l’Etat? Et ce, de tous les gouvernements successifs depuis l’alternance sous Youssefi, sur les privatisations les prix (Maqassa) l’accession à la propriété la limitation de la consommation gestionnaire du fonctionnement de l’Etat et l’intensification des investissements publics et privés dans l’industrie les transports et autres secteurs visant à améliorer les infrastructures pouvant drainer la croissance. Dont on veut aujourd'hui après le discours de l'heure de vérité, que cet interventionnisme de l'Etat soit aussi discret que possible mais efficient, utilisé principalement dans l'esprit de la réussite de la régionalisation avancée ? Contrairement à l’Algérie tournée vers la jungle de la rente et l’élevage des particularismes des privilèges n’offrant que des activités de non rayonnement dans tous les domaines sociopolitiques s’ajoutant aux déplétions financières du temps présent. Ce qui la met aujourd’hui en état de rage disproportionnée et colère bleue envers son voisin de l’Ouest en l’occurrence le Maroc, au vu des difficultés économiques et les dis-sentions politiques qu’elle est entrain de vivre presque en continu. A bon suiveur bonne lecteur !

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